Un petit déjeuner de champion [terminé]

**Gabriel** Invité

Il était très tôt se matin quand Gabriel se réveilla. Un vieux cauchemard de me°de, il était trempé de sueur, et n'arrivait maintenant pas à se rendormir. Il regarda son portable, il était littéralement entrain d'halluciner, il était 5h53 et il était réveiller sans aucun moyen de pouvoir se rendormir. C'était vraiment pas cool, il se mit assis sur son lit, scruta autour de lui, tout le monde dormait encore, ce n'était pas vraiment le moment de foutre le bazar parce que sinon il allait se prendre une rouste monumentale.

Il prit donc ces affaires de renchanges, une serviette et sa trousse de toilettes et se dirigea vers la sortie. Il éssayait de marcher à tatons mais n'étant, pas ou peut réveiller, cela rendait le parcour assez difficile. Il arriva finalement dans les douches, il fit donc sa toillette, douche, brossage de dents ect... Et s'habilla, encore une fois très simple, un t-shirt de couleur rouge foncé, un jean un peu délavé, des chaussures noires toute à fait normals. D'une banalité affligeante, mais dans un monde ou tout le monde veut être unique, ne pas l'être c'est l'être un peu...... laissez tomber Gabriel était vraiment fatiguer ^^.

Il revint dans la chambre, mais cette fois le fait qu'il soit totalement éveillé aidait pour le parcours du combatant. Il déposa ces affaires sales dans le sac fait pour cela et décida finalement de descendre dans la cuisine. Sur le chemin il remarquait que le bazar était vraiment vide, il n'y avait personne, enfin personne de réveiller. En même temps il était 6h14 alors tout le monde dormait encore.

Il arriva dans la cuisine, il prit les céréales le lait, un bol, mais finalement, il eu une meilleurs idée. Il était tôt, il ne travaillait pas aujourd'hui, alors pourquoi ne pas faire, le super déjeuner "Extra maxi giant kingsize made in Levèfre", comme il aimait l'appeller. Il sortit son mp3 l'alluma et quand la musique fit son entrer, il fit craquer ces doigts et son cou. C'est partit mon Kiwi (oui lui il dit Kiwi ^^).

Après une heure et quart d'intense cuisine, enfin peut être pas intense non plus, mais en tout cas il c'était fait plaisir, crèpes, toasts, pain perdu et encore d'autre chose. Il posa le tout sur la table. Sur celle-ci on pouvait maintenant voir, des crèpes, du pain perdu, des toast, dans des petits ramequin était disposé, beurre, confiture, miel, il y avait du jus de fruit, des céréales, du sucre en poudre, une cafétiere de café. Le seul problème, c'est qu'il y avait de la nourriture pour au moins quatres ou cinq personne. Bon Gaby pouvait facilement se manger pour deux ou trois personne de ce petit déjeuner, mais il faudrait qu'il se force. Il retira son mp3 et soupira en se disant qu'il en avait encore trops fait, et il était encore tôt. Mais bon.... Il avait faim alors "A table !!!!".

Nombre de messages · **Edward Livingston** Humain

Edward n’avait pas dormi de la nuit, il s’était contenté de rester vautré sur son canapé, une bouteille d’alcool entre les doigts, le nez penché au plafond à regarder les impacts de balles qu’il avait tirer la veille. Une nuit tout a fait banal pour lui, en somme. Même William, son colocataire, n’avait pas prit le soin de lui hurler dessus. Pas pour rien qu’il arriver à la supporter dans la même maison que lui, du moment que chacun respectait l’espace vitale de l’autre. La femme à tout faire de la maison, n’avait pas daigner monter pour apporter le thé au détective, et prof à l’institut, estimant qu’il était beaucoup excentrique pour qu’elle se risque à monter à l’étage qu’il occupait. Grand bien lui fasse. Edward se portait très bien, les lèvres pincées et son regard éternellement perdu sur ce plafond. La seule chose qui décida de le sortir de sa torpeur fut l’appel stressant d’un réveil cacher sous un amas de feuille qui jonchait le sol de la pièce. Grommelant quelque chose, il se redressa, cherchant à définir où se trouvait son réveil, mais le son lui vrillait tellement les tympan qu’il fini par se lever et soulever tout le foutoir qui traînait sur le sol. Enfin, il eu le réveil en main et au lieu de l’éteindre, comme l’aurait fait n’importe qui, il ouvrit sa fenêtre et le jeta le plus loin possible.

