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 Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI

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Ksenia Heng

Ksenia Heng
Mutante de niveau 1

Nombre de messages : 272
Date d'inscription : 14/06/2010
Localisation : Université / Bureau de l'Organisme A.I.E. / ici et là...
Clan : neutre
Age du personnage : 25 selon ses papiers officiels.
Pouvoirs : Emission/Réception Ondulatoire & Régénération Ondulatoire
Profession : Etudiante en musique / Interprête à temps partiel (en Chinois,Russe, Anglais)
Points de rp : 87

Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI Vide
MessageSujet: Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI   Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI EmptyMar 17 Aoû - 7:16

The Children’s Society Ball

Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI Pic5

Pour leur neuvième année, The Children Society tenu a organisé un événement de taille en remerciement à leur précieux donateur et pour évidement parler de leur cause. The Children Society luttait assiduement pour la défense, la sécuriét et la protection des tous les enfants. Ils s’associaient à divers Organisme Communautaire afin de pouvoir étendre et multiplier leur actions.
L’événement était prévu sur une durée de 3 jours qui se conclueraient par un grand ball. Le organisateur de l’événement avait arrêté leur choix sur Londre afin de coincidé avec les séminaires de BMA (British Medical Association) pour permettre à leur invité et à plusieurs médecins sensibles à leur cause de se rencontrer lors de soirée conviviales et de participer à des activités commune tel que des pièces de théâtres, des soupers gastronomiques et des scéances d’informations pour sensibilisés et informés les invités des projets en cours du Children’s Society.

Ksenia avait connue cet organisme par le biais de son père qui était un généreux donateur et chercheur actif dans le domaine de l’agriculture pour les pays en voie de développement. Il cherchait à adoucir le monde et à nourrir ses populations, imminants biologiste il avait beaucoup apporter à l’implantation de plante en milieu aride. Certes il s’agissait de plante indigènes, mais au moins celle-ci permettait aux peuples de cultiver quelques choses et d’en survivre.

Cette année, comme les deux précédentes la famille Heng était invité à ce rendre à Londre pour prendre part à cet événement. Le docteur Heng du néanmoins décliné l’invitation, laissant seule sa fille unique faire apparition pour dignement représenter leur nom. Il avait une confiance en elle qu’elle saurait se débrouiller.

¤¤ Le jours avant ¤¤

Assise près de la fenêtre, la jeune femme était plongé dans son observation des ridules des gouttellettes de pluies sur le verre. La maison était trop silencieux à son gout, le cliquetis de l’horloge ne perdait pas de lui rappeler que le temps filait alors qu’elle devait être en train de se préparer en vu de son court voyage à Londre. Ce voyage même s’il était pour une bonne cause ne la réjouissait pas du tout. Elle fini par sortir de sa contemplation pour finir de rassembler ses affaires. Elle termina sa valise et la descendit dans le hall à cause de son manteau et de ses chaussures. Elle jeta un coup d’œil lasse autour d’elle, son père lui manquait et une fois encore il avait dû annuler leur voyage… non en fait il avait annuler seulement son départ, car il l’avait prier de bien vouloir s’y rendre malgré tout. Elle se demandait bien sur quel genre de projet il devait travailler ces derniers temps, il ne rentrait plus à la maison… et même lorsqu’elle prenait rendez-vous un fois sur deux il le déplaçait ou l’annulait carrément.

Il lui restait encore un bon moment avant que le taxi qui ne l’amène à l’aréoport n’arrive, aussi elle s’en alla à la cuisine pour se faire un casse-croûte et du thé. Elle s’installa à son piano, son encas déposé sur un table basse à ses côtés. Elle effleura les touches songeuses et ferma les yeux avant de se laisser aller à jouer quelques notes. Elle ne jouait rien d’extrêment compliqué, elle improvisait tout simplement pour son plaisir afin de faire passé l’amertume qui la gagnait d’être remisé de la sorte. Elle devait se ménager car elle allait devoir jouer une bonne partie de ses journées avec d’autres connaissances venu ici et là à travers le monde spécialement pour mettre un peu de rythme aux soirées. Elle allait faire partie de ses quelques musiciens qui allaient compétitionner et ensuite être mis aux enchères... non mais qu’est-ce qu’il ne fallait pas inventé pour amusé les riches.

On vint cogner à sa porte, c’était sans doute le chauffeur qui était arrivé. Elle appela Jack qui s’en vint en trottinant gaiement jusqu’à elle. Elle enfila son manteau et sortie sous le corde suivi de son ami à quatres pattes qui la suivait au bout de sa laisse. Le chauffeur l’aida en amena son unique valise, elle prit place à borde du taxi avec Jack sur la banquette arrière et direction l’aréoport.

¤¤ Londre ¤¤

Le voyage en avion se déroula très bien, installé en première classe elle et Jack avait dormit presque toutes la durée du voyage pour arrivés frais et dispo en Angletterre. À leur arrivée à Londre il y avait un peu de brouillard, Ksenia sentait les gouttelettes en suspensions dans l’air sur sa peau alors qu’elle avancait pour rejoindre la voiture qui l’attendait. On les conduisit directement à l’hotel où il s’enregistrait, Ksenia prit le temps d’aller s’installer dans sa chambre avant d’aller prendre une petite marche dans les rues environnantes questions de prendre l’air. Rony qui était son contact et fidèle cavalier attitré n’avait heureusement pas encore été avisé de son arrivée. Par chance elle espérait éviter autant que possible son ‘’hôte’’ pour le moment, leur dernière rencontre remontant à l’année précédente il avait été quelques peu trop insistant et collant à son goût. De plus elle trouvait qu’il avait une odeur âcre qui lui tombait sur le cœur, sans souligner qu’il n’avait que très peu de conversation et que tout ce qui s’échappait de sa bouche n’était relier qu’à la fortune et l’influence de sa famille.

Ayant vécu modestement et consacré une grande partie de leur fortune à appuyé diverses œuvres charitatives la famille Heng ne versait pas dans l’opulence. Ksenia allait même volontairement snober le genre qu’était Rony. Elle préférait et de loin se tenir avec les autres musiciens et étudiants engager pour servir durant les 3 jours des événements.

Durant sa promena, la jeune femme pu s’orienté un peu et mémorisé les environs et quelques points intéressants de l’endroit où elle résidait quelques jours. Elle avait trouver très facilement la Victoria’s House où allait se tenir justement le Ball de clouture. Elle croisa quelques promeneur et s’assit dans un parc afin d’écouter un peu. L’accent anglais avait se quelques choses de particulier qui l’amusait, n’aller pas croire que c’était pour se moquer. Elle aimait la diction très particulier et propre en Angleterre, l’accent British était très différent et bien plus musical à son oreille.

Durant leur promenade, Jack fit la connaissance d’un Setter Anglais dont le maitre se trouvait être un professeur de littérature. Lui et Ksenia firent un bout de chemin ensemble et allèrent prendre un morceau sur une terrasse d’un café. Jamais durant leur discutions il ne sembla prendre conscience de sa cécité, ce qui amusa fortement la jeune femme. Lorsque la nuit commençait à être bien installer elle le remercia de sa compagnie et s’en retourna vers on hotel en faisait bien attention de se remémorer tout le chemin inverse. Elle rentra vers 23 heures, Rony au bar de l’hotel la vie passer dans le Hall.

« Miss Heng, Ksenia! Je pensais que vous arriveriez plus tôt! »
« Bonsoir Mr. Ford… » dit-elle calmement, lui souriant gentiement. « Je suis arrivé en début d’après-midi »
« Ah… vous étiez sortie » lui demanda-t-il, cherchant a tout pris à engager la conversation.
« Cela me semble évident Mr. Ford puisque je viens de rentré. » elle se retourna vers lui, les mains croisé attendant qu’il aboutisse enfin, mais gardant tout de même un air doux sur le visage, malgré la fatigue qui se faisait ressentir.
« Puis-je vous offrir un verre, nous pourrions… »
« Non merci, c’est très aimable mais je dois me reposer, demain commence les séminaires, les spectacles et autres festivité vous comprenez. »
Elle le vit porter un main à sa nuque, un tique qu’il avait lorsqu’il était embêter où contrarié n’obtenant pas ce qu’il désire. Il n’avait pas du tout changé. Elle ne devait pas lui laisser trouver le temps de répliquer sinon elle ne finirait jamais par aller se coucher, aussi elle enchaina aussi poliement que possible.
« Bonne nuit Mr. Ford » et elle se dirigea vers l’escalier qu’elle gravit sans se retourner abandonnant son hôte dans le milieu du hall. Enfin dans la chambre dont elle verrouilla la porte elle alla prendre un bain puis se mettre au lit. Jack avait fait le tour des lieux pour finalement venir se coucher dans le coin de la chambre entre le mur et la commode.

¤¤ jour 1 ¤¤

Lever très tôt, Ksenia accompagné de Jack se rendit au restaurant de l’hotel pour le petit-déjeuner avant d’assister à un premier séminaire sur les activités de Médecins sans-frontières. C’était un bon choix car elle savait pertinament que Rony ne supportait pas de voir des enfants du tiers-mondes où d’entendre parler de maladies… de parasites, bref de la triste réalité qui frappait certaines régions du globe. Même assise au premier rang elle ne pouvait pas percevoir les dispositifs où images projeter sur le grand écran derrnière le présentation et ses divers conférencier. Ne voyant pas d’intérêt à observer la silhouette fixe d’un homme ou d’une femme durant des heures, elle trouvait plus commodes d’être plus vers l’arrières au moins elle pouvait vaquer a une observation plus poussés des gens se trouvant autour d’elle. Elle s’amusait et cela lui permettait de voir le différence ondulations entre deux individus.

Après une avant-midi, à passer d’une salles à l’autres elle fini par atterir au bar pour se désaltérer un peu les méninges. Elle remarqua la présence de certaines connaissances dont certains vinrent la saluer. D’anciens professeurs, des politiciens qu’elle avait connu à cause de son parcours professionnel… plusieurs médecins et scientifiques qui avait fréquenter où connaissaient son père. Le premier jour se continua péniblement, mais la bonne nouvelle était qu’elle avait réussi à se libérer de Rony qui avait trouver conquête plus facile chez la personne d’une jeune femme italienne venu pour assister au concert de ce soir et du lendemain. Grand bien lui fasse pensa-t-elle, au moins elle n’aurait pas à faire semblant de le trouver intéressant par pur politesse.

Elle alla repromener Jack puis alla traîner quelques heures en compagnie de membres de l’orchestre avec lesquels elle allaient joué ce soir et le lendemain. Leur chef d’orchestre était un ancien professeur de Ksenia connu en Russie. Suite à leur performance, quelques membres comptant le chef d’orchestre et Ksenia se retrouvèrent au bar pour discuter musique et autres. Assit dans un coin du bar, ils s’étaient un peu isolé, mais Ksenia avait l’étrange impression d’être observé… d’accord ils parlaient un peu fort… mais après tout c’était un bar non? Elle observa un moment autour de leur table, mais personne à proximité n’avait l’air de prêter attention à eux… se devait être une personne plus loin dont elle ne pouvait percevoir les ondes puisque celle-ci était à l’extérieur de son champ de vision. L’expression d’être observer resta un moment après quoi, elle n’y fit plus attention prenant activement part à la discution qui avait lieu exclusivement lieu en Russe.

Après avoir bien arrosé la soirée, un peu éméché mais toujours lucide Ksenia remontant avec un certain Nikov le violoniste pour le ramener à sa chambre. Il était sans aucun doute terriblement saoul et ce ne fut pas sans peine qu’elle arriva à le mener à sa chambre qui était 2 étage en dessous de la sienne. Une fois le corps de Nikov abandonner sur son lit, elle quitta la chambre du jeune homme qu’elle verrouilla et monta à la sienne avec Jack qui suivait doucement à côté d’elle. Elle esquiva deux hommes qui discutaient face à leur porte, ne prêtant pas attention à leur propos… mais jetant tout de même curieuse un coup d’œil à la silhouette respective de l’un comme de l’autre l’espace d’un court instant. Elle ne s’y attarda pas, préférant vite aller prendre une douche et aller se reposer pour éviter un mal de crâne intense le lendemain matin.

¤¤ Jour 2 ¤¤

Le second jour fut plus divertissant quoi que toujours aussi occupé, Ksenia y fit la rencontre de Mr. Timmens un membre de l’administration de l’Organisme qui l’employait venant pour affaire sans l’ombre d’un doute. The Children’Society et L’Organisme d’Aide à l’Intégration aux Étrangers retrouvaient échos l’une dans l’autres par certain point commun de leur vision et de leur actions. L’une avait cependant décidé de concentrer ses efforts sur les enfants et l’autres sur les immigrés et réfugiés ou nouvels arrivants tous âges confondus.

Aujourd’hui la jeune femme avait beaucoup à faire, dans la matinée elle devait aider à la préparation de la salle de concert, ils étaient quelques dizaines de musiciens à préparer les scènes et à brancher tout l’équipement. Cela leur prirent tout l’avant midi. C’était maintenant leur tour d’éblouir c’était leur journée à eux, après les séminaire de la qui s’étaient dérouler la première journée et en matiné la seconde journée, je reste du deuxième jours était consacrer à la performance musical et à la préparation de la mise aux enchères des divers musiciens qui s’exécuteraient. Leurs ventes avaient pour but d’amasser des fonds pour The Children’s Society. Ceux-ci devaient faire preuve de talents dans une compétition pour faire monter leur valeur. Les enchères terminée les vendus était destinés à accompagner leur acheteur pour la grande soirée de clotures à Victoria’s House et à passer la soirée avec leur Hôte.

Les musiciens étaient tous vêtues de superbes habits et les musiciennes de robes magnifiques en plus d’avoir un numéro pour les identifier. Ils devaient jouer sans arrêt pratiquement alors que les groupes de donateurs et de futures investisseurs allait et venait pour entendre leur performance. Afin de mesurer leur performance un minuteur était activé pour calculer leur temps et arrêter lorsqu’ils ne jouait plus.

Pour les musiciens c’était un moment de bonheur intenses, ils avaient aussi pour pimenter leur expérences fait des paris tout le long du montagne pour voir qui serait vendu le plus cher. Ksenia s’était entouré de bond musiciend dont elle connaissait les talents, ils étaient installés dans un petit salon elle au piano et les autres avec leur instruments de prédilections. Il commençait à s’échauffer avec des pièces improvisés, pour enchaîné par la suite avec des solos et des duos avec le piano leur permettant un petit pause à tour de rôle. Ksenia portait une robe sirène en soie d’un rouge éclatant qui lui avait été quelques peu imposé, ses cheveux remonté en un chignon simple où reposait un dahlia; toujours accompagné de Jack dont elle avait habillé d’un foulard rouge qui était étendu sous le piano à queue là où elle pouvait l’apercevoir en baissant un peu les yeux.

Lorsqu’un individu s’approchait l’animal relevait la tête pour observer l’arrivant et Ksenia pouvait ainsi engager un peu la conversation avec la ou le venu(e). Ses compagnons et elle-même avait mit leur répertoire commun dans un cartable afin que les gens intéresser le feuillet et puisse demander un morceau en particulier. Le registre variait du Jazz au classique en passant par quelques pièces inusités où des trames tirés de films. Ils étaient le seul groupe à avoir pensé à cela.

Jack observait fixement toute personne s’étirant pour aller saisir le recueille musical reposant sur le banc où était assise sa maitresse. Hormis sa tête qui se levait où suivait les mouvements d’une personne à proximité, il ne bougeait pas ni ne faisait aucune bruit ce laissant même caresser par la multitude d’étranger qui allaient et venaient jusqu’à leur scène.

Le premier à venir se coller fut inévitablement Rony et sa dulciné du moment, qui venait faire l’éloge du talent de Ksenia. Alors que le jeune homme tentait d’enterrer de ses paroles la musique jouer, K fit signe de changer pour une pièce plus douce ce qui n’eut pas raison de la voix criarde de Rony.

« N’est-elle pas talentueuse! Voyez comme elle frappe sur les dents de son instrument très chère et cette couleur ne lui va-t-elle pas à ravire »
« Mr. Ford »
« Oui, Miss Ksenia très chère? »
« , De tout évidence vous n’appréciez pas la musique aussi restait planter à côté de mon piano et à faire fuir les mélomanes comme vous le faite est risqué. Ayez l’obligeance de faire de l’air. Allez donc au bar pour conter fleurette à votre compagne et de préférence baisse le ton. Votre voix m’irrite l’oreille. Suis assez clair Mr.Ford?» lui lanca-t-elle avec désinvolture, non mais il y avait un bout à être lèches bottes. N’avait-il pas compris l’année précédente? De toutes évidences non.
« Vous à ton déjà dit Miss Heng que vous… » commenca-t-il en se bomba le torse.
« Vous gaspillez votre salive, Mr. Ford . »
« Comment osez-vous me parler ainsi! Je suis… »
« Irritant, impolie, égocentrique, paresseux, lâche… et terriblement riche je sais. » dis-je entre deux poses. Je profita d’un moment de répit pour me retourner vers lui et conclure. « Votre fortune ne vous donne pas le droit à tout, il y a des choses qui vous manquerons toujours comme le tact et l’empathie, vous montrez généreux parce que vous retrouvez votre argent en retour d’impôt. »
« Croyez moi que vous ne mettrez plus les pieds à nos événements Ksenia. »
« Ce ne sont pas vos événement Mr. Ford, mais ceux de Children’s Society. Il serait important de vous rappelez votre place une bonne fois pour toute. »
Je pouvais m’imaginer ce cher Rony bouillir, je voyais bien par sa posture et le mouvement fébrille qui l’agitait qu’il se contenait pour ne pas faire une scène. Je ne pouvais pas m’empêcher de lui lancer un sourire provocateur, le défia de continuer. La silhouette fémine à ses côtés le tira néanmoins vers l’entrée de la salle, bon débarras. Un jour il allait finir par comprendre à force de se faire renvoyer, j’avais essayer la manière subtile, la douce, la franche et directe, il ne me restait plus qu’à être méchante avec cet individu qui était trop aveugler par son compte en banque pour réaliser le peu d’important de son existence.

