7h45

Ksenia faisait la grâce matinée se matin, la nuit de la veille avait été quelques peu arrosé chez Oncle Tom. Il n’y avait pas à en redire ils savaient fêter en grand et leur amis des caraïbes étaient aller fond la caisse! Elle se demandait si c’était l’alcool ou l’exposition à la musique trop forte qui lui avait donner se coup de masse au crâne. Elle se recroquevilla bien au chaud sous ses couverture… lorsque son téléphone se mit à sonner. Exaspéré, elle décida d’ignorer tout bonnement la sonnerie. Lorsqu’elle pensait enfin s’en être tiré, il se remit à sonner de plus belle.

*C’est pas vrai à la fin… *

Une seconde sonnerie accompagna celle du fixe, Jack arriva trottinant gaiement trainant son sac d’où venait la seconde frénésie sonore. Elle se sortir le bout du nez voyant la silhouette de son animal assis la courroie de son sac pendant sur le côté. Elle se redressa et prit le sac à Jack qui s’en alla s’allonger sur son cousin machouiller un jouet. La jeune femme fouilla un instant et trouva enfin le petit appareil.

« Allo? Antony?!?!? Moins vite! Moins vite! »
« Désolé, Mary t’envois avec moi chercher des jeunes fraîchement arrivés au pays… le problème c’est que leur avion arrive dans quelques minutes… »
« C’est une blague n’est-ce pas Mary n’a rien mit à mon agenda »
« Je sais le mien non plus… elle a disons retrouvé la mémoire cette nuit… »
« Joie. Tu viens me chercher? »
« Oui je suis déjà en route, 15 minutes et je suis là »
« Très bien… »

Elle sortie de son lit avec probablement la pire tête qu’elle pouvait avoir, elle prit un jean, une chemise à carreau et une veste moelleuse et s’enferma dans la salle de bain. Elle prit une douche en vitesse très froide afin de se remettre les idées en place laissa ses cheveux humide séché tel quel. Elle sauta dans ses souliers de course orange et dévala les escaliers pour aller dans la cuisine. Elle prit 3 cachets pour son mal de tête et en amena 2 autres dans son sac juste au cas où. Elle fit descendre le tout avec un yougourt vanille. Attrappa son sac qu’elle mit en bandouillière vérifia d’avoir le nécessaire. Prit la laisse de Jack, sortit l’animal dans la court pour ses besoins et alla attendre Antony à l’avant.La voiture d’Antony se gara dans un grincement horrible, par la vitre baisse il cria.

« La voiture de madame est arrivée. »
« Tu es sûre qu’elle va nous amener à l’aréoport?? »
« Ne critique pas Betty très chère »
« Betty? Tu appelles ta voiture Betty?? »
« Oui, et elle ne grince des dents que si je la brusque. »
« Ah alors évite de la brusquer s’il-te-plait »
« T’as une sale tête ce matin… fêter un peu trop fort »
« Non, sans blague… disons que j’ai espérimenté les festivités type Caraïbe. »
« Chanceuse »
« Conduit on est déjà très en retard. »
« Ah tiens c’est pour toi… son nom est écrit dessus »
« Ce carton est énorme, Mary veut que je me transforme en femme sandwich?? »
« En fait c’était mon idée puisque tu la verras pas, elle ne pourra pas te manquer »

Antony expliqua à Ksenia qui ils allaient chercher comme cela. Pour sa part il devait être là pour accueillir un jeune espagnol de 16 ans qui arrivait pour un échange culturel. Elle, Mary lui avait confié la tâche de s’occuper d’une certaine Angela Jacq… Jacq elle ne savait même pas si elle arriverait à le prononcer comme il se doit. Selon son collègue, la jeune fille arrivait tout droit d’Afrique et ce serait son père qui aurait prit contact avec l’Organisme pour que sa fille ne soit pas laissé à elle-même. Mary avait très peu de détails, aussi Ksenia ne savait pas trop à quoi s’en tenir sur la jeune fille, pourquoi elle venait à New York en autre, tout ce dont elle savait c’était que l’Organisme la prenait à temps plein. Ce qui voulait dire que K devrait faire un suivi régulier pour voir si l’adolescente s’intégrait bien.


¤ 9h25 ¤


Antony déposa K à l’entrée principale le temps d’aller garer la voiture, pendant ce temps elle devait aller s’informer des heures d’arrivée des 2 vols pour pouvoir repêcher leur deux oisillions. Elle trouva un bureau d’information, un très gentil employé l’informa que pour l’avion du garçon espagnol avait du retard et arriverait dans 45 minute normalement. Une bonne nouvelle, pour sa cliente par contre l’avion était atterit en avance, non mais comment un avion pouvait avoir de l’avance! Lorsqu’Antony la rejoint il s’en allèrent directement aux portes de débarquements en provenance de l’Afrique pour voir s’il ne trouverait pas la jeune fille. Il y avait un monde fou, mais selon Antony qui pouvait voir la jeune fille sur la photo fournie au dossier elle n’était plus là. Le temps avançait et Antony dû se rendre à la porte de débarquement pour attendre son client.
Dirigé grâce à Jack elle retourna à l’accueil et demanda au commis si c’était possible d’appeler un individu à l’intercome. Elle lui expliqua évidemment qu’elle venait chercher une étrangère étant désigner comme son guide ce qui ne manqua pas de faire rigoler le commis ayant remarquer sa cécité. Ksenia ayant toujours sa migraine ne peut retenir de lui lancer un regard meurtrier, lui enlevant toute envie de rigoler de nouveau. Quelques minutes plus tard, le nom Angela Jacq résonnait dans tout l’aéroport ainsi que sur les quais des taxi à l’extérieur.

« Avis à tous les voyageurs, Mlle Angela Jacq est priée de se présenter à l’Accueil. Mlle Angela Jacq vous êtes attendu à l’Accueil. »

Ksenia s’éloigna juste un peu de l’accueil pour aller s’asseoir sur un banc ayant toujours le carton donner par Antony. Elle le planta près d’elle afin que le nom soit visible… espérant de l’avoir mis dans le bon sens.

Alors qu'Angela venait de repéré la sortie de l'Aéroport, les haut-parleur se mirent à appeler son nom.