« Voilà qui est beaucoup mieux »

Soupirant d’aise il allait se remettre sur son canapé quand une vague question lui traversa l’esprit : pourquoi avait-il mit son réveil ? Il allait de soit qu’il n’avait pas fait cela sans raison. La douloureuse révélation lui revint rapidement en mémoire : il avait des cours à assurer aujourd’hui. La journée débutait plus que mal, il faut croire. Il n’avait pas encore résolue l’affaire sur laquelle il était, et n’avait pas pour habitude de s’arrêter dans ses analyses les plus profondes. Car oui, cette torpeur et cet alcool étaient bien des éléments obligatoires pour résoudre une affaire. Les personnes en doutant, étaient forcément celles qui n’avaient pas fait les frais de ses brillantes observations et ses déductions des plus logiques. Parce que si Edward était une personne excentrique, peu sociale et bien étrange, il n’en demeurait pas moins un des meilleurs observateurs et logicien de son époque. Une condition sur laquelle il travaillait depuis son plus jeune âge. Passablement vexé de devoir mettre un terme à une analyse en cours, il se décida à aller prendre une douche pour enfiler une tenue bien plus adéquate que sa robe de chambre d’un gris passé.

Une fois sortie de sa douche et habillée de manière quelque peu négligée, estimant que son rôle de prof ne nécessitait pas une tenue des plus raffinées. Un jean délavé et un t-shirt blanc faisaient parfaitement l’affaire, bien qu’il surmonta le tout d’une veste de costume noire. Basket blanche aux pieds, il entreprit de quitter ses appartements pour se rendre à l’école pour ses, soit disant, surdoué. « Sur », certainement, encore fallait-il savoir quel qualificatif mettre à la suite. Mais « doué », il y avait peu de chance pour la plus part. Pas en ce qui concerne les études, en tout cas. Il suffisait de voir cette Miss Smith. Elle était assurément douée, mais ce n’était pas dans le domaine des études. Elle détenait, à la connaissance d’Edward, le record de la personne qu’il avait viré le plus de fois, arrivant même à se faire exclure en moins de deux minutes. Elle ne l’énerverait pas autant, qu’Edward pourrait même trouver qu’elle assure dans ce domaine. Mais ce n’était pas le cas. Il aurait préféré que la plus part des élèves soit à l’image de Miss Pryde. L’élève par excellence, le genre de personne qu’il appréciait : elle réfléchissait vite et bien, comprenait rapidement et posait les questions les plus pertinente qu’il soit. De toute façon, ce n’était pas un secret, Edward était un cérébral, il aimait les personnes sachant se servir de leur tête. Mais comme on n’avait pas tout ce que l’on voulait dans la vie, il allait bien devoir faire avec. Descendant les marches qui menaient au rez de chausser, et accessoirement aux appartements de William, il croisa son colocataire avant la porte de sortie.

« Anna-Maria m’a encore fait part de sa peur à vous monter le petit déjeuné. »

« Anna-Maria cherche juste des excuse pour éviter quelques marches. »

« Ou peut être à telle peur de se prendre une balle. Si vous cessiez, au moins, de faire de votre mur une cible géante. »

« Mon mur ? Voyons, je suis passé au plafond, depuis le temps… »

Et sur ces paroles il passa la porte de sortir, assurant à William –qui s’inquiétait de l’état de l’estomac du détective – qu’il mangerait quelque chose en arrivant à l’institut. Ce qui ne comptait pas faire, évidemment. Il n’avait pas faim, son estomac se contentait de digérer l’alcool ingurgité au cours de ses deux derniers jours, bien que cela ne puisse se voir sur son visage, ou même se sentir. Les joies des douches et des dentifrices. Attrapant le bus, car il n’avait pas le permis, il se rendit à l’école de mutant pour arrivée devant la porte d’entrée à 7h30. Encore une fois, il arrivait avec une heure d’avance, mais il prévoyait toujours le fait qu’il pouvait oublier les raisons qui l’avait poussé à mettre un réveil pour se rappeler qu’il devait donner des cours. La notion du temps était assez particulière chez cet homme qui pouvait passer trois jours avachi sur un canapé à boire du whisky.

