Ian Pellington
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Date d'inscription : 13/02/2011
Localisation : Vient d'arriver à New York
Clan : neutre
Age du personnage : 27 ans
Pouvoirs : Inactif pour l'instant
Profession : Conseiller bancaire junior pour la London Bank Business
Points de rp : 34
![Fig & Olive [Elizabeth Jenkins et Ian Pellington] Vide](https://2img.net/i/fa/vide.gif) |  Sujet: Fig & Olive [Elizabeth Jenkins et Ian Pellington] Mar 28 Juin - 19:34 | |
| Ian arriva avec un peu d'avance à l'accueil du restaurant. Une magnifique jeune femme brune portant une élégante robe noire servait l'hôtesse. Elle fit un petit sourire au jeune homme en costume cravate gris et s'adressa à lui :
"Monsieur, bonjour. Avez-vous réservé ?"
"Oui, au nom de Pellington. Une table pour deux."
L'hôtesse parcouru son livre de réservations du regard pendant quelques secondes et releva la tête :
"Effectivement, veillez me suivre monsieur Pellington"
Ian emboita le pas de la jeune femme et entra dans une vaste salle lumineuse ou trône une magnifique olivier, entouré de petites tables carrées et blanches. L'hôtesse installa Ian à une de ces tables près d'une fenêtre puis s'en alla. Aussitôt un serveur s'approcha avec un menu, mais Ian lui indiqua tout de suite :
"Pas tout de suite, j'attends quelqu'un. Merci."
Le jeune serveur sourit poliment à Ian et retourna vers une autre table.
Le "Fig & Olive" était un de ces restaurants chics New-Yorkais ou les traders et les galeristes se bousculaient pour déguster de la cuisine européenne. Et plus précisément un mélange moderne de cuisine française et italienne utilisant de l'huile d'olive. Bref un petit bout d'Europe sur le nouveau et tumultueux continent.
Ian regarda sa montre nerveusement. 12h22, son rendez-vous ne devrait pas tarder.
Il allait enfin rencontrer la fameuse Elizabeth Jenkins. La doctoresse en génétique que lui avait recommandé Emma Frost. Si tout ce passait comme prévu, mademoiselle Jenkins allait aider Ian à choisir la meilleur entreprise de biotechnologie pour le rachat envisagé par Frost Internationale. |
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Elizabeth Jenkins
Mutante de niveau 2
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Date d'inscription : 23/06/2011
Localisation : New York
Clan : Damnés
Age du personnage : Va sur ses 26 ans.
Pouvoirs : Un cerveau qui tourne à une vitesse accéléré, et la possibilité d'accélérer ses mouvements.
Profession : Ingénieur en génie génétique
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| | Sujet: Re: Fig & Olive [Elizabeth Jenkins et Ian Pellington] Jeu 30 Juin - 3:00 | |
| Lizzy était à son labo, comme à son habitude, quand son téléphone sonna. Sur le coup, elle manqua de lâcher l’éprouvette qu’elle avait dans les mains, ce qui aurait été bien ennuyeux. Reposant l’objet avec précaution, elle pestait à moitié en prenant son téléphone portable et en se demandant qui pouvait bien l’appeler. C’est là qu’elle vit que ce n’était pas un appel mais le réveil qu’elle avait programmé elle-même ce matin en se levant. Elle fit cesser la sonnerie en se disant qu’elle avait bien fait de mettre ce réveil, sinon, absorber par son travail, elle aurait été capable de ne pas voir l’heure passée et louper le rendez-vous qu’elle avait dans un peu plus d’une heure. Elle n’avait pourtant pas plus de trente minutes de trajet et, encore, elle voyait large mais elle avait besoin d’un temps de préparation à cause de son pouvoir. En effet, ne sachant pas combien de temps ce rendez-vous allait durer, elle ne voulait pas que son pouvoir fasse des siennes et qu’elle soit obligée d’aller s’isoler en pleine conversation. Elle rangea ce qu’elle était en train de faire et, dans les minutes qui suivirent, elle alla dans sa petite réserve personnelle où elle éteignit les lumières. Et, pendant une demi-heure, elle resta contre un mur, les jambes repliées contre elle avec les yeux clos. De cette manière elle s’assurait de rester un temps raisonnable à parler à quelqu’un sans risquer de virer à la folie pure et dure que son pouvoir savait parfaitement engendrer. Les aléas d’un cerveau qui tourne trop vite.
Cette demi-heure passée, elle sortit de la réserve pour déposer sa blouse blanche qu’elle échangea contre une veste en cuir noir et cintrée. Elle estimait que cela se mariait assez bien avec le jeans qu’elle portait. Pas vraiment porté sur la mode qui n’était qu’un effet de société, elle savait que s’habiller n’importe comment laissait les gens beaucoup trop perplexe. Du coup ce n’était pas par envie qu’elle s’habillait « normalement » mais pour donner la chance et laisser entendre qu’elle aussi « rentrait dans le moule » comme l’ensemble de la population. Un sac, tout ce qu’il y a de plus basique, fut posé sur son épaule alors qu’elle quittait son labo pour arriver devant l’ascenseur qu’elle appela. Et quand il s’ouvrit, elle tomba nez à nez avec la personne à ne pas croiser : son patron.
