Le Deal du moment :
Réassort du coffret Pokémon 151 ...
Voir le deal

Partagez | 
 

 Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Alexander Cash

Alexander Cash
Mutant de niveau 1

Nombre de messages : 236
Date d'inscription : 08/04/2010
Localisation : New-York City
Clan : neutre
Age du personnage : 24 ans
Pouvoirs : Maitrise de l'air & métamorphose en gaz inodore et invisible - Niveau 1
Profession : Journaliste spécialisé en économie
Professeur d'économie et de communication à l'université
Points de rp : 90

Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI] Vide
MessageSujet: Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI]   Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI] EmptyMer 21 Avr - 20:35

Aujourd'hui était un jour comme les autres pour Alexander Cash, étudiant en économie - 5ème année - et sportif à bon niveau - quarter back titulaire de l'équipe universitaire.
Il avait eu, toute la matinée, un cours en amphithéatre, sur la microéconomie et ses auteurs de prédilection. L'économie n'avait jamais été l'une de ses matières préférées, plus jeune. Mais son côté incontrolable et enrichissant l'avait attiré. Peu importe. Il quitta le campus, la tête prête à exploser, vers 13h.

Il était ensuite rentré chez lui, avait mangé rapidement, et sortit faire un tour dans la ville. Il fit le tour de la plupart des quartiers, Brooklyn, le Bronx, Queens, Staten Island, et enfin Manhattan. Il s'était un peu tordu la cheville en descendant du ferry qui l'avait ramené de Staten Island, où il était allé manger seul dans un petit restaurant français, vers 19h. Seul, car il n'avait tout simplement personne avec qui partager ses heures, pour le moment.

Par son statut de quarter-back, il était populaire, envié, et désiré. Mais le genre de filles que l'on assiociait généralement aux footballeurs - pompom girls blondes et à la matière grise relativement peu développée - ne l'intéressait pas. Il était plutôt, et ce depuis tout petit déjà, attiré par les femmes... différentes. Originales. Excentriques.

Tout ça pour dire qu'il n'avait pas de relation amoureuse pour le moment et que cela lui pesait. C'est vrai, qu'y avait-il de plus dur à supporter qu'un aprés-midi de printemps ensoleillé passé à déambuler seul dans les rues new-yorkaises sans personne à qui parler ? Certes, il y avait toujours ses quelques potes de fac. Mais ce n'était pas pareil.

A cause de son pouvoir, il n'avait jamais réellement tisser de lien fort et profond avec une personne. Sauf, bien entendu, avec ses parents, anciens médecins aujourd'hui retraités, et avec sa soeur, Laïna, jeune et belle femme partie étudier en Europe. Il était trés proche de sa soeur, et ce fut difficile de la laisser partir. Le seul point d'attache qui l'avait persuadé de ne pas partir loin de toute vie urbaine, vie qu'il n'aimait pas, était ses parents, lesquels habitaient à Manhattan. Peter et Anna l'avaient recueilli alors qu'il n'était qu'un bambin. De ce fait, il ne connait pas ses origines, et cela lui avait souvent pesé, mais il avait appris à accepter le fait de ne pas connaitre ses parents biologiques.

La bouche de métro n'était pas loin. Dans une minute, deux tout au plus, il serait arrivé devant les marches descendant dans les sous-sols new-yorkais. Il était tard, plus de 22h, et il avait cours demain. Peut-être qu'il n'irait pas, ça dépendait uniquement de son envie et de son humeur le lendemain matin. Dans les rues de Manhattan, le vent soufflait. Le soleil avait disparu depuis plus de deux heures, déjà, et le temperature avait baissé de plusieurs degrés.
Le sweat gris à capuche qu'il avait pris n'était pas suffisant, et Alexander commençait à avoir froid. Il était habillé trés simplement. Un jean bleu, bien coupé, une paire de basket adidas vertes, un t-shirt noir et ledit sweat.

Les rues étaient sombres, et les luminaires avaient pris le relais du soleil. Alors qu'il marchait, l'étudiant laissa échapper une de ces pensées.

- Vraiment pas rassurant par ici ... Brrr.

Le froid le prenait, et il tremblait par à-coups. Il était vrai que l'ambiance se dégageant des rues new-yorkaises la nuit n'était pas des plus agréables, et respiraient l'insécurité. Heureusement, la forte carrure d'Alexander avait tendance à dissuader tout malfrat. De toute façon, pour ce qu'il avait sur lui ... Son téléphone, pas vraiment récent. Les clés de sa chambre, située sur le campus. Quelques billets d'un dollar roulés au fond de sa poche. C'était tout.

La bouche de métro était là. Alexander descendit, et prit le métro C, qui l'emmenerait directement au centre de la presqu'ile. De là-bas, il n'aurait plus qu'à marcher quelques minutes pour trouver l'entrée du campus universitaire.

Le métro C était assez vide, ce soir. Les arrêts se succédaient, des personnes descendaient, d'autres montaient. Sans faire exprés, se dirigeant vers un siège, il donna un coup d'épaule à un homme. Sans y faire attention, il s'excusa, puis s'assit.

- 'Scusez moi.


Dernière édition par Alexander Cash le Sam 1 Mai - 14:31, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Edward Livingston

Edward Livingston
Humain

Nombre de messages : 261
Date d'inscription : 17/04/2010
Localisation : New York
Age du personnage : 32 ans
Pouvoirs : aucun
Profession : Détective (a son compte,peut aider la police ou Mars investigation)
Prof à l'institut Xavier
Points de rp : 231

Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI] Vide
MessageSujet: Re: Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI]   Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI] EmptyMer 21 Avr - 22:42

    « Vous recommencez ! »
    « Vous aussi ! »

    William se plaignait du fait qu’Edward était encore en train de se perdre à regarder toutes les personnes présentes dans ce wagon de métro. Edward se plaignait du fait que William trouvait encore le moyen de le critiquer. Il n’y pouvait rien, c’était comme une sorte d’obligation. Une personne passait devant lui, et sans y réfléchir il la détaillait, l’analysait, l’observait et cherchait à la comprendre. On ne devient pas un parfait observateur et un parfait logicien sans entraînement. Il devait s’entraîner encore et encore. Et le fait que William vienne lui faire une remarque avait le don de l’exaspérer. De toute façon, il passait sa vie à l’exaspérer, à se demander pourquoi il était toujours avec lui. En fait il ne valait mieux ne pas chercher de réponse à cette question, William en viendrait à des raisons sentimentales, unes grande histoire d’amitié, et il ne voulait pas avoir à se rendre compte de ce genre de chose. Il avait besoin de William, un point c’est tout. Ce dernier avait toujours été son parfait opposé et en même temps similaire. Bref, un duo qu’on ne pouvait pas briser comme cela.

    William avait réussi à traîner Edward à une pièce de théâtre. Laquelle s’était avérée tellement ennuyeuse qu’Edward n’avait pas cesser de pousser des soupirs dans tous les sens, de dire les évènements illogiques de l’histoire, et ainsi de suite. Tout ça sous le regard exaspérer de William, ce médecin qui n’avait aspiré qu’à une soirée normale et à un peu d’amusement. Mais l’amusement et Edward ne devaient pas faire bon ménage. Il n’avait cesser de se plaindre, mais William n’avait pas lâcher, il avait fait en sorte que, tous deux, restent jusqu’à la fin. Sûrement pour cette raison qu’Edward semblait si antipathique, si grognon. Quoique, en y réfléchissant bien, il était tout de temps comme cela.

    Les deux hommes étaient parfaitement habillés. William portait un costume d’une couleur grise qui lui allait à merveille, alors qu’Edward avait opté pour le costume noir sur une chemise blanche. Classique mais terriblement classe. Dans sa main droite e se tenait la canne noire qui ne le quittait très rarement. Cet objet semblait être là pour lui donner cette apparence du parfait anglais, ce qu’il était. Un peu comme si il s’était trompé d’époque. Il y avait de ça, mais pas seulement. Entre ses mains cette canne pouvait être une arme redoutable. Oui il existe un sport de combat où l’on apprend à manier une canne comme objet de défense et d’attaque. Sport qu’il pratiquait depuis son plus jeune âge, avec d’autre. Pourtant, à première vue, les deux hommes semblaient bien inoffensifs. Ils avaient la tête d’anglais, dans des corps qui ne montrait pas qu’ils faisaient du sport. En fait ils étaient normalement constitué, pas de muscles bien développer, mais pas de graisse inutile non plus.

    Ils étaient donc assis dans ce métro, à être ballonner par cette boite de ferraille sur rails. Assis à un endroit qui disposait de quatre places, deux faces à faces. Edward et William étaient assis côté à côté, le premier situé du côté du couloir. Une place qui lui permettait d’avoir un œil sur les personnes qui passaient. Ce que lui reprochait, si justement, William. D’ailleurs, Edward il avait dans son champs de vision une femme, mais n’arrivait pas à voir ses pieds. D’accord tout le monde vous dirait que ce n’est pas grave, mais pour lui, ça l’était. Il avait absolument besoin de savoir les chaussures qu’elle avait à ses pieds. Sans plus attendre il se releva, se mettant un peu dans le couloir pour, enfin, avoir accès à l’objet de ses désirs. Un talon de casser. Il se mit à sourire, il trouvait sa démarche bancale, mais elle n’émettait pas de signe facial de douleur, ce qui l’avait perturbé. Maintenant il comprenait. Il allait se rasseoir quand il reçut un coup d’épaule d’un jeune homme qui en profita pour s’asseoir là où Edward était assis quelques minutes plutôt. Une situation qui fit largement sourire William, laissant bien comprendre que ce n’était pas de chance. Il trouvait que c’était une bonne leçon, après tout il l’avait réprimandé en lui disant qu’il « recommençait », c’était donc bien fait pour lui si il venait de se faire bousculer et prendre sa place.

