Bienvenue a L'université de Princeton où l'alcool, la drague et le sexe sont au rendez-vous 24h/24.
Entre les dortoirs, le stade, les salles de cours ou meme le parc, les relations entre les éleves
et le personnelle enseignant sont des plus intimes.

Entre les Alpha et les Beta qui se détestent, sans oublier les Delta[playboy] qui préferent de loin les beta.
Les étudiants étranger, les intellos et les IOTA[sportifs compétitif], c'est un rendez vous a ne pas manquer.

Le monde a évolué, actuellement, en 2008, la puissance de l’informatique est démontrée chaque jour. Les ordinateurs sont partout, nous pouvons communiquer avec nos proches à tout instant où que nous soyons.

Ce que nous utilisons dans notre quotidien comme les téléphones portables, les GPS, les ordinateurs, l’Internet et j’en passe tout ceci était quasiment impensable il y a 25 ans !
Quoique… Non… Dans certains dossiers classés dans les archives des services secrets américaine il est fait mention de projets utilisant des machines dites « révolutionnaires ». Tout au long des années 80 et 90 des scientifiques ce sont penchés sur des projets tout aussi fou les uns que les autres. Certains ont vu le jour d’autres non, mais ce qui est le plus intéressant, c’est ce qui a été porté sur le terrain.

7 dossiers ont retenu notre attention, vous pouvez lire le nom des machines ou des procédés utilisés.
- Bionic
- K2000
- Supercopter
- Thunder
- Tonnerre de Feu
- Tonnerre mécanique
- Viper

Certains de ses projets datent des années 70, ont été interrompus puis relancé, d’autres sont tout bonnement tombés dans les oubliettes dans les années 80.

La raison pour laquelle ces informations ont été déterrées c’est l’apparition d’une menace terroriste massive cachée sous le nom de code « Le Client », il vole ou tente de voler des technologies qui n’ont pas encore été mises en circulations. Il s'est révélé à nos services en s’attaquant à Charles Graiman, et ses recherches. Tout à pu être récupéré sans trop de mal par l’intervention de ses proches.

Ce que nous savons ?
Peu de choses. Il emploi diverses société de sécurité telles que la Black River Corporation

Ce que nous voulons ?
Eviter de nous retrouver face à des armes contre lesquelles on ne pourraient pas se défendre. Protéger le système de satellite Prométhée

Ce que nous avons décider de faire ?
Relancer ses projets pour que dans un premier temps ils ne soient pas volés par « Le Client » et dans un deuxième temps nous permettre de l'arrêter.

Actuellement seul un seul de ses projets est officiellement actif et a notre soutien, il s’agit du projet FLag. Pour le moment nous recherchons les membres des autres projets afin de les relancer mais ils sont bien cachés ainsi que leur équipement…

Votre mission ?
Retrouver les personnes ayant participé à ses projets.
Trouver et Arrêter le Client, protéger les projets ranimés, arrêter les mercenaires qu'il engage.

]RESUME:
Une guerre ancestrale qui dure depuis des millénaires, entre le Royaume des Nymphes et celui des Démons, au centre du conflit…l’Humanité. Prise entre deux feux ardents, elle est la cible des êtres Maléfiques qui ne souhaite qu’une seule chose, dominer le Monde en exterminant le peuple des Nymphes et en réduisant les humains à l’esclavage. Cela a déjà commencé…Terreur et souffrance sont les maîtres mots de la destinée qui attend le Monde des Hommes encore insouciant du danger qui les guettent. Mais si le Mal rode, le Bien en est de même. Le peuple des Nymphes défends avec force et témérité la survit des humains et de la paix.

Mais qu’est-ce que la Paix ?! L’horizon se voile dernière un soleil noir, l’avenir est incertain seule la Mort semble être la solution, la voie de sortie !!