« Avis à tous les voyageurs, Mlle Angela Jacq est priée de se présenter à l’Accueil. Mlle Angela Jacq vous êtes attendu à l’Accueil. »

La jeune fille fut surprise et soulagée. Quelqu'un semblait finalement l'attendre. Ses épaules se détendirent, et l'adolescente laissa échapper un soupir de soulagement. Un sourire revint fleurir sur ses lèvres, malgré que ses yeux, eux restait triste. Il n'avait jamais vraiment repris de leur éclat après la mort de Kelly, et il lui était maintenant difficile de surmonté le besoin de solitude de son père et le fait de devoir quitté l'Égypte qu'elle aimait tant.

Fermant les yeux, elle se résolut à chasser de nouveau ses pensée négative. Il ne servait à rien de s'apitoyer sur son sort. Elle adressa une petite pensée au Dieu égyptiens qui guidait sa vie.

Osiris dieu de l'immortalité, je t'en pris, veille sur ma mère. Ouvre mon cœur et celui de mon père au renouveau et à la résurrection, rend nous à nouveau fertile de coeur pour que nous puissions renaitre de notre Deuil. Toi qui est le Dieu du renouveau et de la régénération, je t'en prie, viens nous en aide. Je sais ma mère était une juste d'esprit, puisse-t-elle avoir trouvé la paix auprès de toi

Prenant une grande inspiration, plus sereine après sa prière, la jeune mutante se dirigea vers l'accueil. Il lui semblait l'avoir aperçu un peu plus tôt. Se fiant au indication sur le annonce, elle réussi à ne pas se perdre, et ne prit que quelque minute pour y retourner. Devant, personne, elle s'avança néanmoins jusqu'au comptoir.

"Pardonnez-moi, je suis Angela Jacq, et l'on viens de me demander de me rendre ici."

La jeune réceptionniste lui sourit et lui indiqua une jeune femme assise un peu plus loin. Elle avait un chien avec elle, ce dernier était harnaché. comme un chien d'aveugle et Angela en déduit donc, que la jeune femme l'était. Marchant doucement, elle s'approcha de la femme. Cette dernière portait justement un écriteau avec son nom.

"Bonjour Madame, je m'appele Angela Jacq, je crois que vous me cherchiez." Le ton était polie, respectueux et humble. Elle parlait avec une voix clair et articulé. Cependant, dans sa voix, il semblait y avoir plusieurs accents qui se mêlai : Français, Québécois, et quelque chose d'autre. Quelque chose de chantant, et d'un peu étrange.

Angela se tenait a quelque pas de la jeune femme, par respect et pour ne pas envahir cette dernière. Angela ne voulait pas être trop près, ne sachant trop comment ce comporter avec une dame aveugle. Elle ne voulait pas la gêner ou l'importuner.

Ksenia attendait patiemment soit l’arrivée de l’inconnue, soit le retour des deux hommes. Elle caressait distraitement le pelage de Jack dont le tête reposait sur sa cuisse. Des pas non loin en face d’elle s’arrêta en face du comptoir de l’accueil qu’elle ne pouvait plus dicerner car il était à l’extérieur de son périmètre de vision. La voix féminine s’adressant à l’hôtesse d’accueil lui fit espéré que ce fut cette Angela qu’elle avait fait appeler qui apparaissait soudainement. Sans se lever elle s’étira un peu pour mieux prêter attention aux bruits environnants faisant abstraction des bruits de foules pour ce concentrer sur ceux de la jeune fille dont la silhouette ne tarda pas à se dévoilé.

Jack redressa les oreilles en voyant l’adolescente s’approcher vers eux, il la fixait de ses grands yeux marrons. Ksenia lui tapotait maintenant doucement la tête, elle aussi fixait la jeune fille avec beaucoup d’intensité. Elle observa sa silhouette vaguement pour venir planter ses prunelles couleurs d’hiver dans celle d’Angela et écoutant silencieusement l’adolescente s’adresser à elle. Après avoir laissez un moment de silence planer, Ksenia lui décrocha un sourire radieux, sa peau d’une blancheur extrême sembla s’illuminé malgré les airs fragile qu’elle inspirait au premier regard.

« Bonjour Angela. J’espère que ton voyage c’est bien déroulé. » la jeune femme se leva et se planta en face de sa cliente, malgré la fatigue qu’elle pouvait éprouvée, elle dégageait néanmoins une assurance et une force rassurante. Elle tendit doucement la main vers la jeune fille. « Je suis Ksenia, tu peux aussi m’appeler K si tu veux, mais pas de Madame s’il te plait.» dit-elle avec une pointe d’humour en lui serra la main. « Lui c’est Jack » présenta-t-elle son compagnon à quatre pattes alors qu’il était à ses pieds haletant doucement à restant attentif aux gens au alentours. Il ne faisait pas de cas encore d’Angela, l’ignora pour le moment.

K remarqua la jeune fille avait peut de bagages à en juger par sa silhouette peu encombrée. Haussa légèrement un sourcil, elle ne pu faire autrement que l’interroger. « Est-ce que tu as déjà reprit possession de tout tes bagages? Parce qu’en attendant Antony on pourrait aller les chercher et puis aller dans l’aire de restauration... ou allez directement attendre au restaurant si tu n’as pas plus de baggages »

Après s’être assurée que sa jeune protéger avait bien toutes ses affaires, elle l’amena à l’aire restaurant où elle prit place à une table un peu plus isolé afin que Jack puis s’allonger sous la petit table où à côté sans risquer de ce faire piétiner par un voyageur trop pressé. Ksenia n’ayant pas prit le temps de déjeuner ce dit qu’il serait bien d’au moins prendre un thé en attendant. Elle offrit à Angela de prendre à boire et/ou à manger et régla la note. Tout en versant le sucre dans son thé elle entreprit de faire la conversation.

