::: Europe, Château de Mortemart Janvier :::

Cela allait faire bientôt un an que Justine avait révélé sa prédiction au jeune Duc DeMortemart. Depuis les événements c’étaient enchainés à un rythme fou. Cela lui avait prit à peine deux semaines pour retrouver la jeune femme désignée, elle c’était révélée être l’une des ses premières expériences. La jeune Léonie qu’il avait trompé avec un grand plaisir pour la mettre dans son lit, mais aussi pour lui donner une petite leçon… on ne lui disait pas non, certainement pas après l’avoir allumer de la manière dont elle l’avait fait.

Léonie cette pauvre fille qu’il avait par ces actes pourtant si bons dans sa mémoire conduit à l’asile où il l’avait soigné. Il était vrai que l’ironie de la situation entre lui et elle pouvait laisser croire qu’il avait eu un sentiment de pitié envers elle… de plus il se souvenir que dans ses crises psychotiques elle murmurait le nom d’un certain Francois. Depuis le temps de ce cas, la jeune femme était retourné a la vie civilisé.

Il la fit rechercher par ses Familiers et lorsqu’ils l’eurent retrouvé il reprit contact avec elle. Il s’aperçu que la jeune femme avait depuis les années passés développer un pouvoir similaire à aux siens. Elle avait changé la Léonie détruite c’était reconstruite, elle était belle quoi qu’un peu ordinaire sans tout se maquillage savant et les luxueux vêtements qu’elle se voyait offrir. Le monstre qu’il avait fait d’elle au final n’était pas pour lui déplaire après tout l’important était qu’elle lui donne son fils et si elle devenait trop gênant il n’aurait qu’à s’en débarrasser subtilement.

Après quelques mois de fréquentation Albert décida de fiancé Léonie, après quoi il entreprit sérieusement d’avoir son héritier pour en finir une bonne fois pour toutes de cette corvée. Il ne désirait pas spécialement la mutant même si elle était très efficace et doué dans le lit, elle n’était rien de plus qu’une de ses proies du passées. Après le sport, il restait allongé pour l’observer non pas elle mais plutôt les marques qu’il avait laissées sur son corps et qui n’était presque plus visible sauf par endroit.

Léonie tomba finalement enceinte au bonheur de tous et particulière d’Albert qui pouvait la ranger au frais et attendre qu’elle finisse de ponde. La repoussant pour se consacré d’avantage à ses affaires et à quelques-unes de ses amants expérimentales, il découvrit le vraie visage de sa fiancée. Il n’en venant qu’à la détester et de la méprisé davantage. Parmi les choses qu’il détestait c’était les envahissante, les femmes qui ne savait pas user de leur intelligence autres que par le jeu habile de leur courbes et non de leur cerveau. Elle était beaucoup trop possessive à son goût, colérique et très envahissante. Elle se mit à lui faire du chantage et à manigancer pour lui faire perdre ses amantes ce qui n’était pas du tout l’idée du siècle, enfant où pas il ne se laisserait pas mener par cette femme trop immature pour prétendre à la maternité. Si cela n’avait pas été de la nature fragile durant la grosse de Léonie il ne se serait pas gêné de lui montrer à quel point il pouvait être lui méchant. Il se contenta de l’ignoré et de contenir ses états d’âmes et les coups qu’elle pouvait lui porter. La patience et le sang froid dont il faisait preuve avec sa fiancé était exemplaire jusqu’au soir où elle commença à avoir des contractions alors qu’elle en était qu’au 5ème mois. La jeune femme de peur de perdre Albert une fois l’enfant né et de ne plus avoir toute son attention avait provoqué sa fausse-couche ce qui mit le Duc dans une colère noire.