Certains humains ont remarqué les apparitions des Immortels, le chaos semé sur leurs passages, des enlèvements répétés de leur race, ils ont compris qu’ils n’étaient pas l’espèce la plus dangereuse vivant sur Terre, il y a des prédateurs auxquels ils ne sont pas préparé à faire face. Seul face aux Démons ils ne peuvent rien, mais l’union fait la force et ils se battent pour défendre leurs causes, celle de rester en vie et libre…

Quels camps choisiras-tu !? Celui de la paix, du chaos ou de la liberté !?
Ne te fais pas trop d’idées, un seul vaincra et les autres mourront, reste à savoir lequel !!
Force et courage, sont le sang de t’as liberté !! Paradis ou Enfer, tu pénètres dans une guerre, un Monde tel que tu ne peux l’imaginer car pour le découvrir…il faut choisir t’as Destinée sur Immortal Game !!

Par peur, par crainte, ou parce que leur vie active et trépidante ne laisse pas place à ce genre de pensée... Forcément. On ne pense plus à eux. On les oublie. Avec le temps tout s'oublie, c'est bien connu. Mais eux... Nous ont-ils oublié ? Depuis longtemps, on parle d'eux. Ils font peur, ils intriguent et sont souvent sujet aux interrogations. Mais malgré toutes ces élucubrations les concernant, ils n'en restent pas moins là, tout autour de nous...


San Pedro, Californie 2009.

Petite ville du Sud Ouest des Etats unis, San Pedro est connue pour ses manifestations paranormales. Beaucoup de gens sont partis vers les villes alentours, apeurés. Ce qui les a fait fuir, se sont eux. Leur nom diffère selon les personnes : Fantômes, Poltergeists, entitées ou encore esprits, qu'on les redoute ou qu'on souhaite leur venir en aide, une chose est sur, ils suscitent l'interet. Beaucoup de théories... beaucoup d'abstrait et de suppositions. Mais jamais rien de concret. Percer leur mystère ? Oui, après notre propre mort peut-être... mais le mot fait probablement aussi peur qu'eux. Alors on cesse d'y penser et on passe à autre chose.. jusqu'au jour où ils viennent à vous... Voici quelques témoignages à travers les Etats-Unis.



Sara 42 ans, Port Clinton, OHIO.

" La maison était calme. Je venais de mettre le petit dans son berceau et mon mari était allé chez des amis. Je me suis installée confortablement dans mon lit pour lire un peu comme je le fais chaque soir avant de dormir. Mais en plein milieu de ma lecture, quelques chose a frappé à la porte de ma chambre. J'ai d'abord cru que c'était un bruit extérieur et que j'avais peut-être mal entendu. Mais lorsque les coups se sont répétés, je me suis levée, pensant que mon mari était rentré et qu'il me faisait une farce. Une fois la porte ouverte, il n'y avait personne. Mon mari avait dût se cacher. Il s'amusait souvent à me taquiner comme ça. Je l'ai donc appelé en riant. A ce moment là, j'était persuadée que c'était lui. Mais lorsque les coups on continués contre les murs du couloir où je me trouvais, j'ai commencé à paniquer. J'ai appelé mon mari sur son portable et il était effectivement chez ses amis. Les coups on continué dans le grenier pendant que je téléphonais. Il m'a conseillé de partir avec notre enfant, dans le cas où il s'agissait d'un cambrIoleur. C'est ce que j'ai fais... "


Loren 12 ans, Moore Haven, FLORIDE

" Quand je rentre de l'école, maman me laisse toujours me reposer un peu et jouer dans ma chambre. Ce jour là, j'ai pris un goûter, et je suis montée jouer. Mais quand j'ai ouvert la caisse, un de mes jouet m'a sauté au visage et est retombé par terre en à peine une seconde, avant de glisser rapidement à l'autre bout de la pièce. Je suis descendue en courant. Mais quand ma mère est montée, il n'y avait plus rien, mis à part une odeur de plastique brulé. Ma barbie avait fondu à moitié. "