« Je travaille pour l’Organisme d’aide à l’intégration au étranger, ton père à fait la demander à ce que nous te prenons sur un programme. C’est moi qui est chargé de ton dossier… et de t’aider au mieux de mes connaissances. Je dois t’avouer que ton père ne nous a pas laisser énormément d’information à ton sujet… Aussi si tu le veux bien, en attenant mon ami nous pourrions discuter un peu de toi. Ce que tu aime faire ou aimerait faire ici à New York. On ma informé que tu venais ici pour étudier, est-ce que tu as une idée du genre de programme qui t’intéresserait de suivre? Tu es peut être déjà inscrite dans un établissement? Je te bombarde de question excuses moi… Oublions tout ses petits détails bureaucratiques… hum… on va commencer par le début, parle moi un peu de toi. »

Ksenia portant le gobelet avec le liquide fumant à ses lèvres, dans un geste pour boire un peu ainsi que pour se forcer à arrêter de parler et de poser toutes ses questions et de laisser Angela décanter un peu de son long voyage et d’avoir la chance de parler un peu… du moins si elle en avait envi.

[Vraiment désolé pour le long retard, je suis chez mes parents parce que je me suis fait oppéré les yeux, et en plus de la convalescence, leur ordi a buggué alors je me suis retrouvé incapable de venir posté, encore désolé. J'utilise un café internet, mais je devrais retrouvé un débit de post plus rapide a partir de Lundi prochain, je serai de retour chez moi avec un tout nouveau portable :) ]

La jeune femme semblait des plus sympathique et Angela lui sourit avec franchise, même si ses yeux restait triste et douloureux. Certaine blessure prennent du temps à guérir et son deuil était profond. Cependant, on pouvait aussi voir dans ses yeux et à travers son sourire qu'Angela était une battante et une optimiste, elle s'en sortirait grandit.

"Je suis enchanté de faire votre connaissance K, moi, mes amis m'appelle Isis, se serais un grand plaisir si vous faisiez de même." Un autre éclat de douleur, passa dans ses yeux, mais il était mélangé à de la mélancolie, de la fierté et une joie endeuillé. Tant de souvenir heureux, mais douloureux attaché au surnom que lui avait donné son père lui revenait invariablement en mémoire, et tous était imbriqué au souvenir de sa mère. Isis laissa les souvenir glissé en elle, elle ne les repoussa pas, il faisaient partis d'elle et elle ne regrétait aucun d'eux, il était un hommage a la vie que sa mère avait mené et à la femme, mère et épouse merveilleuse qu'elle avait été.

Elle se pencha vers Jack et lui présenta doucement sa main, pleine de tendresse et d'affection. Elle n'avait pas peur des chiens, bien au contraire, elle adorait tout les animaux.

"Bonjour Jack, je suis enchanté de faire ta connaissance."

Elle laissa le temps au chien de reniflé son odeur et de se faire à sa présence. Elle se releva ensuite, plongeant son regard noisette dans celui aveugle de son interlocutrice.

"J'ai encore trois autre valise qui m'attende au baguage, mon père tenait à ce que j'emporte des souvenirs et presque toute ma garde-robe." Angela sourit avec un peu de mélancolie, adressant une prière silencieuse au Dieux de l'Égypthe pour qu'il veille sur son père et son grand-père. Elle aimait tendrement les deux hommes, même si elle n'était pas de leur sang. Il était sa famille et pour rien au monde elle ne les aurait changé. "Le restorant semble absolument génial aussi ensuite. Mon père m'a laissé un peu d'argent de poche et je dois avoué que comme toujours, les repas dans un avions sont pas fameux."

Après avoir ramassé toute ses valise, Isis suivis K jusqu'à l'air de restauration. Une fois assise, comme il était habituelle de le faire, la femme la bombarda de question. Cela amusa quelque peu Isis, mais ne l'offusqua en rien. Elle la laissa parlé et posé ses questions, prenant le temps par le fait même d'organiser un peu ses pensée pour répondre au mieux à ce que voulait savoir son interlocutrice.

"Et bien, je ne suis encore inscrite a aucun établissement, je sais que mon père aurait aimé que je prennent contact avec l'institut Xavier pour surdoué. Cependant, je ne crois pas qu'il est fait des démarches en se sens, sinon, je me doute que ce n'est pas vous qui seriez venues mes eux... en conscéquence, je dois avoué que je ne sait trop ce que je devrait faire. Y a-t-il des restriction pour concernant l'intégration des personne comme moi dans des lycées ici ?"

C'était la première question a posée, le reste dépenderait fort probablement de l'affirmative ou de la négative à cet question très importante.

Après avoir été chercher les dernies bagages de l’adolescentes, et l’aidant du mieux qu’elle pouvait Ksenia amena la nouvelle protégée à l’aire de restauration. Ksenia régla la note pour les deux offrant l’anca à sa jeune compagne. Elle ce doutait qu’elle ne devait pas avoir énormément de fonds, aussi elle préférait de loin lui laisse la somme qu’elle disposait pour autre choses que la bouffe d’aréoport très cher en comparaison à la véritable valeur des choses qu’il vendait. Ksenia écoutant attentivement la jeune amie et failli s’étrangler lorsque celle-ci parlant comme s’il s’agissait de banale marguerite de l’Institut Xavier pour surdoué. Ksenia envala sa gorgé, jeta un coup d’œil autour personne dans le périmètre de sa perception… son ouie lui disait aussi que les gens autour était trop loin pour avoir entendu leur conversation à son plus grand soulagement. Elle sourit à la jeune femme.

« Isis j’ignore comment les surdoués sont perçu chez toi, mais dans une aéroport ce n’est ni le moment et encore moins le lieu pour parler de cette Institut qui tout le monde le sait recueille des êtres particuliers. A New York, la population est plus dense tu vois… et les lions auquel tu n’as peut être pas encore été confronter … eh bien ici ils se fondent dans la masse et tu ne les remarque que trop tard. »

Elle avait fait bien attention de rester le plus serein possible, mais sa voix avait un ton des plus sérieux. La question mutante était un sujet très sérieux et mieux fallait pour une si jeune personne faire le mort le temps de contrôle ses pouvoirs et d’avoir suffisamment de ressource en cas d’éventuelle problème. Elle ne voulait pas l’effrayer mais c’était en même temps très nouveau pour elle de devoir prendre soin d’un mutant, car elle avait très vite conclus que lorsque la jeune fille avait demandé s’il y avait des restriction concernant les personnes comme elle dans les écoles secondaire et collège et bien elle ne faisait certes pas allusion au fait qu’elle venait de débarquer d’Egypte.

