Après avoir longuement marché seule, en dépit du vent glacial qui s’était levé, Jean avait finalement rejoint l’institut, sa chambre plus précisément…à pied puisqu’elle avait refusé que Scott la raccompagne. Elle n’en revenait toujours pas de se qu’il venait de se passer en dépit du fait qu’elle ne sentait plus la bague à son doigt, les mots prononcé l’avait complètement brisé et pas seulement ceux de Scott mais aussi les siens…

Était-ce le fait qu’elle avait été prise de cours face à ses dires qu’elle avait réagit aussi brusquement en lui disant que tout était finit?…sûrement mais il fallait dire qu’il n’avait pas été tendre non plus dans sa manière de lui présenter la chose du jour au lendemain comme dans les paroles qu’il avait prononcés.

Elle avait toujours tout réussit dans les projets qu’elle avait eu en tête mais le seul qui lui tenait le plus à cœur n’atteindrais malheureusement jamais son but. Elle ne s’était jamais vue sans lui car elle pensait faire sa vie à ses côtés…était-ce un crime de désiré cela? « …Jean, il faut que tu te rendes compte qu'on est un vieux couple. On s'est reposés sur les acquis et ce n'est pas ce dont on a besoin… » Elle tournait et retournait ses mots telle une ritournelle plus que cinglante dont elle n’arrivait pas à se détacher.

Allongé sur son lit, les larmes ne cessaient d’inondé son visage…elle se rappelait chaque instant passer tentant de voir à partir de quel instant ils s’étaient même involontairement éloigner l’un de l’autre mais… rien n’y faisait elle ne trouvait pas car la conclusion était toujours la même bien qu’il lui est dit le contraire… le Phénix!

Si elle n’avait pas décidé de quitter le X-jet pour les soulever avec sa télékinésie, elle n’aurait pas été déclaré morte aux yeux de tous et aurait toujours été auprès de Scott… mais, ils auraient sans doute tous péril se jour là…Était-ce à partir de cet instant que tout avait changé pour Scott?

Tout se qu’elle sait actuellement, c’est qu’elle à mal et qu’il faudrait sans doute un petit temps avant qu’elle ne puisse acquiesçait correctement la situation…

Une photo dans un petit cadre en verre, de Scott et elle déposé sur la table de chevet…tout deux sourires aux lèvres …d’un brusque geste de la main, le cadre alla se fracasser contre le mur dont elle entendit les morceaux de verres se percuter au sol… Lui en voulait-elle?… oui beaucoup car elle ne pensait pas qu’il puisse lui faire du mal à ce point…

Fermant doucement ses yeux rougit et brûlant, elle tenta de se reposer pour faire le tri correctement lorsqu’elle se réveillerait en priant tout de même pour que tout cela ne soit qu’un cauchemar…

Alors qu’elle avait fermé les yeux pour se reposer et éclaircir la situation à son réveil, une personne vint frapper à sa porte. Pensant découvrir une personne qui aurait été alerté par le fracas du cadre photo dans le mur comme un adulte passant dans le couloir, la jeune femme se redressa et tenta d’essuyer ses larmes pour voir qui cela pouvait être…

Pas décider à attendre la permission à entrer dans la chambre, Jean s’aperçue que c’était un élève, Maximilian Strauss pour être exact. Un peu surprise, elle attendit que celui-ci termine sa phrase avant de parler à son tour mais au lieu de sa, l’adolescent se rétracta et lui demanda si elle préférait qu’il repasse plus tard.

Se levant de son lit, elle vint faire face au jeune homme tentant malgré tout de sourire en vue des circonstances :

- Ne t’en fait pas, tout va bien mais la prochaine fois que tu veux entrer attend que la personne te réponde s‘il te plait.

Sa voix était douce car après tout, elle n’avait pas lieu de s’en prendre à quiconque car cela ne concernait que Scott et elle. Jean souleva chaque morceau de verres brisé par télékinésie puis les jetas dans la poubelle avant de faire de même avec la photo pour la déposer sur son lit.

Fixant un cours instant Maximilian, elle se demandait bien pourquoi il était venue la voir car il n’avait pas finit sa phrase.