Je me remis dernière mon piano et repris avec les autres musiciens un fox-trot. Je sentis Jack bouger et entendit des pas approcher. Je souris à l’inconnu qui s’était avancé près de notre scène. Un bref coup d’œil et je savais déjà que la sihouette du à sa forme appartenait à un homme.

« Bonsoir Monsieur.
Si vous voulez, nous avons un recueil ici près de moi. Vous pouvez choisir une pièce de votre choix si le cœur vous en dit. »

J’avais bien du répété cette phrase une centaine de fois depuis le début de la soirée. Elle gardait toujours son regard posé sur la sihouette près d’elle, elle pouvait se le permettre car de tout manière rien ne lui servait de regarder le piano, elle ne voyait pas les touches dans la masse du piano et depuis le temps qu’elle jouait du piano savait très bien où les trouver. La silhouette était familière… il me semblait l’avoir aperçu récemment.



Dernière édition par Ksenia Heng le Lun 18 Oct - 16:13, édité 1 fois
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Edward Livingston

Edward Livingston
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Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI Vide
MessageSujet: Re: Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI   Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI EmptyMar 17 Aoû - 20:40

    « Edward ! »

    William avait lâché le nom de son ami, sur le ton le plus blasé qu’il puisse y avoir. L’homme interpellé, qui était couché dans son canapé, un bras et une jambe dans le vide, les cheveux ébouriffés au possible et des yeux laissant largement comprendre la dose d’alcool qu’il avait ingurgité la veille, redressa doucement la tête l’air encore bien endormi. Le son qui s’échappa de ses lèvres ressemblait à un « Miouffgrn » ce qui, dans son langage des mauvais jours, signifiait qu’il cherchait à comprendre ce qui se passait. Et pourquoi, diable, William était-il sur son trente et un à une heure aussi avancé de la matinée, soit 13 heures de l’après midi.

    « L’avion part dans deux heures. Départ de la maison dans une heure, alors tâchez de vous préparez rapidement. »
    « L’avion ? »

    En guise de réponse, William lança le journal du jour près de la tête d’Edward et se retira des appartements de son ami pour aller finir ses valises. La porte claquée, Edward attrapa le journal du bout des doigts, tenta d’ouvrir un œil pour regarder la date écrite dessus… Un long soupir suivit cette information. L’évènement organisé par The Children Society démarrait le lendemain. Ce qui signifiait que cela faisait trois jours qu’il n’avait pas quitter sa chambre, le manque d’enquête avait un effet des plus néfaste sur son cerveau qui se mettait dans une léthargie incroyable. Il remercia toute fois son cerveau pour ne pas retenir ce genre d’évènement qui le barbait à un point qui n’était même pas envisageable. Il referma les yeux et décida de continuer sa nuit.

    Une demi heure plus tard ce fut l’heure de l’agression la plus horrible qu’il puisse exister. Les rideaux s’ouvrirent de manière brusque, aider par la main de William. Les yeux d’Edward se ratatinèrent dans un hurlement grognon, alors que son corps avait réagit par un bond qui l’envoya valser derrière son canapé. Profitant de l’ombre qu’offrait cette cachette, son cerveau élabora un tas de possibilité pour se débarrasser de William de manière rapide et définitive. Trois jour qu’il n’avait pas vu la lumière du jour, alors là, c’était pire que de la torture. Son abris ne fut pas suffisant, parce que William ouvrit un deuxième rideau qui eu pour but d’éblouir Edward, une fois de plus. Ce dernier rampa plus loin, jusqu’à se cacher derrière le dossier d’un fauteuil.


    « Vu mon état, William, je me permet de vous conseiller de ne pas rester devant une fenêtre. La tentation de vous y pousser devient presque incontrôlable. »
    « Et l’envie de hurler votre irresponsabilité en viendrai presque à être plus forte que la patience dont je peux faire preuve à votre égard. Vos affaires sont dans la salle de bain. Il vous reste une demi heure. »

    Edward attendit que William disparaisse une nouvelle fois pour grogner un « Maudit médecin », et prit dix bonnes minutes pour s’habituer à la lumière. Il n’empêche qu’une heure après le premier réveil de son ami, il était en bas, devant la porte, habillé et frais avec sa valise dans les mains. Anna Maria, la logeuse, donnait à William les encas qu’elle leur avait fait, silencieusement heureuse d’avoir trois jours de pure tranquillité. Edward était vraiment un colocataire des plus horrible. Aucun mots ne furent échangé entre William et Edward, mais à aucun moment le médecin avait douter de la ponctualité de son ami de longue date. Il suffisait juste de savoir comment s’y prendre avec lui.

    Une heure plus tard, tous deux étaient dans l’avion qui était en train de décoller. Le regard rivés vers la piste de décollage qui défilait avant de disparaitre complètement, Edward se mit à soupirer une fois de plus. Il était content de retrouver son Angleterre natale, mais son taux de sommeil avait une fâcheuse tendance à le rendre irritant, sans parler de la léthargie de son cerveau qui le rendait quelque peu insupportable. Pourtant, il avait bien tenter de s’occuper en observant toutes les personnes se trouvant dans l’avion. L’homme infidèle deux rangé plus loin qui avait prit soin de cacher son alliance, la femme dont la phobie était l’avion devant lui, l’hôtesse de l’air avec son sourire de façade qui avait fait monter un ami à elle dans l’avion sans qu’il n’est ou à payer… Et ainsi de suite…


    « Pourquoi fallait-il qu’on y aille déjà ? »
    « Parce que j’y était inviter par la BMA et que, je vous le rappel, vous avez aussi une invitation grâce au donation de votre famille »
    « Il doit être possible de s’y rendre que le dernier jour. Seule la musique à l’air d’y être intéressante. »
    « Edward ! »
    « J’aurais tenté… »

    Il y mettait plus de mauvaise volonté par principe qu’autre chose, en réalité. Les réjouissances musicales l’intéressait au plus haut point, étant un fervent amoureux de ce genre de chose. Le déplacement en Angleterre était également quelque chose qu’il appréciait, aimant y retourner de temps à autre. Par contre tout le blabla politique l’énervait au plus au point, ainsi que la bonne figure qu’il fallait y faire, et les bonnes manières qu’il convenait de respecter. Sourire, aimer tout le monde, flatter et graisser la pate. Un tas de chose qu’il ne supportait et dont il était peu commun de le voir mettre à l’œuvre.

    - - -

    L’arrivée à Londres ne pouvait être plus spécifique à cette ville. Un léger brouillard les accueilli, comme pour leur souhaiter la bienvenue. Un temps qui n’avait rien pour déplaire aux deux hommes qui avaient passés leur enfance ici, et en était habitués. Ils ne prirent pas longtemps pour rentrer dans un taxi et prendre la direction de l’hôtel dans lequel ils devaient résider pendant quelques jours. Une crainte pour William, qui connaissait les habitudes particulières de son ami. Mais il espérait qu’Edward trouverait le moyen de se faire plus discret que dans sa propre chambre, doutant fortement que la direction puisse apprécier des coup de feu dans le mur en pleine nuit… A aucun moment de la journée, d’ailleurs.

    Les chambres qu’ils occupèrent étaient situées l’une à côté de l’autre et, en vue de l’heure tardive de leur arrivée, ils prirent rapidement possession des lieux en se séparant pour passer une nuit des plus tranquille. La seule chose qu’Edward pouvait reprocher à sa chambre s’était le manque de bordel. La sienne en était bien, bien qu’il clamait haut et fort que tout cela était parfaitement organisé, et il s’y sentait plutôt bien. Là il ne pu pas s’empêcher d’analyser la moindre petite chose qui le renseignerait sur le client précédent et sur la fiabilité de la femme de chambre à faire le ménage. Au moins ça l’occupa pendant un bon moment avant qu’il ne se laisse tomber sur le lit pour dormir un peu.


    - - -

    De part les activités de William, les deux hommes eurent pour obligation de se lever tôt. Ce qui ne fut pas fait pour ravir Edward, qui accéda quand même à cette corvée en y mettant un peu de bonne volonté. Les deux hommes avaient rapidement trouver le chemin pour le premier séminaire concernant Médecin Sans Frontière, et leur très intéressante vidéo… William était aller s’installer dans les premiers rangs, alors qu4edward était resté près de la porte de sortie. Si tout le monde regardait l’écran, Edward fit l’inventaire des personnes présentes. Il serait amener à les croiser tout au long de ses trois jours, alors autant prendre le plus de renseignements possibles. En réalité il ne fit qu’une erreur, celle de croire qu’il était le seul à observer les personnes autour de lui. Il y avait une jeune femme, placé dans les derniers rangs, qui ne portait pas d’intention à l’écran. Par contre, les gens l’entourant semblait l’intéresser davantage. Un sourire passa sur le visage de l’homme l’espace d’un court instant, avant de porter son attention sur une famille en milieu de salle… Sans grand intérêt, cela dit. Le reportage finit, Edward se retira de devant l’entrée afin de laisser passer tout le monde, mais surtout pour apercevoir le visage de la personne qu’il avait remarqué, sans pouvoir la voir de face. Une observation qui n’alla pas plus loin et qui fut coupé par l’arrivé de William qui l’entraina dans une autre salle.

    De mauvaise grâce, Edward suivit le médecin dans toutes les représentation ou il devait se rendre. Une journée fatigante, sur un plan intellectuel, mais aussi social. Si bien que quand William accorda à Edward le droit de choisir la prochaine destination, toutes conventions étant finies, il ne m’y pas longtemps à désigner le bar. Arrivée à l’intérieur, il était difficile de passer a côté du petit groupe, un peu isolé, mais parlant un peu plus fort que la moyenne. Encore plus difficile de ne pas reconnaitre la jeune femme qu’il avait vu dans la matinée. Même sans être doué d’un sens de l’observation et d’une bonne mémoire, il était un peu compliqué d’oublier le regard si particulier qu’elle pouvait avoir. Une couleur remarquable. Mais passant ce genre de détails, les deux hommes prirent place et, Edward ne cessant de regarder de temps à autre en direction du groupe, c’est William qui se décida à poser quelques questions.


    « Je dirais bien que vous semblez être tomber sous un certain charme. Mais vous connaissant… »
    « Intrigante, en réalité. »
    « Et quoi donc ? »
    « Difficile à dire. »
    « Difficile, ou vous refusez de dire quelque chose dont vous n’êtes pas certain ? »
    « Difficile et incertain. »

    L’avantage avec William c’est qu’il savait pertinemment quand il n’aurait pas de réponse à ses questions, la discussion s’orienta donc sur des choses plus basiques, sur les évènements de la journée qu’Edward avait trouver d’un ennui mortel. Ils passèrent une petite heure dans ce bar avant de décider d’aller se promener un peu dans Londres. Une ballade fort agréable pour eux deux et, enfin, ils prirent la direction de l’hôtel pour s’arrêter devant la porte d’Edward afin de faire un dernier point sur la manière dont aller se dérouler le lendemain. Une brève discussion qui fut interrompu par le passage de a jeune femme en question. Mais, aussi bien William qu’Edward, les deux ne trouvèrent rien à faire que de continuer normalement leurs discussion, même si elle avait pu alimenter quelques secondes leur conversation dans le bar. L’alcool semblait avoir été profitable. Chacun regagna sa chambre, jusqu’au lendemain.

    - - -

    Edward avait négocier avec William, la veille, pour ne faire surface qu’en début d’après midi. Passer une matinée de plus à passer de salle en salle, écouter des discours qui n’en finissait plus, l’aurait rendu encore bien plus irritable qu’il pouvait l’être en temps normal. Ce n’était donc pas conseillé. Il sortit de sa chambre à quatorze heure, une barbe naissante sur le visage –qu’il avait oublier de rasé, juste pour le plaisir de dénoter- mais, hormis ce détail, il avait tout d’élégant dans un costume noir sur une chemise blanche. En parfait anglais, il gardait toujours cette canne à la main. Certain pensait que ce n’était qu’un accessoire. William, qui le connaissait, savait que ce simple objet pouvait être une arme assez redoutable entre les mains d’Edward qui avait enseigner l’art de la canne durant de nombreuses années. Et, il faut avouer, qu’il avait une fâcheuse tendance à se retrouver dans des ennuis qui nécessitait l’utilité de cet objet.

    L’après midi avait déjà tout de plus réjouissant. Place à la musique. Chose qu’il appréciait particulièrement, surtout quand elle était rondement menée. Il retrouva donc William non loin de la salle de concert, pour débattre de ce concept étrange qui vise à vendre des musiciens pour une soirée. D’accord, il y avait les profits, il voulait bien croire que c’était une bonne chose. Mais est ce que ce n’était pas une forme d’esclavage ? Il imaginait mal une musicienne de talent devoir se coltiner l’abrutit parfait, mais riche, pendant toute une soirée juste parce que son compte en banque était plus fournit que le voisin. Non, décidément, ce concept le dépassait quelque peu.


    « Je trouve, juste, que défendre et récupérer des fond pour des enfants en obligeant des adultes à passer la soirée avec la plus grossière des personnes, c’est quelque peu… Ironique. »
    « C’est uneun festival, les gens ont quand même de bonne manière, au moins pour donner le change. »

    Ils étaient entrés pendant qu’il discutait et il ne fallut pas attendre bien longtemps à Edward pour prouver que William avait tort. Ils étaient, maintenant, assez proche de la scène et du piano pour voir que la discussion avec la jeune femme –toujours la même- et un homme n’avait rien de cordiale, et ne rentrait pas dans ce qu’Edward considérait comme des « bonnes manières » dont il parlait un peu plus tôt. Il lança même un regard à William, qui leva les main en signe d’abandon. D’accord tout le monde ne savait pas se tenir. Le médecin semblait même se demander, l’espace d’un instant si il n’était pas mieux d’intervenir. Un signe de négation apparu sur le visage d’Edward.

    Le professeur observa la jeune femme, vêtu d’une magnifique robe lui allant à merveille, se débrouiller seule face à l’homme qui semblait obligé de bomber le torse, comme si cette posture pouvait lui donner plus d’importance… N’importe quoi. Elle sembla réussir à le vexer suffisament, mais il fallu quand même que ce soit la femme accompagnant l’homme qui du le tirer pour partir. Une fois la place libre, Edward lança un regard à William.


    « Allons voir le registre qu’offre cette demoiselle. »
    « Je vous rejoins, dans quelques minutes. »

    Edward s’avança seul, ne s’étonnant pas de voir la tête du chien se redresser, come il l’avait fait avec chaque personne arrivant dans ce périmètre. Une sorte de signe pour que sa maitresse tourne la tête dans sa direction. Et, rapidement, Edward fut à la hauteur du registre qui était mit à disposition des personnes.

    « Bonsoir Monsieur.
    Si vous voulez, nous avons un recueil ici près de moi. Vous pouvez choisir une pièce de votre choix si le cœur vous en dit. »

    « J’ai bien peur d’avoir des goût un peu trop classique, telle que Chopin. Fantaisie impromptu est une merveille, mais difficilement adaptable avec plusieurs instruments. »

    Dire qu’il aimait particulièrement ce morceau était mentir. Disons qu’il aimait la performance des personnes capables de jouer ce morceau, pas donner à tout le monde. Sûrement pour cela qu’il avait donné ce titre, une simple vérification à faire. Il nota également la manière dont elle se détachait, par le regard, de son piano sans pour autant s’interrompre ou mettre le doigts sur une mauvaise note. Son regard en restait particulière intriguant et il fallait qu’il songe à vérifier une théorie qu’il avait vaguement élaborer sur le peu de fois ou il avait pu la croisée brièvement.

    « Mais je vais regarder votre recueil, en tentant de me faire le plus discret possible afin de ne point vous importuner comme mon prédécesseur. »

    Sur sa référence à l’homme qui venait de partir, sous la demande muette de la femme qui l’accompagnait, Edward entreprit de prendre le registre afin de voir ce qui se trouvait à l’intérieur.
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Ksenia Heng

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Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI Vide
MessageSujet: Re: Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI   Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI EmptyMer 18 Aoû - 0:41

Le nouvel arrivant avait quelques choses de rafraichissant d’autant plus que juste sa présence constrastait avec celle du richissime Rony Ford qui n’avait rien de charmant contrairement à ses parents. Ce fils gâté pourri fini enfin par partir au bras de sa cavalière, Ksenia ne pouvait qu’en être soulager elle n’espérait plus qu’il ne l’achète pas pour le ball du lendemain. L’homme qu’elle observait sans même sans caché, sa posture n’avait rien de forcé ou de faux. Le timbre de sa voix informa la jeune femme que cet étranger était bel et bien un anglais, malgré que cela ne s’entendait exclusivement de par le son. Sa gestuelle avait quelques choses de divertissant à observer, elle n’aurait su dire quoi pour le moment. Après quelques minutes elle était prête à juré qu’il s’agissait d’un des deux hommes qu’elle avait croisé la nuit précédent dans les couloirs de l’hotel.