    Du coup le jeune homme était assis à côté de William, et Edward prit la place se situant en face du nouvel arrivant. Il porta son regard sur celui, un court instant, le temps de faire le point sur sa tenue, sa carrure et sa façon de se tenir. Un pied ne prenant pas le même appuie que l’autre. Cette petite observation ne dura pas plus de quelques secondes. Il avait également noté le fait que le jeune homme s’était excusé, mais n’avait pas répondu. Pour l’heure il avait une folle envie d’ennuyer un peu William pour cette soirée, mais surtout pour le sourire qu’il avait face à ce vol de place qu’il devait considérer comme normal. Du coup il reporta son attention sur son colocataire.


    « Alors qu’en pensez-vous ? »
    « Ne cessez vous donc jamais ? »
    « Jamais. »

    Ca avait beau faire douze ans que les deux hommes ne se quittaient plus, ils ne pouvaient s’empêcher de se vouvoyer. Sûrement les résidus d’une éducation dans l’aristocratie anglaise. William soupira face aux réponses d’Edgar sachant parfaitement que ce dernier lui demandait ce qu’il pensait du jeune homme. C’était une sorte de défi que lui faisait souvent Edward, savoir ce que William pouvait déduire de simple observation. Mais si Edward ne se souciait pas vraiment du nouvel arrivant, William avait beaucoup plus de sollicitude pour les individus. C’était une bonne chose qu’ils soient souvent ensemble, sinon Edward ne prononcerait jamais un mot à personne, sauf pour chercher des ennuis. William était beaucoup plus sociable, ce qui était grandement dans les relations avec l’extérieur. William tourna donc la tête de manière é regarder le jeune homme et l’interpeller.

    « Je m’excuse par avance de tout ce qui va se passer. Mon ami, ici présent, à un jeu complètement stupide. Mais je vous assure qu’il ne faut absolument pas le prendre pour vous. »
    « William, vous êtes vraiment un mauvais joueur. Parler avant implique forcément plus d’éléments de réponse. »

    Edward continuait d’ignorer le jeune homme et semblait vraiment vexé que William prenne ce genre d’initiative. Il faut dire qu’Edward ne se souciait pas des personnes, heureusement que William était là pour arrondir les angles, même si Edward ne l’avouerai jamais. William savait que son colocataire ne laisserai pas tomber sans qu’il puisse émettre la moindre hypothèse, il s’excusa de manière muette encore une fois et se lança.

    « Étudiant, probablement dans l’équipe de sport de son université. »
    « Probablement ? »
    « Il peut aussi être fan de la musculation. »
    « Impossible. »
    « Impossible ? »
    « La musculation implique une préférence pour une activité et le développement plus particulier de certains endroit selon les préférences. De plus la musculation exerce souvent par paire et offre le même développement. Hors ce n’est pas le cas ici, il y a un développement un peu plus important sur un côté, son bras directeur. Les jambes et les bras sont régulièrement sollicité et cette légère différence d’un bras à l’autre, aussi infime et peu visible soit-elle, amène à penser à un quater back. » Posant son regard sur le jeune homme « Ce que vous êtes, n’est-ce pas ? »
Revenir en haut Aller en bas
Alexander Cash

Alexander Cash
Mutant de niveau 1

Nombre de messages : 236
Date d'inscription : 08/04/2010
Localisation : New-York City
Clan : neutre
Age du personnage : 24 ans
Pouvoirs : Maitrise de l'air & métamorphose en gaz inodore et invisible - Niveau 1
Profession : Journaliste spécialisé en économie
Professeur d'économie et de communication à l'université
Points de rp : 90

Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI] Vide
MessageSujet: Re: Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI]   Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI] EmptyJeu 22 Avr - 18:01

L'homme qu'avait bousculé Alexander était - il s'en rendit compte aprés s'être assis - des plus étonnants et originaux. Il ressemblait à un dandy anglais, à un casanova d'une autre époque et d'un autre lieu. Il avait un ensemble noir, en dessous duquel on pouvait voir une chemise blanche qui n'était pas refermée sur le col. Drôle d'habits pour quelqu'un qui prend le métro. Non, ce qui apportait cette impression de décalage de la part de l'homme brun était la canne qu'il tenait dans la main droite.

De nos jours, qui se balade avec une canne ? Mis à part les petits vieux de la maison de retraite du coin de la rue ? Personne, vous serez d'accord.
Ce dont Alexander ne s'était pas rendu compte, c'était que l'homme à côté duquel il s'était assis, devait être un de ses collègues. Lui était habillé de la même manière, en gros, mais avait choisi un costume gris.
L'étudiant en déduisit qu'il devait avoir pris la place de l'homme en noir. Cet homme, l'air malicieux, se retourna et le regarda. Malgré les excuses d'Alexander aprés lui avoir mis un coup d'épaule dû au mouvement du métro dans les sous-sols de New-York, l'anglais ne répondit pas, ni par les mots, ni par les gestes. L'homme assis aux côtés d'Alexander prit alors la parole, ressentant le malaise entre les deux autres.

- « Je m’excuse par avance de tout ce qui va se passer. Mon ami, ici présent, à un jeu complètement stupide. Mais je vous assure qu’il ne faut absolument pas le prendre pour vous. »
- « William, vous êtes vraiment un mauvais joueur. Parler avant implique forcément plus d’éléments de réponse. »
répondit son compagnon.

Alexander ne prit pas le temps de répondre. Il ne comprenait absolument pas ce qui se passait à ce moment présent, ni ce pourquoi le gentleman s'excusait "d'avance". Il jeta alors un regard à celui des deux qui était assis, lequel répondit à ce regard par un autre, rempli d'excuses. Aprés quoi il recommença à parler.

- « Étudiant, probablement dans l’équipe de sport de son université. »
- « Probablement ? »
- « Il peut aussi être fan de la musculation. »
- « Impossible. »
- « Impossible ? »
- « La musculation implique une préférence pour une activité et le développement plus particulier de certains endroit selon les préférences. De plus la musculation exerce souvent par paire et offre le même développement. Hors ce n’est pas le cas ici, il y a un développement un peu plus important sur un côté, son bras directeur. Les jambes et les bras sont régulièrement sollicité et cette légère différence d’un bras à l’autre, aussi infime et peu visible soit-elle, amène à penser à un quater back. »
Posant son regard sur le jeune homme « Ce que vous êtes, n’est-ce pas ? »

Une nouvelle fois, Alexander était interloqué. Il avait ouvert la bouche sans qu'aucun bruit n'en sortit. Il ne s'attendait pas du tout à ça. De plus, il était tard. Autant d'élément l'excusant de prendre chacun des paroles de cet homme par son côté négatif.

- Etudiant, oui. Sportif, oui. A l'université, logique. De la musculation, certainement pas. Excellentes déductions. Vous êtes futés, ça c'est sûr. Mais peut-être vous sur-estimez vous un petit peu. Ou peut-être meprisez vous autrui. Je n'en sais rien, l'un ou l'autre. Mais je peux moi aussi le faire, vous savez. Mes capacités d'observation ne sont pas aussi bonnes que les votres, j'en doute pas. M'enfin... A votre langage parfait et votre vocabulaire sans reproche, vous sortez d'une bonne famille. Des études brillantes, et un poste qui doit faire partie de ce que l'on appelle "professions intellectuelles supérieures" en économie et en sociologie. Un professeur à l'université, peut-être, bien que je ne vous ai jamais vu sur le campus. Ou sénateur, avec plus de chance ? Non, pas sénateur, vous auriez été plus diplomate. Bref, quelque chose dans c'genre. Dernière chose, vous n'êtes surement pas américain. Tout américain sait que le poste que je joue, au football, et que vous avez justement deviné, est quarter-back. Et pas quater back. M'enfin, on ne peut pas tout connaitre. Votre soirée a t-elle été aussi ennuyeuse que ça ? Pour avoir une réaction aussi vive, surtout dans un métro... Ca devait vraiment pas être simpa !

Alexander n'était pas peu fier de sa réponse. Il avait eut un débit de parole assez impressionant, enchainant les phrases avec peu ou pas de pause entre chacune. Et il esperait que ses pronostics étaient exacts. Sans quoi, il aurait surement l'air d'un imbécile. M'enfin, ce qui compte, c'est d'essayer...