Tans pis pour la retenu, il la fit descendre dans sa salle de jeu où il lui rappela qu’il était dangereux de se jouer de lui. Après avoir dompté la jeune femme qui aurait du mériter la mort selon lui il la fit enfermée le temps de sa convalescence jusqu’à ce qu’elle puisse enfanter de nouveau et cette fois il veillerait à la tenir attacher durant les 9 mois si cela pouvait lui donner son fils, elle n’avait plus droit à l’erreur et au diable les prémonitions.

En remonta de la cave où gisait à demi inconsciente Léonie, Piort rejoint son ami dans son salon privé pour lui annoncer que l’enfant avait perdue était une fille et non un garçon. Piort eut beaucoup de mal à canaliser la colère d’Albert et à le convaincre de laisser Léonie; qu’elle avait eut ce qu’elle méritait.

::: Europe, Château de Mortemart, Aujourd’hui :::

Albert était assit dans l’imposant fauteuil de cuir derrière son bureau de chêne. Il l’avait fait pivoter afin de pouvoir regarder à l’extérieur par les immemses fenêtres qui ouvrait la pièce à la douce lumière du jour. Il était songeur et n’avait pas entendu entrée Jean-Claude son fidèle serviteur lui apporter son café. Le serviteur s’approcha de son maitre l’observant un instant pouvait voir sur son visage sérieux flotter un léger sourire.

« Mon seigneur tout va bien? »

Tiré de ses rêveries, repensant aux événements des derniers mois Albert sursauta à peine et lança un regard interrogateur à Jean-Claude. Était-il là à le fixer depuis longtemps, il n’en avait pas là moindre idée.

« Je pensais aux recherches infructueuses des deux derniers mois… On ne peut pas disparaitre de la sorte… mais mort nous laissons des traces n’est-ce pas Jean-Claude? »
« Certainement Mon Seigneur… mais puisse-je me permettre une remarque? »
« Allez-y… »
« Peut-être Monsieur est-il trop dans le problème pour pouvoir chercher vraiment… pourquoi ne pas vous concentrer sur Rhéaume et ses hommes pour les ralentir et ne pas engager un professionnel pour la retrouver? »
« Un professionnel?... c’est une idée, mais je n’ai pas suffisamment confiance en personne pour lui donner une tel tâche, alors un inconnu Jean-Claude n’est-ce pas farfelu… »
« Tous ne veulent pas vous prendre cette femme… »
« Cette affaire ne concerne que la famille… »
« Permettez moi d’insister… voyant les résultants présent vous en conviendrez que ce n’est pas trop risquer… »
« Vous frollez l’insurbordination Jean-Claude… »

Fermée à l’idée pour l’instant, le Duc saisir sa tasse fumant et ignora totalement son serviteur signe pour lui de prendre congé,celui-si s’inclina bien bas avant de partir sans un mot et de laisse son jeune maitre seul dans ses réflexions. Les propos du vieil homme firent leur chemin dans l’esprit d’Albert si bien qu’après un moment seul à cogiter, il se rendit bien compte que peut être engager une tierce personne serait une idée. Il pourrait se concentrer ainsi sur Rhéaume et ses hommes... cela lui permettrait de ne faire face que sur un seul front. Distraitement il appuya sur le bouton d’appel sur le combiné du téléphone. La voix de son fidèle serviteur résonna grinçante par le petit microphone.

« Monsieur a-t-il besoin de quoi que se soit? »
« Piort vous a-t-il fait part des derniers développelement? »
« Pour quel dossier en cours Monsieur? »
« Dois-je vous rappelez les priorités du moment? »
« Non, c’est que vous avez tellement de priorité… Selon nos informateurs, le Vicomte aurait voulu semble-t-il fait affaire avec une agence privée pour vous rendre la monnaie concernant un dossier lier… »

Albert souris sachant très exactement qu’il était question de cette jeune oracle, il s’était bien amusé avec cette douce créature… d’ailleurs il tâcherait de lui rendre une petite visite plus tard dans la journée, il devait admettre qu’elle était résistante et très courageuse, mais il viendrait bien a la brisée… lorsqu’il se serait lasser de ses jeux.