Il avait eu dans l’idée de se rendre directement dans la salle de cours qu’il devait délivrer, mais une odeur de repas l’attira irrésistiblement jusque dans la cuisine. Ce n’est qu’à cette occasion qu’il vit un élève devant une table emplie de toutes sortes de chose que l’on peut utiliser pour un petit déjeuné. L’abondance de la nourriture prouvait qu’il avait du passer un peu près une heure à tout préparer, mais l’absence d’autre personne montrait qu’il ne l’avait pas fait pour quelqu’un en particulier. Son cerveau fonctionnant à tout allure, il ne pu en déduire qu’une seule chose.

« Mauvaise nuit ? »

C’est qu’il faisait des efforts considérables, il annonçait les choses sous formes de question. Un truc que lui avait dit de faire William, car ce dernier ne pouvait être présent durant les cours que délivrait Edward. Et il faut dire que c’était William qui était doué de diplomatie, absolument pas le cas d’Edward qui était obliger de mettre de l’eau dans son vin. En tout cas il essayait, ce qui n’était pas toujours très probant. Il entra dans la cuisine, fit chauffé de l’eau. Le café était banni de son alimentation. Anglais jusqu’au bout des ongles, il se devait de préparer un thé.

« Vous venez d’arriver, n’est ce pas ? »

Là encore il posait une question, alors qu’il savait très bien que l’arrivé de ce jeune homme n’était pas très ancienne. Du coup, pendant que l’eau chauffait, il se positionna non loin de lui et tendit une main en sa direction. Encore un effort, bien que cela ne se voyait pas, mais le contact avec les gens était quelque chose de parfaitement inutile, selon lui.

« Edward Livingston, je suis professeur dans cette école. »

Se présenta t-il.

**Invité** Invité

Gabe avait même eu le temps de faire une petite chantilly maison, il en éttalla d'ailleurs sur l'un de ces pain perdu pour ensuite dévorer avec gourmandise. Il adorait cela, cuisiner et manger. Gabe n'était un jeune homme intéresser par tout, il n'était réellement doué que dans deux domaines, la cuisines et la musique. Mais il fallait bien avouer que la cuisine et cuisiner lui apportait un sentiment de bien être. Certaine personne se sentent bien chez eux, ou dans l'eau ou en vol, lui il y avait que trois endroit ou il se sentait comme un poisson dans l'eau, les pistes de ski, l'estrade d'un concert, et une cuisine.

Il allait attaquer une toast avec confiture de framboise quand un homme arriva dans la cuisine, peut être attiré par l'odeur, c'est vrai que sa sentait bon, en plus Gabe avait fait la vaisselle avant de se mettre à table donc tout était propre. En même temps il avait horreur de manger en sachant qu'il aurait une plonge monstrueuse à faire juste après. L'homme était assez bien habillé, enfin Gabriel aimait son style, classe et négligé, enfin c'est comme cela qu'il le qualifiait de toute façon il n'était pas très calé dans la mode, préférant le style « radin ». Ce style lui avait bien réussi tout de même, il avait put économisé une fortune sur ces six dernier mois de salaire et il avait put s'acheter cette moto d'occasion, la prochaine acquisition devrait être une voiture mais pour le moment il lui fallait économiser, encore est toujours.

Voyant l'homme se faire chauffer de l'eau, Gabriel se rappela qu'il avait fait du café, il s'en servit une tasse et se dit que l'homme ne devait pas en vouloir donc il ne lui en proposa pas. Français jusqu'au bout des ongles il se devait de boire un bon café noir dès le matin, et d'ailleurs tout au long de la journée aussi. L'homme lui demanda si il avait passé une mauvaise nuit.

Non, non j'aime me réveillé à six heures pour faire à manger.

Cynisme, ironie et second degrès tel était la façon de parler de Gabe, d'ailleurs quand on ne le connaissait pas ont pouvait être surprit voir choqué, mais il n'y avait rien de méchant, d'ailleurs Gabe arborait un sourire malicieux et gentillet presque candide. L'homme lui demanda ensuite si il était nouveau.

Exact, je suis arrivé de France il y à quelques jours.

En effet cela s'entendait, il avait un accents français, pas hyper prononcer ni pas hyper discret juste ce qu'il fallait pour le reconnaître et pour le comprendre.

Enchanté Gabriel Levèfre, Cuisinier et étudiant moyen. Dit il en plaisantant. Vous êtes professeurs de quelle matière ? Je ne vous ai pas demander, vous voulez vous joindre à moi pour manger ?

