(désolé pour le retard, encore une épreuve et je serais en vacances ^^ )

Magnéto continuait de promener son regard sur les passagers du wagon. Il n'y avait pas grand chose à observer en réalité, mais il fallait bien s'occuper un minimum, principalement parce que lire le journal ou lire un livre était particulièrement difficile à cause du manque de place...
le regard du vieil homme se balladait à égalité sur chaque passager, et il finit par apercevoir Sélène changer de place, l'air franchement mal sur le coup... avoir uen telle peur des espaces clos ne devait pas être facile à gérer, surtout aux heures d'affluence, mais là, elle n'avait pas eu le choix, les consignes avaient été les mêmes pour tout le monde...

Mathias s'avança finalemement vers Sélène, jouant à la perfection son rôle de sdf adorable, et posant même une main sur l'avant-bras de Sélène, tandis qu'un peu plus loin, Mickael et Crapaud parlaient de quelque chose qui allait "exploser" et de gens qui "morfleraient tous"... Les sourcils du vieil homme se froncèrent imperceptiblement, et l'espace d'un instant, il se demanda si impliquer ces deux là avait été une bonne idée compte tenu de leur total manque de discrétion... Jouer les petites frappes, d'accord, mais laisser échapper des indices de ce genre en présence de la flicaille... enfin bref, Magnéto mettrait les pendules des deux concernés à l'heure une fosi rentrés au QG... et si la mission foirait, alors il y aurait de nouveaux habitants permanents au cimetière, parole de Magnéto...

Quelqu'un approcha finalement de Sélène, qui semblait manquer un peu plsu d'air à chaque seconde qui passait, et lorsqu'une voix bien connue résonna près d'elle, elle leva les yeux et reconnût Mathias, qui était franchement criant de vérité dans son rôle de rebut de la société adorable malgré ses mauvaises conditions de vie... Mathias lui adressa quelques mots ne apparence totu ce qu'il y avait de plus banal, et la mutante accrocha un sourire pas spécialement rassuré à ses traits, profitant du contact de la main de son british pour transmettre quelques pensées...

Je descend bientôt... ça va aller...

+ La récompense m'intéresse tout particulièrement, et j'ai effectivement un paquet d'idées ne tête... En fait, n'importe quoi me conviendra dès l'instant que je peux apercevoir le ciel et sentir le vent caresser mon visage... +

Sélène se redressa davantage, adressant un sourire de remerciement basique à Mathias, et serrant dava,tage la poignée du plafond entre ses mains, comme si cela était susceptible de l'aider à surmonter ce qui relevait du calvaire pur et simple pour elle...
Le métro stoppa finalement, imprimant uen secousse carrément perceptible à l'ensemble des passagers du wagon, et les gens commencèrent à quitter la rame avec difficulté, parce que la masse de petits malins souhaitant embarquer ne les laissaient pas descende et leur marchaient littéralement dessus... Un grand gaillard au crane rasé perdit son calme et s'en prit à deux hommes d'affaires qui l'emportaient vers l'intérieur du wagon à force de forcer le passage alors que lui souhaitait seulement en sortir...

Laissez-nous sortir bande de bouffons: vu comme la rame est bondée, vous espérez pouvoir vous asseoir où?

Joignant le geste à la parole, l'homme de grande taille les repoussa, les faisant poru le coup reculer de quelques pas au milieu de la foule qui cherchait à monter à tout prix, et le jeune secoua la tête, marmonnant entre ses dents qu'il préfèrerait encore faire la manche que de devenir riche mais abruti comme tosu ces hommes d'affaires perpétuellement pressés qui sillonnaient le centre-ville...

-Très bien comme vous voudrez...

Toujours cette attitude "normale", mais Mathias continuait de garder sa main posée sur l'avant bras de la "passagère" le temps qu'elle lui réponde menatlement, ce qu'elle fit bien vite, assurant que tout lui conviendrait tant qu'elle sortait decet espace clos, mais là encore il n'y eu aucune expression qui aurait pu trahir son amusement, Sélène se redressa alors, semblant remercier ce cher sdf qui était venu l'aider... Mathias délaissa alors son bras mais resta face à elle, n'ayant pas vraiment le choix vu le monde qu'il y avait...
Des voix s'élevèrent alors dans la rame et le britannique releva la tête cherchant d'où elle provenait vu le discours employé...

Un froncement impreceptible se dessina alors sur ses sourcils et le mutant repèra deux des Damnés qui faisait partis de la mission... Restant dans son rôle de jeune paumé, et face aux membres d'un "gang" mieux valait pour lui faire profil ba et baisser la tête ce qu'il fit en hochant légèrement la tête... Son regard s'arrêta un instant sur Sélène le temps de savoir si elle arrivait à surmonter du mieux qu'elle pouvait sa phobie...

Le métro s'immobilisa alors et quelques passager tentèrent de descendre, tandis que d'autres souhaitaient monter... Et là il faut avouer que vu le statut de Mathias à se moment, si il avait pu finir en carpète pour certains cela n'aurait pas été le problème de certains , manquant de se prendre un coup de coude en pleine figure, et se faisant, plus que la normale, bousculer, le britannique n'eu que le temps de se raccrocher à l'une des poignées pour ne pas être mis à terre...