« Dites moi Jean-Claude… mon cher cousin a-t-il déjà contacter cette agence? »
« Négatif Monsieur… »
« Ce n’est pas dans ses habitudes de trainer de la sorte… »
« C’est certain que si votre information se perds… il est difficile d’arriver au bout du chemin Monsieur. »
« …Dois-je comprendre que vous avez quelques choses à avoir avec les soucis de mon cousin? »
« Certainement pas Monsieur, je n’oserais jamais m’attaquer à votre famille. »

Le zèle de Jean-Claude avait toujours le don d’épater Albert, cette vieille branche était encore capable de grande chose et ces initiatives étaient les bienvenues surtout qu’elles fonctionnaient la major partie du temps. Contrairement à d’autre Incubes il pouvait se venter d’avoir bien choisi son entourage.

« Monsieur?... »
« Oui »
« Je vous emporte le dossier et ses correctives? »
« Pourquoi pas… ah et Jean-Claude tâcher de trouver cette soi-disante agence… et trouver m’en une meilleure. Bon travail. »
« C’est un plaisir Monsieur. »

Peu de temps après le domestique vint lui porter ses documents, après quoi le vieil homme s’en alla pour faire jouer ses relations afin de compléter sa seconde tâche. Pendant ce temps Albert partie pour son cabinait car Diamant ou pas il devait continuer de vivre et de nombreux patients l’attendaient. Après quelques heures de travail, il fit un détour par la demeure de sa Tante favoriste Justine y prendre le thé et voir comment se portait la dame âgée. Il y resta pratiquemet toute la soirée après quoi, il s’en alla jouer avec sa dernière captive. Etrangement ce soir elle parla beaucoup, lui révélant des potins croustillants sur son cousin et rival.

:::Jean-Claude :::

Après avoir reçu l’appel du Duc le vieil homme se dirigea dans les sous-sol là où se trouvait le bureau aménager pour lui. Il s’y rendit et sorti un vieux registre poussiéreux à la recherche d’un contact dont il n’avait pas fait appel depuis quelques années. Il passa finalement quelques appels à la suite desquels il eu un moment d’attente. Finalement, on lui donna un numéro de téléphone celui-ci de toute évidence n’était pas européen mais qu’importe. D’un ligne sécurisé il composa les chiffres et attendit. Il s’étonna légèrement d’entre la voix d’une femme, dans un anglais avec un bon accent il laissa un numéro à rappeler tout simplement.

« 05 53 03 22 93 »

Une fois le message laisser, il saisit le portable relier à cette ligne puis alla vacquer à ses occupations pour le moment réduite à l’entretient d’un jolie petit jardin intérieur dont il avait une certaine fierté. Armé du nécessaire à jardinage et d’un vieux tablier il alla se mettre au travail.

Suite de la conversation téléphonique


:::::::::::: Après-midi ::::::::::::

Le vieille homme raccrocha peu après quelques échanges de politesses et fit quelques vérification tel que pour le billet d'avion. Après avoir faire un topo dans son carnet de bord il s'en alla rejoindre Albert qui était allongé sur sa terrasse à se faire grillé comme un lézard. Une paperasse de dossiers trainaient dans une pile incongrue était délaissé non loin du jeune duc, Jean-Claude y jeta un coup d'oeil et leva les yeux au ciel.

" Pourquoi me déranger durant ma dose de soleil Jean?"

" Je voulais annoncer à mon Seigneur que nous avons régler en partie notre problème. Mr. Smith prendra l'avion dans 1 hrs en direction de la Russie, où j'espère vous le rejoindrez pour lui donner les détails sur vos préoccupations et le but de son embauche Monsieur."


Albert était peu enclin à vouloir mêler un pur étranger à toute cette histoire, mais puisqu'il n'avait pas de temps lui-même et que c'était une nécessité pour lui... toute en prenant note que son fidèle serviteur l'avait mit au pied du mur en ayant tout soigneusement planifier dans son dos, pourquoi ne pas tenter le coup.