Alors que le fox-trot achevait, la jeune femme jeta un coup d’œil à ses complices musiciens voyant que plusieurs était à bout et qu’il leur restait encore de longues heures à jouers avant d’être mis aux enchères, elle se dit qu’elle pourrait bien sortir un peu du registre. Chopin était un bien bonne idée et pourquoi ne pas faire un petit peu d’ombre à la concurrence, elle savait que dans les musiciens présents il était 4 capabables à jouer ce morceau. Le registre classique ne plaisait pas à tous, mais il avait bercé son enseignement.

« C’est une pièce magnifique j’en conviens, écrit alors qu’il était âgé de 24 ans si je ne me trompe pas… The Fantasiee Impromptu, Opus Posthumous 66. »
Elle fit un léger signe de tête que tous comprirent pour une pause une fois la dernière note tombé. Je laissa un moment de silence me permettant d’ajouter à mon interlocuteur.
« On ne m’importune pas en venant auprès du piano et discuter, seulement c’est les paroles vides aux décibels démesurées qui m’exaspèrent. Vous n’avez jusqu’à présent rien à envier à Mr. Ford de ce côté il se charge très bien de se rendre insupportable tout seul. De plus vous avez une voix et un accent fort agréable à écouter. Votre proposition est parfaite, cela permettra à mes amis de prendre un instant de repos »

Alors que dans la salle le silence de nos instruments commençaient à attirer l’attention, je me mis en position. C’était une pièce que j’avais jouer il y avait quelques années, mais qui était gravé quelques par dans ma mémoire il me fallait juste un instant pour la dépoussièrer. Je ferma les yeux un instant, mais doigts trouvèrent immédiatement le chemin à prendre et suivirent à la lettre la partition que son profession avait peiné à lui faire apprendre en vue de son premier concours. Leur effort avait été remporter de succès car c’était la première place qu’elle avait été cherche en exécution libre et en sortant malgré toute attente cette pièce que son professeur avait jugé d’un niveau trop élevé pour une jeune fille de 9 ans. Ce qui l’avait piqué à vif dans son orgueil, et en bonne petite fille à papa elle avait pratiqué et pratiqué pour finalement épater la galerie.

Durant les 5minutes 10 secondes que durait ce magnifique opus, elle se laissait glisser sur les notes . Les yeux toujours clos elle jouait avec une technique parfait y mettant tout son cœur, une fois terminé elle n’avait pas envie de finir et un sourire aux lèvres osant modifier les dernières mesure pour reprendre La Fantaisie Impromptu à une variation plus personnelle, monta d’un cran se prestation d’un niveau. Il y avait longtemps qu’elle n’avait pas plus plonger dans un tel état de transe en jouant. Elle baignait littéralement dans la pièce empruntant des échos ici et là des certaines de ses pièces favorites comme le thème du Lac des Cygnes de Tchaïkovski qu’elle maitrisait par cœur ou encore celui du Phantome de l’Opéra par Andrew Lloyd Webber… elle se plu l’espace de ses quelques minutes à faire danser le cygne et la phantom sur le pas de Chopin.

Mais soudainement elle ouvrit le yeux prise d’un étrange malaise, elle ralenti la cadence et termina. Elle qui avait pensé avoir terminé avec ses mystérieux symptômes… Elle inspira longuement cachant du mieux qu’elle le pouvait la douleur qui la poignait. Jack s’agita sous le piano pour aller se glisser de l’autre côté où sa maitresse s’était penché pour attraper une bouteille d’eau. La douleur l’empêchait de voir, mais heureusement l’animal la guida du bout de son museau jusqu’à ce qu’elle saisisse finalement un bouteille. Elle ne prit qu’une gorgé afin de retrouver sa contenance, mais une fois ses lèvres entrouvertes pour laisser passé le liquide translucide pour la rafraichire, une soudaine pointe fulgurante l’empoigna et un filet épais de sang alla de diluer dans la bouteille. Sous l’éclairage tamisé de la pièce où ils se trouvaient installés ses compagnons n’avait aucunement perçu le malaise et encore moins la teinte de la bouteille que Ksenia déposa au pied de son banc près de sa robe rouge en se forca à ne pas grimacer sous la douleur que lui procurait se simple mouvement. Elle dégluti péniblement, alors que dans une sueur froide son mal la quittait aussi soudainement qu’il était apparu.

Il lui fallait monter à sa chambre dès que se manège serait terminés et prendre du ses cachets de ratio-tecnal qui malgré le peu d’effet lui serait nécessaires malgré tout pour pousuivre la soirée sans finir par s’évanouir. Alors que les autres musiciens improvisaient sur un air de jazz, elle demanda en se retourna en peine à l’homme qu’elle imaginait toujours non loin d'elle avec le recueil. Elle espérait franchement ne pas parler dans le vide, mais alors que sa perception lui revenait doucement elle reconnu la silhouette ayant encore le recueil.

« Vous avez trouvez un autre morceau qui vous plairais d’entendre monsieur? À moins que vous n’ayez trouvez quelques choses qui plairaient a un ami? »

Elle s’avançait sur un chemin dangereux, mais voulait savoir si l’homme était bien seul ou non. Du moins elle espérait ne pas ce tromper en ayant pensé que lorsqu’elle l’avait aperçu dans le corridor n’était qu’en fait une banale rencontre avec un voisin de chambre. Elle aurait bien aimez ajouter… l’ami qui vous accompagne, mais jusqu’ici elle n’avait pas perçu encore l’autre silhouette, du moins s’il était présent c’était hors de son champ de perception. Dans le Hall qui séparait les diverses petites salles où étaient éparpillées les musiciens, une petite clochette retentit suivit de l'annonce d'une pause pour tous et toutes d'environ 30 minutes avant de recommencer à jouer jusqu'à l'heure du thé et finalement de la vente aux enchères. Lord et Lady Ford qui dirigeait les événements en de parfait hôte veillait à s'entourné des plus grands personnalités et donnateur pour faire le tour des candidats à vendre.

Par chance, même si elle avait beaucoup de respect pour ses gens son état ne lui aurait pas fait justement apprécier de poser alors qu'un discours de présentation allait être prononcer pour incité sa vente. Pour le moment, encore un peu fébrile elle préférait être tranquillement assises à sur son banc et passer son tour.

« Je crains qu’il ne faudra attendre la fin de la pause pour plus de musique. Pardonnez mon indiscrétion, mais êtes vous ici en temps que donateur ou parce que vous êtes membre du BMA? »
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Edward Livingston

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MessageSujet: Re: Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI   Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI EmptyVen 20 Aoû - 3:41

    « C’est une pièce magnifique j’en conviens, écrit alors qu’il était âgé de 24 ans si je ne me trompe pas… The Fantasiee Impromptu, Opus Posthumous 66. »
    « En réalité, j’aurais dit à 25 ans, à moins qu’elle est été écrite avant mars 1835 ce qui, d’un certain point de vue, voudrait dire que c’était effectivement à ses 24 ans. Mais mes maigres connaissances ne me permette pas de savoir le mois de finition de ce morceau »

    Il ne fallait pas y voir une critique, il n’était même pas certain de l’année de création de cette partition. Mais Mars étant en début d’année, ça laissait, statistiquement, plus de possibilité pour qu’elle soit achevé après ce mois qui correspondait à la naissance de Chopin, si sa mémoire ne lui faisait pas défaut. Il ne se voulait pas désagréable non plus, il était simplement pointilleux sur les détails. Déformation professionnelle, sûrement. Cependant il fut agréablement surprit de la voir faire un léger signe de tête aux autres musiciens, signifiant qu’elle ne refusait pas spécialement de le jouer. Avit-il réellement douter des talents dont elle pouvait faire preuve, après le peu qu’il avait pu entendre de ce qu’elle avait jouer jusqu’à présent ?

    « On ne m’importune pas en venant auprès du piano et discuter, seulement c’est les paroles vides aux décibels démesurées qui m’exaspèrent. Vous n’avez jusqu’à présent rien à envier à Mr. Ford de ce côté il se charge très bien de se rendre insupportable tout seul. De plus vous avez une voix et un accent fort agréable à écouter. Votre proposition est parfaite, cela permettra à mes amis de prendre un instant de repos »

    Il ne se permit pas de répondre à ce qu’elle venait de dire, préférant de loin le son du piano et des instruments accompagnants, que le son de sa propre voix. Pouvait-elle apprécier son accent qui le qualifiait d’anglais – il avait mit un point d’honneur à ne pas prendre celui des américains bien trop barbare pour lui – qu’il ne pouvait se résoudre à parasiter la musique qu’elle se mettait à jouer. Il avait beau avoir le registre de musique dans les mains, avoir imprimer les informations qu’elle lui avait donner par de simples phrases, il ne pu concentrer son esprit sur autre chose que les notes qui s’enchainaient avec une précision qui avait de quoi être jalousé par beaucoup de musicien. Son esprit vogua, ainsi, au gré de cette musique qui n’était que très rarement interpréter en vue de sa complexité. La demoiselle s’en sortait à merveille, ses yeux clos, semblait vivre ce qu’elle faisait, ses doigts étaient comme guidés vers les notes qu’il convenait de sortir au bon moment pour un ensemble que ses oreilles ne regrettèrent pas d’entendre. Rien que ces quelques minutes valaient bien le fait de s’être fait trainer à ce festival qui, jusqu’à présent, n’avait aucun intérêt à ses yeux.

    Quatre minutes s’étaient écoulés, sans même qu’il ne s’en rende compte, bercé par les élans de la musique qu’elle produisait. Mais son esprit revint bien vite à un aspect plus pratique, plus logique. Il se devait de vérifier une théorie qui se formait doucement dans un coin de son esprit. C’est ainsi, que sans le moindre mouvement brusque, il décala sa position pour se mettre un peu plus à gauche. La jeune musicienne avait une façon singulière de regarder les gens, il n’était certain de rien, mais ce devait de faire quelques essais qui finirait bien par lui faire comprendre les choses. La fin de la musique arriva, et il fut difficile de ne pas se rendre compte que les dernières notes n’étaient pas de Chopin. Une interprétation plus personnelle, mais qui n’avait rien de gênante. Le tout se mariait, se fondait parfaitement dans le reste de la musique. Elle était définitivement douée, voir au-delà de cela, sachant apporter touche personnelle que peu de gens étaient capable. Un bon pianiste, maitrisant les techniques, pouvaient se former et se trouver n’importe ou. Créer dans une continuité, sentir la musique comme elle le faisait, là c’était bien plus rare. Plus précieux.

    L’observateur qu’il était ne pu que difficilement passé à cette façon qu’elle avait de ralentir la cadence – bien que cela sonnait toujours parfaitement – mais les yeux ouverts étaient une différence majeur avec la façon dont elle avait jouer depuis le début. Il y avait des signes qui ne trompaient pas vraiment, sa façon d’inspirer longuement, le chien s’agitant sous le piano –bien plus capable de sentir ce que les humains s’acharne à ne pas vouloir voir- et qui se glissa à ses côtés. Mais il y avait aussi le fait qu’elle ne paniquait pas, qu’elle restait là, à faire comme si de rien n’était. Difficile de savoir ce qui lui arrivait, mais ce n’était pas la première fois que ça se produisait, vu son manque de surprise face à ce ressentie qu’il ne pouvait comprendre et connaitre. Mais vu les efforts qu’elle déployait pour faire comme si de rien n’était, il aurait été bien impoli de la part d’Edward de se pencher vers elle pour lui proposer une assistance quelconque.

    Il ne perdit pas une miette de ce qui se passa par la suite. La jeune femme tâtant, de la main, en direction de sa bouteille, sans pour autant l’atteindre. C’est son chien qui guida la main vers la bouteille. Une vision qui le fit penser à un aveugle et son chien. Pourquoi ne trouvait-elle pas la bouteille elle-même ? Mais tant de possibilité, à cette question était possible, si bien qu’il ne pouvait s’arrêter sur l’une ou sur l’autre. Il fut bien difficile de ne pas admettre que lui proposer une assistance se fit à nouveau sentir quand elle se mise à boire. Placé au première loge, près du banc, il était difficile de ne pas voir la coloration de l’eau, alors qu’elle venait à peine de porter ses lèvres à la bouteille. Elle avait à peine reposer la bouteille que, les choses semblaient allaient mieux, si il en jugeait pas le décontraction de certain muscles. Malheureusement pour lui, il n’était pas médecin contrairement à William, et il était bien incapable de mettre un problème sur les symptômes qu’elle s’étaient efforcée de cacher. Il faudrait qu’il demande à son ami, ce que cela pouvait bien vouloir signifier.

    Elle se tourna finalement vers lui, du moins là ou il se tenait avant qu’elle n’arrive à la quatrième minute de la musique. Le but, de ce très léger changement de place, était surtout de voir combien de temps elle mettrait à poser les yeux sur sa silhouette. Une personne normale le ferait naturellement dans la continuité de ce qu’elle voit. Et vu la manière dont elle avait chercher sa bouteille, il doutait de pouvoir la mettre dans la catégorie des « voyants normaux ». Sans pour autant pouvoir lui définir une catégorie. Elle ne fut pas aussi rapide que quelqu’un de « normal », mais son regard se posa bien vite sur lui, tout de même. C’était sûrement ce qui l’intriguait le plus. Ce qu’il ne pouvait qu’apprécier. Son esprit aimait les énigme, alors tout ce qui pouvait sortir de l’ordinaire avait l’effet de le ravir à un point inimaginable.


    « Vous avez trouvez un autre morceau qui vous plairais d’entendre monsieur? À moins que vous n’ayez trouvez quelques choses qui plairaient a un ami? »
    « Pour le moment, je ne connais personne qui soit susceptible d’apprécier à sa juste valeur votre façon d’interpréter les choses. Interprétation qui m’en à fait oublier de chercher un autre morceau. De toute façon, votre final avait le don de replonger dans certain classique. Difficile de choisir un autre morceau derrière une telle prestation. »

    Il n’avait pas menti concernant les personnes qu’il connaissait, mais avait délibérément pas répondu de manière à affirmer qu’il avait un ami, ou non, dans la salle. Il ne savait pas encore pourquoi il avait agit de cette manière, mais ce genre d’initiative lui apportait toujours des choses intéressantes par le suite. Pour la suite de ses paroles, s’était incontestablement un flot de compliments. Sincères. De plus, il s’aperçut très vite qu’il n’avait plus besoin de choisir un morceau, en vue de la clochette qui venait de retentir, signant ainsi une pause pour les musiciens.

    « Je crains qu’il ne faudra attendre la fin de la pause pour plus de musique. Pardonnez mon indiscrétion, mais êtes vous ici en temps que donateur ou parce que vous êtes membre du BMA? »
    « Il semblerait que ce soit en tant que donateur que j’ai reçu l’invitation. J’aurais fait un piètre médecin, dans le cas contraire. Me serait-il possible, sans avoir à débourser une somme considérable que demandera les enchères de ce soir, de vous offrir un rafraichissement durant cette pause ? »

    Les méthodes d’éducation avaient la vie dure. Il avait été élevé dans l’aristocratie anglaise, avec des coutumes semblant venir d’un tout autre temps. Une éducation qui se voyait à sa légère façon de se pencher en faisant sa demande, et de présenter son bras – après avoir reposer le registre – afin de l’escorter si elle acceptait l’offre. Il n’avait pu s’empêcher de faire un trait d’humour, à sa manière, en annonçant qu’il ne voulait pas réellement avoir à payer pour quelques minutes en sa compagnie. Une façon de dire les choses pour ne pas avoir l’air de lui proposer cela à cause de ce qu’il avait pu observer quelques instants plutôt, et dont la couleur de l’eau de sa bouteille gardait trace. Le bras tendu était du à son éducation, mais aussi une aide cachée si elle en avait besoin. Bien que même sans avoir été témoin de ce qui s’était passer, il aurait quand même eu les même geste qui étaient, selon lui, les bases de la courtoisies face à une jeune femme. Surtout quand elle est aussi talentueuse.