Henri 27 ans, Seymour, TEXAS

" J'ai toujours cru aux fantômes. Je pense qu'après la mort, nous restons hanter un lieu, en attendant d'être libéré. Lorsque j'ai été témoin d'une véritable manifestation, je ne m'attendais pas à avoir la pire frousse de ma vie. C'était il y a de ça deux ans. Je venais d'acheter une petite maison de campagne pour un prix plus qu'interessant. Nous voulions nous y installer avec mon épouse. Mais dès les premiers jours, j'ai ressenti qu'on ne voulait pas de nous ici. Nos lits étaient défaits quand nous montions nous coucher le soir. Le matin, nous retrouvions des objets qui n'étaient plus à leurs places, ou encore de la vaisselle cassée. Sous l'avis d'un spécialiste, nous avons d'abord laissé une caméra tourner dans la chambre quelques heures avant d'aller au lit. Lorsque nous avons visionné la vidéo, nous ne attendions pas à ça. Les draps bougeaint seuls. Nous avons vendu la maison et n'avons plus jamais remis les pieds là bas. Et d'après ce que j'ai entendu, depuis ces deux dernières années, elle a été revendue une dixaine de fois. "


Véritables témoignages ? Allucinations ? Venez le découvrir par vous-même....si vous n'avez pas trop peur...

Avant tout était différent ici. Cette Ile paradisiaque, cachant bon nombre d'horreurs, était aux mains des femmes. Deux Reines, deux Soeurs : Stella et Célia Johnson. Presque deux années de reigne, d'obligations, de tortures, d'enlèvements et de rebondissements. Une Ile remplie d'hommes mauvais, pour la plupart, de Gardiennes haineuses, d'Amazones blessées. Une Ile sur laquelle les femmes trouvaient refuge, sur laquelle les hommes étaient punis pour leurs actes passés.

Aujourd'hui les femmes, du moins celle qui ont pu fuir, se sont réfugiées dans le village abandonné. Elles ne sont pas sans défense. Elles parviennent toujours à tenir le coup et à faire venir d'autres femmes. Elles ont des armes et font des prisonniers. Mais maintenant les hommes prennent de plus en plus le pouvoir sur l'île. Comment ? Pourquoi ?

Et bien tout cela est dû à une histoire d'amour, celle de Carl Hyde et de Célia Johnson. Par amour, Carl, ancien prisonnier, a réussi à organiser une rébellion chez les hommes, obligeant les deux Reines à prendre la fuite avec leurs Gardiennes, des armes, emmenant avec elles des prisonniers. Malheureusement certaines femmes ont été kidnappées, mais certaines sont restées avec les hommes de leur plein gré.
Carl voulant prouver à sa fiancée, Célia, que cette Ile est dangereuse, a prit le contrôle, inversant les rôles, détrônant les Reines et leurs complices. La donne a changé. Les Reines parviendront-elles à reprendre le dessus ou ne serait-ce qu'à lutter contre ces hommes ? Carl gardera-t-il longtemps le contrôle sur ces hommes dangereux ?

Mesdames, Messieurs, soyez les bienvenus en Enfer.

