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 Qui s'y frotte... [Tristan]

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Narcissa S. Holbrook

Narcissa S. Holbrook
Mutante de niveau 2
{ PNJ }


Nombre de messages : 49
Date d'inscription : 06/07/2009
Localisation : le Coyote Ugly (Hell's Kitchen) / Greenwich Village
Clan : Damnés
Age du personnage : 24 ans
Pouvoirs : venin toxique et aptitudes reptiliennes
Profession : stripteaseuse au Coyote Ugly, photographe pour Mars Investigations et sculpteuse d'objets en bois flotté à ses heures perdues...
Points de rp : 64

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MessageSujet: Qui s'y frotte... [Tristan]   Qui s'y frotte... [Tristan] EmptyLun 3 Sep - 22:21

On ne pouvait pas réellement parler d’une soirée particulièrement agitée au moment précis ou Narcissa éteignait avec un certain dépit son poste de télévision. Il devait être à peu près 22 heures, et malgré le fait qu’il s’agisse de son jour de congé la mutante s’ennuyait fermement parce qu’elle n’arrivait pas à fermer l’œil ou à trouver quelque chose susceptible de l’occuper suffisamment… Quittant son canapé devenu inconfortable, la jeune femme ouvrit la fenêtre pour faire entrer un peu d’air frais et s’accouda au rebord de la fenêtre, laissant son regard émeraude errer dans la rue en contrebas. Rien de bien extraordinaire au niveau du décor parce qu’elle habitait un hôtel miteux de Hell’s Kitchen, et la vue finit par la lasser en une poignée de secondes. Prévisible.

Refermant peut-être un peu brusquement la fenêtre , Narcissa se dirigea vers la salle de bain et enfila des vêtements propres – jean sombre et top jaune moutarde, bref rien de trop extravagant – chaussa une paire de spartiates noires et passa la lanière de son sac à main sur son épaule, claquant la porte derrière elle tout en remettant ses cheveux ébène en place. Sa mue était passée depuis quelques jours et lui avait laissé cette curieuse impression de bouillonner de l’intérieur en permanence, si bien que malgré la fraîcheur ambiante, Cissy n’avait pas jugé utile d’enfiler une veste. Ce n’est qu’après avoir croisé plusieurs personnes étonnées de la voir dans cette tenue qu’elle songea à enfiler le pull et enrouler autour de son cou laiteux le chèche dont elle ne se séparait jamais au cas où ce genre de situations se présente. Ainsi vêtue, les rares passants cessèrent de la dévisager comme si elle débarquait d’une autre planète…

La jeune femme rejoignit en quelques minutes de marche le quartier le Coyote Ugly, son lieu de travail et non moins célèbre club de striptease. Quand elle y repensait, elle ne savait pas si c’était la devanture glauco-chic ou le nom qui l’avait décidée à entrer là plutôt qu’ailleurs, mais elle ne pouvait s’empêcher d’esquisser un sourire nostalgique lorsqu’elle se remémorait sa première fois sur scène. Narcissa n’avait pas vraiment l’âme d’une danseuse ou même d’une stripteaseuse, mais faire tourner les hommes en bourrique, ça c’était ce qu’elle aimait. Par amour du défi. Pour attirer l’attention sur elle tout en conservant cet anonymat qui lui permettait d’échapper à Arme X depuis de si longues années. Son corps était une arme au moins autant que son venin ou que sa technique de combat, ça elle en avait parfaitement conscience, et en usait chaque soir pour gagner sa croûte comme tout un chacun.

Même si elle était en congé, il était difficile pour Narcissa de s’installer à une table et de se faire servir par ses collègues. Tant et si bien que n’y tenant plus, elle passa assez rapidement au vestiaire pour se changer – mini-short en cuir noir et caraco en dentelle, avec des talons vertigineux – et prêter main forte à ses collègues derrière le comptoir. Sur scène, c’était Neve qui était au centre de l’attention de tous les mâles libidineux qui emplissaient la pièce. Cissy pouvait goûter grâce à ses sens reptiliens l’étendue de l’effet que produisaient sur eux les mouvements félins de sa camarade damnée. Une saveur qui, mêlée à celle de la bière, avait quelque chose de légèrement écœurant au départ, mais avec le temps, la reptile s’y était accoutumée.