    « Une chose est certaine, en vue de votre talent, Ce Monsieur Ford va vraiment devoir dépenser des sommes impressionnantes si il souhaite passer un certain temps en votre compagnie, lors de la vente aux enchères. D’ailleurs je doute que son amie en soit parfaitement ravie. »

    La jeune femme avait glissé le nom de l’homme un peu plus tôt, e l’information s’était inscrite dans le cerveau d’Edward, qui ne risquait pas de l’oublier de ci-tôt. Il ne pu, toute fois, s’empêcher de souligner le fait que ce monsieur Ford lui avait fait l’effet d’un fervent admirateur. Un peu trop, même.
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Ksenia Heng

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MessageSujet: Re: Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI   Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI EmptySam 21 Aoû - 6:19

La pause venait de sonner, rapidement les musiciens qui accompagnait la jeune femme s’en était allée rejoindre d’autres confrères et consoeurs. Ksenia pour sa part prenait une petite minute encore avant de voir si elle allait se mêler à la foule. Par chance, l’inconnu musicomane n’était toujours pas partie ce qui lui donna la chance de pouvoir tenir éloigné Rony d’une éventuelle tentative de séduction quelques peu douteuses. Elle portait une attention toute particulière à cet étranger, l’étrangeté de la formulation de ce qu’elle prit pour un compliment ne l’a dérangea pas plus qu’il ne le fallait. Elle lui répondi simplement pas un sourire, qu’il ai aimé la pièce était suffisant. Elle ne crut pas bon non plus d’argumenter afin de savoir s’il était oui ou non accompagnée, même si elle soupçonnait qu’il avait homis de le préciser. Ce n’était pas de ses affaires aussi elle n’allait très certainement pas l’ennuyé avec ce genre de petits détails. Tout finissait par se savoir à un moment où un autre dans les soirées mondaines.

« Il semblerait que ce soit en tant que donateur que j’ai reçu l’invitation. J’aurais fait un piètre médecin, dans le cas contraire. Me serait-il possible, sans avoir à débourser une somme considérable que demandera les enchères de ce soir, de vous offrir un rafraichissement durant cette pause ? »

« J’accepte très volontiers votre proposision. »

Un rafraichissement ne lui ferait pas de mal, celui lui permetterait de faire passer le gout du sang dans sa bouche. Elle détestait lorsque cela lui arrivait et encore plus lorsque l’Aura lui faisait défaut. Par chance ce soir elle n’avait pas fini par perdre connaissance. Le moment était mal choisir pour monter à sa chambre et prendre ses cachets, elle allait devoir attendre l’heure du thé afin de pouvoir s’éclipser sans éveiller les soupçons. Jack était assit et observait attendant les ordres de sa maitresse, qui n’avait pas à lui dire en mot ce qu’elle attendait de lui un simple geste de la main, un léger balayaiment et l’animal prit les devant pour lui laisse l’espace afin de descendre. Il allait la suivre comme son ombre.

Elle se glissa doucement vers le bord de la scène, elle savait pour l’avoir monté qu’elle n’était pas très haute juste suffisante pour se tordre la cheville si elle ne faisait pas attention durant l’opération, pour réduire les risques considérablement elle avait opter de porter des souliers plats. Elle remarqua que son interlocuteur avait présenter son bras, il y avait bien que les anglais pour avoir garder d’aussi bonne manière. Elle releva juste ce qu’il fallait de sa robe pour éviter de ne se prendre un pied dans le tissus, et une fois sur le plancher de bois elle ne pouvait pas refusé le bras tendu par courtoisie, élevé comme elle l’avait été elle avait appris à faire preuve d’un peu de manière quand même. Elle ne saisit toutefois pas le bras comme ses femmes qui s’y pendent presque comme de vulgaire poupée que l’on trimballe pour épater la galerie. Elle n’avait que déposé sa main sans s’agripper essayant de ne pas envahi l’espace vital de son cavalier. De toute manière elle devait surement assez attirer l’attention avec cette robe rouge écarlate que sa bonne amie avait confectionnée pour elle. Une œuvre qui prenait vie à chaque mouvement grace à des centaines de petites de verres brodés à la main. Jeanne c’était surpassée sur ce cout là en plus de la supplier de trouver une occasion de type gala pour la porter. Une simple chose avait plus chez Ksenia dans cette robe étant donnée qu’elle ne pouvait distingué la couleur où l’aspect qu’elle avait sur elle, elle pouvait néanmoins admirer l’effet des petites perles de verres qui lui donnait l’allure d’un queue de poissons recouverte de minuscules écailles.

« Une chose est certaine, en vue de votre talent, Ce Monsieur Ford va vraiment devoir dépenser des sommes impressionnantes si il souhaite passer un certain temps en votre compagnie, lors de la vente aux enchères. D’ailleurs je doute que son amie en soit parfaitement ravie. »

« Pour Monsieur Ford mon talent importe peu, tout comme le sens de ‘’non’’ lui échappe. Pour ce qui est de son amie, je crois qu’il la paie suffisament cher pour qu’elle s’évite de faire une scène »

Selon ce qu’on disait de Ford le fils, il n’était pas laid du tout ce qui rebutait par contre la jeune femme c’était son insistance et sa manie de faire comme si tout lui appartenir. A l’entendre l’univers entier ne pourrait plus fonctionner sans lui, c’était se donner un peu trop d’importance. C’était un de ses jeunes hommes de la haute société qui avait la fièvre de l’argent, chose dont elle avait été préservé depuis toujours grâce aux soins de son père.

Elle suivit son cavalier sans aucune difficulté, alors qu’il avançait vers le bar où quelques serveurs s’affairent à la préparation de cocktail et autres boissons elle avait remarqué qu’il tenait à la main une canne. Etant assez près de lui et sa main à son bras elle ne perçu aucunement le mouvement typique d’un marcheur de canne, il ne boitait pas non plus au contraire il avait même une posture forte et solide. La manière qu’il avait de tenir l’objet lui semblait avoir quelques choses de naturelle, cela n’avait pas l’air d’un accessoir utilisé qu’en quelques occasions. Suite à cette réflexion elle jugea préférable d’éviter de le détaillé d’avantage ce qui aurait pu finir par être grossier de l’observer comme elle le faisait. C’était un réflexe, elle ne pouvait pas passer à côté d’une nouvelle silhouette toutes les ondes étaient si particulier chez chacun c’était un spectacle pour elle dont elle ne se lassait jamais.

Ils arrivèrent en quelques pas au bar, où elle se permit de lâcher le bras de l’homme. Le chien qui les avait suivit suite à leur immobilité s’était permis un peu de liberté et reniflait l’étranger, son museau passait de sa jambe à sa main la plus proche au bord de son habit afin de terminé à ses pieds pour finalement décidé de s’asseoir bien droit et de bailler longuement. Un homme assez âgé dans son habit tiré à quatre épingle s’approcha de nous et nous demanda ce que nous prenions pour ma part j’opta pour de l’eau avec feuille de menthe et une tranche de citron. L’alcool j’en avait déjà suffisamment prit la veille mon quota était atteint pour le restant des festivités étant donné que ma participation était un peu plus active.

Jusqu’à présent, le gentleman anglais ne s’était toujours pas présenté. Il était très différent de la majorité des gens ici mis à part évidemment des médecins qui étaient moins guindés et plus facile d’approche que ses riches se pavanant, parlant sans cesse de l’agent qu’ils dépensaient sans compter. Elle était intrigué sur le temps qu’ils pouvait tenir sans faire les présentations, pourquoi ne pas s’amuser et attendre de voir la suite des choses. Elle remercia le serveur qui leur apporta leur verre et fit même l’effort de l’appeler pas son nom qu’elle avait deviné entre deux bribes de conversation entre lui et un autre serveur. Elle lui sourit gentilment lorsqu’elle vit la silhouette s’attarder devant eux troublé par la tombé de son invisibilité.

« Vous a-t-on déjà dit que vous étiez particulier? Je ne voudrais pas paraitre grossière ou vous… »

« Vous êtes magnifique ce soir Miss... si nous allions dansez dans le parc... »

Elle ne pu continuer car le retour de Rony faisant cavalier seul était réapparu avec ses gros sabot. Elle avait l’odorat suffisamment développé pour sentir qu’il avait commencé à carburer au Whisky choses qui n’allait pas le rentre plus discret. Il tenta de la saisir par le bras pour essayer de la faire suivre le chemin qu’il voulait emprunter, après de si douce parole. Elle résista ce qui le contraria. Il la dévisagea.

« Vous préférez se… » il prit un instant pour détaillé son ‘’rival’’ « se… se dandy mal rasé, à moi? D’accord j’ai l’air sorti d’un conte de fée, si c’est l’habit Miss qui vous dérange il vous suffit de venir a ma chambre et je de me faire revêtir celui de votre choix! »

« Monsieur Ford soyez gentil, évitez moi pour un fois le supplice de vos paroles vide, vous ne voyez pas...»

«Je ne vois pas... je ne vois pas!...» dit-il en mimant d'être aveugle tout en essayant de la saisir comme s'il la cherchait dans le noir. Il n'eut qu'un regard glacial comme réponse ainsi que le contenu de son verre à la figure.

Rony prit une pose un ne peu plus qu’exasgéré pour appuyer son incompréhension face à la réaction et aux préférences féminines de celle qu’il convoitait. Il alla même jusqu'à bousculer volontairement le compagnon de celle-ci en guise de défi... chose très stupide selon elle. Peut importe ses agissement et ses paroles, il n’y comprendrait rien Ksenia en était convaincu pour avoir essayer milles fois au moins. Ce n’était pas qu’elle avait une préférence pour le gentleman anglais en particulier, tout où presque arrivait à déclasser le manque de savoir vivre de ce fils de riche. Lorsqu’il se mettait à boire elle ne pouvait qu’espéré qu’il boit suffisamment pour finir écroulé dans un coin et ne pas pouvoir participer aux enchères.

« Elle ne sont pas vide, comprenez une bonne fois pour tout l’intensité du sentiment que j’ai à votre égard…Si c’est votre handicape qui vous empêche de succomber n’ayez crainte je me ferais un plaisir d’éteindre les lumières pour me mettre d’égal à égal…» laissant-il en suspend pour montrer sa bonne foi.

Combien de verre il avait pu englouti elle l’ignorait mais une chose était certaine c’était qu’avec ses allusions il magasinait des claques et c’était génial parce qu’il y avait une promotion elles venaient en paire avec un pied au derrière. En faisant un pas de plus pour s’approcher il ne vit pas le chien et lui écrasa la queue ce qui lui arracha un guinement. L’animal fixa Rony qui le fixait aussi, durant un instant en voyant tituber la silhouette du jeune homme elle cru qu’il allait s’étaler de tout son long au milieu de la foule qui pour le moment incroyable, mais vrai ne semblait pas porter attention au spectacle que le milliardaire donnait de sa propre personne.


Dernière édition par Ksenia Heng le Dim 22 Aoû - 4:50, édité 1 fois
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Edward Livingston

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Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI Vide
MessageSujet: Re: Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI   Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI EmptySam 21 Aoû - 10:50

    La jeune femme accepta sa proposition et, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle n’avait en aucune manière besoin d’une assistance. Sa main était posé sur le bras de Livingston, à la manière qu’il convenait de le faire, sans en prendre appui alors que cela aurait pu passer pour naturel. Son malaise, dont il ignorait la cause, devait donc être passé dans sa totalité, ou alors elle faisait preuve d’un remarquable caractère pour ne pas jouer les jeune femme frêle. Dans les deux cas, tout était à son honneur et, il ne pu qu’admirer l’éducation dont elle faisait preuve. Ils furent bien vite à la hauteur du bar, ou elle demanda sa boisson, nommant le serveur par son nom – qui avait été dit par le biais dans de ses collègues – ce qui démontra qu’en plus, elle était capable d’une certaine observation. Un bref sourire passa sur les lèvres de Livingston pendant qu’il commandait, pour lui, un simple thé. Après tout, il était anglais jusqu’au bout des ongles, non ?

    Le chien de la demoiselle semblait vouloir un peu plus sur ce nouvel hôte, ce qui n’était pas spécialement des plus agréable, mais il ne s’en formalisait pas réellement et, bien vite, le chien retrouva sa place auprès de sa maîtresse. Pendant tout le chemin, Edward n’avait pu qu’observer la facilité avec laquelle la jeune femme pouvait se déplacer, évitant facilement les gens présent ou tout obstacle pouvant se dresser contre elle. Ce qui, il faut l’avouer, ne cadrait pas réellement avec ce qu’Edward pouvait imaginer. Vraiment intrigante, mais il ne doutait pas d’avoir quelques réponses à ses questions. Il suffisait d’attendre. Il n’avait pas prit la peine de répondre aux dires de la jeune femme, qui qualifiait le jeune Ford comme l’homme le plus impoli qu’il puisse exister. Enfin non, il y avait plus impoli, mais il était clair qu’il lui serait difficile de gagner les faveurs de la jeune musicienne en vue de l’opinion qu’elle avait de lui. Et, Edward pouvait aisément le comprendre. Mais il convenait de se passer de tous commentaires désagréables concernant un homme qu’il ne connaissait pas.


    « Vous a-t-on déjà dit que vous étiez particulier? Je ne voudrais pas paraitre grossière ou vous… »
    « Vous êtes magnifique ce soir Miss... si nous allions dansez dans le parc... »

    Dommage il aurait bien aimer entendre la fin de sa phrase, les choses commençaient plutôt bien. Particulier ? Lui ? C’était assurément une bonne déduction, mais il aurait aimer savoir pourquoi elle en était venue à dire une chose pareille. Mais voilà que le façon Ford avait trouver bon d’interrompre ce discours, sans la moindre politesse, sans le moindre tact, pour venir balancé un compliment et demander une danse. En réalité il était difficile de voir cela comme une demande, vu qu’il attrapa le bras de la jeune femme, comme si ce geste allait l’inciter davantage à le suivre. Peut être qu’en vue de son éducation, Edward aurait du réagir à ce moment précis, pourtant quelque chose lui soufflait d’attendre, et de voir la suite des évènements. Un instant il détourna le regard pour remercier le serveur qui venait de déposer les boissons sur ce qui servait de bar, pendant que Ford continuait à débiter des paroles aussi déplacé qu’impoli. Et dire qu’il était censé connaitre les bonnes manières. Il qualifia Edward de Dandy mal rasé, ce à quoi le principal intéressé ne pu que lui répondre par un large sourire, un brin énervant pour celui qui le recevait. Incapable de montrer la moindre vexation, qu’il ne ressentait même pas. Le tout pour finir sur le fait que Ford n’avait rien contre le fait de retirer ses vêtements en privé, afin que la jeune femme puisse faire son choix. Était-il possible de manqué de goût à ce point là, dans ses paroles ? Edward ne répondit toujours rien, il avait cette sale manie de ne pas intervenir quand cela semblait être le bon moment, estimant qu’il y avait toujours un autre meilleur moment.

    « Monsieur Ford soyez gentil, évitez moi pour un fois le supplice de vos paroles vide, vous ne voyez pas...»
    «Je ne vois pas... je ne vois pas!...»

    Et, en plus, il faisait preuve d’un humour tout à fait douteux, se mettant à mimer un aveugle. C’était d’un pathétique sans nom. Il arriva même à prendre la décision de bousculer quelque peu Edward et, il va de soit, que cela restait totalement volontaire. William, ami proche d’Edward regardait la scène d’un peu plus long, ayant compris depuis longtemps que rien ne servait de rejoindre son compagnon étant donné la personne qui l’accompagnant. Mais face à cette scène, toujours largement en retrait, il ne pu s’empêcher de secouer légèrement la tête de manière négative. Une demande muette à son ami de ne rien répondre, qui pourrait apporter un tas d’ennui. C’est qu’il connaissait parfaitement Edward et que ce genre de comportement avait tendance à apporter une réaction assez vive de la part de son compagnon. Face à cette demande muette qu’il était probablement le seul à avoir capter, Edward leva que très légèrement une main, comme pour dire qu’il ne ferait rien. Même pas il ne répondrait à l’homme. Une absence de réaction qui rassura William, qui alla vaquer à ses occupation tout en gardant un œil sur son ami. Une véritable mère poule ce William, il faut croire qu’Edward en avait franchement besoin dans certaine réaction.

    « Elle ne sont pas vide, comprenez une bonne fois pour tout l’intensité du sentiment que j’ai à votre égard…Si c’est votre handicape qui vous empêche de succomber n’ayez crainte je me ferais un plaisir d’éteindre les lumières pour me mettre d’égal à égal…»

    Oui pas à dire, il était vraiment pitoyable et manquait cruellement de tact. Le seul avantage qu’on pouvait y voir, c’était l’allusion au côté aveugle de la jeune femme. Ca répondait à pas mal d’interrogation, mais cela en apportait d’autre. Cependant le problème n’était pas là pour le moment. L’homme tituba et marcha sur le chien, qui ne fit qu’emmètre un couinement. Bien élever la bestiole, à sa place, Edward aurait profiter du moment pour le mordre une bonne fois pour toute. Cela dit, Ford commençait sérieusement à lui taper sur le système et il convenait de réagir à un moment ou à un autre. D’un regard, il aperçu William discutant avec un autre médecin. Bon, et bien voila c’était le bon moment.

    « Même dans ce cas de figure, j’ai encore du mal à comprendre comment vous pouvez imaginer vous élever à une quelconque égalité avec Mademoiselle. »

    La phrase avait été dit avec un flegme à toute épreuve, comme si tout cela n’était qu’un questionnement parmi d’autre, adresser à lui-même. Mais le fait de prendre la parole amena Ford à se tourner vers lui. Ce n’est qu’une fois qu’il fut face à l’homme qu’Edward entreprit un pas en avant, sa canne s’écrasant fortement sur le pied du jeune homme, faignant de ne pas l’avoir fait exprès. Ford, sous ce coup, se plia que très légèrement en avant, en laissant échapper une brève exclamation. Le coup ne faisait pas si mal, et puis c’était surtout pour venger le chien qui avait subi la même chose. Bien que cette action avait pour but d’en amener une autre, tout étant toujours très réfléchie chez Livingston. Une fois Ford légèrement pencher en avant, Edward afficha un air complètement désolé, et sans soit disant panique, il releva sa canne en hâte. Le pommeau arrivant directement dans le nez de Ford en émettant un craquement sinistre. Ou comment casser le nez d’une personne en moins de 30 secondes, tout en ayant l’air de ne pas l’avoir fait exprès… Tout un art. Bien sur, il fallait faire bonne figure pour ne pas alerté les personnes autour.