Nombre de messages · **Edward Livingston** Humain

Pendant qu’Edward se faisait chauffer de l’eau pour son thé, l’étudiant, lui, se servit un café tout en expliquant qu’il aimait se réveiller à six heures pour faire à manger. Une phrase qui marquait une certaine ironie dont Edward ne se formalisa pas réellement, chacun sa manière de s’exprimer dans le fond. Ne répondant pas à cela, il glissa un sachet de thé dans une tasse pour y mettre l’eau chaude pendant que le jeune homme lui expliquait qu’il venait effectivement d’arriver, et qu’il venait de le faire de France, pour être plus exacte. Une information qui n’étonna pas vraiment le professeur Livingston, pour être honnête. Il avait suivit qu’il prononce une phrase pour que l’homme sache ses origines. Bien que, dans un raisonnement tout à fait logique, Edward était même capable d’aller plus loin dans les origines du jeune homme. Français, d’accord, il restait un fon d’accent dans le timbre de sa voix, mais Livingston pouvait parier n’importe quoi sur le fait que l’étudiant avait également vécu un certain temps en Angleterre. L’anglais qu’il parlait n’était pas celui qu’on avait quand on apprenait cette langue aux Etats Unis. Les américains avaient une façon bien à eux de parler, mangeant la plus part des mots pour accentuer les seuls qui soient réellement important. Apprendre l’anglais en Angleterre évitait ces prononciation, que Livingston trouvait parfaitement disgracieuses. Le pire, selon lui, étant les personnes venant du côté du Texas qui avaient vraiment un accent à couper aux couteaux. Enfin là n’était pas la question.

Enchanté Gabriel Levèfre, Cuisinier et étudiant moyen. Dit il en plaisantant. Vous êtes professeurs de quelle matière ? Je ne vous ai pas demander, vous voulez vous joindre à moi pour manger ?

« Volontiers. Merci. »

Cette réponse étant pour la dernière question de Gabriel, Livingston prit place sur une des chaises, son thé devant lui, son regard sur la table se demandant ce qu’il allait prendre. Il porta, finalement, son dévolu sur un toast auquel il ajouta un peu de miel. Sachant qu’il n’avait pas répondu à toutes les questions de l’élève, il garda sa nourriture entre ses doigts pour finalement reporter son attention sur le jeune mutant. Sans que cela puisse se voir, et avec une rapidité impressionnante, Edward venait de récupérer tout un tas d’informations sur le jeune homme. Il ne faisait pas exprès de faire ce genre de chose, c’était quelque chose qui se faisait le plus naturellement possible, sans qu’il puisse réellement y réfléchir. Si on vous demande combien font deux plus deux, tout le monde est capable de répondre sans vraiment réfléchir, l’opération se fait assez naturellement dans un coin de la tête. Pour Edward s’était la même chose, mais avec l’observation et son assemblage en quelque chose de parfaitement logique.

« En ce qui concerne la matière que j’enseigne, cela dépend des besoins, en réalité. Tout se qui touche aux matières scientifiques ou la biologie »

Disons qu’il excellait, surtout, dans tout ce qui demandait une éprouvette et des expériences en tout genre. Il avait même son propre laboratoire chez lui, ou plutôt, une pièce qui servait un peu à tout et où il se donnait à des expériences diverses. Une très mauvaise chose pour son colocataire médecin, dont ses patients se plaignaient souvent de l’odeur qui pouvait provenir des appartements de Livingston.

« Ou il m’arrive de donner des cours sur l’importance de l’observation, sur les petits détails qu’on ne remarque pas forcément mais qui peuvent avoir toutes son importance pour en apprendre sur la personne qui nous fait face. »

Il mangea une bouchée de son toast au miel. Le fait d’apprendre à savoir à qui on avait à faire pouvait être important pour des jeunes mutants, une fois qu’ils étaient en dehors des murs de cette école. Le monde extérieur n’était pas, en majorité, favorable à leur existence, et il était important de savoir à qui on avait à faire très rapidement. En tout cas, c’était sa façon de voir les choses et sûrement une des raisons qui lui avait fait accepter le poste de professeur dans cette école. Une fois sa bouchée finie, il se décida de reprendre rapidement pour expliquer ce qu’il voulait dire par l’observation, ou plutôt lui montrer rapidement ce que cela pouvait donner.