- J'éspere ne pas avoir stoppé votre enquête sur moi, rajouta t-il, un sourire aux lèvres.
Revenir en haut Aller en bas
Edward Livingston

Edward Livingston
Humain

Nombre de messages : 261
Date d'inscription : 17/04/2010
Localisation : New York
Age du personnage : 32 ans
Pouvoirs : aucun
Profession : Détective (a son compte,peut aider la police ou Mars investigation)
Prof à l'institut Xavier
Points de rp : 231

Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI] Vide
MessageSujet: Re: Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI]   Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI] EmptyJeu 22 Avr - 20:00

    Ce cher Edward avait l’habitude que ses propos soient mal prit, il en faisait même une sorte de sport national. Il ne comptait plus les fois ou tout cela s’était fini à coup de poings, William avait toujours une tendance à arrondir les angles, mais ce n’était pas toujours suffisant. Il lui arrivait aussi de ne pas le vouloir. Après tout, les deux hommes s’accordaient parfaitement et ce n’était pas pour rien. Edward appréciait donc, même si il ne l’affichait pas clairement, le fait que le jeune homme soit là, à se tenir, la bouche ouverte en cherchant un instant à répondre quelque chose. Il gardait donc son regard sur ce sportif, alors que William regardait par la fenêtre. Le paysage se résumait à un tunnel sous terre, mais peu lui importait pour le moment. Bien qu’il fut forcé de ramener son regard sur le jeune homme quand celui-ci reprit la parole.

    - Etudiant, oui. Sportif, oui. A l'université, logique. De la musculation, certainement pas. Excellentes déductions. Vous êtes futés, ça c'est sûr. Mais peut-être vous surestimez vous un petit peu. Ou peut-être méprisez vous autrui. Je n'en sais rien, l'un ou l'autre. Mais je peux moi aussi le faire, vous savez. Mes capacités d'observation ne sont pas aussi bonnes que les vôtres, j'en doute pas. M'enfin... A votre langage parfait et votre vocabulaire sans reproche, vous sortez d'une bonne famille. Des études brillantes, et un poste qui doit faire partie de ce que l'on appelle "professions intellectuelles supérieures" en économie et en sociologie. Un professeur à l'université, peut-être, bien que je ne vous ai jamais vu sur le campus. Ou sénateur, avec plus de chance ? Non, pas sénateur, vous auriez été plus diplomate. Bref, quelque chose dans c'genre. Dernière chose, vous n'êtes surement pas américain. Tout américain sait que le poste que je joue, au football, et que vous avez justement deviné, est quarter-back. Et pas quater back. M'enfin, on ne peut pas tout connaitre. Votre soirée a t-elle été aussi ennuyeuse que ça ? Pour avoir une réaction aussi vive, surtout dans un métro... Ca devait vraiment pas être sympa !

    Les deux anglais restèrent silencieux pendant le discours de ce jeune étudiant, mais il y avait fort à parier que leurs pensées respectives allaient dans le même sens. Est-ce qu’Edward était quelqu’un qui se surestimait ? La réponse était non, il ne pouvait pas se le permettre. Il avait un égo énorme, c’était une certitude, mais il ne se surestimait jamais, au même titre qu’il ne se sous-estimait pas. Si il était très bon observateur et très logicien dans l’âme, il l’était également avec lui-même. Il s’estimait parfaitement bien, savait de quoi il était capable et où il pêchait. Est-ce qu’il méprisait les gens ? Sans doute. Edward n’avait jamais supporter les gens qui étaient trop long à réagir ou à comprendre. C’était le lot de nombreux scientifique, en même temps. Mais étant donné que l’étudiant ne savait pas quelle déduction choisir, son raisonnement tombait à l’eau. Avant de balancer des infos, il fallait être sur de soi, et ne jamais proposer plusieurs hypothèse, ça donne vraiment l’impression qu’on cherche juste à imiter la personne qui vous fait face. Impression que, très logiquement, Edward avait.

    Vint finalement l’erreur sur le post qu’il occupait. Ce qui n’était pas une erreur en soit vu qu’il avait raison, sa prononciation avait simplement fait défaut. Pour la déduction du fait que les deux hommes n’étaient pas américain, tout le monde serait capable de le dire et, beaucoup, n’aurait pas hésiter à parler de l’Angleterre ce qui était plus qu’évident. Son hésitation prouvait qu’il avait, dans son caractère, une part de timidité. Ce qui fut certains c’est que les deux hommes affichèrent une mine interrogative quand le jeune homme leur demanda si leur soirée avait été aussi ennuyeuse que cela pour qu’Edward puisse réagir de cette manière. Aucun des deux ne comprenaient comment on en venait à ce genre de déduction. Edward lança même un regard interrogateur à son colocataire, et se dernier haussa les épaules pour dire qu’il ne comprenait pas plus que lui.

    Une chose était certaine, le jeune homme semblait être ravie de sa tirade, ce qui ne manqua pas de surprendre les deux anglais. Edward, parce qu’il ne comprenait pas qu’on puisse être fier d’une répartie aussi hasardeuse, surtout pour un homme comme lui ou tout devait découler d’une logique implacable et non pas de déduction vous passant par l’esprit sur le moment. William, parce qu’il avait vu faire Edward des centaines et des centaines de fois et qu’il ne trouvait aucune fierté à avoir dans un raisonnement aussi bancale. Certes à balancer un tas de choses, on tombe sur des choses vraies, mais elle découlent plus d’un hasard qu’à une véritable observation.


    - J'espère ne pas avoir stoppé votre enquête sur moi.

    Le sourire qu’il avait, eu le don de faire sourire Edward. William, en voyant le sourire de son colocataire secoua légèrement la tête en signe de dénégation. Ce sourire n’apportait jamais rien de bon, il comprenait facilement qu’Edward n’allait pas simplement rester là à rien dire, en faisant croire que tout ce qui avait pu être dit pouvait amener une certaine fierté.

    « En aucun cas, bien au contraire, on en apprend toujours plus dans ce genre de moment. »
    « Edward, je ne pense pas que tout cela soit utile. »
    « Au contraire, William » Il avait poser son regard sur le médecin, pour finalement le ramener au jeune homme. « Vos observations découlent de plusieurs hypothèse sans que vous ne puissiez vous arrêter sur une, ce qui montre que vous n’êtes pas certain de ce que vous avancer. D’une cela prouve une certaine fierté et une arrogance, mais le fait que vous parliez du fait que je ne soit pas américain sans citer le fait que je dois être anglais, ce qui ne fait aucun doute pour le commun des mortels, montre une certaine timidité et une réserve. Hors ces deux points n’étant que peu compatible cela entraine la déduction suivante : votre post de quaRter-back vous apporte une certaine notoriété qui parfois peut vous monter à la tête et on se retrouve avec des bouts de personnalité peu compatibles. »

    Il aurait même pu aller plus loin en disant que deux chose si contradictoire tenait aussi dans le fait qu’il y avait une sorte d’avant lui, et d’après lui. Mais Edward ne disposait pas assez d’éléments pour pouvoir le sortir, il ne donnait jamais d’information sans en être complètement certain. Mais, par contre, il gardait toute sorte de chose dans un coin de sa tête laissant les information s’empiler jusqu’à sortir une déduction découlant d’une logique sans faille. Des années et des années d’expérience, ça ne s’invente pas du jour au lendemain.

    « Et pour ce qui est de notre soirée, ennuyeuse n’est pas le terme. Sans intérêt serait déjà beaucoup plus judicieux. »
    « Elle était très bien, vous n’avez juste aucun goût en matière de théâtre… »
    « William, vous m’étonnerez toujours pour vos goûts si particuliers. Enfin pour en revenir à ce qui nous intéresse, si vous cherchez à étonner ou faire part de vos observation en annonçant que vous êtes doué, prenez au moins le temps de bien réfléchir et de ne pas balancer plusieurs idées pour espérez tomber sur quelque chose de juste, cela sera forcément le cas mais cassera toute crédibilité. »
Revenir en haut Aller en bas
Alexander Cash

Alexander Cash
Mutant de niveau 1

Nombre de messages : 236
Date d'inscription : 08/04/2010
Localisation : New-York City
Clan : neutre
Age du personnage : 24 ans
Pouvoirs : Maitrise de l'air & métamorphose en gaz inodore et invisible - Niveau 1
Profession : Journaliste spécialisé en économie
Professeur d'économie et de communication à l'université
Points de rp : 90

Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI] Vide
MessageSujet: Re: Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI]   Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI] EmptyJeu 22 Avr - 23:18

A la fin de la petite tirade d'Alexander, les deux hommes ne parlèrent pas directement. S'echangeant des regards, comme s'ils n'avaient pas tout compris. L'ambiance qui reignait dans le métro à cette heure fraiche était étrange. Entre le glauque du métro lui-même, la tension entre l'étudiant et le beau parleur, et l'attente d'une nouvelle réplique singlante... Alexander se sentait mal. Ce malaise allait s'amplifier avec ce qui allait suivre.

- « En aucun cas, bien au contraire, on en apprend toujours plus dans ce genre de moment. »
- « Edward, je ne pense pas que tout cela soit utile. »
- « Au contraire, William »
Il avait poser son regard sur le médecin, pour finalement le ramener au jeune homme. « Vos observations découlent de plusieurs hypothèse sans que vous ne puissiez vous arrêter sur une, ce qui montre que vous n’êtes pas certain de ce que vous avancer. D’une cela prouve une certaine fierté et une arrogance, mais le fait que vous parliez du fait que je ne soit pas américain sans citer le fait que je dois être anglais, ce qui ne fait aucun doute pour le commun des mortels, montre une certaine timidité et une réserve. Hors ces deux points n’étant que peu compatible cela entraine la déduction suivante : votre post de quaRter-back vous apporte une certaine notoriété qui parfois peut vous monter à la tête et on se retrouve avec des bouts de personnalité peu compatibles. »

Sur quoi l'anglais marqua une pause, ce qui laissa le temps au jeune étudiant de se rendre compte de la plus grosse erreur commise aujourd'hui: avoir fait preuve de répartie. Il aurait pu et aurait dû ignoré l'attaque de cet homme. Il paraissait las, de sa vie, peut-être. C'est en tout cas l'impression qu'avait Alexander, mais, cette fois, il se garda bien de dire quoi que ce soit. Ce fut les deux homme qui continuèrent, des bavards comme on en croise peu, habituellement, dans le métro à une heure pareille.