    « Oh, je suis désolé. Vraiment. C’est… Tenez prenez ce siège. »

    Les mains sur les épaules de Ford, Edward le fit s’asseoir, mais l’homme se dégagea bien assez vite de cette entreprise, les mains portées à son nez qui se mettait à saigner. Ah, en fait, Edward y avait peut être été un peu fort. Ce qui n’était absolument pas fait pour le déranger. Cela dit personne ne semblait réellement se soucier de l’incident étant donné qu’Edward avait fait comme si c’était un accident des plus regrettable. Cela dit, ça avait eu le don d’alerté William, qui ne prit pas longtemps à arriver. Et en passant devant Edward, il lui servit des yeux ronds de reproches, ce à quoi Edward ne tarda pas à répondre.

    « J’ai pas fait exprès, un accident. »

    William, lui lança un regard qui voulait dire « Mais bien sur », comme si il était capable de croire une chose pareille. Cela dit il s’abstient de tous mots prononcés à voix haute et se pencha vers Ford, en professionnel aguerri.

    « Bonjour Monsieur, je suis médecin, est ce que vous voulez bien que je jette un œil afin de juger des dégâts de ce regrettable accident ? »

    Pendant ce temps, Edward s’était décaler légèrement pour s’approcher de la jeune demoiselle. Au passage il porta une main sur la tête du chien, comme pour lui dire, qu’au moins, il avait été venger du fait qu’on lui avait marché dessus. Puis relevant le visage vers la jeune femme, il prit un air faussement désolé, avant de hausser légèrement les épaules.

    « Navré pour ce spectacle, je savais bien que je n’aurait pas du m’encombrer de ce genre d’accessoire, juste pour le plaisir de me donner un genre. Qui aurait pu penser qu’une simple canne pouvait être aussi dangereuse entre mes mains. »

    La courtoisie lui demandait de s’excuser, mais il suffisait de bien entendre le son de sa voix pour voir qu’il n’était pas vraiment désolé. Et puis, il doutait qu’elle pense qu’il ne savait se servir de sa canne, vu la manière dont elle l’avait regarder s’en servir pour venir jusqu’au bar. C’était d’ailleurs là, une source de mystère. Comment une aveugle pouvait se concentrer sur un détail et se mouvoir aussi facilement alors que son chien n’était pas tenu d’un harnais spécifique à ce genre d’handicape. Vraiment intrigante.
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Ksenia Heng

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MessageSujet: Re: Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI   Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI EmptyDim 22 Aoû - 5:02

Cet fois Rony était tombé sur un os et il convenait de dire qu’il était de taille ce qui était loin de déplaire à la jeune femme dont l'avertissement c’était vu subtil puis de plus en plus clair vis-à-vis de ce Mr. Ford. Il fallait croire que depuis les années rien de ses paroles n’avait été suffisamment blessantes ou directes pour lui faire comprendre qu’il ne l’intéressait pas. Aujourd’hui pourtant tout semblant limpide, il lui avait fallu se mesurer à la paroles des hommes. Ksenia une fois son mystérieux compagnon entrée en jeu n’avait pas eu le courage de s’immissé pour épargné à Ford un retour à la réalité quelques peu douloureuse.

« 平静 Jack » avait-elle a peine soufflé à l’intention de l’animal. Le chien resta très passible alla même comme le faible geste de la main de sa maitresse le lui indiquait vint se placer entre elle et le mur sous le bar. Les festivités s’annonçaient bien divertissante cette années, elle ne manqua pas un instant des mouvements du gentlemen anglais. Le pas précédent l’écrasement avec la canne du pied de Mr.Ford lui tira un faible sourire. Elle trouvait très osé de la part de cet homme d’user de tel méthode aussi bien déguisé soit-elle. Elle se garda bien de montré son contentement au virement de la situation même si le bruit du cartilage se brisant lui avait tiré un léger sursautement.

Elle était satisfaite que ses observations ne l’ai pas trompé sur la soit-disant canne accessoire. Elle ne pouvait que lever son chapeau à un maniement si subtil qu’efficace, et ce, même s’il cela avait amené la fracture du nez de ce pauvre Rony. Tout où tard c’était prévu dans ses gènes il avait à se faire corrigé, le moment était donc venu d’un coup de canne. Le ton qui à son oreille entrainée sonnait trop exagérément désolé ne pouvait que l’amusé d’avantage. Des pas vinrent vers eux, le jeune femme jeta un coup d’œil où elle évaluait l’entrée de la silhouette dans son champ de perception. Le rythme qui semblait pressé sans toutefois être précipité donnait l'impression d'un habituer à ce genre de circonstance. La silhouette qu’elle vit apparaitre fut reconnue immédiatement, elle se souvenait très bien avoir aperçu ses ondes la veille en même temps exactement que celle de son gentlemen. Deux hommes en pleines discussions si elle avait bonne mémoire. Gardant un visage totalement impassible son regard lui par contre trahissait facilement son amusement de la situation.

Un détail accrocha la jeune femme a propose de cette troisième personne, aussi bref fut ce mouvement il c’était retourné vers son cavalier, l’expression général de sa posture et de sa gestuelle avait quelques choses de maternelle quoi que cela pouvait s’expliquer clairement par le fait qu’il était médecin. Ajouter a cela que de la réponse subitement lancé pour sa défense par son compagnon alors qu’aucun mot n’avait été prononcé par celui qui s’avéra être un médecin. Elle trouva curieux qu’il clame ainsi son innoncence… ce qui l’amena a pensé que ce n’était pas la première fois que les deux hommes se rencontrait, voir même qu’il se connaissait et qui sait le gentleman anglais avait peut être pour habitude se genre de comportement un peu détourné pour main-forte à des individus bien choisis.

Ksenia retourna son attention sur celui qui l’intriguait le plus et qui pour le moment l’amusait par ce qu’il était et ce qu’il ne lui disait pas. Elle prenait pour un jeu un peu la manière dont ils avaient d’interragir l’un et l’autre. Elle comptait jusqu’à présent garder son identité secrète, ce qui avait passé à deux doigt de ne plus pouvoir être possible lorsque Rony Ford était apparu grossièrement comme il en avait l’habitude. Elle le regarda se déplacer un peu plus vers elle, son compagnon tacheté pour sa part féru de caresse n’allait pas rechigner à la brève attention qu’on venait de lui porter. Et un point bonus pour l’anglais! Son regard le suivit alors qu’il se redressait pour finalement la regarder, ses prunelles bleu-gris ne manquèrent pas de connecter avec les siennes.

« Navré pour ce spectacle, je savais bien que je n’aurait pas du m’encombrer de ce genre d’accessoire, juste pour le plaisir de me donner un genre. Qui aurait pu pensé qu’une simple canne pouvait être aussi dangereuse entre mes mains. »

« Vous êtes tout pardonnez, après tout ce n’était qu’un accident. » Elle avait embarqué sans hésitation dans cette petite comédie, après tout il me méritait bien. Pour la peine, elle lui décrocha un beau sourire compatissant alors que ses yeux pétillaient d’une lueur malicieuse.

« Un accident! Il l’a fait exprès oui » s’exclama le pauvre bougre d’une voix brisé par l’état de son nez, tout en se laissa examiné par le médecin qui était venu à son secours. Celui-ci l’avait à peine effleuré que le riche pleurnichard couinait et pestait contre celui qui ne voulait qu’être prévenant à son égard. Ksenia lui répliqua avec toute la politesse dont elle pouvait faire preuve vu la circonstance.

« Si vous n’avez pas autant abusez de spiritueux, vous n’en seriez pas là. Vous ne pouvez vous en prendre qu’à vous-même, vous étiez tellement occupé à me faire de la lèche ajouter à cela quelques verres de votre Whisky favoris, il est indéniable que vous ne pouviez pas éviter le mouvement de mon ami. »

Elle fixait le visage de Rony, celui-ci était semblable à un explosion d’artifices le sang avait ce drôle d’aspect a ses yeux. Elle voyait bien que malgré que son nez saigna il allait probablement s’en remettre plus vite que pour son égo froissé. Le blessé émit un grongnement sourd de frustration, il balaya de la main pour repousser le médecin manquant de peu de le frapper du revert de la main et s’en alla couvrant toujours d’une main son nez ensanglanté. A combien il en était rendu depuis son arrivée? Trois prise? Jamais deux sans trois disait le proverbe et espéront qu’il s’en tiennes à ça pour le restant de son séjour. Ami, était probablement un mot trop plein de sous-entendu pour ce pauvre R.Ford qui ne pouvait tout simplement pas accepter l’idée qu’elle ne lui soit pas totalement dévouée. Pour sa part c’était plus une marque de politesse que de dire, étranger, inconnue… ne sachant pas non plus quel nom portait cet homme. Une fois qu’il fut parti hors de la salle probablement pour rentré à sa chambre d’hotel, Ksenia demanda gentilment un nouveau vers d’eau le premier lui ayant servit pour refroidir les ardeurs de Ford.

On lui apporta un seconde verre d’eau citronné, elle remercia de la même manière le serveur. Elle jouait distraitement du bout de sa paille avec la rondelle de citron qui flottait. Elle gardait une oreille attentive à ce qui se disait autour et gardait à l’œil les deux silhouettes familières. Elle se demandait si le médecin allait retourné vers le groupe avec qui il devait discuter où bien venir se joindre à son ami. Elle n’en démordait pas, même si elle se basait sur des impressiones et particulièrement sur ce que lui soufflait son petit doigt, aincique sur de maigres observations. Elle pensait qu’ils étaient plus de que simple voisin de chambre. Elle observa celui qu’elle avait surnommé le gentlemen anglais, comme elle avait commencé à le lui dire elle le trouvait particulier. Pour un donateur il détonait de tout les autres et juste par la démonstration dont il avait faire preuve sous son nez il était hors de questions de lui faire l’insulte de la trouver ordinaire. Après un instant elle mit la paille de côté et bu, pensant toujours ô combien mystérieux était le gentlemen. Il avait cet manière de l’observer qui était dépourvu d’intention quelconques, c’était selon elle juste de la curiosité et diable qu’elle prenait plaisir à entretenir se mystère quand il lui était possible de le faire.
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Edward Livingston

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MessageSujet: Re: Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI   Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI EmptyMer 25 Aoû - 12:41

    Les gestes qu’Edward avait pu avoir envers ce monsieur Ford étaient à double tranchant. Il se pouvait que la jeune musicienne s’en offusque car, après tout, même après les mots qu’elle avait pu lui dire, elle pouvait parfaitement dotée d’une morale qui lui faisait ne pas concevoir ce genre d’attitude. A contrario, cela pouvait également très bien passé. Il opta même pour cette deuxième solution étant donné que le visage de son interlocutrice ne se montrait pas horrifié. Elle conservait sa prestance, mais difficile pour un homme comme Edward, de ne pas voir un certain amusement sur son visage. Toute fois, après l’arrivée de William, il lui était pas impossible de ne pas s’excuser. Cela faisait partit du jeu, de continuer à nier qu’il n’avait pas fait exprès. Même si il était difficile de le concevoir, ses mouvements étant arrivés au bon moment, cela aurait été une coïncidence impressionnante. Et l’homme qu’il était ne pouvait concevoir ce genre de chose. Un fait qui semblait être partagé par la musicienne, qui ne semblait pas croire une seconde à l’accident, à en juger par le visage qu’elle avait.

    « Vous êtes tout pardonnez, après tout ce n’était qu’un accident. »

    Qu’elle sache qu’il n’était pas des plus sérieux quand il disait ne pas l’avoir fait exprès, n’empêchait pas la jeune femme d’entrer dans le jeu sans la moindre hésitation. Une attitude qui tira un léger sourire sur le visage d’Edward avant qu’il ne reprenne complètement possession de ce faciès. De l’extérieur tout le monde pouvait donc croire à un simple accident, ce qui ne fut pas le cas de ce cher Monsieur Ford qui ne pu s’empêcher de vouloir crier à l’injustice.

    « Un accident! Il l’a fait exprès oui »
    « Pourriez vous arrêter de gesticuler dans tous les sens, Monsieur. »

    Mais William aurait pu parler dans le vide que cela n’aurait pas fait de différence. Il se garda tout de même de lancer un profond soupir face à cet homme qui ne cessait de se plaindre par de petites exclamations, alors qu’il l’avait à peine touché. Heureusement qu’il était passer maître dans la patience sans mesure, avec Edward, sinon il n’aurait pu cacher une exaspération. Ce qui pouvait, pourtant, être aisément fait avec ses années d’expérience en présence de Livingston. Bref il cherchait à clamer haut et fort que rien de tout cela n’était un accident, ce qui était, apparemment, une évidence pour la musicienne, Edward et William, sans pour autant que l’un deux aille dans le sens de Ford. Bien au contraire, la jeune femme se décida même à rectifier certains points.

    « Si vous n’avez pas autant abusez de spiritueux, vous n’en seriez pas là. Vous ne pouvez vous en prendre qu’à vous-même, vous étiez tellement occupé à me faire de la lèche ajouter à cela quelques verres de votre Whisky favoris, il est indéniable que vous ne pouviez pas éviter le mouvement de mon ami. »

    Non seulement elle mettait le doigts sur des choses qui n’allait pas mais, en plus, elle qualifiait Edward d’ami, alors que lui ne pouvait accéder à ce statut. A croire que ce fut beaucoup trop de lui. D’un revers de main, il congédia William qui ne se fit pas prier, et il s’en alla dans une frustration qui était beaucoup trop palpable. La jeune femme alla directement commander un nouveau verre, pendant que William observait Edward semblait dire muette que ce type était complètement dingue. Un léger reproche dans le regard du médecin qui trouvait que son ami avait le don particulier de se mettre dans des situations impossibles. Soyons honnête, Ford semblait être un homme riche, son égo en avait prit plus qu’un coup, et il serait étonnant que tout cela en reste à ce point. Mais ce reproche muet, n’était pas une véritable critique. Il était juste hallucinant de voir qu’Edward avait toujours besoin de quelqu’un soit derrière lui, sinon il était capable de se mettre dans des situations incroyables.

    « Il va s’en remettre ? »
    « Evidemment, mais si il tient à être présentable demain, cela va sûrement lui coûter une petite fortune. Vous ne l’avez pas raté sur un plan esthétique ! »
    « Faut voir le bon côté des choses, il aura peut être un peu moins à mettre dans les enchères de ce soir et, avec un peu de chance, il n’imposera pas sa présence à une personne qui ne le désire pas. »

    Avec beaucoup de chance, même. Il n’empêche qu’Edward avait prononcé ses mots en lançant un regard à la jeune femme qui sirotait son verre d’eau citronné. Il était évident qu’il parlait d’elle, étant donné l’importance que semblait vouloir lui donner ce fameux Ford. De son côté, William ne voyait guère de raison pour rester entre les deux personnes. Si bien qu’il s’inclina légèrement vers la jeune femme, pour la saluer, et se tourna à nouveau vers Edward.

    « A l’avenir, tentez d’éviter les maladresse avec votre canne. Cela n’en serait que plus appréciable, surtout dans ce genre d’endroit. »
    « Le propre de la maladresse est de, justement ne pouvoir le contrôler. »
    « Bien évidemment. »

    Le tout avait été dit avec une point d’ironie, montrant parfaitement que William ne croyait pas en cette maladresse. Mais, il n’insista pas et se retira pour aller rejoindre un autre médecin afin de discuter techniquement et nouvelles avancées dans leur domaine respectif. Edward se retrouvant, donc, à nouveau seul avec la jeune artiste. Edward alla récupérer le thé qu’il avait commander, et la tasse dans un main, il reporta son attention sur la jeune femme.

    « En essayant de faire abstraction de ce qu’il s’est passé. Si on tentait de reprendre ? Vous étiez en train de dire que vous ne vouliez pas paraître grossière et … ? »

    Il n’était pas dans sa nature de revenir sur l’événement qu’il venait de se passer. Pas envie de compatir avec la lourdeur dont Ford pouvait faire preuve envers la jeune femme. Pas envie de se vanter d’une manœuvre, soit disant, accidentelle qu’il venait de commettre. Bref, la meilleure chose à faire selon lui, était donc de revenir au point de départ.
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Ksenia Heng

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MessageSujet: Re: Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI   Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI EmptyJeu 26 Aoû - 22:39


    En écoutant l’échange bref entre les deux hommes elle en conclus que Ford était assez amoché, quoi qu’après tout un nez cassé lui donnerait peut être un peu plus de caractère au niveau de ses traits à défaut d’avoir une certaine conduite. Elle portait doucement le verre d’eau à les lèvres souriant doucement en notant l’ironie dans leur propos par l’intonation de leur voix. Ils étaient tout les deux très amusants, profitant de ce moment pour mieux observer le médecin dans son ensemble avant que celui-ci ne s’incline avait de prendre congé et de retourner rejoindre un groupe de confrère. Il était tout aussi anglais dans ses manières que son interlocuteur.