" Et combien va me coûter votre nouvelle trouvaille?" dit le duc d'une voix ennuyée.

" Un milion au bas mot, Monsieur." répondit stoic son serviteur.

" On peut dire que tu n'as pas été de main morte sur le tarif . J'espère pour toi qu'il vaut se prix "

" J'ai confiance Monsieur qu'il vous la retrouvera. "

Albert finit pas ignorer totalement son serviteur, celui-ci s'inclina bien bas avant de laissez son jeune maitre nu finir sa rasade de lumière.


:::::::: New-York, Aréoport ::::::::


Dans le bureau d'une compagnie de jet privée.

Le propriétaire de la place est suspendu à son téléphone tenta de ne pas manquer rien de ce que lui dite un vieil homme à l'autre bout du combiné qui ne semble pas avoir de fin à son souffle. Il faisait souvent affaire avec se mystérieux Jean-Claude et l'échange de service était récipropre entre les deux hommes.

Tout sera prêt comme prévu vieil ami, vous n'avez pas d'inquiétudes à vous faire. Mon meilleur pilot sera sur l'affaire et je vous promet de bien soigner votre envoyé..... Non non, pas de soucis, vous avez une chance incroyable car mon tout dernier bébé viens juste d'arrivée ça sera un beau baptême tout en douceur...... et rapidité évidement (rires). C'est un plaisir de faire avec affaire.

tonalité....

Dans les hagards le nouveau bébé de Mr. Prive Jet était en train de se faire bichonner, tout était mis en oeuvre pour rendre le plus agréable possible le voyage de leur mystérieur client de dernière minute. Le Challenger 300 sortie sur le tarmac en direction de son air d'embarquement. Le pilot ainsi que son copilote patientait dans leur cabine, alors que les deux hôtesses s'afféraient à vérifier leur mini bar, ainsi que les effets pour leur hôte. Tout était près et suffisamment discret pour ne pas trop attiré l'attention. Il ne manquait plus que leur passager qui ne tarderait pas à arrivée.


::::::::: Aréoport de Limoges ::::::::::::

Sur la piste privé était alignée 4 Lexus LS 11 noir aux vitres teintées dormait en attendant le Challenger qui allait faire escale le temps de prendre son second passager et de repartir pour la Russie.

Sur la piste privé de l’Aréoport de Limoges, attendait patienment dans leur voiture Albert et son entourage que le Jet privé arrive.
Une fois l’appareil immobilisé non loin des véhicules, les portières de la première, deuxième et quatrième voiture s’ouvrirent pour en laisser sortir plusieurs homme en complet. Ils se placèrent de manière à surveiller les environs alors que de la troisième voiture sortie un seul homme. Il était plutôt grand, son complet gris clair détonnait avec sa chemise d’une couleur aubergine, il se dirigea escorté vers l’appareil où une des hôtesses l’accueilli avec un franc sourire.

« Bienvenue à bord Monsieur Karl. »

Albert qui pour ne pas courir de risque à ce qu’on le reconnaisse de par sa notoriété du moins en Europe, avait opté pour un déguisement celui-ci lui coûta la peau des fesses, mais l’exactitudes et le réalisme était si précis qu’on ne pouvait pas savoir qu’il était déguisé. Il avait choisi de se vieillir de quelques années, aussi il était un devenu un homme début quarantaine, les temples grisonnantes un peu, son visage en général était un peu plus massif sans perdre se côté carré, il avait un barbe bien taillé. Aucun autre des hommes qui entourait l’appareil et qui le vérifier sur tout les angles ne montra signe qu’il allait monter à la suite de Karl.