« Pour ton éducation scolaire, on va s’arranger il ne devrait pas y avoir de problème de ce côté-là. »

Résonna dans l’espace ouvert de l’aéroport j’entendais au loin revenir Antony, même s’il s’exprimait en espagnol j’aurais pu reconnaitre son rire très caractéristique parmi une foule hurlante. Je m’arrêta dans ma discution alors que les deux jeunes hommes vinrent nous rejoindre, la silhouette du garçon qui accompagnait Antony était un peut maigre, le garçon semblait timide et n’osait pas m’observer directement. Je souris au nouveau venu et à mon ami.

« Bon les filles prêtes pour rentré à la maison? Seigneur… mais c’est qu’elle a amener ses amis avec elle! Tu as vu ses valises! ¡Cuando no vamos a dejar que la obra de las señoras, vamos a ayudarles de acuerdo Juan. Buenas una maleta para ti y aprovecho los otros dos. »

Antony en gentleman qu’i était prit deux des valises d’Isis et fit amener l’autre pas Juan qui était son protégé. Les deux hommes nous devancèrent pour prendre la direction du stationnement où attendait la vieille Betty. Ksenia se leva et marcha en suivant Angela de près Jack toujours au pied au bout de sa laisse à peine plus en avant que sa maitresse. Ksenia mis la main sur l’épaule d’Isis plus en signe que tout irait bien, qu’elle veillerait à ce que ça aille bien surtout. Elle-même n’avait aucune idée de ce qu’elle avait bien faire, le plus important c’était qu’Isis était comme les autres et qu’elle n’avait pas à faire de discrimination… elle n’en avait jamais fait sauf que de savoir que la jeune fille était mutante l’intriguait et la troublait à la fois. Il lui fallait veiller à la placer dans un environnement sécuritaire… mais comment y arriver lorsque la tension était si grand vis-à-vis des mutants.

L’institut Xavier était peut être un lieu à ne pas exclure, même si elle aimerait éviter de placer Isis dans un lieu reconnue pour abriter des mutants. Ne sachant pas comment Isis ce sentait par rapport à sa particularité et ne sachant pas la nature de son pouvoir, elle devait reconnaitre nage en terre totatlement inconnue.

Une fois à bord de la voiture, Antony et Juan s’était mis à converser en Espagnol et à rigoler comme des fous, la musique à tue-tête empêchait Ksenia de pouvoir discuter à Isis et ce malgré le fait qu’elle lui demanda de baisser le volume à quelques reprises sans grands résultats. Aussi elle du attendre qu’il la dépose chez elle. Son domicile était bien plus tranquille et le temps que K prendre connaissance du dossier d’Isis elle trouvait plus sécuritaire de l’amener chez elle. Antony l’aida avec les valises les amena sur le palier et salua gaiment sa partenaire avant de repartir avec Juan.

Ksenia fit entrer Isi dans ce qui était son petit chez soi, elle avait à quelques reprise amener certains clients vraiment désespéré le temps qu’il se place. Des étudiants pour la plupart le temps d’un échange culturelle. La petit maison était très étroite et faite en hauteur et sur le long. Il y avait un locataire en dessous mais le premier et le second étage ainsi que la petite cours-arrière appartenait à la famille Heng. En entrant on atterrissait dans un petit vestibule à la porte de bois massif et un vitraille un peu ternis comme écran. Une fois la porte passé, il y avait un corridor menant à une demi-salle de bain (lévier toilette) et un escalier montant. Première ouverte à droite dans le corridor : un salon avec un superbe piano en face de la fenêtre qui de l’extérieur rappelait l’architecture d’une tour, un banc avait était aménager de sorte que l’on puisse s’y asseoir et profiter de la lumière naturelle. Aucune télévision, juste un tourne disque et une système audio à disques multiples, il y avait un petit canapé près d’une table basse et un fauteuil dans un coin près d’une bibliothèque qui avait été inséré directement dans le mur et couvrait l’espace entier. Des portes coulissante francaises s’ouvrait sur la petite salle à manger un table pour 4 y était mise, un cuisine fonctionnel quoi que petite avec un comptoir et 2 haut banc. Une grand porte vitré laissait voir un petit balcon et la cours arrière bien entretenue. La cuisine et la salle à manger était jointe au corridor par une porte coulissante toujours ouverte et dissimulé dans le mur. A l’étage ce trouvait la salle de bain ainsi que 3 chambres de tailles modestes quoi que plutôt grande.

Ksenia enleva la laisse de Jack en entra et l’animal alla directement trouver son cousin sous le piano pour y mastiquer un jouet.
« Tu vas rester ici quelques jours le temps que je trouve une chambre où un appartement, de préférence près de ton école… donc voilà… Tu peux laisser ta valise là pour le moment elle ne me dérange pas. Je vais te montrer ta chambre. »

Ksenia monta à l’étage et lui fit visité la chambre sur le devant de leur domicile, elle avait un supberbe vue sur la rue et le soir venu elle pourrait y voir aussi par temps clair quelques étoiles. La chambre dans les tons rappelant la mer et le sable était sobre et bien soigné comme le reste de la maison qui était d’une propreté maladive… aucune poussière, tout était soigneusement rangé et semblait y avoir sa place. Peu de bibelot était sur les tables. Il y avait néamoins un magnifique rosier dans la salle à manger et plusieurs plante dans le salon.

« La salle de bain est la porte d’en face de ta chambre, la porte à côté est ma chambre et l’autre porte c’est la chambre de mon père. N’était pas très présent je doute que tu le croises. Pour la salle de bain elle est toute à toi, j’ai la mienne dans ma chambre donc… voilà… tu as un bureau pour travailler… dans le coin il y a un placard et le lit est monté sur des tiroirs. La seule choses que tu as probablement remarquer c’est que la propreté est très important tout autant qu’il s’agit de ma sécurité, juste prêter une certaine attention de ce côté. »

Je restait sur le bas de la porte laissant l’adolescente visité un peu sa chambre. Avant de rajouter…
« Ce n’est que temporaire, mais tu peux rester ici le temps nécessaire… Je te laisse un instant pour t’installer si tu veux… Je vais être à la cuisine. Tu descendra quand tu seras prête et on pourra discuter de tout ce que tu veux… y compris des mutants maintenant que nous sommes dans un lieu plus sûres. »

Je m’éclipsa pour redescendre, alla comme je l’avait dit à la cuisine. J’avais besoin d’un thé fort, très fort… et de Bob mon fidèle ordinateur. Je devais me renseigner un peu plus sur cette institut Xavier et savoir qui était en était le contact… j’étais déterminé à ne pas laisser Isis dans un lieu que je jugerait non sécuritaire.