Une homme fit finalement reculer deux hommes d'affaires, assurant finalement qu'il préférait faire la manche que de terminer comme eux...
Un sourire légèrment cynique se dessina sur les traits de Mathias, qui posa sa main sur le haut de son bras gauche, certain de finir avec minimum un bleu de cette histoire...

[Bon, ben pas de réponse de la part d'Hella.. Je me lance alors]

Et voilà ! Même si une masse importante se précipita rapidement pour descendre de la rame, une autre masse tout aussi importante se mit à jouer des coudes pour monter à bord. Du coup, Tout ce qu'Irvine pouvait faire, c'était se mettre dans un petit coin pour éviter de recevoir trop de coups de coude.
D'ailleurs, s'il n'était pas autant sur ses gardes pour ne pas être blessé, il aurait peut-être trouvée la scène particulièrement comique en voyant tous ces gens quasiment en train de se battre pour être sûr d'avancer. C'était à la fois comique et pathétique. Mais desormais, Irvine en était sûr, il n'aimait pas prendre le métro. Et il éspérait de tout cooeur ne plus jamais avoir à en reprendre un. C'est beau l'espoir.

- Poussez-vous ! Poussez-vous !!!

Une dame certainement âgée d'une cinquantaine d'années jouait avec son parapluie pour se frayer un chemin. Elle assoma au passage plusieures personnes qui lancèrent des cris de protestation. Mais rien n'arrivait à surpasser en décibels la voix percante de l'harpie qui chassait bruyement une pauvre femme chargée de toutes ses courses pour lui prendre sa place assise.

*Ca, c'est de la technique.*

Irvine lanca un regard de profond dégout à cette grincheuse qui l'ignorait superbement. Il observa ensuite avec peine la bonne femme qui protégait du mieux qu'elle pouvait ses sacs de course. Il aurait bien aimé l'aider, mais le moindre pas en avant lui aurait valu un écrasement pedestre monumental...

Le regard de la mutante se promenait des nombreux passagers de la rame à Magnéto. Les traits de celui-ci se durcir un instant en regardant deux de leur collègue. Heureux pour eux, ceux-ci semblèrent capter l'avertissement du mutant et on ne les entendit plus.

La rame s'arrêta et à peine les portes s'ouvraient t'elle qu'une foule en furie et dont les bonnes manières manquaient totalement se précipitaient pour entré sans même leur permettre de sortir. Pourtant, il n'y avait déjà pas de place à bord alors s'était à ce demander à quoi pensait ses gens idiots. Enfin, peut-être auraient t'ils leur leçon au cours de l'opération ne put s'empêcher de penser Kaileena.

La mutante se leva et se rapprocha de Magnéto en observant exaspérée cette faune humaine. Son opinion des civils n'étaient déjà pas très brillante mais ce n'était pas maintenant qu'elle allait s'améliorer. Toutes les méthodes semblaient bonnes et si certains jouaient de leur coudes ou de leur malette, d'autres usaient de leur parapluie.

- De vulgaire animaux... rien de mieux...

Elle avait laissée tombée cette phrase à voix basse dans un souffle avant d'entreprendre tant bien que mal de rejoindre le quai. Ne pas avoir désirée passer innaperçu, Kaileena n'aurait pas hésitée à discrètement atteindre l'épiderme d'un passager afin de laisser croire à une quelconque contagion et pousser les gens à libérer le passage. Toutefois, histoire de ne pas contrevenir ou nuir au plan de Magnéto... elle s'abtient et prit son mal en patience.

(désolé du retard... je suis un peu short niveau emploi du temps *adore aller bosser ><* )

Mickael et Crapaud semblèrent se calmer, et Magnéto reporta son regard pas aimable sur une femme qui venait de lui écraser le pied avec son talon aiguille, en prévision de l'arrêt prochain de la rame... La jeune femme s'empourpra, terriblement gênée d'avoir bousculé un "ancètre" - heureusement que Magnéto n'était pas télépathe sur ce coup-là - et bouscula un adolescent pour s'éloigner en direction de la porte... Le commentaire de Kaileena laissé tombé à voix base lui arracha un semblant de sourire, et il acquiesça légèrement, montrant son assentiment à ce jugement totalement en adéquation avec la situation...

La rame stoppa finalement, et tout le monde joua des coudes pour descendre. Magnéto resta aussi digne qu'habituellement, et offrit à nouveau son bras à Kaileena pour descendre avec elle, une fois la marée de sauvages éloignée... Ils descendirent sur le quai et Magnéto se dirigea vers un banc libre, attendant que tout le monde se trouve une place assez éloignée des rails pour passer à la phase 2 du plan... La rame suivante déraillerait, et l'eau envahirait le tunnel... un plan machiavélique, qui compenserait ne pertes humaines les démutations et autres exactions auxquelles avait procédé les fédéraux...