- Est-ce que je peux faire quelque chose pour toi?

Son cœur n’était pas encore prêt à écouter les problèmes ou autres des personnes qui l’entourent mais peut-être qu’en reportant son attention sur autre chose que son couple, elle irait mieux…du moins, c’est en somme l’une des seules choses à faire…

Elle se sentait épuisée… lessivée…abattue mais malgré cela, elle ne voulait pas se laisser aller à se noyer sous les larmes bien que cela était tout de même bien partit si ce petit bonhomme n’était pas entrée. Comment effacer un chagrin d’amour aussi vite…en si peu de temps? Le pouvait-elle? Comment le savoir d’avance en même temps…elle était puissance mais ne possédait pas le don de prémonition non plus.

- Je reviens dans deux petites secondes. Reprit t-elle après quelques secondes en tentant de lui sourire.

Partant dans sa salle de bain, la jeune femme se regarda un instant dans le miroir et tourna le robinet d’eau froide pour se rafraichir le visage.
Ses yeux étaient rougis, son visage entier était humidifier par les larmes et ses long cheveux roux lâché était tout sauf coiffé…

Se nettoyant le visage doucement, elle prit une serviette prêt d’elle pour s’essuyer puis, prit sa brosse à cheveux sur une étagère juste au dessus du lavabo et tenta de se redonner un tant soit peu une tête humaine ou plutôt mutante…
Ceci fait, elle retourna dans le corps de la chambre pour rejoindre Max et attisé son attention sur autre chose…

Se n’était pas vraiment le moment de lui prendre la tête dans tout les sens du terme sur, se qui lui arrivait pour qu’elle soit aussi peu réjouissante et accueillante. Jean avait bien reçu la pensées la plus forte du jeune Max mais n’en tenue pas compte dans la mesure où il ne l’avait dite verbalement.

Le jeune mutant enchaina alors un tas de phrase pour lui faire comprendre que si elle désirait rester seule tranquillement elle pouvait le lui dire ou au contraire si elle avait besoin de parler, elle pouvait compter sur lui. Ses phrases étaient assez gentilles bien que son langage ne soit pas tellement commun et du parler de la jeune femme, elle n’en fit pas abstraction.

Alors qu’elle avait « ramassé » les morceaux de verres du cadre photo pour les mettre à la poubelle, elle reçue une autre pensée de la part du jeune homme qui concernait Scott et il se demandait se qu’il avait bien pût lui faire… rien de pire que l’on puisse faire à un être aimé depuis quelques années que de la quitter…
Ne répondant pas non plus à cela, elle lui demanda alors sa présence dans sa chambre. L’air gêner et en pleine réflexion avec lui-même, la jeune femme en profita pour aller se rafraichir dans sa salle de bain.

Y ressortant à peine deux minutes après, elle aperçue Max sur son lit, la photo de Scott et d’elle dans les mains. Le jeune homme reprit son discours sur le fait qu’elle avait l’air d’avoir besoin d’une personne à qui parlé et qu’avec lui elle pouvait se confié en toute sécurité. En premier lieu il fit allusion à un problème dont il désirait lui faire part et Jean préféra concentrer son attention sur ce point plutôt que de se morfondre dans le chagrin.

Venant s’installer près de lui, elle ne répondit rien car il reprit la parole. Cette fois ci, ce ne fut pas pour lui faire par de son écoute attentive et sérieuse face à ses problèmes mais plutôt pour lui proposer une sorte de marché. Il lui confiait son problème en premier et par la suite, se serait à elle de développer le tout. Son petit air de biznessman eu le don de décrocher un fin sourire de la jeune femme qui ne dura guère que quelques secondes.

- Je t’écoute dis moi se qui ne va pas. Lui demanda-t-elle d’une voix douce qu’elle avait l’habitude de prendre pour s’adresser aux élèves en difficulté. Je te promets de ne pas oublier notre petit « deal ». Lui sourie t-elle doucement à nouveau.