C'était la première fois que Ksenia se retrouvait dans cette situation. Elle n'avait aucune idée d'où commencer avec Angela, elle qui était mutante plusieurs facteurs devront être pris en compte et en plus il fallait qu'elle le cache à l'Organisme... alors l'envoyé à l'Institut Xavier, pour le moment ce n'était pas la meilleure idée. Elle n'avait jamais réellement aborder l'aspect mutant au travail et elle était consciente que certain collègue était quelques peu mal à l'aise avec l'idée mutante. Elle ne pouvait pas non plus placer comme cela Angela à l'Institut Xavier même si la jeune fille l'avait mentionné comme une volonté de son père. Savait-elle seulement les répercussions sur sa vie pouvait avoir comme impact? Ksenia n'était pas contre l'Institut... le fait qu'elle soit autant médiatisée et reconnu mondialement comme le refuge de jeunes mutants en apprentissages de leur pouvoir ça c'était un point sur lequel elle coinçait. Elle ne pouvait se résoudre à laisser pour le moment Angela à l'Institut avant d'avoir vérifié quelques petites choses et surtout de faire réfléchir l'adolescent et si malgré tout elle désirait y aller... eh bien elle ne s'y opposerait pas davantage.

Elle-même n’était pas du tout abilité au sujet. Qu’est-ce qu’elle savait des mutants après tout? Ce qui la troublait de cette rencontre était de s’apercevoir que finalement elle n’avait fait que se cacher des gens mais aussi de ceux qui auraient pu lui ressembler... Il avait été possible qu’elle ai aidé certains d’entres eux sans même le savoir. Elle n’allait pas non plus s’apitoyer sur son sort, elle avait eu beaucoup de chance de tomber sur une famille aussi conciliante et ouverte d’esprit qui avait eu le soucis de lui inculquer tout ce qu’elle savait pour passer inaperçu. Elle ne pouvait nier que ses pouvoirs n’étaient pas très spectaculaires, rien de comparable à une jeune adolescent qui par exemple découvrait qu’il avait la faculté de produire de flammes… c’était problématique dépendant du type de phénomène que l’individu était capable de produire.

Mutant ou non, nous étions tous humains et que dire des humains? Si elle était convaincue d’une choses c’était que malgré que certains hommes et femmes s’efforçaient d’apprécier et d’aider son semblable, la grande majorité était facilement manipulabe. Une fois sous la peur il était même près à ce détester eux-même si on les convainquaient qu’ils n’étaient pas normaux. La normalitée cela aussi était relative, dans la nature c’est bien la diversité qui assure la survie de plusieurs espèces. La mutation était une nouvelle couleur parail à la peau des noires ou encore du balzane des latinos du moins c’était son opinion personnelle.

Machinalement elle prépara son thé, le tout mis à chauffer elle fixa un moment Bob (son ordinateur portable) reposant sur le comptoir. Elle devait s’informer sur l’Institut quand même, parce qu’elle ne pouvait pas renier le fait qu’ils aidaient les jeunes mutants et elle devait avouer que ceux qui y étaient malgré le fait de l’étiquette qu’on leur collait dessus n’était pas pour autant impliqués dans des histoires d’attentats où autres débordements publiques. Était-ce se qu’Angela voulait… être catalogué? Ou bien était-ce elle qui avait peur de l’être… elle avait propablement peur que sa particularité soit un levier contre sa famille et ses amis. Qu’est-ce qu’elle savait sur la condition mutante? N’était-ce pas finalement ironique de sa part d’affirmer être à l’aise avec ses différences alors que son mode de vie témoignait totalement du contraire? Elle se cachait au monde, non en fait c’était moins grave que cela elle survivait. Son père un homme très intelligent et lui avait appris à se fondre dans la masse.

Elle se servit une tasse de thé gardant ses mains un instant autour de la tasse, son regard observant l’effervescence du liquide chaud. Elle but quelques gorgés tout en préparant une boule de pâte qu’elle plaçant dans un plat sous un chiffon humide pour la laisser reposer jusqu’à l’heure du dîner. Elle avait eu envi de faire ses nouilles maisons avec un sauté aux légumes… si Angela s’avère à aimer les fruits de mers, elle pourrait bien y mettre un peu d’anguille fumée sur un lit de riz.

Terminant de préparer mentalement le menu du diner, elle entendit la pas de la jeune fille descendre et la rejoindre. Elle lui sourit, apportant le plateau où elle avait mit deux petite théière, un bol avec du sucre en cube ainsi qu’une assiette avec des biscuits secs. Elle disposa ensuite 1 tasses chinoises à l’intention de la jeune fille et vint prendre place à la table avec sa tasse en main.

« Tu veux du thé? » elle laissa un moment s’écouler, laissant son invité prendre place.

« Je voulais m’excuser si à l’aéroport je t’ai paru un peu bête… C’est juste que parler du sujet que tu as lancé si vivement, comment dire ce n’est pas très approprié ici. Les mutants n’ont pas tous la chance de pouvoir compter sur des gens qui les respectent et veulent leur bien. Je dirais que dans un pays comme les États-Unis la mutation est vu comme une différence sociale… nous sommes dans une ère où l’humain sans particularité veut éliminé ce qui est différent de lui de peur qu’il ne le domine. Je te laisse imaginé ce que ça créer comme situtation lorsqu’on sait déjà ce qu’un homme simple peut faire à un autre homme… il suffit de regarder en arrière les deux grandes guerres du siècle derniers… les résultats parlent d’eux-même.