Ce soir-là, Cissy ne fit qu’un bref passage sur scène, mais pas vraiment pour se dévêtir… Il lui arrivait assez souvent de s’interposer entre des hommes à la limite de la liquéfaction et ses autres collègues. Ce n’était pas très prudent lorsqu’on souhaitait garder l’anonymat et se faire discrète, mais les hommes aux mœurs un peu trop dissolues dégoûtaient très ouvertement la reptile, qui pour le coup ne loupait jamais une occasion de leur donner un mauvais coup en toute discrétion avant de les raccompagner à la sortie avec le videur. Elle était parfois plus rapide que lui pour intervenir et savait qu’elle devait s’en tenir à son simple rôle d’employée à moitié nue… mais dans sa tête, cette bonne résolution bloquait. Et ce soir-là, elle bloqua une nouvelle fois lorsque Cissy fit quelques pas rapides sur le comptoir pour aller régler le problème d’un homme qui se faisait un peu trop pressant avec Amber, une serveuse arrivée là il y avait quelques jours…

Rapide comme elle l’était, Narcissa immobilisa la main qui s’était faite baladeuse à proximité de la jupe de sa collègue, et une légère pression parfaitement calculée empêcha l’homme de bouger sous peine de se briser lui-même le poignet droit. La reptile siffla avec mépris et délesta le client d’une dizaine de dollars qu’elle donna à Amber sans même la regarder, avant d’entraîner le pervers dehors par la porte donnant sur l’arrière. Une forte odeur d’urine agressa l’odorat de la reptile dès qu’ils furent dans la ruelle, et la jeune femme força un peu plus sur l’avant-bras de l’homme qu’elle maintenait efficacement en respect :

La prochaine fois que tes mains se baladent sur une femme sans autorisation, j’te promets de faire en sorte que tu t’en resserves plus jamais…
Dans mon souvenir, les serveuses étaient pas aussi farouches… - Sa respiration était haletante, à cause de la douleur infligée par la jeune femme. – Toi je t’aime bien… T’es juste un peu flippante quand tu me regardes avec ces yeux-là…

Cissy laissa échapper un reniflement méprisant cette fois-ci. Elle ne comprenait pas la logique masculine de base et peinait à comprendre comment on pouvait apprécier une personne sur le point de vous péter un bras… Sauf si son mini-short y était pour quelque chose. Pour elle, c’était vraiment la seule explication possible.

Des bruits de pas l’incitèrent à relâcher le bras du client qu’elle avait expulsé. La reptile agissait toujours sous couvert de la pénombre, et c’était justement pour cela qu’elle avait opté pour la sortie donnant sur l’arrière. Personne n’avait donc pu la voir malmener le client, mais à présent qu’elle entendait des pas s’approcher, Cissy opta pour une toute autre tactique :

Allez tire-toi, sale porc !
Laisse-moi encore te regarder… Je veux que tu danses pour moi…

Un sifflement de mise en garde fut la seule chose qu’elle daigna lui accorder. Les pupilles de la reptile se dilatèrent très perceptiblement et la couleur de ses pupilles vira au jaune clair sans que son interlocuteur ne le remarque, toujours à cause de la pénombre. Le moment était venu de choisir entre se débarrasser définitivement de ce porc qui la croyait docile en un coup de dents et une dose de venin, ou alors de jouer la prudence parce que quelqu’un ne tarderait pas à les rejoindre. Et même sans être paranoïaque, n’importe quelle personne trouverait étrange de voir une femme très peu vêtue regarder un homme agoniser sous ses yeux sans raison valable… La lame d’un couteau jaillit dans l’obscurité, et Cissy trancha les ténèbres d’un mouvement brusque pour effrayer l’homme qui lui faisait face. Sa tactique fonctionna au-delà de toutes ses espérances, et la jeune femme afficha un sourire satisfait alors que doucement, ses yeux reprenaient leur teinte normale…

Les pas ne tardèrent pas à s’interrompre tout près, et la jeune femme laissa résonner sa voix dans la ruelle sordide où elle se trouvait :

Ya encore quelqu’un qui cherche les emmerdes ?

Toute en délicatesse, comme à son habitude. En dehors de la musique trop forte en provenance de l’intérieur du Coyote Ugly, on n’entendait plus rien… Ou presque.
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Tristan G. Allister

Tristan G. Allister
Mutant de niveau 2

Nombre de messages : 5092
Date d'inscription : 31/01/2007
Localisation : Principalement une chambre dans un hôtel de luxe qu'il paye pour le moment
Clan : Damnés
Age du personnage : 28 ans
Pouvoirs : Manipulation par les rêves, longévité accrue grâce à l'absorbsion de l'énergie vitale produite par les cauchemars
Profession : Ex-Ambassadeur des Nations-Unies : responsable de l’antenne de recherche en génie génétique et biotechnologique et des missions humanitaires...