Karl alias Albert prit place sur le siège opposé à celui où était installé Mr. Smith déposa son unique bagage près delui, il s’était incliné légèrement pour le saluer l’autre homme et ne prononça aucun mot. Le Jet repris s’en retourna pour se positionner sur la piste et décolla peut de temps après. Les hotesse revienrent voir leur passagers, pour sa part Karl demanda l’eau perrier. L’hotesse revint la bouteille à la main ainsi qu’avec une coupe et laissa l’homme s’occuper du reste comme il le souhaitait. Ce n’était pas la première fois qu’elle voyagait avec ce monsieur et elle était presque toujours de ses voyages connaissant bien ses petites habitudes. Lorsqu’il la fixa de son regard perçant elle comprit qu’elle devait les laisser, après que sa collègue eut fini avec l’autre passager elle l’insita à la suivre dans leur section qui était isolé de celles des passagers. Une fois la porte fermé, Karl se mit un peu plus à l’aise déboutonna le col de sa chemise et entrouva son veston, il croisa les jambes et trempa ses lèvres dans sa coupe. Que c’était agréable de vivre ainsi pensa-t-il, avant de porter toute son attention sur son compagnon de voyage.

« Vous êtes Monsieur Smith n’est-ce pas? » lui demanda-t-il connaissant déjà la réponse, il parle d’un naturellement posé, malgré son fort accent francais il parlait très bien anglais.

Lorsqu’il était Mr. Karl il avait un accent acquis au cours des nombreuses missions faites pour les damnés, il avait développer son parler et pouvait le modifier à sa convenance afin de mieux jouer le personnage qu’il incarnait et la pratique lui avait permit de bien le contrôler du moins pour les langues communes qu’il parlait. Loin de lui la capacité de se donner un air germanique ou encore japonais… d’ailleurs il ne compronait absoluement pas l’attrait de certains gens vers cette langue, elle était exotique certe mais sans plus.

Il détailla le passager sans s’en cacher, après tout il aurait été futile de nier l’observer lui car il n’était que deux et les hôtesses étaient dans leur section. La constitution de cet homme n’était pas frêle, il semblait prendre soi de lui, il ne ressemblait à ces crétins de mercenaires qui aimaient leur puanteur pensant que ça les rendait plus hommes. Albert n’était pas du tout de cet avis, il n’était pas nécessaire de sentir le mort en tout temps pour être un vrai ‘’homme’’. Il déposa son verre sur une petit table ancré non loin de son siège, et entrouvit son baggage d’où il sortit un dossier très mince qu’il tendit à Mr. Smith.

Le dossier était constitué de simples photos dont l’une était très endommagé, on pouvait y distingué une jeune fille… le dossier ducquel la photo avait été imprimé malgré les filtes de corrections semblait être trop endommagé pour obtenir un profil clair de la personne. Evidemment elle était en ton de gris, ce qui était possible de supposé était que la jeune fille sur cette photo avait les cheveux bruns ou noir, on ne pouvait pas se fier au teint car l’image avait été constrater et la luminosité changer pour obtenir un résultat optimal… qui restait piètre malgré tout. Elle souriait avec une certaine candeur, résultat qui pouvait peut être approprié au flou général de l’image. Sur le revers de la photo il y avait ce qui semblait être un nom ou un prénom : Ksenia.

Les autres photos était beaucoup plus clair et d’une grande qualité, certaine prise grâce à un télé-objectif. C’était tous des hommes et derrière chaque photos le nom de l’individu. Il était au nombre de 12 au total, outre leur nom il y avait des informations importantes inscrit au verso concernant leur aptitudes au combat et pour certain leur capacité spéciale ou mutation.

Une dernière choses rendait spéciale ses photos elles semblaient recouvertes d’une fine pellicule semi gaisseuse. Le film graisseux qui les recouvrait était une mélange chimique sans danger pour la peau mais qui au contact de l’air et principalement sur du papier photo avait une salle manie de s’enflammé subitement après un temps exposé à l’oxygène, dépendamment de sa composition chimique ce temps pouvait passer de quelques minutes à plusieurs heures. Génie de Jean-Claude, d'ailleurs il devait lui demander où il avait tout ça... il doutait que c'était simplement en jardinant comme il le prétendait.