Fronçant des sourcils lorsqu’il commença, la mutante oublia Scott et la rupture un instant pour se plonger au cœur des problèmes de se bout de choux. Celui-ci eu du mal à trouver ses mots pour lui expliquer mais il finit par y arriver et cela concernait la drogue. Au cours de sa carrière à l’institut, Jean avait aidé deux/trois élèves qui avait eu le même problème et tous avait trouvé la force de s’en sortir Jean elle, n’avait été que le soutient psychologique et médical durant leur cure. Pouvait-elle l’aider? C’était bien dans ses compétences mais la véritable question qui s’imposait était : Avait-il une raison assez fiable et stable pour tenir durant cette cure? Car Jean voulait bien mener se combat avec lui se n’était pas le problème mais il pouvait à tout moment décrocher se qui serait du temps perdu pour lui mais aussi une déception. Il ne fallait pas que se soit des paroles en l’air car la jeune femme était prête à s’investir mais elle ne devait pas être seule.

- Je suis bien sûr apte à t’aider mais j’ai besoin de savoir quelques petites choses si tu le veux bien. Premièrement, quelle est ou quelles sont la ou les raisons qui t’ont fait tomber dans la drogue? Parce qu’il ne faudrait pas que cela se reproduise par la suite. Deuxièmement, j’aimerais savoir la ou les raisons qui ont fait que tu veuilles t’en sortir. Tu n’es pas obligé dans avoir mais se serait un avantage car tu pourrais t’y accrocher se qui serait une force pour continuer. Concernant ma position dans tout cela, je serais présente en tant que soutient psychologique et médical et à chaque instant ou tu auras besoin de moi, il suffira que tu viennes me voir et sans hésitation aucune.

Après avoir finit de parler de son problème, elle lui avait promit de lui parler des siens mais elle ne pouvait lui faire part de sa rupture avec Scott et en même temps, elle lui avait fait une promesse! Elle décida alors de tenir sa promesse mais de ne pas lui donner les véritables raisons responsables de son état de tristesse.

- Concernant se qui m’arrive, je… c’est juste le Professeur Xavier qui… qui me manque il à fait beaucoup pour un tas de monde et avec moi en particulier. Si tu te pose la question du pourquoi la photo de Scott et moi était par terre, c’est juste que je m’en veux par rapport à son statut actuel. Il devait prendre la place du Professeur en tant que directeur de l’institut mais les circonstances étant qu’il ne l’ait pas devenu et c’est Ororo qui occupe cette place. Tu n’as pas à t’en faire, tout va très bien et ce n’est qu’une petite baisse de moral, sa passera tu verras. Lui sourie t-elle sincèrement et plus de quelques secondes cette fois ci. Sa voix était convaincante donc il ne pouvait pas savoir qu'elle mentait...

Elle n’était pas très fière de mentir à une personne qui a toute confiance en elle mais en même temps se confié et surtout sur la relation qu’elle entretient avec Scott… c’était hors de question, elle préférait tout gardait pour elle et voir se qui se passerait avec le temps, comment Scott et elle évoluerait, chacun de leurs côté ou bien de nouveaux ensemble…

La question sur le pourquoi il était tombé dans la drogue fit réfléchir un instant Max…peut-être que cela remontait à si longtemps que le jeune homme en avait perdue les raisons?…voilà se que Jean pensa en le voyant fermer les yeux quelques instants. En les rouvrant, celui-ci lui expliqua qu’il avait commencé à se droguer parce qu’il était dans des quartiers mal famé et que pour oublier cela, il avait trouvé le seul moyen de s’évader…la drogue. Se qui était « intéressant » si ce terme puisse convenir correctement à la situation, ses que dans ses dires il mentionna se qu’il prenait car pour le traitement qu’il allait suivre, cela était très important de le savoir pour la doctoresse.

Tête baisser, le bout de choux pleurait et malgré ses cheveux qui tentait de cacher cette vision à Jean, elle l‘avait vu. Entourant ses épaules de son bras, elle le prit contre elle pour tenter de lui faire sécher ses larmes.

- Sa va aller, c’est finit. Je peux te promettre que tu ne connaîtras plus cette enfer… lui promit-elle d’une voix toucher par son histoire en lui caressant les cheveux d’un geste protecteur.