- « Et pour ce qui est de notre soirée, ennuyeuse n’est pas le terme. Sans intérêt serait déjà beaucoup plus judicieux. »
- « Elle était très bien, vous n’avez juste aucun goût en matière de théâtre… »
- « William, vous m’étonnerez toujours pour vos goûts si particuliers. Enfin pour en revenir à ce qui nous intéresse, si vous cherchez à étonner ou faire part de vos observation en annonçant que vous êtes doué, prenez au moins le temps de bien réfléchir et de ne pas balancer plusieurs idées pour espérez tomber sur quelque chose de juste, cela sera forcément le cas mais cassera toute crédibilité. »

- Loin de moi la prétention de me dire doué dans quelque domaine que ce soit, à part peut-être le football. Je sais pas si j'dois plutôt prendre vos paroles pour des conseils ou pour des reproches. Alors je ne les prendrai ni comme l'un, ni comme l'autre. A vrai dire, peu m'importe de passer pour quelqu'un de crédible ou non. Ce que je sais bien faire, j'vous l'ai déjà dit, c'est jouer au football. Et pour ça, 'y a besoin d'aucun mot. Je joue, et c'est tout. Bref. Vous attendez quoi de mot, au final ? Vous avez dressé mon profil, presqu'exactement. Désolé si le presque vous froisse. Je n'entrerai pas dans les détails, il est tard, et mon plaisir de parler n'est pas aussi important que le votre.

Il estima qu'il avait, justement, assez parlé. Il s'arrêta donc là, et regarda les deux hommes, attendant toute réplique cinglante et acerbe. Deux étranges personnages. William et Edward, s'il avait bien entendu. Il ne les connaissait que depuis quelques minutes et avait déjà une centaine de pensées majoritairement négatives à propos du second. Le premier était discret et semblait mesuré. Un bien étrange couple. La partie sombre et la partie lumineuse, en quelques sortes.

Une question demeurait dans la tête de l'étudiant: pourquoi faisait-il ça ? Pour le plaisir de blesser les gens - lorsqu'il y arrivait - ou, plutôt, pour la simple envie de savoir tout sur tout ? C'était peut-être autre chose, il y avait tellement de réponses possibles... Il était possible qu'au final, cet homme ne cherchait que le conflit, avec une envie de se battre plus forte qu'un autre. Malheureusement - ou heureusement, tout dépend du point de vue - il ne réussirait pas à créer la rixe avec Alexander. Oui, il était timide, oui il était fier. Arrogant, il en doutait un peu plus. Mais en revanche, il était sûr de ne pas être belliqueux. Ses parents adoptifs avaient réussi à lui apporter certaines valeurs. Se battre sans raison, cela n'en faisait pas partie. Se battre pour une mauvaise raison, non plus.
Il ne put s'empecher de poser une question, simple et directe.

- Qu'en tirez-vous ?
Revenir en haut Aller en bas
Edward Livingston

Edward Livingston
Humain

Nombre de messages : 261
Date d'inscription : 17/04/2010
Localisation : New York
Age du personnage : 32 ans
Pouvoirs : aucun
Profession : Détective (a son compte,peut aider la police ou Mars investigation)
Prof à l'institut Xavier
Points de rp : 231

Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI] Vide
MessageSujet: Re: Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI]   Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI] EmptyVen 23 Avr - 17:23

    - Loin de moi la prétention de me dire doué dans quelque domaine que ce soit, à part peut-être le football. Je sais pas si j'dois plutôt prendre vos paroles pour des conseils ou pour des reproches. Alors je ne les prendrai ni comme l'un, ni comme l'autre. A vrai dire, peu m'importe de passer pour quelqu'un de crédible ou non. Ce que je sais bien faire, j'vous l'ai déjà dit, c'est jouer au football. Et pour ça, 'y a besoin d'aucun mot. Je joue, et c'est tout. Bref. Vous attendez quoi de mot, au final ? Vous avez dressé mon profil, presqu'exactement. Désolé si le presque vous froisse. Je n'entrerai pas dans les détails, il est tard, et mon plaisir de parler n'est pas aussi important que le votre.

    Eward eu un léger plissement au niveau du nez quand le mot "presque" tomba, mais ça s'arrêtait là. Il n'avait pas assez d'élément pour faire un portrait tout à fait détaillé de cette personne, donc il pouvait être logique d'employé le mot "presque". N'empêche qu'il n'aimait pas ce mot. Cette personne était tout à fait étrange tout de même. Le jeune homme osait rétorquer, en faisant des suppositions un peu au hasard, ou sans mesurer toutes les possibilités qui s'offraient à ses observations. Mais à côté de cela, il ne semblait être certain de rien. "Peut être" qu'il était doué au football. C'était bien le genre de chose qu'Edward n'aimait pas chez les gens. Son rôle de quarter back, voulait bien dire qu'il se débrouillait bien dans son domaine, alors pourquoi employer le "peut être" ? il était quand même fou de voir que les gens n'avait pas assez de confiance pour savoir ce qu'ils valent. Ce n'était pas se surestimer que dire qu'on est doué dans un domaine, mais porter un regard sur soit qui soit vrai. Le contraire démontre un manque de confiance, alors qu'à côté de ça il osait faire des déductions qui n'étaient absolument pas son domaine.

    - Qu'en tirez-vous ?

    Ce genre de phrase ne serait-elle pas à cataloguer dans la rubrique "tendre le bâton pour se faire battre" ? Edward avait une tendance à voir cette question comme une sorte de défi. Il y avait un tas de choses qui pouvaient être dites. Edward avait moyen de rebondir sur le fait que le jeune homme n'était pas accompagné, hors son statut à l'université devait lui mettre pas mal de filles entre les mains. L'université avait un mode de fonctionnement bien à lui, il était important pour de nombreuses personnes de sortir avec LE joueur de football ou LA pompom girl - quand les deux, n'étaient pas ensemble -, du coup se retrouver le soir dans le métro, à cette heure-ci, et seul, pouvait laisser planer quelques questions à son sujet. D'ailleurs Edward commença à ouvrir la bouche pour dire quelque chose, mais Edward se mit à toussoté en secouant doucement la tête de manière négative. En voyant cette interdiction que lui suggérait son ami, Edward prit une mine offensé et soupira, gardant ses réflexions pour lui, comme lui demandait William qui était toujours d'un avis plus judicieux à ce sujet.

    "Qu'il serait, peut être, bien de mettre une compresse de froid sur votre cheville en rentrant. Ca serait dommage de ne plus pouvoir jouer pour une chose si anodine."

    Il faisait référence à la cheville qu'il avait du se tordre à un moment où à un autre dans la journée, comme le démontrait le fait qu'il prenait plus d'appuie sur un pied que sur l'autre, dans sa façon de se positionner. Cela dit ça n'avait pas l'air si grave que cela, étant donné le manque de cri de douleur à chacun de ses mouvements. Du coup, il haussa les épaules.

    "Mais vous en faites ce que bon vous semble, ce n'est pas moi le médecin."

    Sous entendu que c'était William qui l'était. Ce dernier aurait bien rétorquer le fait qu'encore heureux qu'il laisse le métier des gens à qui il revient. Il ne s'improvisait pas détective, il était normal qu'Edward ne s'improvise pas médecin. Cela serait le monde à l'envers. Mais il préféra taire sa remarque étant donné que pour une -rare- fois, Edward avait décidé de mettre un peu d'eau dans son vin. Et c'est dans cette optique qu'Edward commença à réprendre, se décidant à réagir sur les théorie qu'avait faite le jeune homme. Sûrement le côté prof qui ressortait, pour ne pas avoir qu'à "descendre" une personne.

    "Pour revenir sur vos déductions. Je suis effectivement professeur. J'enseigne les matières scientifiques, et si vous ne m'avez jamais vu sur le campus, c'est parce que j'exerce dans une école pour surdoués. Bien que cela ne soit pas ma principale activité. Et pour le fait d'être sénateur, il va de soit que si j'avais se statut je ne prendrais pas le métro. Et pour finir je ne vous veut absolument rien en particulier. Comme mon ami vous en a informer un peu plus tôt, j'ain une tendance aux jeux stupides." Il tendit sa main en direction du Jeune homme "Edward Livingston."