Qu’est-ce que ma présence et mon intérêt pour l’état de la jeune femme pouvait cacher? Je ne le savais pas moi-même à vrai dire… Qu’est-ce que j’étais venu faire avec un repas pour elle? Qu’est-ce que je venais faire ici? Je n’étais pas là pour me défouler sur l’une d’entre elles, ce n’était pas le genre de chose qui m’apportais satisfaction à vrai dire. Je suis un être impulsif, qui ne cogne pas par plaisir. Je ne suis pas un violeur, et je n’ai pas la moindre envie d’avoir l’une de ses femmes dans mon lit. Elle ne devait pas être plus vieille que Célia, et Célia était trop jeune d’ailleurs… Elle avait beau être très jolie, son corps ne m’intéressais pas plus que je devais l’intéresser. Alors quoi? Je m’ennuyais… C’était nouveau pour moi, j’avais pris l’habitude de dormir auprès de Célia, d’être réveillé par les pleurs de notre fils durant la nuit. J’avais pris l’habitude de vivre tranquillement ma vie de père et de fiancé. Maintenant je dormais seul et peu, je ne voyais plus Matthew et ma fiancée me manquait cruellement… Je n’étais plus du tout certain de ce que je venais de faire. Je me fichais des hommes ou des femmes, qui avait le contrôle me passait 20 mètres au dessus de la tête, tant que ce n’était ni moi, si Célia. Je voulais lui faire comprendre ce que je vivais, et qu’il fallait quitter l’île. Égoïste? Totalement. Je l’observe tranquillement, elle a reçue des coups visiblement et elle semble mal en point. Moi je n’agissais pas ainsi, alors je ne pouvais pas dire que de la voir dans cet état me plaisais particulièrement… si quelque chose me gênait un peu trop, je levais mon arme et je tuais d’un coup. Oh ce n’est pas plus prestigieux, mais je n’ai pas tendance à m’encombrer avec quelqu’un de gênant. Elle me dit qu’elle n’arrivait pas à dormir parce qu’elle était blessée. Cette remarque m’arrache presque un sourire. Oh pas moqueur, simplement parce qu’elle me divertissais, me changeais les idées en quelque sorte, toutefois je doute qu’elle ai envie d’entendre qu’elle m’amusait…
J’hausse les épaules et je dis simplement :

« Ça cache ce que vous voulez bien croire que ça dissimule… Pourquoi l’on demande au gens si ils sont blessés selon vous? »
Un ton calme, bas, je n’avais pas envi de réveiller tout le monde. Je discutais simplement avec elle, c’était bien assez. Ça ne me dérangeais pas de la soigner si elle voulait que je le fasse, si c’était trop grave je l’apporterais à l’hôpital.
Je lui avait également demandé si elle était gardienne, et ce ne fut pas tant sa réponse qui me surprit que le fait qu’elle me vouvoyait également. Je ne dissimulais pas ma surprise et mon intérêt. Elle semblait me mépriser, quoi que j’avais l’impression qu’elle devait agir ainsi avec n’importe quel homme, mais elle utilisait une forme de respect avec moi. J’utilisais le vous également, mais il était rarement que je ne l’utilise pas.

« Je me fiche de ce que vous valez Loan. Je suis persuadé que vous ne valez pas grand-chose au corps à corps dans cet état là, alors il faudrait peut-être être en forme avant de jouer à la plus forte. » dis-je plus sèchement, d’un air légèrement agacé. Pourtant, je ne l’étais pas tant que cela. Cette discussion ne me déplaisait pas. Elle se défendait en paroles, elle ne pouvait rien me faire et elle devait bien s’en être rendu compte. C’était une forte tête qui n’avait visiblement pas eu les choses faciles avec les hommes. Je n’étais pas là pour lui faciliter la tâche, ou pour lui rendre les choses plus simples. Je n’étais pas celui qui allait la prendre en pitié et la libéré. Elle ne voudrait pas de ma pitié premièrement. C’était une femme forte qui ne se laisserait pas marcher sur les pieds par le premier idiot qui l’abordait. Alors je ne la forçais à rien, si elle voulait rester dans cet état, moi j’avais passé un peu le temps, c’était tout ce que je voulais. Elle me demanda qui j’étais, mais je n’avais pas envi de lui dire. Pourquoi? Encore une fois je ne sais pas. Je ne crois pas que je l’effraierais, non probablement qu’au contraire elle ne serait que plus furieuse. Pourtant me battre me changerais les idées également, toutefois je risquais de la tuer et mettre ma fiancée plus en colère encore n’était pas dans mes buts. Et puis, elle n’était pas en forme pour se battre avec moi, je préférais avoir un adversaire qui avait ses chances. Je ne doutais pas qu’elle soit un adversaire redoutable, mais elle ne s’appuyait pas contre le mur pour avoir une pose sensuelle… Alors je ne disais rien, j’écoutais plutôt la suite et cette fois je ne pu m’empêcher de sourire, de rire légèrement même. Elle devait me croire complètement fou, je l’étais peut-être, peu importe…