    Ksenia suivit les mouvements d’Edward alors qu’il reprenait sa tasse de thé, elle le fixa de nouveau lui décrocha ce sourire énigmatique bien a elle. Cette simple phrase était plutôt révélatrice sur la nature de ce personnage, il était de plus en plus étonnant. Elle n’avait jamais ou très rarement rencontré un individu tel que lui ne discutant pas de sa personne, ne cherchant pas à la souler de ses nombreuses qualités ou encore de l’assommé par un monologue racontant sa supériorité face à ses homologues masculins. Particulier était un peu faible comme mot, le qualifié d’original pourrait peut être l’offenser quoi que… elle en doutais sérieusement. Elle n’arrivait pas très bien à trouver un adjectif suffisant pour bien collé à ce qu’elle pensait de lui jusqu’à présent. Comme le voulait l’homme elle reprit là où ils en étaient restés.

    « J’étais en train de dire que je vous trouvais particulier. Je ne voulait pas vous semblez déplacée ou irrespectueuse, je trouve que vous êtes un genre d’original parmi tout ses gens riches. Vous êtes loin de ressembler au donateur type qui se rassemblent à lors de pareilles festivités… Vous n’essayez pas de vous vanter, vous ne faites preuves d’aucun irrespect gratuit et surtout vous m’épargnez de tout commentaire qui pourrait se rapporter à Ford ou à votre propre fortune personnel. Vous êtes quelqu’un de très rafraichissant et je n’ai pas peur de le dire, vous m’amusez beaucoup. »

    Sa compagnie la changeait de celle des autres types qu’elle devait d’ordinaire côtoyer, son père mettait un point d’honneur à lui faire rencontrer ces individus. Cela l’aiderait à forger son caractère, il l’exaspérait car il faisait exprès de la confronter avec les plus détestables de ses connaissances. Elle soupçonnait parfois qu’il prenait un malin plaisir à la pousser afin de lui faire dépasser sespropres limites. Elle ne comprendrait probablement jamais les motivations de son père, elle lui devait au moins de faire bonne figure au nom de sa famille qu’elle représentait seule cette fois.

    Sans prévenir, elle frisonna alors qu’il faisait considérablement chaude dans la pièce remplie de monde bavardant et riant ici et là. Une élancement montant le long de son dos pour venir s’installer dans sa tête, son regard se brouilla durant quelques secondes, elle avait peut être sous-estimer son malaise. La jeune femme commença à douter de pouvoir rester sans prendre ses cachets jusqu’à l’heure du thé dans un peu plus de 2 ans. Jack fixait sa maitresse les oreilles tendu vers elle, attentif au moindre signe qu’elle pourrait lui donner. La douleur était supportable, mais pour combien de temps encore. Pour le moment son corps semblait lui préparer une migraine, tant qu’il en restait là elle pensait pouvoir tenir jusqu’au moment prévu avant de pouvoir s’éclipser jusqu’à sa chambre inconito. Elle se concentra un moment pour occulter la douleur et se concentra sur sa respiration, elle avait conscience qu’il devait probablement avoir remarquer son changement soudain d’attitude. Elle devait reprendre le contrôle… la douleur fascillait comme une flamme dans son corps allant et venant comme une vague léchant la plage. Elle recommença à se sentir un peu nauséeuse.

    « Vous voulez bien m’excusez un instant…j’ai besoin de remonter à ma chambre… » murmura-t-elle en tenta d’éviter de ne trop serrer les dents.

    Elle commençait à en avoir vraiment par-dessus la tête de ses malaises et surtout qu’ils tombaient au mauvais moment… quoi qu’il y aurait pire moment, comme à bord de l’avion par exemple.Elle s’inclina légèrement avant de se diriger essayant d’être le plus zen possible vers le hall où elle grimperait l’escalier pour se retrouver dans sa chambre le temps que ses cachets prennent effets, c’était minime comme soulagement, pourtant il serait le bienvenue. Elle retint un haut le cœur,portant sa main à ses lèvres d’un geste gracieux et délicat comme si ce n’était l’affaire de rien alors qu’elle goutait de nouveau le gout de son propre sang. Sa vision légèrement trouble elle avança plus consciencieusement à travers la foule évitent suivant la silhouette qui rasait le sol et se faufilait en éclaireur. Elle ne prit pas la peine de remarquer si l’inconnu la suivait du regard où tenta de la suivre.

    Une fois qu’elle fut sortir de la salle elle eut plus de facilité à avancer et accéléra le pas sentant que son malaise empirait. Un groupe de deux jeunes hommes l’interceptèrent tentant de la retenir gentilement pour bavarder avec elle. Elle tenta de s’en éloigné, mais du se résigner à être un peu moins diplomate. Il était tout les trois à proximité et c’était encore que des gamins un peu trop aventureux et qui avait mal choisit la personne sur qui faire leur dents et leur premier monologue de charmeur. Elle s’excusant ne leur laissant pas le temps d’entamer une seule phrase, mais lorsque le plus grand des deux lui saisit le bras elle agit par réflexe et le saisit à son tour lui immobilisant le bras dans le dos après de l’avant projecter grâce à un habile contrement poids sur un mur voisin. Elle ne lui faisait pas mal, il allait s’en dire qu’elle l’avait surpris et appeuré à la fois. Elle lui chuchota gentilment quoi que d’un ton qui ne laissait pas place à l’humour.

    « Ne faites pas comme vos aînées, lorsqu’on vous dit non… comprenez que c’est non et rien d’autres de déguisez. Suis-je claire? »

    L’autre jeune homme qui était figé sur place répondit à l’écho de son ami, un oui plutôt convaincant. Elle lâchant son emprise et reprit son chemin sans se retourné il allait sans dire que les deux jeunes hommes allaient garder en mémoire leur petit apparté tourna légèrement au vinaigre. Ksenia avait était tout de même assez gentilement et avait monter juste assez de fermeté pour les impressionnés juste ce dont il fallait s’évitant toute remontrance de jeunes trop impressionnables. Ses pas résonnaient à peine sur le plancher de marbre du hall, la main à peine posé sur la rampe elle se plia légèrement à une nouvelle sensation aigue de piqure qui lui coupa légèrement le souffle… elle ne se rendit pas compte mais quelques goutes de sang tombèrent sur les marches ainsi qu’autres choses. Elle se rendit sans croisé personne jusqu’à l’étage où était situé sa chambre. Comme le petit poussait elle avait laissé derrière elle un trace presque invisible… un œil expérimenté pouvait par contre observé des minuscules morceaux de verres difformes ici et là à intervalles régulier et plus l’on suivait ces petits morceaux plus il était altéré jusqu’à ne retrouvé que des petits picottements noircis sur la maquette tapissant les corridors.

    Une fois dans sa chambre la jeune femme se dirigea à la salle de bain là où était posé son contenant de médicaments… en réalité elle possédait une trousse presque complète de barbituriques et analgésiques à de fortes doses. Elle ne prenait que celle qui lui convenait selon ses malaises et se forçait souvent à endurer le mal sans ses pillules qui l’abrutissait plus qu’autres choses. Elle envala deux cachets à l’aide d’eau, s’humecta la nuque pour réduire cette sensation de chaleur qui l’étouffait et se laissa tomber en petite boule le temps que les médicaments agissent.

    Jack était allongé dans le milieu de la chambre la surveillant de loin, il ne restait pas prè d’elle dans ses occassions. Etant seule en compagnie de son animal, elle se permit de laisser tombé son masque qui lui demandait une dose considérable d’énergie. Elle serrait les dents, des larmes roulants sur ses joues de neiges alors qu’elle n’osait pas bouger du plancher là où elle était recroquevillée comme une enfant. Elle ignorait pour le moment, mais son pouvoir avait besoin de s’exprimer et il avait choisit de le faire à l’instant. Les lumières dans un rayon de deux mètre autour d’elle vascillaient doucement comme si la tension électrique était instable. Cela durant quelques minutes…

    Dans le corridor les minuscules picottements noires s’arrêtèrent en face d’une porte qui semblait être verrouilée, pourtant la jeune femme avait oublié d’enclancher le mécanisme de l’intérieur. Un bruit de verre brisé comme si l’on explosait un vase sur le mur détonna plusieurs fois… la chambre se retrouvant plonger dans la pénombre dû au rideau fermé. Seul était clairement visible la masse noir et blanche que formait le chien allongé tel un sphinx au beau milieu de la pièce.

    La tension dans son corps s’était soudainement dissipée, elle respirait mieux plus calmement en autre, même si ses voies respiratoires étaient un peu congestionnées. Elle était très bien sur le carrelage glacé de la salle de bain, se laissant reposer sur le flanc elle semblait à une sirène échoué sur une plage dont la queue rouge luisaient recouverte par un liquide quelconques. Ses cheveux s’était défait et s’étallait en une épaisse masse noire autour de son visable blême. Elle ressentait l’envi de se reposer un instant… juste un tout petit instant… lorsqu’elle entendit les charnières de la porte principale s’ouvrir dans un bruit discret elle entrouvit les yeux et regardait l’ouverture de la salle de bain. Elle n’y voyait rien, sa perception suite à des malaises relativements épuissants avait le don de disparaitre totalement la laissant plonger dans un vide totale. Elle savait néanmoins que Jack était là pour la surveillé et qu’il ne laisserait approché personne qu’il n’aurait pas préalablement renifler.

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Edward Livingston

Edward Livingston
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Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI Vide
MessageSujet: Re: Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI   Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI EmptyMer 1 Sep - 14:52

    « J’étais en train de dire que je vous trouvais particulier. Je ne voulait pas vous semblez déplacée ou irrespectueuse, je trouve que vous êtes un genre d’original parmi tout ses gens riches. Vous êtes loin de ressembler au donateur type qui se rassemblent à lors de pareilles festivités… Vous n’essayez pas de vous vanter, vous ne faites preuves d’aucun irrespect gratuit et surtout vous m’épargnez de tout commentaire qui pourrait se rapporter à Ford ou à votre propre fortune personnel. Vous êtes quelqu’un de très rafraichissant et je n’ai pas peur de le dire, vous m’amusez beaucoup. »

    Ah, mais pourquoi, Diable, William n’était pas là à ce moment bien précis ? Edward lui aurait décoché un de ses regard qui voulait dire « Vous voyez, tout le monde ne me trouve pas si désagréable que cela ? ». Cela serait une des rares fois ou il n’avait pas trouver le moyen de taper sur le système d’une personne à la première rencontre, alors bien évidement qu’il aurait aimer en jubiler devant son ami de longue date. Bien que William aurait trouver le moyen de lui cité tellement d’exemple, qu’une fois ne suffirait pas à racheter la manière dont il pouvait agir en temps normal. Pourquoi cela avait été différent avec elle ? Parce qu’il pouvait lui vanter les même qualité dont elle avait fait preuve à son égard. Rien dans l’attitude de cette jeune femme laissait présager une quelconque supériorité qu’elle aurait envie d’afficher devant tout le monde. Et puis, elle jouait bien. Rien que cela lui suffisait à se montrer un peu plus prévenant qu’avec les autres personnes.

    Cependant, il ne prit pas le parti de la contredire sur le fait qu’il ne faisait pas preuve d’irrespect gratuitement. C’était une seconde nature chez lui, du moins, il avait toujours une raison de le faire. Mais les raisons qu’il trouvait pouvaient être tellement insignifiante qu’on pouvait largement qualifier cela de « gratuit ». William ne serait le contredire sur ce point, pour avoir été témoin de trop nombreuses situations ou cela s’était produit. Mais pourquoi donc irait-il une chose de ce genre. Il serait mentir que de dire qu’il était désagréable de recevoir des compliments de la part de la jeune femme qui lui faisait face. Sans parler du fait qu’il était des plus ravi de ne pas entrer dans la même catégorie des personnes comme cet odieux Monsieur Ford.

    Avant qu’il ne pu répondre à quoique ce soit, la jeune femme semblait prise d’un frisson et, instinctivement, le regard d’Edward coula vers le chien. L’être qui devait la connaitre parfaitement était sûrement ce compagnon à quatre pates, sans parler de leur faculté à voir ce qui est invisible à l’œil humain. L’attitude du chien confirma que quelque chose n’allait pas, les oreilles tendues, le regard sur sa maitresse, attendant comme un signe pour savoir quoi faire. Attitude qui ne fit que confirmer ce qu’Edward pouvait voir de la jeune femme qui était concentrée, cherchant probablement à reprendre le contrôle d’elle-même. Elle semblait passer tellement d’énergie à cacher son malaise que Livingston trouvait bien impoli de lui demandait si elle allait bien. Après tout, il pouvait faire semblant de ne rien voir, vu l’énergie qu’elle déployait à garder son air.


    « Vous voulez bien m’excusez un instant…j’ai besoin de remonter à ma chambre… »

    La phrase ne fut qu’un moment, et dans un « Bien sur », Edward se décala en s’inclinant légèrement pour la saluer et la laisser faire ce que bon lui plaisait. Faire semblant de ne pas remarquer les choses, ou ne pas poser de question ne voulait pas dire que cela ne piquait pas sa curiosité. Bien au contraire. Chaque chose pouvant sortir de l’ordinaire, surtout quand elle tentait d’être cachée, ne pouvait que l’inciter un peu plus à vouloir des réponses. La laissant partir, sans rien demandé de plus, il porta la tasse de thé à ses lèvres en la regardant s’éloigner : la main qu’elle portait à sa bouche – un signe qui devait paraitre normal à n’importe qui tellement il était fait avec grâce et contrôle -, la façon dont elle passait entre les personnes, moins fluide –bien que parfait- que lorsqu’ils étaient venus chercher à boire.

    La jeune femme quitta la salle…

    Au moment même ou elle avait passé la porte, Edward déposa sa tasse sur le comptoir et s’approcha de William, en discussion avec un autre médecin. S’excusant de manière un peu brut, il ne lui fallu qu’un regard à son ami pour qu’il comprenne qu’il devait interrompre sa discussion. Sans même savoir de quoi il pouvait bien s’agir, William s’excusa et s’en alla suivre Edward qui prenait le chemin de la sortie, d’un pas particulièrement vif. C’est qu’une fois la porte passé que William commença à demandé ce qui se passait.


    « Je ne sais pas encore, simple vérification. »
    « Simple vérification ?! Edward j’étais en train de discuter de… »
    « Chut ! » D’un mouvement de bras, Edward avait fait stopper William. Ils étaient proches du grand hall, ou se tenait le jeune femme et un groupe de deux personnes.
    « Edward nous devrions y aller. »
    « Cela serait lui faire une offense pas permise, si vous voulez mon avis. »

    William ne comprenait pas, il était évident que le groupe d’homme n’avait rien de galant. De ce fait, il convenait d’intervenir, alors pourquoi Edward l’en empêchait avec ce sourire suspendu à ses lèvres. La réponse ne tarda pas à venir. Un des homme attrapa le bras de la jeune femme, celle-ci se servit de cet acte pour se débarrasser de l’homme en moins de temps qu’il ne fallait pour le dire. William avait la bouche légèrement entre-ouverte, étonné par cette vision. Edward, avait juste agrandi le sourire qu’il avait sur les lèvres.

    « Comment vous saviez qu’elle allait… »
    « J’en savais rien, je le supposait. Simplement. Allons y, elle repart. »

    William ne posa pas plus de question, bien au courant des méthodes et facultés de son ami. Et il savait, également, que si Edward ne donnait pas plus d’informations, même en posant des questions, il resterait sans réponses. Pourquoi s’amuser à perdre sa salive. Mine de rien, Edward avait toujours tendance à le trainer dans des histoires impossibles, alors même si il marquait son mécontentement pour la forme, la vérité était différente : elle aimait cette vie. Bien qu’il aurait bien voulu voir certains point du caractère d’Edward évoluer en bien.

    Les deux hommes qui avaient tenter de retenir la jeune femme avaient repris leur chemin. Edward et William avaient fait de même, restant tout de même assez éloigner pour ne pas laisser entendre leur chuchotement, ou même le bruits de leurs pas. C’est que l’endroit semblait tellement immense, qu’ils pouvaient avoir en vue la jeune femme, sans risquer de se faire prendre ou se faire entendre. Mais une nouvelle fois Edward fit arrêter William quand elle arriva en bas des marches pour se replier sur elle-même. Ne pouvant voir, à cette distance, les quelques gouttes de sang qu’elle pouvait laisser s’échapper de sa bouche. Ils attendirent qu’elle monte les marches pour s’arrêter à nouveau là ou elle avait marqué son premier arrêt. Edward s’était même accroupi, les yeux rivés sur la première marche.