    Si il s'était présenter en répondant à ce qu'avait fit cet étudiant, Edward n'avait absolument pas employé un ton supérieur, ne cherchant pas à se faire mousser par sa place dans une école pour surdoué. Surtout que les gamins de là bas n'étaient pas des surdoué, mais des mutants. Cependant, il ne se voyait pas dire ce genre de chose au premier venu. Le but n'était donc pas de faire étalage de ce qu'il était capable de faire, mais de donner les vrais informations aux déductions hasardeuses de l'étudiant.
Revenir en haut Aller en bas
Alexander Cash

Alexander Cash
Mutant de niveau 1

Nombre de messages : 236
Date d'inscription : 08/04/2010
Localisation : New-York City
Clan : neutre
Age du personnage : 24 ans
Pouvoirs : Maitrise de l'air & métamorphose en gaz inodore et invisible - Niveau 1
Profession : Journaliste spécialisé en économie
Professeur d'économie et de communication à l'université
Points de rp : 90

Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI] Vide
MessageSujet: Re: Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI]   Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI] EmptySam 24 Avr - 11:59

La dernière question posée par Alexander était la suivante: Qu'en tirez-vous ? Il était possible de la comprendre dans une multitude de sens, bien différents les uns des autres. Mais l'étudiant savait ce qu'il voulait dire, ce qu'il voulait demander. Et il aurait dû reformuler sa question avant même de la prononcer. Ca aurait donné quelque chose du genre "Qu'est-ce que ça vous apporte, ses déductions ?" plutôt que - ce que l'étranger avait apparemment compris - "Qu'avez-vous d'autres à déduire avec les éléments que je viens de vous apporter ?". Les deux questions étaient donc bien distinctes. C'est à cela qu'Alexander pensait et, visiblement, l'homme face à lui faisait de même.

Celui habillé en noir voulut répondre, mais son acolyte en gris toussota pour le faire taire en secouant légèrement la tête de droite à gauche. La réaction de celui qui s'appelait Edward - d'aprés ce qu'il avait compris - fut inatendue, puisqu'il obéit. Il ferma la bouche, lacha un léger soupir montrant sa lassitude, ou, en tout cas, sa peine en ce qui concernait les réflexions qu'il devait surement déjà avoir préparé. Quelques secondes plus tard, il se mit à parler d'une toute autre manière que celle qu'avait connu jusqu'à maintenant le futur diplomé.

- "Qu'il serait, peut être, bien de mettre une compresse de froid sur votre cheville en rentrant. Ca serait dommage de ne plus pouvoir jouer pour une chose si anodine." Il marqua une courte pause, puis reprit. "Mais vous en faites ce que bon vous semble, ce n'est pas moi le médecin."

Avant de répondre, Alexander suivit le regard de cet homme qui donnait de si bons conseils, lequel se dirigeait vers celui qui était, de loin, moins bavard. Ce-dernier n'avait pas d'expression particulière. Peut-être un semblant de désapprobation. D'aprés ce qu'avait dit le premier, il était médecin. Peut-être que le conseil qui venait d'être donné n'était pas bon, d'un point de vue strictement médical, mais cette possibilité, l'étudiant n'y croyait pas. Il n'y avait rien à contre-indiquer en ce qui concernait mettre du froid sur une foulure. Le regard voulait donc dire autre chose, mais Alexander ne savait pas quoi. Il décida de répondre sans prendre en compte ses questions.

- Vous avez tout à fait raison, il en faut si peu pour finir la saison précocément... Je verrai ce que je peux faire pour ma cheville dés que je serai rentré.

Presqu'immédiatement, l'homme reprit la parole à nouveau, d'un ton plus mesuré, cette fois.

- "Pour revenir sur vos déductions. Je suis effectivement professeur. J'enseigne les matières scientifiques, et si vous ne m'avez jamais vu sur le campus, c'est parce que j'exerce dans une école pour surdoués. Bien que cela ne soit pas ma principale activité. Et pour le fait d'être sénateur, il va de soit que si j'avais se statut je ne prendrais pas le métro. Et pour finir je ne vous veut absolument rien en particulier. Comme mon ami vous en a informer un peu plus tôt, j'ai une tendance aux jeux stupides." Il tendit sa main en direction du Jeune homme "Edward Livingston."
- Une école pour surdoués ? Ca doit être simpa, comme boulot. Vous enseignez une matière en particulier ?
répondit-il tout en serrant la main de cet homme. Une interessante rencontre, Monsieur Linvingston. Je m'appelle Alexander Cash. Etudiant en 5ème d'économie. Tout ça n'était qu'un jeu, alors ? Et bien, heureux de savoir que je n'ai rien fait pour mériter ça.


Alexander tourna son regard vers l'homme qui était assis à côté de lui.

- Et vous, vous êtes médecin, si j'ai bien compris. Enchanté de vous connaitre, Monsieur ..?

Attendant la réponse, il regarda le nom du prochain arrêt. Le sien n'allait pas tarder à s'afficher, et il devrait alors prendre congé d'Edward Linvingston et de son ami médecin.
Revenir en haut Aller en bas
Edward Livingston

Edward Livingston
Humain

Nombre de messages : 261
Date d'inscription : 17/04/2010
Localisation : New York
Age du personnage : 32 ans
Pouvoirs : aucun
Profession : Détective (a son compte,peut aider la police ou Mars investigation)
Prof à l'institut Xavier
Points de rp : 231

Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI] Vide
MessageSujet: Re: Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI]   Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI] EmptySam 24 Avr - 15:52

    - Vous avez tout à fait raison, il en faut si peu pour finir la saison précocément... Je verrai ce que je peux faire pour ma cheville dés que je serai rentré.

    D'un point de vue tout à fait rationnel, qu'il fasse quelque chose ou non pour sa cheville n'avait que peu d'importance au regard de Livingston. Il avait du dire quelque chose de moins agresif sous peine de se faire prendre un savon par son colocataire. Ce dernier apprécia l'effort, et se contenta d'hocher positivement la tête pour dire qu'il était, effectivement, bon de tenter de faire quelque chose. Bien qu'à le voir tout cela ne paraissait pas bien important. Cela dit, sur un point de vue strictement médical, il était préférable de prévoir plutôt que de guerir, surtout quand le jeune homme en question est un sportif. Il pourrai ne rien faire, ne pas avoir mal, et un mauvais mouvement lors d'un entrainement ne ferait qu'augmenter cette petite faiblesse. Mais il était grand et il convenait de le laisser faire ses propres choix, n'est ce pas ? En tout cas c'était le point de vue de ce cher William.

    - Une école pour surdoués ? Ca doit être simpa, comme boulot. Vous enseignez une matière en particulier ? répondit-il tout en serrant la main de cet homme. Une interessante rencontre, Monsieur Linvingston. Je m'appelle Alexander Cash. Etudiant en 5ème d'économie. Tout ça n'était qu'un jeu, alors ? Et bien, heureux de savoir que je n'ai rien fait pour mériter ça.
    "Sympa n'aurait pas été le terme que j'aurais employé. Intéressant, éventuellement."

    Enseigner à une bande de gamin qui, la plus part du temps, ne comprenait rien n'était, assurément, pas sympa du tout. Edward avait une aversion pour ce qu'il considérait comme des "esprits lents". Il aimait la réactivité, et la compréhension rapide sous toutes ses formes. Mais il va de soit que, dans une école, vous avez à faire à des personnes qui ne sont pas fait pour les sciences. Ce qui lui posait un sérieux problème, surtout pour ce personnage dont la patience faisait grandement défaut. cela dit, il ne pouvait pas nier le côté intéressant de tout cela, et cette envie de partager un certain savoir. Et, ne comptant pas le fait qu'il trouvait la mutation tout à fait fascinante. Une évolution scientifique qui laissait ses neurones sur une parfaite extase. Il serra donc la main de cet étudiant et entreprit de finir de répondre à ses questions.

    "Aucune matière en particulier, c'est selon les besoins et mes compétences, mais tout ce qui touche au domaine de la science. Et, en réalité, je ne dirais pas que vous n'avez rien fait pour mériter cela, parce que..."
    "Edward !"
    "William, vous êtes un véritable rabat joie."
    - Et vous, vous êtes médecin, si j'ai bien compris. Enchanté de vous connaitre, Monsieur ..?
    "Brown. William Brown. Et oui, effectivement, je suis bien médecin." Posant son regard sur Edward "Bien que des fois je me demande si mon occupation première n'est pas de materner une certaine personne."

    William reporta bien vite son attention sur l'étudiant, pendant qu'Edward affichait une petite moue boudeuse, comme un enfant que l'on vient de réprimander. ce qui était le cas, d'une certaine manière. Le pire c'est qu'il savait que William avait raison, bien pour cette raison qu'il n'insistait pas. Tout avait tellement une tendance à dégénérer quand il n'était pas rappeler à l'ordre par son colocataire. Ce dernier était d'ailleurs bien plus doué dans tout ce qui touchait à la diplomatie, c'est sûrement pour cette raison qu'il avait reporter son attention sur Alexander pour reprendre rapidement.

    "L'économie est un sujet tout à fait intéressant. Vos études se passe bien ?"
    "La vraie question serait plutôt de savoir si son université lui convient !"
    "Edw..."
    "... Non mais c'est vrai. Un quarter back qui devrait avoir plein de filles lui tournant autour, mais qui se retrouve seul dans le métro à une heure pareille, c'est qu'il y a probablement quelque chose qui ne lui convient pas" Il s'était adresser à William, mais reporta son attention sur l'étudiant. "Cela n'est en rien une critique, je peux vous l'assurer. Ca démontre plus un caractère qui n'a pas envie de se fondre dans les moeurs imposer par des lois stupides d'étudiants qui veux que le quarter back de l'équipe soit tout le temps accompagné de la plus "Cool" des filles. Ce qui n'est souvent, que superficiel."

