Friedrich lui confirma bel et bien que l’argent n’était pas son truc et qu’il préférait se complaire du minimum lui précisant aussi qu’il n’avait pas de résidence secondaire, se qui fit sourire la jeune femme.
Riant aussi de bon cœur, le mutant toussa plus qu’autre chose se qui inquiéta un instant Jean qui n’avait pas vraiment tout sous la main pour le soulager un maximum.

Alors que Jean était un soupçon perdue dans ses réflexions fasse aux pensées de son interlocuteur plusieurs minutes plus tôt, celui-ci lui demanda spontanément si il y avait un problème. Tentant de ne rien faire paraitre se qui était un peu trop tard, la jeune femme lui sourie en répondant simplement:

- Non aucun, ne vous inquiété pas. Tenta-t-elle de le rassurer.

Reprenant la conversation sur l’exposition d’art en ville, Jean avait décliné poliment l’invitation car elle était un peu trop occupée. Friedrich sembla déçu de cette réponse et lui précisa même qu’il faudrait qu’il lui donne son numéro de téléphone au cas où elle changerait d’avis. Dans son cas, il est vraie qu’au dernier moment elle pourrait se libéré mais elle n’y croyait pas tellement.

- En se qui concerne l’exposition je verrais si je peux me libéré on ne sait jamais mais je ne vous promets rien. Continua-t-elle de lui sourire.

Enchainant après cela sur la profession de Jean, Friedrich l’imaginait déjà dans un laboratoire bien fournit côté matérielle mais celle-ci faisait plus de la médecine générale qu’autre chose et parfois même, elle se demandait qu’elle avait été son but de passer un tel diplôme en biologie si se n’est pour sa propre culture général car elle ne s’y était pas remis depuis un certain temps…bien que cela lui plaisait beaucoup.

- Côté matériel se n’est pas si manque, mais si jamais vous aviez quelques choses à faire examiner au microscope vous serez à qui vous adressez.

Point de suture terminé, Jean rangea se qu’elle avait utilisé y comprit se qui appartenait au mutant et, lui expliqua en même temps quelques petites choses sur ses faits et gestes des jours à venir et, entre autre, ne pas se transformer. Elle savait que sa demande n’était pas une chose facile à appliquer mais c’était pour son bien alors si il venait à lui désobéir, c’est lui qui sentirait la douleur.

- Exact, vous n’avez pas le choix Friedrich.

Celui-ci lui demanda dans le même intervalle si elle comptait venir le voir. Pourquoi pas après tout, Jean n’y voyait pas tellement d’inconvénient. Au fond, il était assez sympa et cultivée sans compter sont petit état…

- Pourquoi pas, en revanche je ne peux pas vous dire quand exactement.

Pour le suivit de ses soins, Jean lui avait demandé si une personne pouvait s’en occuper et Friedrich fit illusion à une personne qui d’après ses dires était étudiante.

- J’espère que cette personne sera s’occuper de vous sinon je crains de ne pas vous quitter avant votre rétablissement. Ironisa-t-elle.

Après cette petite discussion, la jeune femme se leva et remis tout se qu’elle avait prit à sa place sans avoir eu besoin de demander quelques chose au mutant. Après quelques minutes, elle revint vers lui en lui demandant:

- Quel parfum vous voulez pour votre glace?

Elle lui avait bien promit une glace donc elle tiendrait sa promesse…

Friedrich ne crut pas tellement la mutante lorsqu’elle lui fit par que tout allait bien et l’une de ses pensées la fit sourire car se n’était pas la première fois que des personnes côtoyant des télépathes avait du mal à les comprendre. Il est sûr qu’une personne possédant le don de télépathie peux mieux connaitre les personnes qui l’entourent mais dans le cas contraire cela s’avèrent être une tâche plutôt compliquer.

Après lui avoir fait par qu’elle serait intéresser si jamais le mutant avait quelques chose à faire examiner au microscope, celui-ci lui répondit qu’il ne détenait rien pouvant être examiné mais qu’en revanche il serait qui appeler en cas de blessure comme à l’instant.

- Tâchez quand même de ne pas trop vous blesser je ne peut-être pas toujours présente.

Avec ses diverses tâches à l’institut elle ne pouvait que rarement se libéré mais si une personne l’appelait en urgence elle n’hésiterait sûrement pas et accourrait sur le champ mais, était-il vraiment nécessaire de faire par de se détail à Friedrich?…

L’homme espéra alors que la jeune femme malgré tout le travail qu’elle achevait, avait le temps pour s’amuser ou encore sortir avec des amis. Des amis elle en avait mais l’heure n’était pas tellement à la rigolade ni pour eux…ni pour elle non plus. Elle devait remonter dans leurs estimes, reprendre la confiance de son entourage qu’elle avait bâti depuis des années et qui s’était envolé en un rien de temps. Alors pour s’éclater avec des amis, elle devrait encore être un peu patiente mais cela ne veux pas dire qu’elle ne prend pas du bon temps car toute personne même ayant commis des « fautes » à le droit de souffler de temps à autre.

- Je n’aie pas vraiment le temps de m’amuser mais je sait faire des pauses lorsque j'en aie besoin.