« Nous pouvons commencer pas ma salle de bain, c’est l’endroit que je préfère, ensuite nous reviendrons ici, vous ne trouvez pas que ça à un petit côté effrayant non? »
Une voix amusée. Alors qu’elle ne devait pas trouver la situation amusante du tout. Tant pis, mois ça m’amusais. Mais je n’étais plus celui enfermé maintenant. Je m’appuyais contre les barreaux et je dis :
« Vous faites ce que vous voulez, mais vous n’êtes plus forte, mais bien stupide. Je suis fiancé, votre joli petit cul ne m’intéresse pas. Et si j’avais envi de me défouler, j’irais le faire sur quelqu’un qui ne risque pas de me claquer entre les doigts. Je vais vous soignez et vous rapportez ici, traitement de faveur? Je ne sais pas, vous êtes simplement la seule réveillée, et je le suis également… »
Maintenant, elle pensait ce qu’elle voulait, elle répondait ce qui lui plaisait. Elle allait certainement savoir qui j’étais en sachant que je suis fiancé. Je devais bien être l’unique homme de l’île à l’être toujours… Si j’étais ici c’était parce que j’étais insomniaque et que passer la nuit à fixer le plafond de ma chambre ne me plaisais absolument pas. J’avais envi de me lever pour aller calmer mon fils… D’embrasser ma fiancée à chaque fois que je revenais au lit, même si elle ne s’en rendait pas compte… Je voulais foutre le camps d’ici…

J’allais me coucher insatisfait de ma journée… je n’avais rien fichu à part à un moment où je m’étais rendu au niveau des cellules pour emmerder nos prisonnières. Jusqu’à maintenant ça m’amusait, mais j’avais besoin de plus ! Carl ne semblait pas décider à donner des directives… je n’avais fait que le croiser et il me semblait ailleurs. Soit il concoctait un plan des plus machiavéliques soit au contraire il n’en avait rien à branler de ce qui se déroulait sur l’île. Après tout la situation actuelle lui convenait peut-être… contrairement à moi. Je ne savais rien ou du moins pas grand-chose sur lui, en revanche il était clair que j’avais passé moins de temps que lui prisonnier des femmes… et pourtant ma haine était incomparable.
Même les autres gardiens se contentaient de ce qu’ils avaient, une pseudo liberté qui pouvait disparaître à tout moment… C’était donc ça le boulot de gardien ?! Rester sagement sur sa partie de l’île et ne rien tenter ?! Non… cela ne pouvait pas se maintenir à ça… j’avais des projets bien plus grands pour nous. Je voulais ma vengeance sur ces putes et surtout sur leurs reines… je ne les avais vu que de loin… je n’avais pas eu l’illustre honneur de me faire torturer par elle. Cependant moi je me montrerais bien plus accueillant et préoccupé par leur sort… oh oui si j’en chopais une… elle pouvait être certaine que je m’occuperais bien d’elle. Et finalement alors que je me ressassais cette idée, ce fut limpide en un éclair… oui j’avais réussi à me conditionner. Demain je partirais en direction du territoire des femmes et je ferais tout pour enlever une des reines… peu importe laquelle.

C’est ainsi que je m’endormis le cœur et l’esprit léger… je ne savais pas de quoi serait fait demain… mais quoiqu’il puisse arriver, il y aurait de l’action. C’est de ça que je manquais cruellement… hormis Loan Baxter qui me distrayait d’une façon que je ne saurais qualifier… mais je savais que cela ne durerait pas. Après tout, il me fallait toujours plus de violence, plus de victimes…
La nuit passa tranquillement, les chiennes n’aboyèrent pas… c’est en pleine forme que je me réveillais à 4h du matin. Par habitude je m’étais douché en me disant qu’il était possible que ça soit la dernière avant longtemps si par malheur je me faisais capturer… rien que l’idée m’arracha une grimace de colère si bien que machinalement mon poing s’écrasa contre le mur. Aucune douleur évidemment ne s’était manifestée… je me ressaisissais, finissais de m’habiller, et pris ma machette… alors que j’étais sur le point de partir dans ma quête… je m’arrêtais sur le pas de la porte.