    Edward avait prononcé le mot "cool" dans un ton presque de mérpis. Le langage actuel était, pour lui, quelque chose de profondément disgracieux et dire qu'il devait le supporter à longueur de journée.
Revenir en haut Aller en bas
Alexander Cash

Alexander Cash
Mutant de niveau 1

Nombre de messages : 236
Date d'inscription : 08/04/2010
Localisation : New-York City
Clan : neutre
Age du personnage : 24 ans
Pouvoirs : Maitrise de l'air & métamorphose en gaz inodore et invisible - Niveau 1
Profession : Journaliste spécialisé en économie
Professeur d'économie et de communication à l'université
Points de rp : 90

Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI] Vide
MessageSujet: Re: Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI]   Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI] EmptyDim 25 Avr - 11:22

En attendant la réponse du professeur Linvingston, Alexander regarda sa cheville. Elle était légèrement gonflée, moins que s'il avait une entorse mais plus qu'un simple coup, et il esperait que la douleur, laquelle reveillait au moindre mouvement du pied, disparaitrait d'ici la fin de la semaine prochaine. Il avait déjà eu à faire à bon nombre d'entorses sur cette même cheville et elle s'était, au fil du temps, affaiblie. C'était un cercle vicieux, en réalité, puisque plus il se tordait la cheville, moins elle était résistante, et moins elle était résistante, plus il se tordait la cheville facilement... Bref, tout ça pour dire que ce n'était ni sa première ni sa dernière. Coupant les pensées du jeunehomme, "Edward" répondit.

- "Sympa n'aurait pas été le terme que j'aurais employé. Intéressant, éventuellement." Il s'arrêta un instant, comme s'il était en train de penser, puis reprit le fil de sa réponse. "Aucune matière en particulier, c'est selon les besoins et mes compétences, mais tout ce qui touche au domaine de la science. Et, en réalité, je ne dirais pas que vous n'avez rien fait pour mériter cela, parce que..."
- "Edward !"
- "William, vous êtes un véritable rabat joie."


Sur ce, l'étudiant enchaina sur une question à propos de ce "William", esperant savoir son identité. Lequel lui répondit directement, tout en ignorant son compagnon qui manifestait sa tristesse de ne pas pouvoir dire ce qui lui passait réellement par la tête.

-"Brown. William Brown. Et oui, effectivement, je suis bien médecin." Posant son regard sur Edward "Bien que des fois je me demande si mon occupation première n'est pas de materner une certaine personne."
- Eh bien enchanté de vous connaitre, Monsieur Brown, et de savoir que vous ne lui permettez pas de faire subir cela à toutes les personnes se trouvant sur son passage. Quand à ce que je mérite, si c'est pour le petit coup d'épaule de tout à l'heure, je m'excuse encore. Ce n'était dû qu'aux mouvements du métro, et ça, j'y peux pas grand chose... Aprés, je vous ai peut-être pris votre place... Et ça, bah je m'en excuse aussi, j'avais pas fait attention du tout. Si vous la voulez, je vous en prie, répondit Alexander aux deux hommes, tout en se levant.

Un léger sourire apparut sur le visage du quarter-back lorsque le médecin prononça sa deuxième phrase en constatant la mimique du professeur. Alexander s'écarta du siège et tendit sa main vers la place assise, invitant l'autre homme debout à s'asseoir à cette place qui lui était apparemment réservée. Sentant alors le tour de prendre la parole, ce fut donc William Brown qui reprit la discussion, d'un ton qui montrait son intérêt.

- "L'économie est un sujet tout à fait intéressant. Vos études se passe bien ?"
- Oui, oui. J'aurai mon diplome à la fin de l'année, si tout se passe comme prévu. Malgré le fait d'être en 5ème année, j'en suis toujours à me demander si c'est vraiment intéressant ou complètement ennuyeux. M'enfin, de toute façon, qu'est-ce que ça peut...
- "La vraie question serait plutôt de savoir si son université lui convient !"
- "Edw..."
- "... Non mais c'est vrai. Un quarter back qui devrait avoir plein de filles lui tournant autour, mais qui se retrouve seul dans le métro à une heure pareille, c'est qu'il y a probablement quelque chose qui ne lui convient pas"
Il s'était adresser à William, mais reporta son attention sur l'étudiant. "Cela n'est en rien une critique, je peux vous l'assurer. Ca démontre plus un caractère qui n'a pas envie de se fondre dans les moeurs imposer par des lois stupides d'étudiants qui veux que le quarter back de l'équipe soit tout le temps accompagné de la plus "Cool" des filles. Ce qui n'est souvent, que superficiel."

Alexander ne s'attendait pas le moins du monde à être coupé, la surprise le laissa coi quelques instants. Une fois celle-ci passée, ce fut un sourire qui s'étendit sur son visage. Un léger sourire, qui ne dévoilait pas toutes ses dents, qui ne touchait pas ses oreilles, mais qui montrait qu'il avait relevé la manière qu'avait cet homme à utiliser un langage d'aujourd'hui. Vint aprés le sourire la réflexion. Il réflechissait à sa réplique. Lorsqu'il l'avait bien en tête, il entreprit de répondre.

- Vous m'aviez dit vous-même quelques minutes plus tôt qu'il ne fallait pas juger en émettant des hypothèses, ce que vous venez de faire, il me semble. Il y a des dizaines d'autres hypothèses possibles. Qui vous dit que je n'étais pas, justement, chez ma petite amie, avant de prendre ce métro ? Ou que je n'étais pas chez mes parents ? Ou je ne sais pas quoi d'autre ?

Il laissa s'écouler une bonne dizaine de secondes avant de reprendre afin d'affirmer, malgré tout, l'hypothèse émise par cet homme. Il avait vu juste, encore une fois, bien que celle-ci relevait plutôt du hasard.

- M'enfin, vous avez raison, sur le fond. Pour mon caractère, je vous laisse en juger, et je ne me justifierai pas. Pour ces normes - c'est plutôt ça, ici - étudiantes, c'est vrai, je les trouve un peu débiles. Mais ce n'est pas ça qui ne me fait pas sortir avec une pompom girl ou avec n'importe quelle autre fille populaire de l'université. En plus de les trouver superficielles, comme vous l'avez si bien dit, je les trouve inintéressante et peu originales. J'aime l'excentricité, j'aime ce qui est différent.

Laissant le temps à l'un ou l'autre de répondre à son tour, il ajouta ensuite:

- Eh ben, j'aurais jamais pensé avoir une pareille discussion à cette heure-ci, surtout avec de pareils inconnus. C'est étrange, vous trouvez pas ?
Revenir en haut Aller en bas
Edward Livingston

Edward Livingston
Humain

Nombre de messages : 261
Date d'inscription : 17/04/2010
Localisation : New York
Age du personnage : 32 ans
Pouvoirs : aucun
Profession : Détective (a son compte,peut aider la police ou Mars investigation)
Prof à l'institut Xavier
Points de rp : 231

Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI] Vide
MessageSujet: Re: Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI]   Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI] EmptyDim 25 Avr - 18:31

    - Eh bien enchanté de vous connaître, Monsieur Brown, et de savoir que vous ne lui permettez pas de faire subir cela à toutes les personnes se trouvant sur son passage. Quand à ce que je mérite, si c'est pour le petit coup d'épaule de tout à l'heure, je m'excuse encore. Ce n'était dû qu'aux mouvements du métro, et ça, j'y peux pas grand chose... Après, je vous ai peut-être pris votre place... Et ça, bah je m'en excuse aussi, j'avais pas fait attention du tout. Si vous la voulez, je vous en prie.
    « Je pense que vous pouvez garder votre place. » Lança William sur un ton, emprunt d’un sourire rassurant.
    « Assurément ! » Confirma Linvingston sur un ton plus bourru.

    En réalité il ne s’agissait pas de bousculade, ou de place volée. Tout était une question de comportement, de choses que pouvait dégager une personne. Edward ne s’amusait pas à analyser une personne par pur hasard, il prenait les personnes qui avaient quelque chose de différent et qui relèverait d’une sorte de mini défi. Mais, finalement, il était bien plus intéressant de ne pas dévoiler cela.


    - Oui, oui. J'aurai mon diplôme à la fin de l'année, si tout se passe comme prévu. Malgré le fait d'être en 5ème année, j'en suis toujours à me demander si c'est vraiment intéressant ou complètement ennuyeux. M'enfin, de toute façon, qu'est-ce que ça peut...

    Edward avait entendu le début de réponse, mais avait balancer sa phrase à la suite de William. L’étudiant s’était juste trouver plus rapide, car en aucun cas Edward était le genre de personne à coupé la parole aux autres, surtout quand des mots pouvaient vous en apprendre autant sur une personne. Donc si il avait coupé la parole ce n’était vraiment pas intentionnel, car absolument absent de son caractère déjà bien assez difficile comme cela. En tout cas, ce qu’avait dit Edward sembla créer la surprise, ce qui ne surpris absolument pas, laissant place à un sourire de la part du quarter back, prenant le temps de la réflexion avant de répondre.