Quoi que je ne veux pas t’assommer non plus de détails et de fait historiques... Nous avons quelques petites choses à discutez si tu le veux bien. Je ne me suis pas encore présenter convenablement… alors qu’est-ce que je peux t’apprendre sur moi…

Euh je suis atteinte de cécité, mais ça tu l’avais déjà remarqué. Je travaille pour un Organisme qui aide les étrangers à s’intégrer que ce soit en les aidant à trouver un emploi, à leur fournir des cours pour apprendre l’anglais, à leurs fournir des moyens légaux pour se défendre et se protéger, en faisant des levés de fonds, en participant à des jardins collectifs… On encourage aussi beaucoup les jeunes, nous avons un bureau d’intervention dans 3 écoles secondaires de quartiers difficiles ainsi qu’un à l’Université près de Central Park où je suis intervenant en plus d’étudiante là-bas.
Je vie à New York depuis un peu plus de 5 ans maintenant, avant j’ai vécu plusieurs années en Russie où j’ai obtenu ma license d’Interprête, sinon j’ai grandit en Chine jusqu’à mon adolescence. En résumé, c’est un peu moi… »

Lorsque la jeune mutant arriva dans la cuisine, elle trouva sa nouvelle "tutrice" les main occupé à faire du thé, l'esprit semblant ailleurs. Ses pas semblèrent la tiré de sa rêverie et elle se retourna vers elle. Les yeux d'Angela furent attiré par les magnifique tasse chinoise qu'elle portait sur un plateaux. K lui offrit de prendre le thé et l'adolescente accepta. Rien de tel qu'une bonne boisson chaude pour se remonté le moral. De plus, Angela était habitué à boire du thé ou de la tisane régulièrement, dans le désert, c'est une des façon de se sentir mieux. Tu fais monté la température interne de ton corps, ainsi, le désert te semble moins chaud.

La mutante pris place sur la chaise que lui désigna gentillement son hôte. Elle prit délicatement la tasse et plutôt que de boire tout de suite, elle se perdit un moment dans l'admiration de l'art qui recouvrait la tasse. Puis, Ksenia la tira de sa contemplation en reprenant la parole. Elle se présenta un peu et Isis prit le temps de l'écouter avec attention. Relevant la tête, elle la regarda tout en l'écoutant.

Pour lui montre qu'elle ne lui en voulait pas du tout, Angela sourit amicalement à la femme. Elle avait très bien compris pourquoi K avait parlé comme elle l'avait fait à l'aéroport. Elle ne lui en tenait aucune rigueur.

Angela comprit alors un peu mieux les tasse chinoise et le nom étranger de son hôtesse. L'adolescente aimait bien la diversité. En suivant son père, sa mère et ses grands-parents dans leur fouilles, elle avait vu toute sorte de monde, et elle trouvait que c'était ce qui faisait la beauté du monde, sa diversité et ses couleurs.

"Vous pourriez m'apprendre le russe ? Ou le chinois ?" Isis, bien que plus doué qu'une autre, adorait entendre différente langues et en apprendre quelques mots. Bien sur l'ancien égyptiens resterait son dada, mais pour elle, apprendre une langue, c'était un peu comme apprendre un parti d'une culture. Avoir un aperçu de leur gens. La médecine et l'anthropologie l'avait toujours fasciné.

Il n'avait pas à dire que la jeune fille était rapide en affaire, apprendre le chinois ou le russe n'était pas chose facile. L'entrain que démontrait Angela n'avait rien pour plein à Ksenia elle aimait ce côté un peu naïf, la curieusité était très apprécié pour un esprit éveiller cependant chaque chose en son temps. Elle devait d'abord veiller à bien installer sa nouvelle protégée, savoir ce qu'elle aimait, lui obtenir ses cartes d'identité si son séjour venait à se prolonger ou voir si elle comptait demander sa citoyenneté dans un future rapprochée. Pour le moment, elle était considéré comme une immigrante aux yeux de la loi des états-unis et sous la tutelle de l'organisme avec la jeune femme comme agent ou intervenant... bref peu importait comment la bureaucratie appelait son rôle dans toute cet affaire.

Elle prit une autre gorgé de thé toujours aussi chaud, elle aimait cette odeur de bergamotte c'était un arôme qui la faisant sentir bien et la calmait plus que le ferait une tisane.

" Pour apprendre le chinois ou le russe, je ne dis pas non. Cependant ça ne sera pas pour tout de suite, avant nous devons te trouver une école selon ton niveau de scolarité. Pour commencer, si tu me disais ce que tu étudiais chez toi, ou qu'est-ce que tu aimerais étudier hormis les langues... est-ce que tu as une petite idée d'un domaine qui te plairais de développer pour une carrière? "

Une fois qu'elle aurait mieux cerné la personnalité d'Angela elle pourrait lui trouver l'établissement requis et si besoin est l'envoyé à l'Institut Xavier... quoi que pour le moment il en était hors de questions. Elle n'allait pas la placer dans une Institut alors qu'elle ne la connaissait pas du tout. De plus il y avait une faible chance de la mutation de la jeune fille puisse être aisément confondu avec quelqu'un de normale, Ksenia entendait pas là le fait qu'elle n'avait pas un pouvoir très dangereux... du moins ne sachant pas encore la nature de la particularité de la jeune fille elle ne pouvait que ce baser sur la courte expérience qu'elle avait depuis leur connaissance. Pour le moment pas de flammes, pas d'explosion, de phénomènes étranges, alors soit son pouvoir était faible dans son expression soit il était comme le sien peu apte à s'extérioriser... en d'autres mots il n'était pas facilement identifiable. Quoi qu'elle devait finir par savoir tôt ou tard de quoi il était question, si elle devait prévoir une catastrophe éventuelle autant s'y préparer et pouvoir controler du mieux qu'elle pouvait les futurs dégâts.

"C'est peut être indiscret, tu me dis je fais fausse route d'accord... si j'ai bien compris tu es mutante, alors... je me demandais qu'elle était ton don? "

Ksenia s'exprimait toujours avec un calme irréprochable choisissant ses mots afin de ne pas insultés ou provoquer inutilement sa jeune compagne. Il n'était certes pas facile de vivre un si grand bouleversement qu'un déménagement outremer et ça elle savait très bien ce que ça impliquait pour en avoir vécu deux majeurs. Aussi elle était très douce avec Angela, de plus si elle se trompait sur sa mutanité elle n'allait très certainement pas crier sur tout les toits qu'elle était elle-même mutante. Pareille si dans le cas inverse, si Angela se confiait à elle elle n'irait répété à personne ce que la jeune fille lui dirait à moins évidemment que cela puisse permettre de lui sauver la vie ou de la protéger. Quoi qu'il en soit le but de cette petite discution était d'en savoir un peu plus sur elle... parce que jusqu'à présent... c'était très maigre comme information.