Chaque élèves de l’institut avait eu des jours, des mois voir des années plus que difficiles et c’était le rôle de cette école de leur faire oublié cela en les ramenant dans le droit chemin, leur prêter une oreille attentive, une épaules sur laquelle se reposer, leur rendre le sourire…leur redonner goût à la vie en somme.
Beaucoup d’entre eux ne peuvent pas oublier leur vécue difficile mais beaucoup sans font une force pour avancer en se promettant que cela n‘arriverait plus…d’autre malheureusement veulent se venger. Avec se que venait de lui Max, il prouvait à la jeune femme qu’il faisait partit de ceux qu’ils veulent se battre pour s’en sortir…

Essuyant ses larmes, il lui fit par d’une bonne raison pour arrêter. C’était par rapport aux autres mais aussi pour ne pas se faire renvoyé du manoir.
Il est vraie que des mutants qui se drogue n’entre pas vraiment pas les principes de l’institut mais de la à viré un élèves sur le champ se n’est pas non plus une des règles de la maison! Mais une pensées vint tout de suite après dans la tête de Max et cela fit sourire la jeune femme…Tabi?

Max continua sur sa lancé en précisant qu’il s’était promit de protéger une personne et que cette protection ne pouvait s’effectuer correctement qu’en ayant l’esprit moins dans le brouillard. Ses précisions venait plus de son esprit que verbalement car Jean entendait ses pensées…l’une de ses raisons était donc qu’il était amoureux d’une des élèves qui était à l’institut, Melle Smith. C’était là, une belle preuve d’amour que faisait Max envers cette jeune fille et elle espérait que celle-ci s’en rende au moins compte car il fallait un grand courage au jeune homme pour faire sa.

- Tu sait, nous ne virons pas élèves aussi facilement de l’institut et surtout pas si ceux-ci veulent sans sortir comme tu viens de me le montrer. Ensuite, je devrais te conseiller de t’en sortir en premier pour toi mais la raison que tu viens de me citer est assez belle pour t’y accrocher. Est-ce que la personne que tu souhaite protégé est au courant de se que tu veux faire pour y parvenir? Lui demanda-t-elle tout sourire en le regardant dans les yeux.

La promesse de lui raconter à son tour ses problème arriva, bien plus vite qu’elle ne l’aurait voulu. Malheureusement pour Max, Jean n’était pas disposé à lui en faire part car s’était encore trop douloureux puisque cela venait lui tomber dessus sans avant-garde. Elle décida alors d’inventer un mensonge gros comme le monde que le petit bonhomme prit pour content.
Il lui expliqua que le professeur lui manquait aussi mais qu’il fallait continuer la ou il s’était brutalement et involontairement arrêter. Il lui dit aussi qu’il comprenait sa peine mais Jean savait qu’il ne pouvait pas même avec toute la meilleure volonté du monde…les circonstances était telle que cela était impossible.
Max passa très vite sur le sujet de Scott. L’ayant oublié quelques minutes, cela lui revint en pleine face. Scott est réserver et peux paraitre froid aux yeux de beaucoup mais il est tout autre avec Jean et cela, personne ne peux le savoir ou du moins qu’une minorité de personnes.
…Indissociable…Le couple parfait…là l’un pour l’autre… Quoi de pire que d’entendre cela d’un petit bout qui pense vous remontez le moral alors que le couple qu’il décrit est au passé? Jean ne pût retenir quelques larmes en tentant de lui sourire mais le sourire s’effaça bien vite car son cœur était meurtri.

Avalant très mal les dernières phrases de Max, elle finit par lui répondre après quelques minutes de silence ou elle se remémora les dires de Scott et l’attitude qu’il avait au moment de lui dire qu’il voulait faire…une pause…

- Oui, nous continuons et nous continuerons se que Charles avait commencé. Pour Scott je ne devrais pas m’en faire, je suis sûr que si Ororo à un problème côté direction de l‘institut c‘est vers lui qu‘elle se tournera.

Séchant ses larmes à l’aide de ses mains, elle se leva de son lit et son regard tomba sur la photo. La prenant, elle ne fit ni une ni deux et ouvrit l’un des tiroirs de sa table de chevet en la mettant dedans.