« Par exemple, il suffit de vous écouter pour savoir que vous êtes français. Chose qui ne demande pas forcément de déduction, vu que vous avez dire venir de France. Mais on peut savoir à votre façon de parler, que vous avez apprit l’anglais en Angleterre et, donc, que vous y avez vécu un certain temps. L’une de vos mains, et particulièrement le bouts des doigts, possèdent plus de corne au niveau de la peau que l’autre main, ce qui laisse à penser que vous vous server de cette main pour plaquer des accords. Suivant ce raisonnement, il y a fort à parier que vous êtes musiciens, et que vous jouez au moins de la guitare ou de la basse, voir les deux et plus encore. Ou alors que les marques légères, mais récentes, de brûlures montrent un pouvoir en rapport avec le feu. Je dirais la possibilité de créer des flammes via vos mains. Et ainsi de suite. »

**Invité** Invité

Science et biologie ? Rhaa mon dieu Gabriel espérait voir un prof de musique mais non. La biologie, la science et tout ce qui y touchait lui donnait de l'urticaire, bien que son métier soit en grande partit de la chimie et de la biologie, il n'aimait pas cette matière. D'ailleurs, il n'aimait plus trop l'école, il avait passé quatre années dans un lycée hôtelier et cela lui avait suffit. Il savait que les cours concernant, l'anglais et l'histoire lui serait utile, mais les mathématiques et toutes les autres matière qui ne concerne pas la langue et ou le pays, ne l'intéressait en rien, il avait ces diplôme donc le niveau requis pour exercer son métier. C'est une assez maigre excuse mais l'école lui avait laissé un gout amer, il préférait se tuer au taf que de mourir dans une salle de classe. Il sourit tout de même et dit :

Pas de chance pour moi j'ai horreur de cette matière, et j'en ai bouffé pendant quatre ans.

Mais bon, autant se dire les choses comme dirait l'autre. Il était tout de même content de le voir s'assoir avec lui pour manger. Au moins il n'aurait pas fait toutes ces choses pour rien ou personne. La deuxième partie fut un peu plus plaisante. Apprendre à étudier les moindres petites choses hein ? Pas mal, genre détective ou enquêteur. Gabriel aimait bien les énigmes et les mystère, cela entrainait le cerveau pour ne pas qu'il tombe dans un états comateux ^^. Il aimait lire et les polar, thriller et autres roman policier ayant une bonne trame et un bon mystère lui plaisait énormément. Bien sûr ce n'était que des bouquins sans prétention, pas de quoi croire que l'on est Sherlock Holmes après avoir élucider une affaire dans un bouquin. Quant le prof finit sa phrase, Gabriel savait une chose « sa va être pour ma gueule » pensa t'il amusé, c'est vrai qu'il voulait voir de quoi cet homme était capable.

Et il ne fut pas déçu, ce mec avait vraiment tout deviné, son statut de guitariste, le fait qu'il ai été en Angleterre, et son pouvoir. Enfin il avait eu un coup de pot sur ce coup la, car les traces récentes de brulures étaient plus dut à son métier que à son pouvoir, il était néanmoins sur que cet homme aurait put deviner son métier si Gabe ne lui avait pas dit en se présentant. Impressionnant était bel et bien le mots qui convenait le mieux sur ce coup, respect franchement, Gabriel n'étaitp as du genre à se tourner les méninges avec autant de conviction et de succès mise à part dans son travail, il restait un flemmard et un « je-fous-rien » assez impressionnant.

Chapeau, j'avoue tout. Par contre mes brulures sont plus dues à mon travail de cuisinier, mais je suis bien un pyrokinesiste et un pyromorphe. Je joue effectivement, de la guitare et de la basse, ainsi que du piano et de la batterie. Je ne suis pas aussi fort que vous, mais je peut deviner que vous êtes anglais, à votre prononciation moins mâché que les Américains, et aussi grâce au thé qui vient accentuer mes intuitions. Et je peut ajouté que en ce moment même vous regrétté de ne pas avoir de marmelade d'orange amère.

Dit il assez amusé, il est vrai que c'était célèbre ne Angleterre avec le thé. Gabe n'était pas fan de thé et de cette marmelade mais beaucoup de spécialité lui plaisait, le treacle, la custard, l'agneau sauce menthe. Les Anglais cuisine assez gras en fait.