    - Vous m'aviez dit vous-même quelques minutes plus tôt qu'il ne fallait pas juger en émettant des hypothèses, ce que vous venez de faire, il me semble. Il y a des dizaines d'autres hypothèses possibles. Qui vous dit que je n'étais pas, justement, chez ma petite amie, avant de prendre ce métro ? Ou que je n'étais pas chez mes parents ? Ou je ne sais pas quoi d'autre ?
    « Faites ce que je dis, pas ce que je fais. » Cita Livingston avec une parfaite indifférence.

    Lui expliquer comment il en était venu à cette conclusion serait un raisonnement beaucoup trop long. C’était un long cheminement logique, agrémenter d’un tas de petites observations ou de non observation. L’absence d’objet qu’une fille se serait empressée de lui offrir pour prouver qu’il était prit, le manque d’odeur féminin créer par des filles dans le genre des pompom girls, et un tas d’autre chose. Mais si il plaisait à croire à ce jeune homme qu’il y avait un tas de possibilité, autant lui laisser cette illusion. Mais rien n’était fait d’un strict hasard chez Livingston. Les seules fois ou il donnait le résultat d’un long cheminement sans en être certaine, c’était juste pour tester la réaction des personnes qui lui faisait face. Des réactions qui avaient pou but de lui donner la dernière information manquante pour enfin avoir la bonne réponse
    .

    - M'enfin, vous avez raison, sur le fond. Pour mon caractère, je vous laisse en juger, et je ne me justifierai pas. Pour ces normes - c'est plutôt ça, ici - étudiantes, c'est vrai, je les trouve un peu débiles. Mais ce n'est pas ça qui ne me fait pas sortir avec une pompom girl ou avec n'importe quelle autre fille populaire de l'université. En plus de les trouver superficielles, comme vous l'avez si bien dit, je les trouve inintéressante et peu originales. J'aime l'excentricité, j'aime ce qui est différent.
    « Tout à votre honneur de ne pas vouloir entrer dans certaine norme et de vous fier à ce que vous voulez en la matière. »

    Mais, de toute façon, Livingston avait bien dit avant de parler que ce n’était pas une critique. Qu’il cherche à se justifier était sûrement un besoin, bien qu’Edward n’en voyait pas l’utilité. Grand bien lui fasse. Il ne s’était pas attarder sur cette personne parce qu’il était d’une banalité à tout épreuve, bien au contraire. Si Alexander avait été la cible d’Edward c’était justement parce que depuis le début, il semblait être plus complexe que la moyenne. Du moins, ne rentrant pas dans certains critères. Si l’étudiant avait voulu voir cela, à un moment ou un autre, comme une sorte de petite agression verbale, Edward n’y était pour rien. Enfin si, il n’avait jamais eu le tact et la diplomatie pour dire les choses. Un point qu’il ne comptait pas changer.

    - Eh ben, j'aurais jamais pensé avoir une pareille discussion à cette heure-ci, surtout avec de pareils inconnus. C'est étrange, vous trouvez pas ?
    « C’est pourtant vous qui avez dit aimer l’excentricité et ce qui est différent. Sauf, bien évidemment, si ces points ne s’applique qu’en matière de fille. »
    « Pour que ce soit étrange il faudrait que de ce genre de chose arrive peu souvent, sauf que ce n’est pas le cas, n’est ce pas Edward ? » Demanda William dans un sourire
    « C’est en exerçant qu’on s’améliore, William. Une règle élémentaire. » William secoua légèrement la tête plus amusé qu’exaspéré, puis il en revint à Alexander.
    « Quoiqu’il en soit, essayez de faire attention à votre cheville avant le prochain match ou entraînement, elle semble être fragilisée. Votre médecin s’appel comment ? »

    Ce qui n’était en rien de la curiosité mal placée. Mais William était bon dans son domaine et connaissait beaucoup de ses compères, les bons comme les mauvais. Si Alexander avait un médecin qui ne soit pas si bon que cela, sans qu’il le sache, William lui conseillerait sûrement d’aller en voir un autre. Bien sur il ne se proposerait pas de lui-même, ne voulant pas que sa démarcher passe pour de l’auto promotion, ce qui n’était absolument pas le cas. Il était juste un médecin qui exerçait par amour de son travail, pas pour voir arriver de nouveaux clients. Son but était avant tout d’informer, plus que de soigner.
Revenir en haut Aller en bas
Alexander Cash

Alexander Cash
Mutant de niveau 1

Nombre de messages : 236
Date d'inscription : 08/04/2010
Localisation : New-York City
Clan : neutre
Age du personnage : 24 ans
Pouvoirs : Maitrise de l'air & métamorphose en gaz inodore et invisible - Niveau 1
Profession : Journaliste spécialisé en économie
Professeur d'économie et de communication à l'université
Points de rp : 90

Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI] Vide
MessageSujet: Re: Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI]   Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI] EmptyLun 26 Avr - 22:26

Au moment où Alexander se leva pour céder sa place à l'homme qui était demeuré debout toute la discussion durant, les deux hommes lui assurèrent qu'il pouvait garder sa place assise. A la limite, il y en avait plusieurs autres dans ce wagon, mais cela aurait clos tout débat ou autre bavardage. Or, cela commençait à plaire réellement à l'étudiant. Le décalage qui existait entre ces hommes et la réalité actuelle était plus qu'amusant, plus qu'intrigant, presque stupéfiant. Car ces hommes venaient bien d'une toute autre époque. Ou, alors, la vision qu'avait Alexander des gens bien éduqués était à revoir à la hausse.

Le quarter-back prit la parole de nouveau, présentant ses études, puis essayant tant bien que mal de trouver une faille dans les déductions de ce Monsieur Linvingston. Ce à quoi répondit ce-dernier, d'un air calme et égal à lui-même:

- « Faites ce que je dis, pas ce que je fais. »

Dans un élan de maturité - si l'on veut - Alexander préfera ne pas répondre, cette fois, et laisser passer les phrases à caractère désobligeant de son "compagnon" de propos. Peu aprés, il affirma les déductions de l'homme en noir, lequel répondit, peut-être pour la première fois de leur discussion, quelque chose de positif, ou en tout cas allant dans le sens de l'étudiant.

- « Tout à votre honneur de ne pas vouloir entrer dans certaine norme et de vous fier à ce que vous voulez en la matière. »

Encore une fois, Alexander n'ajouta rien, mais il pensa à une chose quelques secondes aprés que la dernière phrase fut prononcée. Cet homme n'était donc pas là pour être méchant. Cela ajoutait une toute autre dimension à ses propos, l'élevant ainsi au rang de génie de l'observation. Jamais il n'avait connu de telle capacité à observer, retenir, et interpreter les moindres détails, aussi infimes qu'ils soient. Il ne savait pas dans quel établissement il étudiait, ni avec quel type de surdoué, mais l'homme qui se tenait en face de lui devait être un sacrément bon professeur. Sauf si, bien sûr, ses méthodes éducatives sont aussi peu développées que ses méthodes diplomates...
Décidant alors de mettre fin au premier silence aussi long depuis le début de la conversation, Alexander ajouta une phrase banale, pas bien plus intéressante qu'une question sur le temps du lendemain. Les deux hommes de tardèrent pas à répondre.

- « C’est pourtant vous qui avez dit aimer l’excentricité et ce qui est différent. Sauf, bien évidemment, si ces points ne s’applique qu’en matière de fille. »
- Dans les limites du raisonnable, vous avez raison.
- « Pour que ce soit étrange il faudrait que de ce genre de chose arrive peu souvent, sauf que ce n’est pas le cas, n’est ce pas Edward ? » Demanda William dans un sourire
- « C’est en exerçant qu’on s’améliore, William. Une règle élémentaire. » William secoua légèrement la tête plus amusé qu’exaspéré, puis il en revint à Alexander.
- « Quoiqu’il en soit, essayez de faire attention à votre cheville avant le prochain match ou entraînement, elle semble être fragilisée. Votre médecin s’appel comment ? »
- En fait, je n'ai pas vraiment de médecin généraliste qui me suit... A part le soigneur de l'équipe de l'université. En fait, mes deux parrents sont des médecins. Plutôt étaient. Ils sont à la retraite. Peter et Anna Cash. Je sais pas si ça vous dit quelque chose, mais ils ont quitté la vie active assez récemment. En fils indigne, j'peux pas vous dire quand exactement. C'est assez pratique d'avoir deux médecins à disposition, surtout quand on est footballeur américain... Ils ont déjà eu à faire à pas mal d'entorses, je pense qu'ils auront une idée de la manière dont ils devront s'y prendre, dit-il, ajoutant la dernière phrase d'un ton un peu amusé à l'idée que ses parents étaient peut-être de piètres médecins.