- Je la remettrais dans un autre cadre plus tard. Expliqua-t-elle à Max qui ne comprendraient peut-être pas son geste.

En l’espace d’une journée, elle avait rompu avec son fiancé et avait une nouvelle mission, aider un jeune mutant à se sortir de la drogue…

Devant le chagrin du jeune Max, Jean avait laisser le sien de côté pour le réconforter et celui-ci avait un peu l’air gêner. Le jeune mutant eu une phrase un peu poignante pour elle mais elle trouva la force d’afficher un petit sourire pour lui répondre :

- Ne t’excuse pas, tout le monde à le droit d’avoir du chagrin, sa aide plus qu’on ne crois.

Jean était rester très attentif à son pourquoi du comment il était venue la voir. Il est sur que cela ne doit pas être facile de pousser une porte et de se confier sur un problème que l’on a depuis un certain temps. Jean elle-même n’aie pas quelqu’un qui se confie à la première personne venue, si elle le fait, c’est que la personne lui est très cher et quelle s’y prenne bien pour lui arrachez les vers du nez. Bien sur, elle avait menti à Max car c’est un élève mais aussi parce que c’était dans son caractère, elle aurais été incapable de lui dire pourquoi elle avait « un coup de blues » comme il disait.

La jeune femme lui demanda lorsqu’il eu finit, si la personne pour laquelle il voulait s’en sortir était au courant de se qu’il s’apprêtait à faire et, la réponse fournit, n’étonna pas tellement Jean. En effet, un jeune garçon comme Max avait un côté timide donc évidemment, la réponse était non, il ne lui avait pas dit même si Tabitha était une fille au caractère plutôt dynamique et qu’elle comprendrais surement.
La jeune Boum Boum avait l’air d’avoir prit une grande place dans le cœur de Max se qui cette fois, étonna un peu Jean car il était si jeune. Elle n’exprima néanmoins pas cette pensée pour ne pas le prendre pour un cœur d’artichaut ou encore le blessé car l’amour ou l’amitié chez les jeunes avait tendance à passer au yeux des adultes comme « une passade ».

Max demanda si il pouvait lui demander quelques chose et Jean lui fit un signe de la tête, pour lui dire que oui. Cela concernait Scott et elle! A croire qu’il n’avait aucun autre exemple en tête! Était-il ami avant d’être ensemble? Etais-ce Scott qui avait fait le premier pas? Un flash back qui remontait un peu pour elle mais qu’elle s’était remémorer alors que Scott venait de la quitter.

Prenant une grande inspiration, elle entendit la pensée du mutant se qui lui dessina un fin sourire sur ses lèvres. Regardant droit devant elle, elle était bien tenté de regarder sa table de chevet pour y fixer la photo mais manque de bol, elle avait exploser le cadre et avait fourrer la photo dans un tiroir!

- Nous étions ami oui, durant des années. Nous sommes tombé amoureux très tôt mais, ni l’un ni l’autre ne faisait le premier pas, on étaient trop timide. Au final, c’est… c’est Scott qui avait fait le premier pas.

Jean mentait encore sur se coup là, c’était elle qui avait fait le premier pas car Scott avec sa mutation, avait toujours eu peur de la blesser involontairement. Se fut la pensée de Max qui l’incita à sortir le nom de Scott plutôt que le sien comme sa, ça lui donnerait un petit avantage pour sa relation avec Tabitha, il se déciderait plus à faire le premier pas, enfin… c’est se que pensait Jean à cette instant.

Après qu’elle lui est raconté un énorme mensonge sur le fait qu’elle avait pleuré, Max était tombé dedans. Bien que cela ne lui plaisait pas de lui avoir menti, elle était tout de même soulagé qu’il la croit sans chercher plus loin.
Après cela, Max espérais que Scott ne lui en veuille pas pour le cadre et que si c’était le cas, Jean pourrais dire que c’est de la faute du bonhomme. Vu les circonstances, Scott n’avait pas tellement son mot à dire et quand au fait de mettre cela sur le dos du jeune mutant… c’était tout bonnement hors de question!

- Ne t’en fait pas, Scott ne dira rien. Lui dit-elle très sur de sa réponse.