Nombre de messages · **Edward Livingston** Humain

Il était quand même assez hallucinant de voir à quel point les matières scientifiques pouvaient donner des nausées aux gens. Pourtant cela pouvait s'avérer utile dans de nombreux domaines, ne serait-ce que pour le savoir de certaines choses. Enfin, chacun pouvait encore avoir le choix de ce qu'il appréciait ou non, Edward n'avait pas son mot à dire la dedans. Gabriel lui expliqua qu'il en avait bouffer pendant quatre ans, et cela semblait lui être parfaitement suffisant. Soit, c'était son choix. Pas pédagogue pour un sous, ce n'était pas Edward qui allait se mettre à expliquer le bien de la science. Ororo en ferait une crise, combien de fois lui avait-elle dit qu'il fallait aider les jeunes à s'intéresser à ce que l'on enseigne. Conseils qu'il ne suivait absolument pas, pour la plus grande exaspération de nombreux profs dans cette école. Livingston devait même détenir le record des élèves viré pendant ses cours, partant du principe qu'il préférait enseigner à ceux que cela intéressait. ceux qui ne l'étaient pas, trouvaient rapidement le chemin de la porte.

D'un haussement d'épaule nonchalant, Edward ne répondit pas aux remarques du mutant sur sa non-préférence pour les matières qu'il enseignait. En échange il lui expliqua qu'il pouvait aussi fournir quelques cours sur le sens de l'observation et ce que l'on pouvait en déduire, s'obligeant à donner un exemple concret de sa théorie de l'observation. Enfin, dire qu'il s'obligeait à le faire n'était pas vraiment le terme exacte. Il le faisait pratiquement tout le temps, avec n'importe qui. C'était plus fort que lui. Les plus grands mathématiciens disaient avoir les chiffres qui leur parle. Pour lui s'était un peu la même chose. Aussi vrai que 2+2 puisse faire quatre, il était logique pour lui d'assembler des observations pour en déduire quelque chose. Oui l'exemple était bien choisi, en réalité. 2+2 font 4, pourtant si on venait à vous demander pourquoi c'était ainsi, beaucoup de personne seraient incapable de vous l'expliquer. C'était ainsi. Cette philosophie s'adressait également au détective de temps à autre. Une chose était comme une évidence, sans qu'il puisse exactement expliquer pourquoi. Son cerveau avait tendance à travailler sans qu'il n'en prenne forcément conscience, lui apportant un résultat en lui épargnant le cheminement.

Chapeau, j'avoue tout. Par contre mes brulures sont plus dues à mon travail de cuisinier, mais je suis bien un pyrokinesiste et un pyromorphe. Je joue effectivement, de la guitare et de la basse, ainsi que du piano et de la batterie. Je ne suis pas aussi fort que vous, mais je peut deviner que vous êtes anglais, à votre prononciation moins mâché que les Américains, et aussi grâce au thé qui vient accentuer mes intuitions. Et je peut ajouté que en ce moment même vous regrétté de ne pas avoir de marmelade d'orange amère.

Pour le fait que ses brûlures soient dus à son métier, Edward lança un regard qui voulait dire "bin, on ne peut pas avoir bon à tous les coups", ce qui ne l'empêcha pas de finir son toast pendant que Gabriel lui donnait des informations complétementaires sur les instruments qu'il pratiquait. Sur la fin, il émit ses hypothèses, à son tour. Le fait qu'Edward était anglais, ce dont il se faisait une fierté et ne cherchait à cacher sous aucun prétexte et, enfin, sur le fait qu'il regrettait de ne pas avoir de marmelade d'orange amère. ce qui eu le don de faire sourire l'anglais pour ce cliché. c'est comme si on disait à un policier américain qu'il était véxé de ne pas avoir de donuts pour son petit déjeuné.

"Bien que j'aime profondément l'Angleterre, pour des raisons évidentes, il faut être sincère : La nourriture n'a jamais été le fort de ce pays. Du moins, pas sans une longue préparation psychologique, ou le fait d'avoir baigner dedans depuis l'enfance. Alors, fort heureusement, la marmelade d'orange amère ne me manque pas du moins du monde. La France, cependant, à plutôt bonne réputation en se qui concerne la nourriture"

D'ailleurs pour la chargé de maison qu'il employait, avec William, ils auraient peut être du prendre une française. L'idée avait été évoquer, mais refuser par William qui voulait une anglaise, pour avoir le droit à des repas typique de chez eux. Edward avait céder face à cette demande. n'empêche qu'une français, aurait été bien, du moins pour préparer les repas, pas forcément pour le reste. Mais là n'était pas la question de toute façon.