(faudrait que tous les passagers de la rame aient évacué, et que ceux qui souhaitent embarquer et être blessés soient à l’intérieur avant la fin de ce tour… désolée pour le retard, mais avec le boulot je lutte un peu…)

Tout semblait se dérouler comme sur des roulettes jusqu’à présent… La rame venait de s’arrêter, et les gens se précipitaient à présent à l’extérieur en ayant l’air hyper-pressés. Sélène fit de même, mais pas spécialement pour les mêmes raisons que ces directeurs de banque, ces avocats et ces jeunes ados : elle se sentait complètement oppressée sous terre, et l’enfermement dans cette rame bondée ne l’avait pas spécialement aidée à faire abstraction de sa phobie… mais bon, tout semblait passer avant son bien être personnel lorsqu’il s’agissait de s’amuser un peu…

La mutante se oignit donc à la foule de gens qui souhaitaient sortir de la rame bien trop étroite, et après quelques coups de coude bien placés, elle fut dehors. Le quai était en train de se remplir de gens divers et variés, et la jeune femme joua à nouveau des coudes pour se frayer un chemin à travers cette bande de sauvages pressés de rentrer chez eux… de toute manière, ils n’arriveraient jamais chez eux avec ce qui se préparait…
Sélène gagna un coin dégagé du quai et s’installa sur un banc tagué par des voyous quelques jours plus tôt. La jeune femme s’y installa et croisa ses jambes avant de jeter un œil à sa montre… 21h05, tout semblait aller comme sur des roulettes, mis à part la présence de la police sur les lieux, mais ils auraient l’occasion de s’en débarrasser…

Chacun devait à présent gagner sa place, et Sélène vit Magnéto passer ne compagnie de Kaileena, les trouvant plutôt convaincants dans le rôle du grand-père et de la petite-fille en visite touristique… L’heure fatidique approchait à grands pas, et Magnéto ne déclencherait pas la petite bombe –fixée par Mickael et Crapaud – avant que tout le monde ne soit en place et que toutes les menaces aient été écartées… La première résidait dans le système de vidéo-surveillance, qu’ils devaient à tout prix neutraliser… Un crépitement et une odeur de brûlé émanant de celle fixée un peu au-dessus de Sélène lui apprit que Magnéto avait frappé à l’aide d’une onde magnétique, anéantissant le système, mais donnant inévitablement l’alerte au poste de commandement. Deux vigiles quittèrent leur poste de surveillance pour aller constater de visu que les caméras ne marchaient plus, tandis que deux autres restaient à leur poste, l’un bidouillant des boutons et l’autre signalant le problème à la police par téléphone… Sélène orienta son regard vers les deux hommes de la sécurité qui venaient de sortir par la porte près du banc, et après s’être dématérialisée sans être aperçue des gens trop préoccupés par leurs petites vies, elle s’engouffra sous sa forme brumeuse par la porte qui se referma juste derrière elle. Les autre gagneraient leurs postes tandis qu’elle neutraliserait le service de sécurité seule… elle avait l’habitude de bosser en solo pour les infiltrations, et Eric en avait tenu lorsqu’il leur avait exposé son plan…

Mickael et Crapaud devaient gagner les portillons situés au bas de l’escalier de manière à empêcher toute intrusion éventuelle de la police ou des fédéraux. S’ils rencontraient une difficulté, ils étaient autorisés à se replier et à rejoindre Kaileena et Magnéto près du kiosque à journaux, là où l’eau ne pourrait pas arriver après l’explosion…

Mathias était chargé de la surveillance, de manière à exploiter ses doubles talents d’observateur – merci à darky au passage ^^ - qui seraient plus que jamais nécessaires puisque la police était déjà sur place au travers d’Hella et de son supérieur… Les deux agents de sécurité passèrent près de lui, le bousculant sans s’excuser pour approcher de la caméra la plus proche du quai…

Kaileena et Magnéto attendaient le bon moment pour déclencher l’explosion, postés près du kiosque à journaux en ayant l’air de chercher un plan de New York… une excellente couverture…

Les passagers souhaitant monter s’engouffrèrent dans la rame, empêchant parfois de sortir ceux qui le souhaitaient pourtant… la logique aurait pourtant exigé de laisser descendre ceux de l’intérieur plutôt que de leur marcher dessus pour monter, mais certains new-yorkais semblaient dépourvus de bon sens… voir même de politesse, au grand dam des gens civilisés…

Sélène reprit forme humaine dans le couloir menant au poste de surveillance, et entreprit de se déplacer sur la pointe des pieds afin de ne pas faire claquer ses talons sur les dalles de béton qui recouvraient le sol. La mutante se déplaçait furtivement, prenant garde à ce qu’aucune porte ne s’ouvre pour laisser apparaître un employé ou un homme armé.
Après avoir collé son oreille à plusieurs portes tout le long du couloir, Sélène trouva enfin le poste de commandement : la porte du fond, tout simplement, là où deux employés parlaient poker et se racontaient des anecdotes sur leurs années de fac… Sélène poussa la porte sans lui arracher le moindre grincement, et commença à approcher de celui qui était le plus proche d’elle, afin de lui régler son compte en vitesse.