Aujourd'hui Mathias a repris des études de droits, et est devenu Avocat international, longtemps il a dû emprunter une identité, le temps de mettre fin à cette déclaration de décès qui le suivait. Il est depuis l'un des associés du cabinet TNT & G reconnu comme le meilleur de New-York (et peut-être même des Etats-Unis)
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MessageSujet: Re: Qui s'y frotte... [Tristan]   Qui s'y frotte... [Tristan] EmptyVen 5 Oct - 16:59

Comment expliquer ces journée que l'on ne peut comprendre, que l'on ne sait même pas qualifier. Certains appellerait cela simplement une journée de « merde ». Tristan lui ? Refuserait probablement d'en parler sous peine d'employer un langage qui dépasserait sa pensée. Pourtant tout n'avait pas si mal commencé. Il venait tout juste de reprendre les parts d'un associé d'un grand cabinet New-York, son « avenir » et une certaine sécurité financière venait donc de lui être donné et il n'avait tout simplement plus à vivre sur le dernier compte encore existant au nom d'emprunt de celui qu'il avait été. Petit à petit son passé s'enterrait plus profondément. Et quelque part entre le soulagement, et la crainte se trouvait un être Galahad. Petit à petit il s'était fait à cette nouvelle identité, et ce nouvel emploi, cette nouvelle vie qui s'offrait n'était faite que pour lui plaire.
Pourtant dans ce tableau qui pourrait paraître idyllique, persistait un manque, une personne sans laquelle tout cela n'avait au final pas de sens. Cette personne cela faisait plusieurs semaines qu'il se demandait comment la revoir, comment l'approcher sans lui faire peur, craignant lui aussi, au fond, sa réaction.

Il n'était pas fou, en arrivant il savait ce qu'il était advenu de Mathias Scox. Son cercueil gisait dans un triste cimetière, des fleurs ornaient une pierre, et une phrase sobre, dans un latin qu'il connaissait bien, indiquait qu'il reposait en paix. Mais tout comme il cherchait un moyen de la revoir, Tristan se sentait lui aussi observé, suivi. Sans jamais voir personne derrière lui.

Ce soir là, après une journée difficile, lui vint l'idée de se rendre au Pandora's Box. Cette boîte de nuit il l'avait connu à ses débuts, avait vu Sélène la reprendre avec poigne et conviction, et puis il était parti.... Aujourd'hui il était entré dans un lieu plein de bruit, de monde et devenu l'endroit branché de New-York. Une certaine joie s'était emparé de lui. Son visage émacié s'était éclairé d'un sourire, et il s'était enfoncé dans l'obscurité des lieux. Dans le bruit aussi, habillé de sombre personne ne l'avait vraiment remarqué. Il s'était approché d'une serveuse, avait demandé si Sélène était là. On lui avait indiqué que la jeune femme était parti au restaurant, qu'elle reviendrait probablement plus tard. Tristan sortit donc. Il parti à sa recherche, mais mis de longues minutes avant de la trouver. Il la vit assise avec un autre homme. Il l'avait vu souriante, son regard lumineux, des rires et des attitudes qui, à ses yeux ne trompaient pas s'étaient enchaînés... La jalousie et son cœur n'avaient fait qu'un tour. Mêlés à la peur de la perdre un jour il avait préféré partir plutôt que d'intervenir. La veste qu'il portait alors avait été replacée, le col remonté. Et à peine fut il à la rue suivante, que sa main s'était enfoncée dans sa besace pour en ressortir un paquet de cigarettes. L'une d'elle fut allumée, et Tristan s'était enfoncé dans les ruelles. Il avait inspiré profondément, ses yeux s'était fermés, les auras des ensommeillés étaient venus à lui, mais il préféra les ignorer. Lentement une colère sourde, ces images qui repassaient sans cesse dans son esprit le possédèrent jusque dans son regard.
L'absence, la disparition à cela de terrible qu'elle vous fait perdre prise sur tout le reste. Votre vie ceux que vous aimez ne vous appartient plus.

Quelque chose d'un passé lointain l'habita soudainement, l'envie d'oublier, d'obscurcir les sombres présages, de tout recommencer vint le prendre à la gorge. Et puis il repensa à Lexa, à sa petite sœur. Si Mathias n'avait pas su s'approcher d'elle, pour Galahad elle avait eu une importance toute particulière. Ses pas le conduisirent donc au Coyote. Alors qu'il entrait dans le bar il vit cet homme s'en prendre à la serveuse, vit une seconde jeune femme s'approcher puis son attention se détourne. Un court instant il n'oublie pas pourquoi il était venu : Lexa. On lui expliqua que la jeune femme était partie, alors Tristan dans un sourire, dans un regret quitta les lieux. Une fois dehors il leva les yeux au ciel, perçu la lune et repensa à Sélène, à cet homme... Puis l'image entraperçu repris le dessus, il chercha après l'homme, après la jeune femme... Ses pas le menèrent dans les ruelles parallèles. Et puis finalement à l'arrière du bar. Des voix l'ont attiré là. Alors qu'il arrive à proximité des lieux il voit l'homme partir en courant, se fait bousculer même. Et de nouveau la voix de la jeune femme raisonne. Dans l'ombre Tristan redevient Galahad, il approche d'un pas, et souffle avec un calme qui aurait pu paraître presque surprenant.