"Du coup, je suppose que vous ne suivez pas spécialement de cours ici, à voir comment vous avez répondu sur les matières que j'enseigne ? Vous avez eu la possibilité de retrouver un emploi en cuisine ou un nouveau groupe de musique ? Parce que si vous faites autant d'instrument c'est que vous êtes dedans depuis un petit moment, et je doute que vous n'ayez jamais intégrer un groupe d'une manière ou d'une autre, non ?"

**Invité** Invité

Gabriel sourit lui aussi à la réfléxion du prof, pour la simple et bonne raison qu'il utilisait le cliché, le plus gros et le plus vieux de ce pays, la nourriture. Gabriel aimait la nourriture anglaise, pas tout bien entendu mais la plupart des choses étaient vraiment à son gout. En même temps les truc lourds et super riches sont ces plats préféré alors l'angleterre et un petit paradis pour lui. Oui étrangement ce pays cuisine très gras et très sucrée parfois les deux se rejoignent sur certain plat ^^. Gabe à eu la chance de travailler dans un restaurant qui faisait de la bonne cuisine Anglaise, et il avait découvert que c'était comme partout quand c'est bien fait c'est bon. Puis l'homme parla de la France. Et oui si certain disent que c'est le meilleurs pays en terme de gastronomie, Gabe n'était pas tout à fait sur. Lui même préférait la cuisine chinoise, japonaise et Thaiwanaise. Enfin tout ce qui vient de l'Asie en somme. Certes le térroir Français à servit d'exemple pour beaucoups de pays, mais il reste un terroir vieux est has been pour notre jeune francais.

Moi j'aime bien la cuisine Anglaise, riche et super lourde, mais j'aime bien ^^. Dit il en souriant. Oui la France à une belle réputation dans la cuisine, mais je ne suis pas sur que ce soit encore mérité.

Voila c'était a la conclusion. La renommé est elle encore mérité pour la France. Puis le prof lui demanda si il restait suivre des cours, en effet, Gabe avait un travail et la capacité de devenir indépendant du jour au lendemain, le travail, et les logements n'étaient pas un problème, mais il restait à l'institut car ils proposaient de loger gratuitement, mais surtout pour apprendre à maitriser ces pouvoirs. C'est la première raison pour laquel il est venu. Bien sur il peu participer à certain cours de temps à autres mais il préfère travailler, pour l'argent et pour le plaisir. Puis le mots groupe sortit dans sa discution, le prof avança l'idée du groupe, disant que Gabe n'avait sans doute jamais fait partit d'un groupe. Gabe se gratta l'arrière de la tête en imitant le bruit d'un buzeur comme dans une emmission ou le mec aurait répondut faux.

Désoler mais vous vous trompez. J'ai fait partit d'un groupe, groupe que j'ai crée avec deux amis. Maintenant la distance veut que je ne fournisse plus que les partitions et quelques paroles. Mais j'ai du mal à croire que vous ne soyez que prof, vous avez un autre taf ?

Nombre de messages · **Edward Livingston** Humain

Moi j'aime bien la cuisine Anglaise, riche et super lourde, mais j'aime bien ^^. Dit il en souriant. Oui la France à une belle réputation dans la cuisine, mais je ne suis pas sur que ce soit encore mérité.

Il faut croire que tous les goûts étaient dans la nature, ce qui était probablement une bonne chose, si on y réfléchie bien. Ou alors, les gens n’étaient jamais satisfait de ce qu’ils pouvaient avoir, chacun préférant quelque chose chez son voisin. Edward n’était pas convaincu que si Gabriel avait manger de la nourriture anglaise depuis son premier cris, il aimerait encore cela au jour d’aujourd’hui. On a toujours cette fâcheuse tendance à préférer ce qui n’est pas commun ou habituel, selon nous. Enfin, il n’avait jamais été question de faire tout un discours sur le bien-fondé de telle ou telle nourriture, du coup, Edward ne prit pas vraiment la peine de répondre quoique ce soit. Chacun défendrai son point de vue et, au final, cela ne mènerait à rien. Edward avait toujours eu ce besoin de stimuler son cerveau par des interrogations, des énigmes, n’importe quoi qui puisse faire travailler ses neurones. Les discussions stériles n’étaient donc pas dans ses habitudes, sinon il s’ennuyait très vite.