Un emballage plastique trainant au sol craqua sous son pied, produisant un bruit qui interrompit la conversation des employés et trahit sa présence dans la foulée. Le type le plus proche de Sélène tendit la main pour déclencher une alarme, tandis que l’autre saisissait son arme, et la mutante fit reculer la chaise à roulettes du premier d’un coup de pied, l’envoyant percuter la chaise de son collègue. La porte entre-baillée fut fermée elle aussi d’un coup de pied, afin que personne ne la dérange, et sa dague favorite fut bientôt à portée de main, entaillant l’avant-bras du type qui s’était mis en tête de se jeter sur elle. L’employé chancela, l’air un peu mal de voir autant de sang s’échapper de son corps, et son collègue parvint finalement à mettre Sélène en joue, tremblant à l’idée d’y laisser la vie pour une bête histoire de caméra…

Sélène s’immobilisa net, fixant le type avec cet air de démente qui avait été précurseur d’un paquet de tueries… sa double ne demandait qu’à sortir, elle avait envie de s’amuser elle aussi…
Le vigile approcha sa main libre du bouton du téléphone programmé pour appeler directement le commissariat le plus proche, et avant que Sélène ne puisse faire quoi que ce soit, la tonalité se fit entendre, de même que le bruit d’une numérotation pré-programmée. Le collègue blessé se redressa, reculant jusqu’à son collègue, les yeux rivés à la lame de Sélène, et la mutante leur adressa un sourire moqueur avant de se dématérialiser : le vigile tira pour l’en empêcher, ou pour n’importe quelle autre raison d’ailleurs, et la balle ricocha sur la porte métallique pour aller se ficher dans le mur près d’un extincteur… Sélène dévora celui qui était blessé, insufflant l’ordre de se taire à son esprit - s’assurant ainsi une paix relative au cas où des employés n’auraient miraculeusement pas entendu le coup de feu – avant de s’attaquer à celui qui était armé. Sélène le dévora à moitié, avant de reprendre forme humaine pour l’égorger d’un geste précis de sa lame : le corps de l’employé tomba à ses pieds avec un bruit sourd, et la mutante poussa le verrou de la porte juste après avoir repéré une grille d’aération par laquele elle pourrait sortir en cas de coup dûr…

Léger détail qu’elle avait oublié : la police, qui avait entendu non seulement le coup de feu, mais aussi le cri d’agonie de l’homme qu’elle avait égorgé…

Et m*rde…

Sélène trancha le fil reliant le poste téléphonique au mur, avant de s’installer sur le coin de la console de commandes. Elle attrapa son portable dans sa poche et composa le numéro d’Eric… elle avait accompli sa part du truc, alors maintenant, c’était aux autres de jouer…

Après quelques secondes et avoir manqué plusieurs fois de se faire littéralement marché dessus Mathias parvint à descendre à son tour de la rame, reprenant son attitude détaché et légèrement penaud qui jusque là avait fait "fureur"
Mathias se réinstalla alors près d'un mur, s'accroupissant légèrement et reprenant sa manche comme il l'avait fait avant d'embarquer.

Son regard balaya un instant la station, repèrant Magnéto et Kaileena puis Sélène assise sur un banc l'air d'attendre le prochain métro... Son regard s'en détourna lorsqu'il la vit "disparaître" et à nouveau il reposa son regard sur le sol, avant de ne lever que les yeux gardant un oeil sur Hella et son supérieur.
Deux vigiles le bousculèrent alors et Mathias leur lança un regard pas franchement agréable, en cas de pépin c'est deux là y passeraient et ce serait lui qui se chargerait personnellement d'eux...

Les voyants bidouiller la caméra, le Britannique compris que Magnéto avait neutralisé cette dernière, un hochement de tête plus tard il glissa de nouveau son regard sur la foule, continuant dicrètement d'observer les deux agents de police sans pour autant se faire remarquer... Une habitude prise et surtout une façon de faire propre à son double auquel pour une fois l'Anglais faisait confiance, sans trop avoir le choix dans le fond...

Mathias regarda l'air particulièrement amusé les deux vigiles et l'un d'eux sembla capter son regard. Un peu agacé sur le bord il s'adressa alors au mutant

Ça à l'air de te faire marrer, tu te crois plus intelligents peut-être ?

Mathias fit de nouveau profil bas, baissant les yeux et jouant à merveille l'homme qui avait passé de mois à tenter de se faire le plus minuscule possible...

Non m'sieur...

Ouais bah t'as intérêt si tu veux pas qu'on tembarque ou qu'on te foute dehors...

Mathias inclina alors légèrement la tête, préférant montrer qu'il était du genre obéissant et ainsi éviter de se retrouver mis à l'écart et donc prendre le risque de tout faire foirer...
Mathias reporta son attention un instant sur la porte et après quelques petites secondes il balaya de nouveau les lieux continuant de garder à l'oeil ceux qui représentait potentiellement un danger pour la suite...
Le mutant glissa alors ses mains dans ses poches, après en avoir passé une dans sa tignasse...
Autant continué ce pourquoi il était prévu: la surveillance...