« Personne non. A moins que se soucier de votre situation avec cet homme soit une source d'emmerdes... »

Un fin sourire se traça derrière sa barbe de plusieurs jours, et sa main disparue entre ses boucles qui malgré un faible effort reprirent leur place originelle.
Son regard lui se fixa sur la jeune femme, déformation professionnelle d'un rapide coup d'œil il chercha une blessure, un coup, mais ne vit rien. Il se hasarda malgré tout à poser cette question d'une banalité qu'il trouvait affligeante.

« Est-ce que tout va bien ? »
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Narcissa S. Holbrook

Narcissa S. Holbrook
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MessageSujet: Re: Qui s'y frotte... [Tristan]   Qui s'y frotte... [Tristan] EmptyMer 14 Nov - 23:00

Narcissa avait toujours eu une manière plus qu’expéditive de régler ses différends, et le fait qu’il s’agisse d’un client ne l’avait pas dérangée une seconde. On pouvait rapidement évoquer la manière assez particulière avec laquelle on lui avait inculqué certaines valeurs comme la patience et l’amabilité, mais également le fait que les gens bourrés à divers degrés lui tapaient toujours prodigieusement sur les nerfs avec une efficacité incroyable… Alors ces poivrots qui n’en finissaient pas de s’imbiber de bière et qui essayaient de coincer les serveuses dans un coin de la salle, la jeune femme avait pris l’habitude de leur faire suffisamment peur pour qu’ils réfléchissent à deux fois avant de considérer une nouvelle fois que consommer plusieurs bières leur donnait le droit de se jeter ensuite sur tout ce qui leur tombait sous la main.

L’homme qu’elle avait entraîné dans la ruelle située à l’arrière de son lieu de travail avait cru jusqu’au bout qu’elle danserait pour lui et lui offrirait ses faveurs, mais malheureusement la reptile l’avait rapidement échaudé avec un mouvement de la lame qu’elle était si prompte à sortir. Et puis il y avait eu ces bruits de pas qu’elle avait à peine entendus, et Narcissa avait décidé de faire fuir le client devenu indésirable. Et comme l’alcool était vraiment loin de rendre les trouillards plus braves qu’ils ne l’étaient avec un taux d’alcoolémie égal à zéro, l’homme s’était enfui sans demander son reste peu avant que l’inconnu ne rejoigne Cissy dans la ruelle. Ses prunelles vertes se posèrent sur lui, accommodant juste de ce qu’il fallait pour percevoir les détails de sa silhouette qu’un humain était incapable de voir en raison de la pénombre régnant dans la ruelle…

La réponse qu’il apporta à Narcissa eût pour principal effet de lui tirer un rictus sans doute difficile à déchiffrer lorsqu’on ne la connaissait pas, mais il n’y avait aucun doute à avoir concernant le fait qu’elle avait trouvé particulièrement amusant le fait qu’un homme se soucie de sa situation… Cissy était un peu tête brûlée sur les bords et savait largement régler ses problèmes seule, mais il était vrai que pour une personne à peu près normale – n’ayant pas connu le projet Arme X – une femme en mini short dans une ruelle sombre faisant face à un homme saoul était forcément une femme en difficulté…

Le sourire qu’il lui adressa fit naître une certaine curiosité dans les yeux de la reptile, et la jeune femme parut amusée par le fait qu’il lui demande si elle allait bien. Elle ne manqua pas de répondre tout en conservant sa lame en main, comme toute oie blanche méfiante et effrayée dans une ruelle plongée dans les ténèbres :

Je crois que ça va aller… En revanche, je ne sais pas encore si c’est le couteau ou votre intervention qui l’a mis en fuite.

Jouer les naïves était quelque chose que la reptile appréciait parce que cela lui permettait d’approcher de parfaits inconnus sans éveiller leur méfiance. Elle n’aimait pas particulièrement tirer parti des gens qu’elle croisait parce qu’elle préférait de loin se débrouiller seule, mais c’était de cette manière que Cissy était parvenue à parfaire son déguisement d’humaine banale. Déguisement qui lui permettait encore aujourd’hui de ne pas se faire jeter dans une cellule ou mettre une balle en pleine tête par les Fédéraux… Et c’était une excellente chose.
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