C’est marrant – mais vu son ton, il ne devait pas vraiment trouver ça drôle – mais on dirait que vous vous apprêtez à partir… A onze heures.
Ça en a l’air parce que c’est le cas. J’ai un rendez-vous. Le tout dit avec un naturel assez déconcertant.
Pendant vos heures de travail ?
Il semblerait, en effet.
Et jamais il vous viendrais à l’esprit de me demander mon autorisation.
En réalité, non, pas du tout. Écoutez j’écoule plus de travail que n’importe qui, vous êtes le premier à ne pas me payer toutes mes heures supplémentaire sous prétexte que j’en fais trop alors, franchement, je ne vois pas de quoi vous êtes en train de vous plaindre. Maintenant j’aimerais passer pour ne pas être en retard, s’il vous plait.
Ne sachant quoi répondre il se poussa et elle entra dans l’ascenseur. On aurait pu penser que son attitude n’était pas tolérable mais, honnêtement, elle ne voyait pas le problème que cela pouvait poser. Elle rendait toujours son travail à l’heure, quitte à passer la nuit dessus, alors pourquoi n’aurait-elle pas le droit de se rendre à un rendez-vous pendant ses heures ? Des règles de sociétés qu’elle ne comprenait pas. Ce n’est pas comme si elle était vendeuse dans un magasin ou qu’elle devait recevoir des clients à des heures bien précis. Elle avait l’avantage de pouvoir travailler quand elle voulait en ayant pour contrainte qu’un délai final pour rendre ses travaux. Ce qui avait toujours été fait. De toute façon, elle savait pertinemment que son patron ne se débarrasserait pas d’elle, alors il n’y avait pas de quoi s’inquiéter sur le fait qu’elle s’absente pour un rendez-vous.
Sur le chemin elle eut tout le temps de s’interroger sur ce rendez-vous qu’on lui avait donné par l’intermédiaire de sa boite vocale. Elle n’en savait pas plus que ce qu’on lui avait dit au téléphone, un certain Ian Pellington qui voulait acquérir une société de biotechnologie pour des investisseurs. En réalité il y aurait eu peu de chance qu’elle aille à ce rendez-vous, si cet appel n’avait pas été suivit par celui d’Emma Frost qui l’avait informé que quelqu’un la contacterai pour ce même sujet. Bien sûr, selon les recommandations d’Emma, Lizzy ne devait pas dire qu’elle avait eu son appel et encore moins qu’elle se connaissait. Ce qui, dans le fond, n’étonnait pas vraiment la mutante, sûrement une façon pour Emma de tester ce fameux Pellington et voir comment il annonçait les choses et, surtout, s’il nommait le nom de Frost. Ce qui serait fâcheux pour ce qui touche à la discrétion. Bref, parce que Frost lui avait demandé, elle avait accepté de se rendre à ce rendez-vous sur la cinquième avenue.
Ce fut à 12h30 qu’elle arriva devant la jeune femme de l’accueil, merveilleusement habillée. Du coup Lizzy ne collait pas vraiment avec sa tenue aussi simple qu’un jeans, un haut et une veste. En plus elle se tapait le luxe d’avoir des basket aux pieds plutôt que des chaussures à talons, un minimum habillé. Avant même que la personne de l’accueil ne lui dise quoique ce soit de désobligeant, Lizzy prit les devants.
J’ai rendez-vous. La table doit être réservé au nom de Pellington.
Ah… Oui… Bien, suivez-moi, monsieur est déjà arrivé.
A croire que ça l’ennuyait profondément que quelqu’un d’habiller de manière aussi basique puisse entrer dans son établissement - qui, techniquement parlant, n’était pas à elle – mais ne pouvant s’empêcher de faire son travail elle accompagna Lizzy jusqu’à la table près de la fenêtre pour s’éclipser aussi vite. Lizzy n’avait même pas fait attention à l’endroit où à sa décoration tellement ce genre de chose lui passait au-dessus de la tête. Elle accorda bien plus d’intention à l’homme qui était présent. C’est débout qu’elle tendit une main vers lui.
Bonjour. Lizzy Jenkins, je suppose que vous êtes monsieur Pellington ?
Elle finit par s’installer à la table parce qu’il y avait peu de chance pour que cette personne ne soit pas la bonne. Ah moins que deux Pellington est réservés à la même heure, au même endroit. Trop peu de probabilité. Pour ce qui était du prénom qu’elle avait donné, c’était surtout une façon de dire qu’elle n’appréciait pas vraiment le prénom d’Elizabeth. Les raisons lui appartenaient mais, quoiqu’il en soit, elle ne se présentait jamais sous son prénom complet. |
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