Du coup, c’est assez naturellement qu’Edward partit sur une autre conversation. Une tirade qui fut reçu par le bruit d’un buzzeur et, Gabriel expliquant que le professeur s’était trompé. Il avait fait partit d’un groupe. Tout cela tenait donc d’un quiproquo, car c’est bien ce que le prof avait voulu lui dire. L’emploi de la double négation, était en fait une façon de faire une affirmation. Sa tirade voulait dire que, vu le temps et le nombre d’instrument qu’il jouait, il était logique que Gabriel fasse partie d’un groupe. Bien que, avouons le, Edward avait tendance à mettre cela au passé, imaginant que la distance ne permettait pas de rester dans un groupe former dans un autre pays. Quoiqu’il en soit, l’espace d’un instant, Edward se demanda si il devait expliquer cette histoire de double négation, juste pour expliquer qu’il n’avait pas eu tort. Mais l’image de William l’engueullant pour si peu lui vint en mémoire, et Edward décida de laisser penser qu’il s’était planté… Ce qui n’était, habituellement, pas dans ses habitudes. Il lança donc un haussement d’épaule détaché, l’air de dire que l’erreur arrivait à tout le monde, que ce n’était pas vraiment important…

Désoler mais vous vous trompez. J'ai fait partit d'un groupe, groupe que j'ai crée avec deux amis. Maintenant la distance veut que je ne fournisse plus que les partitions et quelques paroles. Mais j'ai du mal à croire que vous ne soyez que prof, vous avez un autre taf ?

« Plutôt compliqué de répéter ensemble avec une telle distance qui vous sépare, non ? »

C’était assez étrange de donner des partitions et des paroles, mais ne pas pouvoir tester dans l’ensemble, ce que cela pouvait donné. Puis l’échange d’idée devait vraiment être plus compliqué, étant donné que dans un groupe, les choses avaient une tendance à se faire au feeling, lors d’une répète, ou juste en se retrouvant pour en discuter. C’est souvent de cette manière que les morceaux s’amélioraient. Enfin, dans le fond, ce n’était pas son problème à lui. Gabriel gérait son groupe comme il l’entendait, si ça convenait de cette manière.

Le jeune français avait finit par demander sir Edward n’avait pas un autre métier. A ses dires, il avait du mal à croire que Livingston puisse être qu’un prof. Finissant un de ses toast, et buvant une gorgée de sa boisson chaude typiquement anglaise, même si la saveur n’y était pas, Edward se mit à réfléchir quelque instant. Les sourcil légèrement froncés.

« Plutôt étrange comme question. Pourquoi ferais-je autre chose ? C’est bien assez épuisant comme cela de devoir enseigner à une bande de gamin qui, pour les trois quart, n’en ont strictement rien à faire ! »

Bien évidemment qu’il avait un autre métier, son premier même. Mais rien ne laissait penser que cela pouvait être le cas. Il avait dit être prof dans les matières scientifiques, dans la biologie, tout en étant capable de filer quelques cours sur les bienfaits d’une bonne observation. Alors, rien ne pouvait laisser penser qu’il avait un autre métier. Même ses observations, qu’il avait faites, pouvaient s’expliquer par les matières qu’il enseignait. Du coup, il était curieux de savoir pourquoi Gabriel en était venu à une telle question qui semblait venir de nulle part.

Mais, un regard à l’horloge murale lui rappela qu’il avait quand même des obligations et un cours à donner. Hors de question pour lui d’arriver en retard, vu qu’il passait son temps à virer les personnes avec seulement une ou deux minutes de retard. Question d’éducation, il faut croire. Du coup, même si cela pouvait paraitre très impoli , Edward se redressa.

« En fait peu importe les réponses, je dois y aller. Merci pour le déjeuné, et bonne journée. »

Sur ses mots, il tourna les talons et disparu à travers les couloirs de l’institut pour aller donné son premier cours de la journée.

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HRP // Dernier message modifié afin de faire sortir mon personnage. Histoire que je puisse entamer des rp ailleurs. //

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