Lucien n’était pas à la fête dans le wagon, en une demi-heure il s’était fait écraser les pieds. Le jeune homme avait aussi prit quelques coups de coudes. Décidément voyager en transport en commun lui faisait l’effet de pratiquer un sport à haut niveau. Il lorgnait sur un siège placer près de la porte. Toutefois il n’était pas le seul, la lutte promettait d’être épique. Sans gêne il poussait ceux qui lui barraient la route.

La fatigue, l’agacement et une trop longue attente commençaient à avoir raison de son habituelle patience et de sa politesse. Les retardataires qui désiraient sortir poussaient à tous va. Ils hurlaient parfois contre ceux qui faisaient obstacle et les empêchaient en conséquence de sortir assez vite. Lucien commençait à en avoir vraiment assez. Après avoir été poussé assez brutalement, il ne put retenir une exclamation de colère.

« Arrêter de pousser ! Cela ne vous fera pas sortir plus vite ! » Cria t- il

Il était presque arrivé devant le siège si convoité qu’il vit une femme prête à s’asseoir. Lucien retira son sac à dos et l’y jeta. A ce stade d’énervement qu’il avait atteint la galanterie n’avait que très peu de place. Avec un sourire un peu mesquin il s’avança en disant :

« Vous permettez ? » Il retira son sac et s’assit. La femme était rouge de colère et de rage. Mais il n’en avait rien à faire tout content il était d’être assit. Certain adulte de se dérangeaient pas pour critiquer les jeunes et leurs manières. Alors que Lucien les yeux fermés se relaxait.

L'arrivée à la prochain station fut un moment assez décisif pour la jeune fille, qui doutait du bien de cette soirée. Trop d'éléments étranges dû à la présence de Sélène et de ce type baraqué qu'elle avait croisé, justement, à l'adresse que Sélène lui avait filer en lui donnant la clé. Bref, Hella ne laissait que peu de chance à une simple coïncidence, et se montrait plus que vigilante dans le déroulement de ce voyage. D'ailleurs quelles sont les probabilité pour que ces deux même personnes, qui ne sont pas adresser un mot et qui pourtant semble crecher dans le même endroit, descendent tous deux dans cette station ? Ca sentait vraiment pas bon toute cette histoire. Autant dire que quand, elle vit descendre Sélène, Hella se rapprocha d'une des fenetres du métro, poussant un peu les gens sur son passage sans que personne n'ose lui dire quoi que ce soit à cause de son uniforme. Son supérieur se mise à la suivre en lui disant qu'ils ne descendaient pas à cet arrêt. Ca elle le savait, et le rassura sur ce point, elle ne comptait pas se faire la malle tout de suite. MAis son regard restait fixé sur Sélène qui prit place sur un banc.

*a quoi tu joues Sélène?!*

Ne pu t-elle s'empêcher de penser. C'est alors que deux vigiles firent leur apparition pour regarder l'état d'une caméra de surevillance. Ok, là, plus de doute à avoir, beaucoup trop de chose anormales se produisait pour qu'il n'y ai rien en préparation. Le tout résidait dans le fait de savoir, si oui ou non, elle devait sonner l'alerte ou pas. D'un point de vue technique, elle se contre foutait de ce que pouvait devenir les gens, mais il y avait en face d'elle cette famille avec une petite fille agée d'environ cinq ans qui restait souriante alors que la rame était blindée de grincheux. Allez savoir pourquoi, cette gamine anima quelques sentiments de protection chez Hella, qui tourna la tête vers son supérieur.

"Il se passe quelque chose, faut faire sortir les gens."

Il se mit a rire, lui disant que c'était n'importe quoi. De toute façon, elle aurait beau expliquer comment elle en était venue à cette conclusion, il resterait tout de même septique. Hella tourna à nouveau les yeux vers le banc, mais plus de sélène. Ou est-elle passé. Une fraction de seconde c'étaient écoulée et elle avait disparue de la circulation. Finalement, lire dans les pensée auraient été un pouvoirs bien plus utile que celui qu'elle avait pour le moment. Poisse.
Quelques secondes plus tard le téléphone de l'officier sonna, et aux breves paroles qu'il prononça en guise de réponse à cet appel, Hella savait maintenant qu'il allait la croire... En tout cas c'est ce qu'elle pensait. Le type lui expliqua discretement que le commisariat avait recu l'appel du centre d'opération de la gare, et que ces dernier n'avait eu le temps d'entendre qu'un coup de feu et des cris. Et comme, ils étaient les seuls à être dans le coin, le commissariat les avaient appelé en premier.

"Il faut faire sortir les gens"

Insista t-elle, mais il ne semblait toujours pas de cet avis, et continua de parler discretement pour ne pas alerter les gens présent.

"Hella réfléchie un peu, il va se passer quelque chose sur les quai ou dans la gare même, vaux mieux que les gens prenne cette rame et s'en aille à la prochaine."

