Réveil difficile pour Jeannie Grey se matin. La jeune femme n’avait pas beaucoup dormie pour ne pas dire absolument pas. Se tournant et se retournant dans son lit chaque seconde qui passait, prêt de Scott qui lui, avait dormit sans problème particulier.
Le malaise de la jeune femme venait de la demande de sa meilleure amie Ororo. La veille, celle-ci lui avait demandé d’utiliser le Cérébro pour repérer des nouveaux ou ancien mutant qui aurait des problèmes spécifique et qui aurait besoin de leurs aides.
Jeannie avait bien sûr accepté, mais un nœud dans l’estomac, une boule dans le ventre et l’esprit harceler de question avait depuis lors fait son apparition.
Après avoir prit une douche tiède, s’être habillé d’un tailleur rouge, coiffé d’une queue de cheval, elle était descendue prendre un petit déjeuner avant tout le monde histoire de réfléchir tranquillement et de n’entendre que le silence.
Descendant dans les sous sol par l’ascenseur à moitié caché dans le mur, les souvenirs refaisait surface et pas vraiment les meilleurs.
L’ascenseur s’ouvrit et Jean fit quelques pas dans le couloir pour finalement se retrouver devant la porte du Cérébro. Même en prenant les plus grandes inspirations du monde, son mal hêtre ne sans irait pas.
Seul le professeur Charles Xavier utilisait cette machine de perfection, ceci lui appartenait, c’était comme se servir de son bien sans autorisation. Même si il aurait approuvé qu’une personne aux capacités de Jean s’en serve, elle aurait aimé l’entendre de sa bouche et l’avoir à ses côtés pour son utilisation.
La toute première fois qu’elle l’avait utilisé, c’était parce que Charles était dans le coma, elle avait réussit à localiser la personne qu’était la petite Malicia mais, son esprit avait comme été aspirer par tout ses esprits relié à elle d’un seul coup avec une telle rapidité, elle avait été deux doigts de s’évanouir.
Pour entrer dans la salle, Jean devait taper un code que seul les X-men connaissaient car la reconnaissance rétinienne avait été désactivé et de toute manière, n’avait plus lieux d’être.
Quelques pas sur sa droite, elle ouvrit un petit boitier à sa hauteur, entra le code et appuya sur « ENTER ». Un déclic se fit entendre et la porte circulaire coulissa.
Pénétrant à l’intérieur, les lumières s’allumèrent en simultanée que la porte se referma. Jean espérait une réussite mais surtout qu’elle n’est pas le tournis et l’envie de courir dans les toilettes pour être malade après avoir ôté le casque de repérassions.
Le professeur étant en fauteuil roulant n’avait pas besoin de chaise et pourtant il y avait une. Sans doute qu’une personne l’avait déposé sachant que se serait elle qui l’utiliserait à présent.
Prenant place sur la chaise, plutôt confortable d’ailleurs, Jean activa le Cérébro en appuyant sur quelques touches diverses. Elle connaissait la machine car elle avait travaillé dessus non pas comme utilisateur mais pour diverse réparation ou amélioration de son système pur plus de praticité.
Prenant une bonne inspiration, elle installa le casque sur sa tête et ferma un cours les yeux. Dès qu’elle les ouvrit, tous les continents s’affichèrent, toutes les personnes de la planète étaient présentes sans exception. Se concentrant plus sur l’une des partit c'est-à-dire les mutants, des millions de point rouge s’affichèrent sur le champ. Qui devait-elle repérer exactement ? Un mutant en position de défense fasse à un danger, un nouveau mutant refoulé, perdu ? La peur se ressentait dans beaucoup d’esprit, le sentiment d’être délaissé de tout, celui de vouloir mourir, le sentiment d’être perdu.
-Là ! s’exclama t-elle d’un coup.
Un esprit en particulier venait d’attirer son attention…un homme plus précisément.
Jean le repéra dans les rues de New-York, ses sentiments étaient mélangés.
Tantôt en colère, tantôt un sentiment de trahison mais le plus fort de tous était la désorientation.
Refermant les yeux un cours instant, le Cérébro se « rendormis ». Jean ôta le casque, le reposa et porta ses mains à son visage comme pour revenir à elle.
Quelques minutes se passèrent avant qu’elle n’éteigne totalement le Cérébro. Retraversant l’espèce de passerelle qui la séparait de la porte, il fallait qu’elle trouve une personne, un X-men plus précisément pour aller chercher se mutant.
Elle re-verrouilla la porte de la pièce et se redirigea vers l’ascenseur pour faire part de sa découverte.
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