    « Que cherchez-vous ? »
    « Ca ! » Edward désigna d’infime trace de sang sur le sol, et fut rejoint par William qui s’accroupi à ses côtés.
    « Elle est blessée ? »
    « Non, ce n’est pas une blessure. Tout à l’heure, elle a bu dans une bouteille d’eau et à recracher un peu de sang, aussi. »
    « Malade, donc ? »
    « C’est vous le médecin ! »

    C’est en regardant de plus prêt les quelques gouttes de sans que, tous les deux, se mirent à froncer légèrement les sourcils. Aucun ne dire pourquoi ils agissaient de cette manière, parce qu’ils savaient parfaitement qu’ils avaient remarqué la même chose. Les taches de sang comportaient une particularité qu’on ne trouvait pas en temps normal. A quoi leur servait-il d’exposer cette observation à voix haute, alors qu’aucun d’eux n’avait une explication à donner pour le moment. Se redressant ils reprirent leur chemin. Ils avaient perdus la jeune femme de vu, mais elle était retrouvable aux diverses petites traces sur le sol – quand on se donnait la peine de les chercher -, et même sans cela, Edward savait qu’elle retournait à sa chambre. Tous les deux savait ou elle logeait, pour l’avoir croisé dans les couloirs l’autre soir. A croire qu’ils jouaient au petit poucet, sauf qu’au lieu de suivre des cailloux, ils suivaient des traces de sang. Pour finalement se retrouver devant la porte close de la chambre qu’occupait la jeune femme. C’est dans le plus infime des chuchotements que William repris en se tournant vers Edward.

    « Et maintenant ? Vous nous faites le coup de « j’ouvre la porte grâce à ce que je garde dans les poches » ? » Le ton avait presque quelque chose d’amusé, repensant que la dernières fois qu’Edward s’était adonné à ce genre d’activité, William avait fini par ouvrir dans un coup de pied, tellement ça prenait de temps.
    « Et devoir repayer une porte à l’hôtel parce que vous êtes incapable de patience, dans ce genre de moment ? Non merci, je m’en passerait bien. »

    Ah, mais c’est lui qui l’avait chercher aussi, en faisant référence aux capacités d’Edward pour ouvrir une porte. Et, pour sa défense, le système d’ouverture de la porte en question était des plus complexe, ce qui nécessitait plus de temps que d’habitude. Sinon, il pouvait être rapide. C’est un peu près à ce moment là que des bruits de verre, se cassant, se fit entendre. Edward se tourna donc vers William, avec un regard des plus impatient.

    « Qu’est ce que vous attendez pour enfoncer la porte ? »
    « Je m’en voudrais que vous ayez une porte à repayer. » Lança William sur le ton le plus léger qu’il avait en stock.
    « William, je vous maudit sur les 7 prochaines générations. »
    « Voilà des paroles que notre petite dernière, apprécierait que moyennement. »
    « Bastet n’est pas là, alors laissez moi maudire comme bon me semble » Par acquis de conscience, il baissa la poignée de la porte qui s’ouvrit sans résister. Ce n’était même pas fermer. « Je maintiens, quand même, la malédiction »

    Il entrèrent tous les deux dans la chambre qui était plongé dans le noir. Seul le chien demeurait allongé, semblant surveillé tout nouvel arrivant. Edward se dirigea vers celui-ci pour lui caresser le haut de la tête, pendant qu’il faisait signe à William d’aller dans la salle de bain. C’était le premier lieu ou les gens se rendait quand ils n’allaient pas bien, alors il y avait de grande chance qu’elle y soit. Et vu l’exclamation que fit William, il savait qu’il avait vu juste. Laissant le chien, Edward alla se dirigea vers le lit.

    De son côté William venait de pénétrer dans la salle de bain, ou la jeune femme était étendue sur le sol, livide comme pas permit. Déjà qu’il l’avait trouvé bien pâle au premier abords, mais alors là. Sans attendre plus longtemps il se mit accroupi non loin d’elle, portant son regard sur les médicaments qu’elle avait pu prendre en cherchant à comprendre ce qu’elle pouvait avoir. Et, dans le même temps, il entreprit de parler pour expliquer sa présence. Le but n’étant pas de lui faire peur, de manière injustifiée.


    « Je suis le docteur William Brown, on s’est croisé un bas. Navré de cette intrusion, mais on a entendu du bruit et, la porte était ouverte, alors… » Relevant la tête pour s’adresser à Edward qui était rester dans l’autre pièce. « J’ai besoin d’un… »
    « D’un oreiller ? Le voilà »

    Edward était arrivé au même moment, après avoir prit un oreiller sur le lit de la jeune femme. Objet qu’il tendait à son ami avant de s’accroupir à son tour au côté de William. Edward souleva légèrement la tête de la jeune femme, pendant que William passait l’oreiller sous sa tête. Une question de confort, pour le moment. C’est William qui reprit à l’attention de la jeune femme.

    « Qu’est ce qui vous est arrivé ? Je vais vous demandé de suivre mon doigt » Il avait déjà lever un doigt expert devant ses yeux, mais Edward avait vite réagit.
    « Elle est aveugle. »
    « Vous rigolez, vous l’avez vu comme moi se déplacer ! »
    « J’ai pas dit que j’avait toute les réponses. » Puis il s’adressa à le jeune femme. « Étant donné que ce n’est pas la première fois que cela vous arrive, peut être savez vous ce que l’on peut faire pour vous aidez ? »
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Ksenia Heng

Ksenia Heng
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Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI Vide
MessageSujet: Re: Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI   Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI EmptyDim 5 Sep - 1:24

Le bruit des pas dans sa chambre l’informa qu’il s’y trouvait deux individus, n’entendant pas Jack réagir il devait donc s’agir fort probablement de quelqu’un qu’elle connaissait. Totalement aveugle suite a son malaise, elle resta allongée sur le carrelage froid de la salle de bain après avoir prit ses cachets pour l’aider à tolérer la douleur, la fraicheur l’aidait à récupérer plus vite. Une personne la trouva assez rapidement elle ne bougeait pas un peu confuse et amortie. Quoi que cela ne l’empêcha pas de reconnaitre la voix son ouïe étant son seul sens ne lui jouant pas de tour à cet instant. C’était celle du médecin qui était venu en aide à Ford. Elle sourit faiblement lorsqu’elle sentit sa présence tout près d’elle, comme l’autre homme il était anglais il n’y avait pas de doute il parlait aussi avec cet particularité toute à fait anglaise.

« Je suis le docteur William Brown on s’est croisé en bas. Navré de cette intrusion, mais on a entendu du bruit et, la porte était ouverte, alors… »

Ksenia aurait bien voulu lui dire que leur intrusion n’avait rien pour la gêner jusqu’à présent, sauf que l’arrivée de son mystérieux inconnu fit débouler les actions. Les deux hommes même si elle ne pouvait pas les observer elle percevait tout de même l’étrange lien qui les liait. L’un terminait la phrase de l’autre, les deux était en quelques sortes complémentaire. Malgré toutes les précausions prises pour lui soulever doucement la tête, elle ne masqua pas cette fois la grimace causé par la douleur conséquente à ce faible déplacement. Très souvent après une crise cela prenait quelques minutes avant qu’on puisse la déplacer où qu’elle puisse bouger d’elle-même sans ressentir l’écho poignante de la douleur qui s’effaçait se raviver. Mr. Brown continua de parler lui demandant de suivre son doigt ce qu'elle aurait bien aimé faire... mais impossible pour elle dans l'instant.Le second homme qu'elle reconnu comme étant la mélomane qu'elle avait rencontré en bas, l’informa de sa cécité. Ce qui étrangement ne l’étonna pas vu qu’elle avait ressenti depuis un moment déjà son étrange manière de l’observer et même si elle ne pouvait pas le prouver il lui semblait qu’il était cette même personne l’ayant fixé la veille au bar de l’hotel.

« Pourquoi ne suis-je pas étonnée… » lui répondit-elle amusée malgré son état présent.
Décidément il avait de quoi la surprendre et son étrange Gentlemen avait tout pour ne pas décevoir ses attentes, elle se demandait jusqu’où cela irait au final. Doucement sa perception revenait maintenant un peu à la manière d’un poste de télévision dont le signal était dérangé quoi que malgré cela son pouvoir lui permettait de voir la position des deux silhouettes près d’elle. Ses iris par réflexe s’étaient contractées faisant disparaitre sa pupille l’espace d’une seconde pour retrouver une dilatation normal une fois sa vue stabilisé quoi qu’encore très flou. Ksenia plongea son regard dans celui de William sans difficulté à trouver ses prunelles pourtant invisible avant de posé son regard sur son inconnu.

Elle laissa échappé un faible soupir, songeuse… qu’est-ce qu’il pouvait bien faire pour l’aidez… il y avait tellement longtemps qu’elle souffrait de ces malaises qu’ils étaient rendu partie intégrante de son quotidien.

« Rien… quoi que… évitez de me déplacer s’il-vous-plait pour quelques minutes car cela ravive la douleur alors qu’elle se dissipe. »

Elle porta sa main a sa bouche pour essuyer un mince filet aux commissures de ses lèvres. Elle reconnu le sang en observant un moment la tache ondulatoire sur la silhouette de ses doigts, ce liquide si on pouvait l’appeler ainsi avait une expression très particulière et facilement reconnaissable sur des ondes organiques et non organiques quoi que dépendament de la densité des ondes elle pouvait plus ou moins le remarqué. Là présentement sur sa main c’était l’onde du sang qui masquait celle de sa chair. Si seulement elle pouvait s’en tenir à des migraines! Pour le moment malgré tout les médicaments, on ne trouvait pas ce qui lui causait cela. Sa fatigue ne s’amplifia pas pour le moment lui laissant juste l’impression d’être dans un tas de coton, entre temps subtilement sa robe d’un rouge écarlate c’était foncit légèrement dû au fait que les petites perles de verres cousus à même le vêtements c’était par endroit liquifié où disparaissait dans de petits points scintillants très bref pour recouvrir le vêtements lui donnant un aspect luisant. L’étrange substance luisante créer s’estompa au fur que le malaise disparaissait et il ne laissa pas la moindre trace en disparaissant. Dans la pénombre de la salle de bain, le très faible crépitement semblable à ce que produisait un circuit électrique mal connecté disparu graduellement lui aussi. Les lampes murales on n’en parlait même pas leurs globes par endroit étaient parcouru de minuscules fissures et les ampoules totalements absentes, de minces éclats de verre s’étaient retrouvé dans le lévier, le bain et un peu sur le sol quoi que la quantité ne représentait à peine une ampoule.

Ksenia commençait à ressentir l’effet du barbiturique qui l’assommait légèrement tout en la soulageant, malgré cela elle avait l’impression que sa robe la serrait plus que normalement. Elle bougea légèrement pour se replacer afin de trouver une position moins contraingnante, sous l’effet de ses cachets elle ne se rendit pas compte que le tissus de sa robe était un peu plus raide et cripitaient presque imperceptiblement à chacun de ses mouvements qui ne dura pas, car le vêtement retrouva alors que le malaises se dissipait sa souplesse gardant néanmoins cette teinte un peu plus sombre quoi qu’à peine notable. La peau de Ksenia reprit un doux éclat surtout au niveau des pommettes comme un enfant ayant une fièvre, ce qui était probablement aussi son cas son organisme réagissant de la même manière que pour ce débarrasser d’un microbe.

« Je suis vraiment désolé que vous m’ayez trouvé dans un tel état… il m’arrive parfois d’avoir ces petites faiblesses… »

C’était qu’un doux euphémisme de dire de sa faiblesse était petite et qu’elle n’avait rien d’alarmant du moins un individu normalement constitué ne résisterait probablement pas comme elle à la douleur que tout cela pouvait lui causer. Il fallait avouer qu’à un moment un apprend à vivre avec la douleur, c’est un long processus d’adaptation. Depuis son jeune âge, elle avait combattu ce mal du mieux qu’elle pouvait pour ne pas inquiété personne… et d’ordinaire elle ne laissait pas transparaitre son mal à moins d’une fatigue extrême ou d’une douleur trop intense perçu trop longtemps pour qu’elle puisse l’occulter de manière satisfaisante. Dans le cas présent, elle se sentait un peu ridicule d’être ainsi découverte. Elle qui tentait de toutes ses forces d’éviter de ce montrer dans un tel était de faiblesse, mais bon elle ne pouvait pas non plus restait enfermée.

« C’est très gentil malgré tout d’être entrée pour vérifier si tout allait bien… j’ai surement dû faire du bruit en m’effondrant sur le sol… »

L’impression de nausée et d’opression qu’elle ressentait s’était dissipée de manière suffisante pour qu’elle se sent capable de se redresser un peu. Jack qui jusqu’à présent était resté sagement hors de la pièce s’était approché un peu reniflant pas un moment l’air en direction de la salle de bain. Il observa les deux hommes qui étaient près du corps de sa maitresse toujours à demi-allongée au sol. Il s’assit nochalemment et se contorsionna pour aller se gratter à l’aide de sa patte arrière une section près de son collier, puis fini par se rallonger un peu plus loin semblant satisfait de ses constatations l’animal se détendit. Il garda une oreille attentive sur la salle de bain.

Les festivités avaient repris en bas quoi qu’un ne sembla pas trop remarqué l’absence de la jeune femme ainsi que des deux hommes, ses riches trop aveuglés par leur richesse ils étaient peu à véritablement apprécier les causes pour lesquelles ils se rassemblaient. Ils restait encore suffisamment de temps pour la jeune de récupérer convenablement afin de pouvoir se présenter avec une tête convenable tout en croisant les doigts qu’elle ne serait pas victime d’une faiblesse de nouveau. Pour le moment elle n’avait guère à faire de la bienséance et du protocole sticte de bonnes manières que sa famille avait tenu à lui inculquer, sa santé valait bien le peu d’égoïsme ressenti à cet instant de sa part. Elle continua de détaillé les deux silhouettes les comparant l’une à l’autres… si différent et si parfaitement compatible relativement parlant quand ils devaient bien y avoir de grosse différence entre ses deux hommes. Cela dit, elle trouvait qu’il était arrivée un peu trop un bon moment pour feindre la coincidence… l’avait-il suivit elle? Et si oui, pourquoi? Curieux… très curieux, elle ne savait pas pourquoi mais un instant lui avait suffit pour le trouver très intriguant. Une lueur anima davantage son regard qui ce fit légèrement perçant alors que son trouble de vision s’atténuait considérablement.

« Puis-je me permettre de savoir pourquoi vous m’avez suivit vous et votre ami Mr. Brown? Quo que je ne regrette pas d’être un si agréable compagnie que la votre, mais vous je pourrais ajouter à la liste vous qualifiant… intriguant. Est-je raison de croire que ce n’est pas une coincidence? Vous m’avez suivit suffisament de loin pour que je ne sens point votre présence où ne vous entendent… d’ailleurs pourquoi l’auriez vous risquez de vous dévoilez alors que vous saviez où ce trouvait ma chambre pour avoir la votre tout près… Je me demande ce qu’il y a d’intéressant à ce point chez une musicienne tenta de cacher ses malaises.

Je ne voudrais point vous offusquez… j’ai des doutes… une personne aussi perspicace se retrouvant ici… comprenez moi mais je dois vous le demandez… est-ce mon père qui vous a engagé pour me surveiller? Parce que si c’est la cas vous perdez votre temps même si je vous trouve très intéressant à la discution malgré le peu que nous aillons pu échanger. J'admet que mon père à le don de dénicher des individus sachant être captivant et pragmatique tout à la fois.»


Son regard polaire s'était durcit momentanément elle ne permettrait pas qu'on tente de lui compter des mensonges où de lui inventé une histoire à dormir debout. Elle était souffrante, oui; un peu abrutti, oui; mais certainement pas naïve au point de croire à une telle coincidence surtout pas après la magnifique prestation avec Ford un peu plus tôt. Ce qui malgré tout l'avait bien divertit et amusé.Venant de sa famille où de son père ce genre de chose ne l’aurait pas surprise, son père avait suffisamment de relation pour la faire surveiller de près, il lui avait déjà fait le coup d’ailleurs. Même s’il n’était pas très présent pour elle, il avait le don de savoir ce qu’elle pouvait faire et lui écrire un rapport de ses activités pratiquement en chronologie. Il pouvait se montrer très ouvert d’esprit, pourtant sur certaine choses il était très secrète. Si elle avait posé aussi directement la question à son mystérieux inconnu anglais, son regard interrogateur posée sur les deux hommes laissait sous-entendre que la question pouvait très bien s’adresser aux deux à la fois. Heng ne permettait à n’importe qui de l’approcher et surtout pas les médecins. Lorsqu’elle était malade où devait se rendre à l’hopital il n’y avait qu’une poigné de médecins pouvant l’approcher et l’osculté. Tout cela à cause de sa mutation, son père voulait que ça se sache le moins possible et Ksenia ne s’y était jamais opposée de toute manière il était rare qu’elle ai besoin de soins hospitaliers d’urgence où de traitements de longues durée.

Elle devait s’assurer que son père n’avait pas encore envoyé de ses sbires pour la garder intacte, elle savait exactement ce qu’elle avait à faire. Elle ne se considérait pas mutante, elle était humaine point et c’était toujours comme cela qu’elle fonctionnait et fonctionnerait dans la mesure du possible même si cela devait la contraindre à subir ces fichus malaises qui la tenaillaient n’importe où et n’importe quand.