Là, s'en était trop, un regard vers cette gamine de cinq ans et Hella explosa pour une simple et bonne raison. Si selene et Mickaël était sortie et qu'ils restaient dans le coin, c'est que tout allait se jouer dans le métro même et pas à l'extérieur. C'est avec la voix hausser cette fois qu'elle répondit à son supérieur l'air carrement enervée.

"Pu*ain, Mais c'est pas dehors, c'est ici que ca va se passer, il faut FAIRE SORTIR LES GENS"

Pas mal de personne se tourna vers elle en entendant cela, sur leur visage était marqué une incompréhesion totale, pendant que le supérieur de l'adolescente se tourna vers tout le monde en faisant signe de se calmer.

"Tout va bien ne vous en faites pas, elle a juste forcer sur la caféïne." Il finit par saisir Hella par le bras en la secouant un peu, alors qu'elle ne détachait pas ses yeux de cette gamine. Et il repris plus bas " Tu vas faire flipper tout le monde, reste calme..."

Hella n'écouta pas vraiment ce qu'il était en train de lui raconter, même pas convaincue qu'elle sente qu'elle était en train de se faire secouer. Son regard se posa sur ce qui semblait petre la mère de cette petite fille, et elle remua les lèvre de manière à prononcer la phrase "sortez de cette rame... S'il vous plait." Mais la mère détourna le regard en secouant la tete, avouant à son mari qu'elle trouvait cet agent completement folle. C'est son supérieur qui lui fit cette fois dévier son regard.

"On sort de là, il faut qu'on aille voir ce qui se passe."

Il garda le bras d'Hella antre ses main et pris la direction de la porte de sortie en s'excusant auprès de quelques personnes pour avoir un chemin. La sonnerie de fermeture des portes se mise à retentir au moment ou son supérieur sortait de la rame. D'un mouvement sec, Hella dégagea son bras et les protes se refermèrent en la laissant un l'intérieur, alors que son supérieur sur le quai semblait crier un "Hella" completement exaspérer. Elle ne savait pas pourquoi elle avait fait cela, mais toujours ce sal pressentiement. En tant normal, elle serait sortie, et tant pis pour les gens à l'intérieur... Mais cette gamine... elle n'avait que cinq ans...

Magnéto se tenait près du kiosque à journaux avec Kaileena, jouant encore uen fois à merveiller leur rôle de touristes perdus dans le métro. Le vieil homme surveillait en fait les environs de manière discrète, comme il avait toujours su le faire: rien ne semblait pouvoir lui échapper, et le mutant repéra l'infiltration de Sélène au poste de sécurité, de même que le petit manège de Mathias. Son regard changea d'orientation alors qu'il faisait mine de chercher le chemin qu'il devait emprunter avec sa "petite fille", et Magnéto repéra Mickael et Crapaud, qui s'était assagis et se fondaient à présent beaucoup mieux dans le décors...

Un rapide coup d'oeil à Kaileena incita le vieil homme à jeter un oeil en direction de la rame de métro. Deux policiers s'y trouvaient et l'une des deux semblait essayer d'inciter l'autre à faire sortir tout le monde... Nan mais pour qui est-ce qu'elle se prenait celle-là franchement?
Magnéto fronça les sourcils de manière imperceptible, et sembla satisfait de voir que la panique que cette folle en uniforme avait déclenchée s'étit retournée contre elle en l'empêchant de faire tout mouvement supplémentaire pour quitter la rame.
Bien fait...

Kaileena attira ensuite l'attention de Magnéto en le gratifiant d'un "papy" qui le fit sourire bien malgré lui, et lorsqu'il baissa les yeux pour voir de quoi il s'agissait, il remarqua qu'une petite mamie le regardait avec un peu trop... d'insistance...
Kaileena trouva quelque chose pour la faire fuir, insinuant avec subtilité qu'il y avait une drôle d'odeur de vieux dans cette station, et le vieil homme lui adressa un sourire amusé, replaçant l'une des mèches rebelles de sa "petite fille" derrière son oreille droite, l'air presque paternel...

L'année prochaine, nous irons où tu voudras... mais pas à Dysney World...

... même si en théorie, ce qui allait se passer ici procurerait davantage de frissons qu'un grand 8 ou autre manège à sensation...
Kaileena farfouilla ensuite dans les revues touristiques et laissa échapper l'idée selon laquelle Magnéto avait une "touche" avec cette inconnue et qu'elle avait tout gâché... Un sourire plus qu'amusé étira les lèvres du vieil homme, et il répondit, à voix basse lui aussi...

Personnellement, je dirais que ce n'est pas une si grande perte que ça...

Pas spécialement intéressé par une nouvelle relation, et c'était le moins que lon puisse dire... La seule femme qu'il avait aimée avait été tuée par la cruauté humaine, alors il était hors de question de prendre d'autres risques en s'attachant de nouveau...
Et puis en plus, elle devait avoir au moins 85 ans cette grand-mère qui était venue, fallait pas pousser...