Le jeune mutant lui proposa de sortir précipitamment sous prétexte que rester enfermé alors qu’on déprime, sa ne fait que renforcer notre état. Jean n’était pas non plus au point de se suicider quand même! ^^

- Max, je veut bien sortir mais il faut que j’aille à l’infirmerie. Je vais t’ouvrir un dossier tout de suite et lorsque tu te sentiras prêt pour commencer, tu n’auras qu’à venir me voir et je t’expliquerais comment nous procéderons. Ca te convient? Lui demanda-t-elle car c’était lui le premier concerner.

Max lui prenait la main et la tirait pour la faire sortir se qui la fit sourire :

- Doucement, on a tout le temps rien ne presse…

Jean espérait juste qu’elle ne croiserais pas de si tôt Scott vu se qu’il venait de lui faire et surtout de lui dire! Elle finit par quitter la chambre en la fermant derrière elle et se dirigea vers l’infirmerie…

Le réconfortant du mieux qu’elle le pouvait, Max la regarda en silence, un regard qu’elle trouva un peu différent car il semblait détailler complètement son visage. Fronçant un peu des sourcils, Jean se demanda si il y avait un problème mais n’eu pas tellement le temps de lui demander car il reprit la parole. Paroles accompagné d’un sourire attristé qui fendit le cœur de Jean en l’écoutant. La jeune femme se sentit un peu mal à l’aise à ses dires. Lui faire rappeler sa mère, Jean ne connaissait pas la femme dont il lui parlait et même si elle prenait parfois un air un peu trop maternelle par rapport à d’autre professeur, elle ne pensait pas ressembler à une personne qui avait fait un bout de choux aussi gentil que le petit Maxou.

Ne sachant pas quoi répondre à sa phrase, elle resta silencieuse jusqu’à se que le sujet en vienne à sa raison d’entamer une cure. Jean savait que le jeune mutant avait flashé sur Tabitha Smith, bien qu’elle ne l’aie pas apprit de sa bouche, et que c‘était pour elle qu‘il faisait ça. Il y eu une autre pensées qui vint aux oreilles de la jeune femme. Souriante, Jean voulait lui dire de se lancer une bonne fois pour toute comme sa, il serait fixer mais…il ne lui avait pas avouer de vive voix alors elle devait tourner sa…

- Max, tu sais parfois une personne n’ose pas faire ou dire certaine chose. Dans se cas là, elle s’expose au silence durant un temps illimité et, lorsqu’elle souhaite de nouveau parler…se n’est que le silence qu’on entends. Si jamais tu veux faire ou dire quelques chose à une personne mais que tu n’ose pas pour une tierce raison, fait le vide dans ton esprit et lance toi sans plus tarder car si tu attends trop longtemps, tu aura encore plus de mal à y arriver.

Vint le sujet du cadre que Jean n’avait pas hésité à exploser contre le mur. Max lui dit qu’il était près à endosser la responsabilité mais Jean n’était pas pour. Cette colère retomber sur le cadre, venait du fait que Scott et elle avait rompu. Le fait que Jean s’en voulait d’avoir une double personnalité qui avait fait tant de mal...

- Il ne dira rien, ne t’en fait pas. Ce n’était qu’un cadre ça se rachète et la photo n’a rien c’est le principal.

Principal? Principal pour qui au juste? Ce n’était plus qu’un souvenir désormais. Même si cette photo avait été coupé ou déchiré cela n’aurait fait que ressortir la vérité par rapport à leur rupture et puis c’est tout. C’est pour cela que Jean était si sur d’elle en disant que Scott que dirait rien.

Le jeune Max l’entraina alors en dehors de la chambre et l’air presser, Jean lui précisa qu’ils avaient le temps. Fermant la porte de sa chambre par télékinésie, elle avança doucement vers l’ascenseur pour rejoindre l’infirmerie alors qu’une autre pensées du jeune Max lui parvint.

- Max tu veux bien m’accompagner à l’infirmerie pour que j’ouvre ton dossier? J’aurais besoin de quelques renseignements pour ton futur traitement. Lui demanda Jean en lui souriant doucement et retenant les portes d’ascenseur pour lui…