... Même s'il ésperait que ce n'était pas le cas. Il n'avait pas la moindre idée du pourquoi, mais il sentait, au plus profond de lui-même, qu'il se sentirait extrêmement blessé si on lui avouait que ses parents étaient de mauvais médecins. Ce dont il était sûr, c'est que ses entorses s'étaient toujours réglées en deux semaines, au maximum, et que la rééducation qui s'ensuivaient généralement n'avait pas renforcé inégalement sa jambe droite.
Revenir en haut Aller en bas
Edward Livingston

Edward Livingston
Humain

Nombre de messages : 261
Date d'inscription : 17/04/2010
Localisation : New York
Age du personnage : 32 ans
Pouvoirs : aucun
Profession : Détective (a son compte,peut aider la police ou Mars investigation)
Prof à l'institut Xavier
Points de rp : 231

Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI] Vide
MessageSujet: Re: Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI]   Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI] EmptyJeu 29 Avr - 11:29

    - En fait, je n'ai pas vraiment de médecin généraliste qui me suit... A part le soigneur de l'équipe de l'université. En fait, mes deux parents sont des médecins. Plutôt étaient. Ils sont à la retraite. Peter et Anna Cash. Je sais pas si ça vous dit quelque chose, mais ils ont quitté la vie active assez récemment. En fils indigne, j'peux pas vous dire quand exactement. C'est assez pratique d'avoir deux médecins à disposition, surtout quand on est footballeur américain... Ils ont déjà eu à faire à pas mal d'entorses, je pense qu'ils auront une idée de la manière dont ils devront s'y prendre
    « Peter et Anna Cash… » William sembla réfléchir un instant, mais il ne lui fallu pas bien longtemps en réalité « Ils travaillaient à Manhattan, c’est bien ça ? »

    La réputation de ces deux médecins n’étaient plus à faire, ils avaient, au cours de leurs exercices, su faire leurs preuves pour leur apporter un certain renom dans le métier, ô combien difficile, de médecin. Une chose était certaine, cela devait être pratique d’avoir des parents médecins, surtout quand on est sujet aux entorses au niveau de la cheville, encore plus quand on est un sportif et que les chevilles demeurent importantes au bon fonctionnement du sport pratiqué.

    « Je ne doute pas, un instant, qu’ils sachent comment si prendre. Leurs réputations les précèdent. »

    William venait d’ajouter ces derniers mots avec un sourire et un regard ampli d’un certain respect pour ces deux médecins, songeant brièvement qu’il devait être difficile de quitter un métier que l’on apprécie particulièrement. C’est Edward qui jeta un œil aux stations qui restaient encore à effectuer, prenant en compte que la prochaine serait celle qui désert le campus universitaire. Sachant que quelques minutes plutôt, c’est Alexander qui regardait les lignes de stations qui le séparait de son point d’arriver, il n’était pas compliquer de penser qu’il descendrait à la prochaine. Si bien, qu’il se décida à ouvrir à nouveau la bouche.

    « Et bien, je suppose que nos chemins doivent bientôt se séparer. Mais je ne doute pas de vous recroiser sous peu. J’ai une conférence sur l’art de l’observation à l’université la semaine prochaine, mardi, il me semble… »
    « Jeudi, en réalité. »
    « Jeudi, ça doit être ça ! Quoiqu’il en soit, peut être aurions nous le plaisir de vous croiser à cette occasion. »

    Oui, il lui arrivait de devoir quelques conférences sur cette méthode étrange qu’était l’observation, comme pour dire que cela pouvait être un moyen efficace de découvrir certaines choses sur un peu près tout le monde. Ce genre de chose n’était pas vraiment l’activité qu’il préférait le plus, mais on le payait pour faire cela, et il serait mentir que de dire qu’il n’a jamais besoin d’argent. L’appartement était à payer tous les mois, ses expériences lui coûtaient chères en matériel et, ce n’est pas son boulot de professeur qui était des plus lucratif. Cependant, il serait mentir que de dire qu’il manque cruellement d’argent, certaine affaire payaient très bien.

    Pour ce qui était du jour de cette conférence, il comptait bien sur William pour lui rappeler ce genre de détail. Edward avait une façon très particulière de voir les choses. Pour lui, le cerveau était une sorte de grand entrepôt ou l’on déposait des connaissances. Quand cet entrepôt était plein, une nouvelle connaissance prenait la place d’un autre, qui pouvait pourtant être très utile. Il convenait donc, de ne pas s’embarrasser de connaissance ou d’information qui ne servait à rien. Demandez lui si la terre tourne autour du soleil, ou autour de la lune, il serait bien incapable de répondre à cette question. Dans la mesure ou, concrètement, ça ne changeait rien pour lui, il trouvait ce genre d’information était bien inutile. Demandez lui le mode opératoire du meurtre de Daisy Kington, dans le Missouri, il y a 15 ans, il serait capable de vous donner tous les détails car c’était typiquement le genre d’information qui lui était utile.
Revenir en haut Aller en bas
Alexander Cash

Alexander Cash
Mutant de niveau 1

Nombre de messages : 236
Date d'inscription : 08/04/2010
Localisation : New-York City
Clan : neutre
Age du personnage : 24 ans
Pouvoirs : Maitrise de l'air & métamorphose en gaz inodore et invisible - Niveau 1
Profession : Journaliste spécialisé en économie
Professeur d'économie et de communication à l'université
Points de rp : 90

Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI] Vide
MessageSujet: Re: Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI]   Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI] EmptySam 1 Mai - 14:31

Il se faisait tard et la journée avait été longue. Les yeux d'Alexander se fermaient presque d'eux même alors que ses brefs compagnons de voyage continuaient de discuter. Il avait beau essayer de lutter, la fatigue gagnait le combat, et la seule chose qu'attendait l'étudiant était son arrêt. Il aurait ensuite cinq minutes de marche jusqu'au batiment B, et quelques étages à montre jusqu'à la chambre 1403 - la sienne. Et là, enfin, il s'affalerait sur son lit.
Le médecin enchaina avec ce que lui avait dit Alexander une seconde plus tôt, à propos de ses parents retraités dans la même branche.

- « Peter et Anna Cash… » William sembla réfléchir un instant, mais il ne lui fallu pas bien longtemps en réalité « Ils travaillaient à Manhattan, c’est bien ça ? »
- Oui oui. Ils avaient un cabinet tous les deux au Sud de Central Park. Je m'en rappelle bien, c'était au 56ème étage et il y avait une vue sans égal sur le parc. C'était une grande vitre qui allait du sol au plafond. M'enfin, ils l'ont revendu à leur retraite et se sont rachetés un appartement, à l'ouest de Central Park cette fois.


Le fait d'évoquer ses souvenirs fut peut être une nouvelle source d'informations potentiellement utiles pour l'analyse du professeur. En vérité, cela importait peu à Alexander, et l'épuisement faisait qu'il ne pensait plus forcément à tous les éléments et ne maitrisait plus tout ce qu'il disait. Le médecin, sans le savoir, rassura le jeune homme qui, quelques minutes plus tôt, se demandait pour la première fois si ses parents étaient réputés positivement ou non.

- « Je ne doute pas, un instant, qu’ils sachent comment si prendre. Leurs réputations les précèdent. »

Alexander ne prit pas la peine de répondre. Seul le sourire qu'il porta à l'égard de son interlocuteur témoignait de sa joie intérieure. Le métro s'arrêta un instant, quelques personnes descendirent du wagon, puis il repartit. Le prochain arrêt était celui du quarter-back. Alors qu'il venait tout juste de s'en rendre compte, Edward Linvingston prit la parole.

- « Et bien, je suppose que nos chemins doivent bientôt se séparer. Mais je ne doute pas de vous recroiser sous peu. J’ai une conférence sur l’art de l’observation à l’université la semaine prochaine, mardi, il me semble… »
- « Jeudi, en réalité. »
- « Jeudi, ça doit être ça ! Quoiqu’il en soit, peut être aurions nous le plaisir de vous croiser à cette occasion. »
- J'y participerai volontier. J'attends de voir votre façon de parler devant un auditoire important, aprés avoir vu celle que vous avez avec un inconnu. A jeudi alors.

Alexander prononça ses mots en même temps qu'il se levait. Le métro ralentissait déjà, et moins de 10 secondes plus tard, il serait arrêté. Il serra la main des deux hommes et se déplaça vers la porte automatique du milieu du wagon. Il n'y avait plus grand monde dans le métro, ni sur les quais, d'ailleurs. Lorsque la porte s'ouvrit, l'étudiant se retourna et dit, affichant un sourire franc et montrant son épuisement physique:

- Et merci à vous pour la discussion. C'était un plaisir.

Sur ces mots, il sortit et posa le pied sur le quai de l'arrêt du campus. Il commença à marcher, monta les marches, et arrivait en face du batiment A. Ce n'était pas le sien, il le contourna donc. La température avait encore baissé, et Alexander tremblait légèrement. Moins de cinq minutes plus tard, il était devant le batiment B. Il monta, arriva au troisième étage, lequel était encore animé malgré l'heure tardive. Il salua quelques connaissances de la main. La porte 1403 n'était pas vérouillée, comme d'habitude, il avait oublié de la fermer à clef. A peine fut-il entré qu'il s'enfonça dans le lit moelleux. Vingt secondes plus tard, il était dans les bras de Morphée et commença une nuit pleine de rêves plus illogiques les uns que les autres. Entre autres, une situation mettant en scène les deux nouvelles connaissances. Le professeur se battant sur un ring, mettant à terre un adversaire deux fois plus grande que lui, et le médecin lui donnant des conseils sur les points d'impact. Il ne s'en souviendrait surement pas le lendemain. Mais si c'était le cas, peut-être se poserait-il quelques questions.
Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé



Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI] Vide
MessageSujet: Re: Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI]   Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI] Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Métro C, un soir de printemps. [PV Mr. Livingston] [FINI]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
X-Men Extended :: CONNECT TO THE SKY :: Transports :: Galeries du métro-