Le portable de Magnéto vibra légèrement dans sa poche, et le mutant reposa une carte de Central Park dont il n'avait rien à faire pour décrocher...

[ conversation ]

Magnéto raccrocha bien vite, cherchant du regard l'endroit par lequel pourraient arriver les éventuels trouble-fête... la seule entrée possible était l'escalier près duquel étaient postés Mickael et Crapaud, puisque la voie ne serait bientôt plus praticable...
La sonnerie du métro rententit; les portes ne tarderaient pas à se fermer...

(au prochain tour, je fais tout exploser... prenez vos places définitives histoire que personne ne soit blessé alors que ce n'était pas prévu à la base...)

Peu après son coup de fil, Sélène quitta la table de contrôle sur laquelle elle s'était installée et rangea son portable dans l'une des poches de son jean, repoussant ses cheveux en arrière de manière à pouvoir étudier le panneau de commandes... De gros boutons clignotaient un peu partout, rendant le truc semblable à un sapin de nowel, et Sélène fronça les sourcils avant de marmonner...

Un mode d'emploi m'aurait facilité les choses...

Se décidant à suivre son instinct, la mutante enfonça un bouton lumineux qui coupa les caméras postées le long du quai...

Pas le bon bouton... mais ça peut toujours servir...

Trois autres essais plus tard, Sélène était parvenue à identifier l'emplacement de chaque caméra, et elle stoppa le tout, un sourire machiavélique aux lèvres... Le levier destiné à couper le courant était très bien indiqué, seulement, ce n'était pas ce courant-là qui devait être coupé: seuls les néons devaient être éteints, parce que couper l'alimentation du rail de 720 wolts reviendrait à immobiliser la rame... ce que personne ne souhaitait, et surtout pas Magnéto...

Sélène inspecta chaque levier, bouton et autre commande coulissante, semblant chercher avec application le bouton susceptible de lui faciliter la tâche, mais rien ne semblait venir; l'électronique des panneaux de contrôle n'était pas son fort, là c'était clair...
Deux gros poings martelèrent finalement la porte, et une voix masculine s'éleva, venant compliquer un peu plus la tâche de la mutante...

Qu'est-ce qu'il se passe ici? j'ai entendu des coups de feu...

Aucune réponse ne lui parvint, et Sélène entendit l'employé chercher la clé adéquate dans un trousseau qui avait dû lui être fourni pour des raisons de sécurité... La mutante laissa glisser sa main gantée le long du mur, et elle plongea la pièce dans l'obscurité lorsqu'elle actionna l'interrupteur. La porte s'ouvrit à la volée sur un type massif, qui scruta les environs du regard, semblant chercher un intrus... Il repéra bientôt l'un des cadavres de ses collègues dans le fond, et Sélène se tapit un peu plus dans son coin sombre, le laissant avancer tout en se saisissant de l'extincteur...

M*rde, on a un gros problème...

L'homme recula de quelques pas, semblant prêt à quitter la pièce à présent, et Sélène souleva l'extincteur pour l'abattre sur la tête du type, le laissant quasiment tomber tant ce stupide truc était lourd... L'employé s'effondra sans avoir eu le temps de n'apercevoir ne serait-ce qu'une mèche de ses cheveux, et Sélène reposa l'extincteur au sol, verrouillant à nouveau la porte pour pouvoir continuer à chercher la commande coupant le courant dans la station, et uniquement dans la station...

Après encore 5 minutes de tatonnements sur le panneau de commandes, Sélène sngea à réveiller le type qui avait manqué de la surprendre... Une bonne onde mentale lui fut envoyée, lui arrachant un léger cri de douleur, et Sélène - complètement dissimulée par la pénombre de la pièce - utilisa sa paire de bottes à talons favorite pour faire pression sur les parties du type au sol, le maintenant efficacement en respect. L'homme commença à la supplier d'arrêter ça parce qu'il trouvait la chose désagréable, geignant et gémissant sa douleur... sauf que là, personne ne semblait être là pour l'entendre...

C'est pas fait pour te faire du bien... maintenant tu la fermes le temps que je trouve ce que je veux...

Sélène profitait de ce "contact" pour fouiller intégralement la tête de ce type, pour peutètre y déceler l'information qu'elle recherchait. Elle finit par tomber dessus et son sourire s'agrandit nettement, juste avant qu'elle ne rendorme le type avec une autre onde mentale... Sélène le laissa dans son coin, quittant le poste de contrôle en refermant la porte à clés derrière elle. Elle s'éclipsa en vitesse, gagnant une sorte de placard fermé sur lequel un autocollant mettant en garde contre une éventuelle électrocution était collé... Sélène mit la main sur l'extincteur accroché dans le couloir et s'en servit pour faire sauter le cadenas, donnant plusieurs coups dessus jusqu'à ce que le cadenas rende l'âme...