Une chose dont Ksenia était certaine c'était de pouvoir apprendre à Angela de vivre le plus normalement possible et de se fondre dans la masse afin de vivre une vie agréable et rangé comme n'importe qu'elle humain, car après tout les mutants étaient des humains, non? Elle se demanda lequel entre le collège privé et le collège public conviendrait d'avantage à la jeune fille... le privé avait l'avantage que si Ksenia devait s'absenter longtemps d'offrir le pensionnat... mais d'un point de vue d'adolescent cela pouvait tout aussi bien être vu comme si on voulait se débarasser d'eux... le public était tout aussi rude et en plus cela lui permettrait de voir plusieurs niveaux socials tout en recevant un bon enseignement.

Elles avaient tout leur temps avant de choisir l'établissement, première étape permettre à la jeune fille de se familiarisé un peu avec la ville de New York et ses commodités... ainsi que ses lacunes.

(vraiment désolé pour l'absence je ne trouvait plus l'adresse du forum et avec le début des cours, j'ai un peu passé à côté)

Angela sourit, elle se doutait bien qu'apprendre une nouvelle langues était long. C'était un truc qu'elle aimerait faire éventuellement, mais patienté ne lui dérangeait pas du tout.

"En fait, je doit avoué que j'apprenais un peu sur le "tas" selon les disponibilité de ma familles et de leur collègues. J'ai appris l'anthropologie, un peu de médecine, bien sur mon français, l'anglais, un peu d'arabe, de dialecte et quelque mots de plusieurs langues européenne par-ci par là. J'ai appris les mathématiques, l'histoire, les sciences aussi. Mais je n'ai aucune idée réelle de mon niveau, vu que je n'ai jamais vraiment fréquenté d'établissement scolaire et que j'ai reçu un enseignement de style français."

Elle prit une pause et repris sur la deuxième question.

"Sinon, a vrai dire, je ne suis pas certaine de ce que je voudrais vraiment faire plus tard. Écrivaine, médecin, anthropologue, archéologue ou égyptologue, tous cela m'intéresse beaucoup."

Elle ne sembla ni surprise, ni choqué par la question sur ses pouvoirs de mutantes. En fait, elle en aurait parlé comme quelqu’un aurait dit qu’il avait du talent en dessin ou qu’il était bon à l’école. Avec une once de fierté, mais avec un ton banal.

"J'ai découvert que je pouvait soignée de blessures mineurs en touchant les gens et ne me concentrant très fort. Ce n'est pas quelque chose que je peux faire à profusion, mais c'est un don assez pratique en certaine occasion."

Angela semblait se sentait un peu mal à l'aise cependant. Elle ne savait trop que dire. Elle ne voulait pas ennuyé cette femme qu'elle connaissait à peine avec ses problèmes. Elle ne savait pas ce qu'elle aimait, ni quel sujet de conversation pourrait leur être intéressant à toutes deux. C'était une parfaite inconnu. De plus, elle ne comprenait pas encore vraiment ses sentiments face à ce déménagement, face à son deuil et à sa vie en ce moment. Elle n'en voulait pas à son père, mais c'était la seule chose qui lui semblait clair. Si bien, qu'elle se sentait un peu embarrassé. Avec les collègue de son père, elle pouvait toujours discuter d'histoire, d'anthropologie et de l'Égypte, mais ici... elle ne savait pas du tout quel genre de conversation entamé pour brisé la glace et apprendre à connaitre K.

Ce que lui appris Angela consernant son niveau scolaire et sa pratique pédagogique n’avait rien d’énormément surprennant. Elle pouvait comprendre le choix de certains parents à faire l’enseignement à la maison à leur enfant, mais il fallait de la rigueur et surtout une base régulière. Elle n’allait pas remettre en question l’éducation de l’adolescente, après tout elle avait peut être eu un enseigment décousu mais hors-pair qui savait réellement. Au moins elle savait qu’il lui faudrait lui faire passer un test pour évaluer son niveau et ainsi lui trouver le programme le mieux adapter pour la jeune fille.

Pour ce qui était des ses plans de carrières ou même de vie, Ksenia n’était pas bête au point de croire que tout était déjà plannifier dans sa tête, elle était jeune et avait besoin de faire ses expériences afin de trouver sa voie. Les choix de la jeune fille restait très intéressant malgré tout, donc elle était plutôt une fille d’action tout en était intellectuelle. Les sciences devaient être envisagée alors vue les requis nécessaire pour la plupart de ses options. Elle sentit que le lendemain ne serait pas de tout repos, qu’il lui faudrait faire plusieurs appels. Et surtout trouver une copie de ses tests d’évaluation pour savoir à quel niveau elle est rendu.

« C'est un pouvoir très pratique et peu voyant, ça va être un bon point pour éviter de te faire remarquer trop en tant que mutant. J'ai l'air de vouloir te faire cacher ton don, mais c'est pas tout à fait ça... C'est un peu plus compliqué... Tu as la change d'avoir un don qui te permets de passé inaperçu pratiquement dans la masse et de pouvoir vivre normalement, si on compare à une personne doté par exemple d'un don de torche humaine. Le temps qu'il arrive à se maitrisé il risque d'y avoir quelques incidents qui pourrait lui valoir une étiquette indésirable. Le monde en général, je te dirais mutant ou non a peur de la différence, la mutanité je crois qu'il faut la voir comme une couleur de peau nouvelle... tiens et si on disait que les mutants était violet. C'est un phénomène qui se répétait continuellement, juste voir combien de temps cela a prit par exemple à la population noir ou a n'importe quel peuple. L'homme dans sa nature ne supporte pas de ne pas être l'unique, si une différence lui déplait il tentera de la changer pour la faire sienne ou de la détruire s'il voit qu'il ne peut pas la contrôle. C'est ce genre d'instint qui amène les guerres selon moi... et d'autres événement tragique qui on défiguré le monde. »

Pour ce qui concernait le pouvoir de l’adolescente, K fut apaisée de savoir qu’elle n’avait pas à faire à un crocheur de feu par exemple. Ce concordait un peu mieux avec ses propres expériences. Elle se savait au moins capable de pouvoir enseigne à la jeune femme comment se débrouillée comme son père lui avait montrer, elle ne s’en portait pas plus mal qu’un autre… hormis peut être le fait qu’elle ne connaissait pas t’en de mutant que cela. C’était probablement le seul point négatif qu’elle pouvait trouver aux manières de son père quoi qu’après tout elle pouvait être entourer d’avantage de mutant qu’elle ne pouvait le soupçonner.