« Vous avez quelques heures devant vous, j’espère que vous avez une bonne mémoire…. » Il lui lanca un sourire enigmatique bien à lui. Evidemment si au fur de sa mémorisation il avait des questions, il pourrait à sa convenance lui répondre ou non. Il jugerait de la pertinence des questions.

Son regard était posé sur la masse blanche cotonneuse à l'extérieur flottant tout près de l'appareil. La question de Smith l'amusant malgré lui, c'était un peu ironique étant donné la situation. Il souriait car connaissant la nature des hommes dont il avait rassemblé les photographies, ils y avaient peu d’option plausible c’était des professionnels, ils étaient capable d’action efficace et minutieuse avec un haut taux de réussite. Leur force était certainement leur équipe, comme se l’était pour ses propres hommes. Dans la famille c’était comme une affaire de clan, tout le monde savait exactement ce qu’il doit faire et peu de questions étaient posées.

Il se retourna légèrement pour faire face à son interlocuteur, c’était quelques choses d’important que de pouvoir observer la personne avec qui il discutait. Un sourire en coin il répondit.

Le seul lien qui existe doit lui échapper totalement. Elle ne connait ni d’adam, ni d’ève aucun de ses hommes. Il porta sa coupe d'eau pétillante à ses lèvres pour les humecter de nouveau avant de continuer en jouant avec le pied de la coupe. L’idée qu’elle connaisse un de ses cousins où un des ses hommes ne lui avait jamais effleuré l’esprit… et cette idée était très malsaine, cela voudrait dire que Réhaume était beaucoup plus proche d’elle qu’il ne l’était lui et cette idée était insupportable. Ses traits s’étaient crispés un peu, alors que son regard se durcissait au fil de ses pensées.

J’imagine qu’on vous a demandez la plus grande discrétion, si ce n’était pas fait c’est le cas maintenant. Les seules informations que vous pourrez tirer de ces hommes ne sera qu’en les observant et qu’indirectement. Selon mon conseiller vous êtes l’homme de la situation et je m’en remets à son expérience. Ce qui vous est demandez est de retrouvez Ksenia et de la protégé le temps que mes hommes prennent la relève. Je ne vous cacherez pas qu’ils ont probablement quelques semaines de recherches de faites et que leur véritable avancement est incertain.

En prononçant son prénom, il avait eu un regain d’émotion… lui qui s’était interdit tout attachement, jamais il n’aurait cru qu’après autant d’année il puisse être aussi fébrile à dire un simple prénom. Elle était différente et il voulait par tout les moyens la garder intacte et hors de l’influence de son cousin... hors de l’influence de sa famille tout simplement et le plus longtemps possible. Il avait plus de mal à se montrer froid et distant lorsqu’il était question d’elle, toute cette histoire le touchait plus qu’il n’oserait l’avouer. Jean-Claude avait probablement raison, cet homme peu importe qui il était serait surement plus apte à la tâche que lui où n’importe lequel de ses propres hommes. En plus de cela, son cher Vicomte de cousin ne penserait jamais à ce qu’il puisse mêler une personne extérieur à leur affaire familiale, car il fallait bien l’avoué il était le premier à oser.

Une chose encore… éviter de tuer un de ses hommes, mais si c’est nécessaire alors soit. Tant qu’il ne l’approche pas je serais satisfait, la méthode que vous utiliserez pour la surveiller et la protéger ne me regarde pas excepté si vous la mettez dans votre lit. Son regard clair se voila d’une menace meurtrière, il refusait qu’un homme l’approche d’aussi près c’était viscérale et très primitif, c’était plus fort que lui. Cette fille allait le rendre fou, il se cala de manière aisé dans son fauteuil et croisa une jambe par-dessus l’autre et fini sa coupe d’eau.