Sélène ouvrit la porte métallique, avant d'observer les deux leviers qui se présentaient à elle... L'un se situait près d'un schéma électrique incompréhensible et près d'une étiquette indiquant "720wolts - à couper en cas d'accident", et la main de Sélène se porta en toute logique sur l'autre levier, l'abaissant et coupant le courant, plongeant la station entière dans le noir. Les seules lumières restantes étaient projetées par les néons de l'intérieur de la rame, de sorte que personne ne risquait de se manger un pilier en marchant sur le quai... L'obscurité favoriserait la suite...

Sélène poussa la porte verrouillée par laquelle elle s'était faufilée et regagna le quai, plissant les yeux pour se réhabituer à la pénombre... Un rapide coup d'oeil lui indiqua la position de mickael et crapaud, celle de kaileena et Magnéto, et elle se dématérialisa bien avant d'avoir localisé Mathias, décidant de le rejoindre en vitesse par ce moyen beaucoup plus pratique...

Sélène se rematérialisa à quelques mètres du faisceau d'une lampe de poche, et elle remarqua que les deux vigiles semblaient paniqués, la main portée à leurs armes, et la lampe de poche balayant la foule de la station... Sélène repéra assez vite la signature particulière de l'esprit de Mathias, et elle se glissa derrière lui, murmurant à son oreille...

Je crois que maintenant tout est en place... tu as ramassé beaucoup? ^^

Son petit coeur s'affolait dans sa poitrine en prévision de la suite, mais l'adrénaline était une chose que Sélène adorait plus que tout ressentir... au risque même de complètement perdre la tête...

Les deux vigiles avaient fini par quitter la caméra voyant qu'ils ne pouvaient rien faire et Mathias, fini par se relever, efouissant ses mains dans les poches lorsqu'il entendit une jeune fille hurler que tout le monde devait quitter la rame de métro... Apparement so jeune âge ou tout autre chose fit que personne ne la cru et tout le monde resta comme immobilisé par l'endroit qu'il occupper... En fait c'était peutêtre ça, prendre le risque de se faire piquer son petit fauteuil leurs posaient problème... Un léger hochement de tête plus tard, Mathias repéra Magnéto au téléphone comprenant qu'il y avait plus que probablement un problème dans leur plan...

Le regard gris de Mathias se modifia légèrement, prouvant que Nightmare voulait aussi se mêler de cette histoire, au-delà de son nouveau rôle d'observateur plus qu'expérimenté...

Quelque chose cloche ?

À peine un murmure dissimulé par la main de Mathias qui venait se frôter le visage comme un homme lassait d'être ainsi un rebus de la société, et de ne pas y avoir sa place...

Aucune idée... Mais je crois que c'est le cas en effet...

Soudain la lumière s'éteignit et Mathias sentit son visage se lever, un contrôle involontaire de darky que l'obscurité n'aidait pas à garder son calme...

Tu vas devoir faire sans moi Mathias...

Pas le temps demander ce qu'il lui arrivait que son double avait disparu, ne donnant plus aucun signe, et attendant probablement que tout cette obscurité passe...
Le britannique-sdf fut sorti de ses pensées par Sélène qui apparu derrière lui lui demandant si il avait ramassé beaucoup et Mathias se tourna légèrement murmurant en répondant, l'air franchement paumé pour le coup mais pourtant toujours attentif au moindre mouvement...

Je crois qu'on peut dire que j'ai fait fureur...

À la voir on pouvait jurer qu'elle avait eu son lot d'émotion et Mathias repris une attitude on ne peut plus normale avant d'arquer un sourcil et de continuer de murmurer à son attention...

Des ennuis ? J'ai vu que le téléphone avait sonné...

Un moyen comme un autre de connaître la suite du programme...

Ils faisait si chaut que de la sueur lui coulait le long du dos. En fond sonore les brouhaha incessant des couversations, des soupires et autres bruit dont on se passerait bien dans les transports. Comme les odeurs de cuisines qui vienaient effleurer les narines de Luciens. Car la personne à coté de lui mangait un sandwich contenant une mixture à la couleur étrange.

Le jeune homme préferait de loing tourner la tête de l'autre coté. Voila qu'il se prit un coup de hanche d'une personne qui n'arraitait pas de bouger. Et tout cela c'était sans parler de ses pieds qu'il n'avait la place de bouger. Car des touristes avait eut l'idée d'y mettre leurs valises sac et surprise!... des instruments de musiques. Voila pourquoi il se retrouvait en sueur dans un métro bondé. Dans lequel tout compte fait il regrettait d'être monté. Mais les portes c'étaient déjà refermée et il ne fallait pas oublier qu'il était très en retard à l'école pour mutant. C'était vraiment la dernière fois qu'il prenait le mêtro. Il avait un chauffeur et il s'en servirait voila tout.

Il remit son lecteur mp 3 à niveau sonore correct de façon à savourer sa musique sans s'abimer les oreilles. D'une main il cherchait des bonbons égarrés dans la poche de son pantalon. Après les avoirs trouver il les mit de façon peut élégante dans sa bouche. Tout ce la dans le bute de se détendre car le stresse et les émotions fortes déclanchaient son pouvoir. Ce pouvoir qu'il redoutait beaucoup.