Perdu dans ses pensées, elle n’avait pas prit conscience que sa jeune compagne était silencieuse depuis un moment. Le silence était chargée et un peu lourd, elle fixa la silhouette assise en face d’elle et lui sourit doucement un air apaisant et un peu maternelle brillait sur les doux traits de son visage blanc comme la neige. Elle déposa sa tasse dans la secoupe et saisit la main en signe de ne pas s’en faire. Le temps allait finir par arranger les choses et apporter les réponses nécessaires.

« Je m’excuses. Je suis un peu froide avec tout mes questions… j’ignore pourquoi tu es ici, ce que tu as quitté et laissé derrière toi… mais je pense pouvoir comprendre ce sentiment incompréhensible qui pourrait ou t’as déjà imprégnée.

Quand je ne me sens pas très bien ou d’humeur triste ou maussade je fais de la nourriture… je ne suis pas une fée du fourneau quoi que je me débrouille plutôt bien quand ça ne cuit pas trop… sinon si tu préfères, tu peux prendre le temps pour te reposer je viendrais t’avertir un peu avant l’heure du souper. »

Faire de la popotte avait toujours aidez Ksenia à se détendre et à faire le point dans des situations difficiles. Elle n’irait pas jusqu’à dire qu’elle était un cordon bleu, il arrivait souvent que dans ses périodes de femme au fourneau elle calcine où rate complètement des plats. Quoi que faire de la popotte n’était peut être pas ce que voulait faire Angela

Dans le silence qui flottait une sonnerie de téléphone résonna, Ksenia s’excusa à Angela après quoi elle se leva de sa chaise et se dirigea vers le petit secrétaire près du hall d’entré là où elle déposait son portable. La sonnerie lui indiquait qu’il s’agissait du bureau, pour qu’il l’appel sur son numéro privé c’est qu’il y avait un problème avec une des ses dossiers en cours.

Elle décrocha et discuta un bref moment avec une collègue du bureau. Après quoi elle retourna dans la cuisine retrouver Angela. Elle n’aimait pas se retrouver coincé dans cette se genre de situation, mais elle avait des responsabilités aussi envers d’autre individu. Une petite famille dont elle aidait à l’intégration était prise avec certain problème qui nécessitait son implication. Il parlait et comprenait très mal encore l’anglais.

« Je suis désolé Angela… mais je dois m’absenter pour une heure ou deux, prend le temps de te reposer un peu… si tu as faim sert toi, tu trouveras surement quelques choses qui te plais… si tu as un problème je vais avertir Oncle Tom de ta présence et si tu as besoin de quoi que se soit il tien le Read Café juste en face de l’autre côté de la rue, il est d’agréable compagnie et veillera bien sur toi le temps de mon absence. Surtout n’hésite pas… ah et mon numéro tiens… »
Elle lui donna une carte professionnelle qui était posé près d’un petit vase.
« Je fais au plus vite je le promets. »

Ksenia fut rappelée à l’ordre par la sonnerie de son cellulaire qui reprit de plus belle. Elle salua Angela avant de prendre la laisse de Jack et de sortir avec lui. Elle ne poussa son audace et l’impolitesse à répondre, elle attendit de d’être sortie pour prendre l’appel qui était de nouveau sa collègue lui annonça qu’elle lui faisait venir un taxi pour la faire conduire. Ksenia partie donc en direction de SOHO après avoir demander à Oncle Tom de garder un œil sur la jeune Angela qui était en ce moment chez elle. Le taxi s'arrêta au face de l'hopital où le fils ainé attendait la jeune femme, il était vraiment énervé mais il semblait qu'un incident ai survenu au patriache. Ksenia rassura le jeune homme après quoi elle rejoint le reste de la famille pour faire l'intermédiaire.

Angela avait prit le temps de réfléchir. Elle n'avait jamais vraiment fait de cuisine avant. Cependant, avant qu'elle n'est le temps de se demander vraiment si elle voulait ou non aidé K, son téléphone sonna. La jeune adolescente pouvait très bien comprendre ce qu'était une urgence et elle ne lui en voulue pas.

Avant qu'elle ne sorte l'adolescente lui dit sur un ton amical et compréhensif : "Prend ton temps K, je peut me débrouiller seule."

Elle regarda la porte se refermer derrière la jeune femme avec un petit sourire amusée et légèrement inquiet. Elle espérait que rien de grave n'était arrivé et elle se demanda fugacement si elle aurait put aidé, mais finalement, elle se dit que probablement pas. Elle ne connaissait rien à New-York et aurait sans été plus une gêne qu'autre chose.

***

La jeune femme resta quelque longs instant à la table à se demander ce qu'elle avait envie de faire. Voulait-elle manger ? Elle avait faim, c'était vrai, mais elle se sentait aussi un peu "déphaser" face à la réalité.

Finalement, elle opta pour une promenade dans la rue. Elle avait besoin de vivre le réelle des événement, de sentir New-York et tout. Elle voulait aussi visiter son quartier et tous cela allait l'aidé à mieux accepter sa nouvelle vie.

Il lui fallait manger cependant, c'était un fait. Elle se dirigea donc, un peu mal à l'aise, bien qu'elle soit seule, vers le réfrigérateur. Elle y prit une pomme et un peu de fromage. Dans une armoire, elle dénicha des craquelin au légumes, ce serait parfait. Elle n'était vraiment pas du genre difficile pour la nourriture, bien au contraire. Elle mit un mot sur la table et remonta à l'étage.

Elle alla ramasser un de ses petits sac à bandoulière tressé et un poncho. Elle mis son fromage et les craquelins dans son sac et se mit à grignoter la pommes en redescendant de l'immeuble. Elle n'avait pas verrouillé la porte, n'ayant pas la clé, mais elle ne comptait pas sortir longtemps.