*J’ai beau dénigré les armes à feu… je ne pars pas simplement en balade… et emmener les 2 est exclu.* Pensais-je agacé.

Je retournais dans ma piaule, rangeais la machette et pris un flingue… je vérifiais qu’il était chargé, pris quelques cartouches supplémentaire, histoire de dire… et sorti. Je fis un léger détour dans la prison pour prendre 2 paires de menottes, maintenant paré et prêt au départ, je commençais mon périple… Je savais très bien où elle se trouvait, bien que je ne m’y étais jamais rendu. Je traversais la jungle sans difficulté et bizarrement, sans rencontrer qui que ce soit… était-ce un mauvais présage ? Rien à foutre, le destin n’existait que pour ceux qui étaient suffisamment faibles pour lui donner une quelconque importance.

Plus j’approchais du territoire des poufs, plus mes pas se faisaient discrets… j’avançais tel un lion s’approchant du troupeau… le tout était d’observer avant d’agir. Contrairement à mes habitudes, je ne pouvais décemment pas foncer tête baissée dans le tas, c’était courir à la catastrophe, à ma perte et je préférais mourir que devenir leur captif.
Tapis dans l’ombre, je me contentais dans un premier temps de balayer du regard les lieux… personne à l’horizon, j’avais semble t’il bien choisi mon heure pour intervenir… C’est là que je vis des maisons… ça ne faisait aucun doute possible quand à leur résidente, cependant laquelle choisir ?! Il ne semblait pas y avoir de signe distinctif… pour le coup, j’esquissais un léger sourire, plus par dépit qu’autre chose.

*Avec la chance que j’ai, je suis mal barré…* Pensais-je presque amusé par la situation.

Je traversais d’un pas rapide la place tout en restant le plus accroupi possible… je longeais les murs, profitait des ombres… j’étais à présent à 2 mètres d’une porte de l’une des maisons… un dernier coup d’œil furtif et je tentais d’ouvrir, évidemment ce n’était pas fermé à clé. Pourquoi se sentiraient-elles en danger sur leur propre territoire ?! Moi-même je ne fermais jamais ma piaule à clé, et pourtant moi je vivais à coté de la prison… Bref, je refermais la porte derrière moi en prenant soin de ne pas faire de bruit. Arme au poing, j’avançais de façon silencieuse souhaitant surprendre ma proie. Je vis une jeune femme de dos… pas de doute c’était bien l’une des 2 reines… j’avais leur silhouette gravé en mémoire. En simple bruit pour l’avertir de ma présence, je choisissais de faire comme au cinéma… lorsque le héros s’apprête à tuer le méchant, il arme son flingue… Parce que ce bruit la fait peur. La réaction de la jeune femme ne se fit d’ailleurs pas attendre… un léger sursaut.
Tout en la pointant du canon, avec mon autre main libre, je posais mon index sur ma bouche… signe qu’elle avait tout intérêt à se taire si elle voulait sortir d’ici vivante. Oh bien sûr, je n’avais pas l’intention de la tuer, enfin… pas tout de suite. J’étais quelqu’un qui aimait jouer. A voix basse je lui dis :

On ne va pas s’attarder sur les présentations, je suis de toute évidence le chasseur et vous êtes ma proie.

J’attendais de voir sa réaction… allais-je devoir la baffer joyeusement ? La cogner jusqu’à ce que son sang coule et repeigne le sol ? En tout cas rien que l’image me donnait l’eau à la bouche… oui j’espérais de tout mon cœur qu’elle n’obtempère pas. Ce petit visage d’ange, je me voyais d’ici l’amocher et y prendre beaucoup de plaisir. Ce qui était relativement « marrant » c’était de voir que peu importe qu’elles soient gardiennes, reines ou amazones, elles étaient toutes agréables à regarder… ayant l’âme d’un artiste je me voyais tout à fait apporter ma touche personnelle à chacune d’entre elles.