Se qui lui manquait le plus était les balades qu’elle faisait avec Ororo dans le parc de l’institut ainsi que le shopping le week-end lorsqu’elles n’étaient pas appeler à partir en mission. Scott aussi lui manquait mais cela s’était une autre paire de manche… Beaucoup de loisir manquait à la jeune femme tout comme les balades à cheval mais elle espérait elle-même qu’un jour et le plus tôt serait le mieux, que les sourires ainsi que les fou rire reviendrais en force…

Friedrich reprit la parole et ses quelques dires ne purent empêcher Jean de rire. Il lui avait demandé s’il pouvait devenir son patient préféré. Ses patients avaient tous quelques choses de différent sans parler de leurs mutations bien entendues. Friedrich était plutôt agréable un peu grognon et têtue même si elle venait tout juste de le rencontrer mais, il semblait être assez cultivé se qu’il lui plaisait car leur petite conversation était enrichissante et distrayante. Elle ne tombait pas toujours sur des patients agréables ou polies mais cela faisait partit de son métier…donc pour résumer, oui, il pouvait devenir l’un de ses patients préféré mais elle ne lui divulguerait pas car elle préfère ne pas montrer ses « chouchous » ouvertement.
Il avait continué plus sérieusement sur la jeune femme qui faisait ses études de médecine en lui expliquant qu’elle soignait souvent sa famille.

- Alors se n’est pas volontaire? Le côté casse-cou est bel et bien héréditaire? Pour la mascotte je crains que se ne soit pas possible j’en aie toute une liste qui pourrait faire figure de petite mascotte. Lui sourie t-elle.

Avec les allez et venue de certain élèves à l’infirmerie, Jean s’attendait plus ou moins à voir arriver certain ou certaine à un jour précis. Plusieurs d’entre eux aimait venir la voir pour le moindre problème contrairement à d’autre qui s’amusait à s’entrainer avec leurs pouvoirs en douce et se retrouvait avec des blessures un peu plus conséquente…

Après avoir rangé et nettoyer le matériel dont elle avait eu besoin, Jean avait demandé le parfum de glace que le mutant désirait et celui-ci lui répondit vanille-caramel, assez courant comme parfum donc Jean ne doutait pas d’en trouver une.
Prenant son sac par terre, la jeune femme se retourna vers l’homme :

- Je ne pense pas en avoir pour longtemps, pendant ma petite absence, vous devriez vous reposez se qui je pense, ne pourras pas vous faire de mal. Est-ce que vous avez besoin de quelques choses en particulier à l’extérieur ou même ici? Une boisson fraiche ou autre? Un oreiller pour être installer plus confortablement? Lui demanda-t-elle d‘une voix douce.

Après quelques minutes, la jeune femme sortit et arriver à l’extérieur, elle pût constater que la température n’avait pas baissé car il faisait toujours un soleil de plomb.
Des marchands de glace était pratiquement à chaque coin de rue et Jean préféra marcher se qui permettrait à Friedrich de se reposer un peu et à Jean de ne pas étouffer même avec la clim à fond dans sa voiture sans compter qu’à l’heure actuel, les routes étaient embouteiller partout…

-Non, c’est mon prénom après tout. Répondit la jeune femme en souriant.

Le sujet en vint au temps libre qu’avait la jeune femme et d’un certain côté elle en avait. On ne lui confiait plus autant de chose qu’avant donc parfois, elle se retrouvait chargée et d’autre fois…elle n’avait rien du tout.

- Alors c’est bien héréditaire. Sourit-elle.

Lorsque la mutante fut sur le point de partir, elle demanda poliment à Friedrich si celui-ci voulait quelques chose. Le mutant lui demanda de lui prendre du poulet au caramel ainsi que des nouilles. Souriante, elle prit les billet qu’il sortit de sa poche. celui-ci l’invita même à manger en sa compagnie en lui faisant un beau sourire.
Bien qu’elle devait rentrer à l’institut, Jean accepta car si jamais il y avait un problème, on pouvait toujours l’appeler donc…

-Très bien, j’accepte.

La jeune femme rangea les billets dans un coin de son porte feuille pour ne pas l’arnaquer non plus en mélangeant l’argent. Elle partit à pied avec l’intention de prendre les glace avant mais à la réflexion, les glace allait surement fondre avec la chaleur qu’il faisait donc elle partit cherché le poulet et les nouilles en premier.

Arrivée au restaurant, il y avait beaucoup de monde qui mangeaient mais heureusement, pas beaucoup qui faisait la queue et elle pût commander quelques minutes après être entrer.
Environ dix minutes plus tard, Jean sortit avec la nourriture dans un sac à la main, elle partit à la recherche du marchand de glace.

Elle ne chercha pas bien longtemps avant d’en trouver un et prit deux glaces ; une à la vanille et au caramel et une aux fruit de la passion.

La jeune femme paya le tout avec son propre argent après tout, ce n’était qu’un repas et un dessert et non une cérémonie de mariage donc elle n’allait pas être pauvre.^^
Elle rebroussa chemin et entra dans l’appartement sur la pointe des pieds, car si Friedrich dormait, elle ne voulait pas le réveiller avec sa blessure, il avait besoin de repos…

Jean déposa le sac contenant le poulet au caramel et les nouilles sur la table puis sortit ensuite de son porte feuille l’argent que lui avait donner le mutant. Elle lui tendit sa glace en affichant un fin sourire puis s’assit en mangeant la sienne. Heureusement celle-ci n’avaient pas beaucoup fondu…