Après un moment, il reprit et se mit à parler des hommes en question. Le groupe de douze fonctionnait sous forme de clan, même s’il n’était pas tous frère de sang c’était des frères et c’était œil pour œil dent pour dent. Ils étaient de loin dangereux et organisé, mais le point le plus important c’étaient qu’ils avaient comme règle d’or la discrétion. Il ne risquerait pas de s’avancer sur une place public et d’enlever le premier venu ou de tiré à tout hasard. Afin d’éviter de ne trop s’étaler sur le sujet et au vu que l’essentiel des informations était sur les fiches il ne voyait pas l’intérêt de tout répété.

Vos recherches commenceront à Saint-Peterbourgs, au Concervatoire là où tout à commencer. C’est justement de leur archive qu’est tiré sa photo…

Il revoyais mentalement cette image flou et de piètre qualité graver dans sa mémoire après l'avoir fixer des heures durant. Tout cela était tellement loin de lui, qu'il s'écoeurait lui-même, il s'exaspérait juste à force de réfléchir.

Spoiler:

L'Avion flottait dans le ciel, il lui semblait même si l'engin allait à vive allure de ne pas avancer. Il était inquiet, mais surtout contrarié de ne pas pouvoir chasser par lui même. Malgré son envi de tout mettre de côté pour ne se consacré qu'à son obsession, Jean-Claude l'avait sagement raisonné. Il était vrai qu'il avait les deux pieds directement dans le problème et qu'il ne serait certes pas aussi efficace qu'en temps normale, de par la signification toute particulière de cette chasse. C'était son avenir d'une certaine manière dont il était question, celle de sa lignée... de sa race...Même s'il ne pouvait être au front, il allait au moins tenter de ralentir la progression du Vicomte.

mmm...nous sommes déjà dans l'espace russe... mais nous n'atterrirons pas avant 35-40 minutes environ...

Pour sa part, il n'allait pas descendre et ce au prix d'un grand effort. Il mourrait d'envie d'aller retrouvé le Conservatoire et se petite parc près de là où elle avait habité... jadis dans ses souvenirs. Ce qui était le plus agaçant c'était qu'avoir Ksenia il n'était sur de rien, ses souvenirs semblaient l'invention d'un adolescent. Ils étaient si troublent qu'il était persuadé par moment de courir après une chimère. Il n'était de se genre à être fébrile, à appréhender les choses... il fonçait et était en contrôle. Du moins jusqu'à ce que Justine revire tout avec sa vision.

Les choses n'auraient pas fini de changer, ce n'était que le commencement. À force de tout remuer ainsi dans sa tête il en venait à avoir la migraine. Il porta a main à son front et pinca légèrement la zone où les fausses nasal se prolongeaient dans le crâne. Il avait besoin d'un sacré remontant... une sacrée double dose! Il appuya sur le bouton dissimulé sur l’accoudoir de son fauteuil et quelques instant après l’hôtesse vint le voir. Elle se pencha légèrement une fois sa commande passé et s’en aller chercher un verre où elle dépos quelques glaçons et une double dose de whisky. Elle déposa le vers sur une petit serviette et s’en retourna à sa cabine. Karl saisit le verre regarda un moment tournoyé le liquide ambré contre les parois translucides totalement perdu dans de quelconques pensés. Il envala le tout en 2 traits.

L’arôme de l’alcool enveloppa sa bouche et une douce chaleur l’etreint de l’intérieur. Cela allait devoir suffir pour le garder concentré et patient. Il n’engagea pas de conversation avec ‘’ Smith’’, restant néanmois disponible à répondre aux questions où à toutes demandes d’éclaircissement. Il restait encore quelques minutes avec que leur chemin ne se sépare aussi il profita du moment pour faire une dernière demande .

J’aimerais si possible que vous me teniez au courant du déroulement de votre développement… et si vous venez à avoir besoin de quoi que se soit, il vous suffira de demander.