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Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI Vide
MessageSujet: Re: Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI   Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI EmptyMar 14 Sep - 12:06

    Une chose était certaine, la déplacer, dans un premier temps, était plutôt risquer comme opération si on en jugeait par la grimace qu’elle avait pu faire quand un oreiller vint se caller sous sa tête. Mais malgré sa douleur apparente, elle trouva le moyen de répondre de manière amusée à la phrase d’Edward qui annonçait qu’elle était aveugle. Bien que ce point, qui ne semblait pas être discutable, apportait de bien nombreuses interrogations sur la talentueuse pianiste. Il est vrai qu’elle était capable de se déplacer avec une facilité déconcertante, et son chien n’avait pas les harnais habituel pour la guider. Si elle ne voyait pas, il ne faisait pas de doute pour Edward qu’elle était tout de même capable de distinguer les formes. Sinon, comment éviterait-elle les personnes ? Comment aurait-elle su ou trouver le verre qu’elle avait commandé du premier coup ? Et les interrogations de ce genre pouvaient être fort nombreuse en ce qui la concernait. Ce qui demeurait le plus intriguant c’est que si elle pouvait distinguée les formes, cela ne semblait pas être le cas pour le moment. William avait mit un doigt devant ses yeux, mais ce regard ne capta même pas la forme générale. Alors cela amenait à croire que la vue par les formes avait quelque chose de temporaire, ou que ses malaises l’empêchaient de « voir ». Il existait un tas de possibilités en réalité, mais aucune qui ne soit certaine, ou encore possible sur un plan médical. Pas qu’il sache en tout cas.

    Une vue qui finie par revenir assez rapidement, en réalité. Les deux hommes échangèrent un regard, sans prononcer le moindre mot, et se comprirent instantanément. Edward avait regardé William pour savoir si il avait perçu le changement dans les prunelles de la jeune femme, et si il était normal que sa vue puisse revenir, pour peu qu’on puisse considérer cela comme une « vue ». Et le regard de William exprimait un étonnement, avec un léger hochement de tête négatif, qui voulait dire que tout cela était parfaitement surprenant. Edward ne manqua pas d’en sourire que très légèrement. D’accord la jeune femme ne semblait pas au meilleure de sa forme, et il était sûrement injuste d’en sourire. Mais cela n’avait rien à voir avec son état actuel, c’était toutes les réflexions que cela pouvait entraîner dans l’esprit d’Edward, qu’il trouvait agréable. Plus son esprit se mettait à tourner, à chercher des réponses, à assembler des informations, plus Edward s’en trouvait enjoué.


    « Rien… quoi que… évitez de me déplacer s’il-vous-plait pour quelques minutes car cela ravive la douleur alors qu’elle se dissipe. »

    Ce qu’il pouvait être fait pour elle se résumait donc à ne rien faire. Si William hocha la tête positivement, d’un air des plus professionnel, Edward lui ne manqua d’étouffer un bref et très léger rire. Ne pas la déplacer pour le moment, ça il aurait su le dire. Mais là n’était pas l’important, il avait eu raison. Elle n’en n’était pas à son premier coup d’essai dans ce genre de situation, cela semblait lui arriver assez souvent, ou depuis assez longtemps, pour qu’elle sache ce qu’il convient ou non de faire. Hors si ce n’était pas la première fois, si cela arrivait souvent ou depuis longtemps, pourquoi n’avait-elle pas un traitement spécifique à ce qu’elle avait ? Les médicaments dont elle semblait se servir pouvait être utilisé dans tellement de cas que cela n’avait plus rien de vraiment spécifique à une maladie, c’était plutôt spécifique à un état, sans qu’on sache de quoi il peut s’agir. Voilà où le raisonnement d’Edward se trouvait pour le moment. Elle souffrait de quelque chose qui n’avait pas été diagnostiqué. Ce qu’il serait incapable de faire étant donné qu’il n’était pas médecin, mais cela associer au fait qu’elle avait une forme de vue surprenante rendait cette jeune personne particulièrement intéressante.

    « Je suis vraiment désolé que vous m’ayez trouvé dans un tel état… il m’arrive parfois d’avoir ces petites faiblesses… »
    « Faiblesse parfaitement intéressante… »

    La phrase avait été lancée dans un murmure, à peine audible, pendant que le regard d’Edward remontait doucement vers le visage de la jeune femme. Il n’était plus réellement à un phénomène étrange près, mais il nota tout de même les changements infimes dans la robe de la pianiste, ainsi que les bris de verre qui était dans le lavabo. Ajouter a cela les petites tâches de sang qu’elle avait semé un peu partout en montant à sa chambre. Tache de sang qui avait l’étrange particularité de briller légèrement, un peu comme le verre qui prônait dans le lavabo, ou les fines perles de sa robe qui avait sembler se liquéfier. Jamais il n’aurait pensé que les tâches de sang qu’il avait suivit pouvaient donner l’impression de contenir du verre, cela ne lui serait pas venu à l’esprit. Pourtant cela lui semblait, maintenant, évident au vue de ce qui était en train de se passer sous ses yeux. Ce que cela pouvait bien signifier ? Il n’en savait rien. Edward ne possédait qu’un tas de théorie, mais il ne doutait pas d’avoir la réponse à un moment où à un autre.

    « C’est très gentil malgré tout d’être entrée pour vérifier si tout allait bien… j’ai sûrement dû faire du bruit en m’effondrant sur le sol… »
    « Je dirais, plutôt, que ce sont les bruits de verre qui nous ont alertés »

    Soyons bien clair, Edward était loin de s’inquiéter de ce qui avait pu lui arriver, il s’agissait surtout de curiosité face à quelque chose qui l’intriguait. Le fait qu’elle soit au sol, par exemple, l’intéressait nettement moins que les ampoules qui avaient éclatées. Comment une ampoule en hauteur pouvait avoir éclatée, alors que la jeune femme était tombée et ne demeurait pas assez grande pour éclater la lampe sur son passage ? Bien évidement il trouvait la pianiste intéressante, mais c’était surtout pour ce qu’elle avait, ou ce qu’elle pouvait provoquée. C’était unique, rare, et surtout, un vrai casse tête pour cet esprit qui ne demandait qu’à comprendre ou deviner les choses.

    « Puis-je me permettre de savoir pourquoi vous m’avez suivit vous et votre ami Mr. Brown? Quo que je ne regrette pas d’être un si agréable compagnie que la votre, mais vous je pourrais ajouter à la liste vous qualifiant… intriguant. Est-je raison de croire que ce n’est pas une coïncidence? Vous m’avez suivit suffisamment de loin pour que je ne sens point votre présence où ne vous entendent… d’ailleurs pourquoi l’auriez vous risquez de vous dévoilez alors que vous saviez où ce trouvait ma chambre pour avoir la votre tout près… Je me demande ce qu’il y a d’intéressant à ce point chez une musicienne tenta de cacher ses malaises.

    Je ne voudrais point vous offusquez… j’ai des doutes… une personne aussi perspicace se retrouvant ici… comprenez moi mais je dois vous le demandez… est-ce mon père qui vous a engagé pour me surveiller? Parce que si c’est la cas vous perdez votre temps même si je vous trouve très intéressant à la discutions malgré le peu que nous aillons pu échanger. J'admet que mon père à le don de dénicher des individus sachant être captivant et pragmatique tout à la fois.»


    Le regard qu’elle pouvait avoir ne laissait pas de doute sur le sérieux de sa question. Son père devait, donc, être réellement capable de faire une telle chose. En même temps, pourquoi allez une telle question ? Quoiqu’il en soit, Edward ne pu s’empêcher de sourire en s’imaginant conclure un accord avec un homme riche et influent pour surveiller sa progéniture, atteinte d’une maladie inconnue. Absolument pas son genre, mais comment pouvait-elle le savoir ? Les deux hommes se redressèrent et échangèrent un nouveau regard qui n’eu pas besoin de mot. C’est Edward qui répondrait à la question –inquiétude ?- de la jeune femme.

    « Je ne doute pas de la perte de temps que cela puisse être de vous surveillez. Il a suffit de voir comment vous vous êtes débrouiller dans le hall, pour savoir que de l’aide ne vous serait pas utile. Votre père, que je ne connais pas, ne m’a embaucher pour aucune tache, quelque soit. Il ne s’agit donc pas de cela. Maintenant, il est clairement mentir que de dire que tout cela n’est que pure coïncidence.

    Si vous voulez savoir qu’il y a d’intéressant chez vous, je répondrais par plusieurs points : La façon dont vous pouvez voir m’intrigue particulièrement. Je ne mets pas en doute que la perte de la vue entraîne une augmentation des autre sens, mais je doute que vous ne voyez qu’un simple écran noir. C’est sur cette simple base que je vous ai suivit, besoin de vérifier cette théorie selon laquelle vous devez au moins distinguer les formes. Il ne m’en faut guère plus, vous savez. J’ai cette fâcheuse manie de toujours vouloir des réponses. Comment savez vous que j’occupe la pièce en face ? »


    Reconnaître à une odeur ? Il doutait que cela soit si simple surtout qu’il venait des États-Unis, et n’avait pas emporter ses habituel produit de lavage, préférant prendre ceux de l’hôtel et s’encombrer le moins possible. Son odeur devait donc être parfaitement différente. Le son de sa voix ? Il savait qu’un chuchotement était de loin différent de celui d’une voix normale. Hors le soir ou ils l’avaient croisé, ils ne faisaient que chuchoter, si ils ne s’étaient tus devant son passage. Qu’est ce qui permettait à cette jeune femme de le reconnaître, de savoir qu’il était l’occupant d’en face, alors qu’elle ne possédait pas la vue ?

    « Mais avant de répondre, peut être seriez vous installez sur un fauteuil ? »

    Elle semblait aller mieux, ses joues ayant reprit un peu de couleur. Du coup, il tendit une main en direction de la jeune femme afin de pouvoir l’aider à se redresser, si toute fois elle en avait envie. Poursuivre la discussion dans la salle de bain ne lui posait pas particulièrement de problème, dans le fond.
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Ksenia Heng

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MessageSujet: Re: Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI   Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI EmptyDim 19 Sep - 13:45

Commença à se sentir un peu mieux, la jeune femme se redressa pour adopter une position assise. L’impression étrange que lui donnait l’anglais dont elle ignorait toujours l’identité lui rappelait la réaction de son propre père lorsqu’elle avait 10 ans environ et qu’il l’analysait et la bombardait de questions de tous genres car curieux d'en apprendre plus sur le phénomène que la jeune enfant était était en train de vivre.

« Faiblesse Parfaitement intéressante… »

Dans le silence qu’il règnait dans la petite pièce, la jeune femme avait pu entendre le murmure aussi éteint soit-il. Le fait qu’il fut prononcé durant un moment de silence lui permit d’en comprendre le message. Message, auquel elle ne répondit aucunement. Pour ce qui s’avérait de l’éventualité que son père les auraient engagé l’un où l’autre fut vite répondu par la négative. Il y avait au moins un point d’amélioration dans cette histoire, son père avait enfin décidé de lui faire confiance quoi que ceci n’excluait pas qu’il est tout de même chargé quelqu’un durant ces festivités pour jeter un coup d’œil sur elle. Après avoir observer un échange de regard entre les deux hommes, déduction faites suite à une léger mouvement de tête de Mr. Brown vers son ami, ce même ami lui répondit, elle se sentait toujours comme une bête curieuse.

« Je ne doute pas de la perte de temps que cela puisse être de vous surveillez. Il a suffit de voir comment vous vous êtes débrouiller dans le hall, pour savoir que de l’aide ne vous serait pas utile. Votre père, que je ne connais pas, ne m’a embaucher pour aucune tache, quelque soit. Il ne s’agit donc pas de cela. Maintenant, il est clairement mentir que de dire que tout cela n’est que pure coïncidence.

Si vous voulez savoir qu’il y a d’intéressant chez vous, je répondrais par plusieurs points : La façon dont vous pouvez voir m’intrigue particulièrement. Je ne mets pas en doute que la perte de la vue entraîne une augmentation des autre sens, mais je doute que vous ne voyez qu’un simple écran noir. C’est sur cette simple base que je vous ai suivit, besoin de vérifier cette théorie selon laquelle vous devez au moins distinguer les formes. Il ne m’en faut guère plus, vous savez. J’ai cette fâcheuse manie de toujours vouloir des réponses. Comment savez vous que j’occupe la pièce en face ? »


L’imporant dans tout cela c’est qu’elle n’était pas folle, ils l’avaient bien suivit. L’inconnu l’intriguant d’avantage que le médecin, ses réflexions lui conférait un esprit vif et très logique. Ses observations seules étaient incroyables, il n’était pas du genre observateur passif… il allait au fond des choses, voyait et comprenait des choses que le commun des mortels ne percevaient que très difficilement où pas du tout. Pour sa fâcheuse manie elle semblait répendu dans le monde scientifique car elle y avait goûter plus d’une fois. L’hypothèse qu’elle voyait les formes étaient plus ou moins exacte, elle ne dirait pas qu’elle voyait à proprement parler des formes. C’était un tout petit peu plus compliqué que cela. Avait-elle pour l’instant le temps de se pencher sur ses capacités sans dévoilés sa particularité surtout qu’elle ignorait qui il était.

L'élaboration d'une explication plausible prenait du temps ce dont elle était à cours, tentant de trouver un moyen de donner une réponse vraisemblable et le plus honnête possible elle accepta la main tendue pour l’aider à se redresser. Elle se sentait un peu raide, elle se laissa conduire docilement jusqu’à un des petits fauteuils qui habillaient la pièce. Jack la voyant sortir de la salle de bain redressa la tête et agita sa queue touffu. Il s’approcha en trottinant et attendit qu’elle se soit installé avant de venir s’asseoir à ses pieds et de déposer la tête sur sa cuisse un regard quémendant un peu d’affection. Ksenia sourit son Jack était si peu exigeant, elle lui caressa dont la tête doucement dans un geste doux et régulier. L’animal les yeux mi-clos se laissait faire docilement, ses oreilles écoutant les bruits produit pas les deux hommes qui prirent place à leur tour chacun dans un fauteuil. Maintenant qu’il était tous installés elle savait que le mystérieux anglais allait attendre d’elle une réponse. Elle laissa Jack pour ne pas être distraite car déjà ces médicaments l’embrouillaient légèrement. L’animal ne se formalisa pas de la réaction de sa maitresse et décida tout bonnement d’aller vers l’individu qu’il ne connaissait pas soit Mr. Brown.

Il lui renifla le bout des pieds et remonta lentement jusqu’au mollet après quoi satisfait il s’adonna à la même pratique employé avec la jeune femme. Il s’asit comme un bon garçon et du bout du nez toucha la main dont il voulait un peu d’attention, après quoi il déposa doucement sa tête sur la cuisse du docteur, le fixa de ses grands yeux ondula de la queue faiblement.

Comment savait-elle qu’il occupait la pièce d’en face? Cette étrange rencontre qui l’avait séduite dès le départ par l’intelligence et ses manières exceptionnelles quoi que respectueuse sauf peut être envers Ford avait placer son curieux inconnu à obtenir son respect sans trop de difficulté. Elle n’avait jamais parler de sa mutation à qui que ce soit, évidemment c’était bien la première fois qu’on remarquait sa particularité le commun des mortels la voyait avec un chien d’assistance point barre il ne cherchait pas à aller plus loin. Il était aussi vrai que ce soit elle s’était permis un peu plus de liberté et n’avait pas cru bon de tenir en laisse Jack comme il convenait de la faire. Mais ses riches étaient tellement tous trop occupé à vanter leur porte-feuille que personne n’avait jusqu’à maintenant poser la moindre question… sauf pour cet anglais.

« Si votre question est pour vérifier votre théorie, je peux simplement vous dire que votre théorie a déjà été réfuté par les quelques grands médecins qui se sont penchés sur mon cas. Je ne distingues aucune forme pour être exacte. »

Elle faisait exprès évidement, où était le plaisir si elle lui donnait la réponse toute cuite dans le bec. Il faisait preuve d’une si grande capacité de déduction qu’il aurait été dommage de lui donner ce qu’il veut savoir sans lui faire trouver la réponse de lui-même. De plus cela lui permettrait de poursuivre un peu plus longtemps leur discution et peut être pourrait-elle en apprendre un peu plus sur l’étrange individu quoi que fascinant qu’il est.

Ce qui était vrai car elle ne faisait pas que les distinguer, elle les voyait bel et bien quoi que d’un aspect différent et bien plus complexe. Une chose aussi c’était qu’elle ne pouvait pas voir la différence entre le jour et la nuit, sa vision ne se basant pas sur le principe de la réception d’un signal lumineux… le signal que captait ses yeux étaient infiniment plus subtil quoi que d’une nature plus puissante que la lumière d’un côté de vue relevant de la physique pure et dure. Croisant les mains sur ses jambes, la jeune femme remarqua que les petites perles que sont amies avaient si durement installé sur la robe n’y étaient plus. Elle lui avait bien dit qu’elle ne suivivrait pas à une soirée, mais bon elle n’en fit pas de cas et cette réflexion s’évanouie en moins de 2. Elle se garda concentrer sur la silhouette de son inconnu,puis passa à celle du médecin observant les ondes des vêtements qui l’habillait et remarqua une toute petite tache bien distincte qui correspondant à des bouton de tout évidence, mais l’un deux était différent. Elle doutait que physiquement il soit réellement différent, mais la matière dont les uns était fait était du bois d’un essences et l’intrus d’un autre type de matérieux très similaire au premier mais avec une nuance c’était du toc. Les boutons en bois dénotait un certain raffinement, ils n’étaient pas commun d’en voir sur les vêtements de ligne et seules les grands couturiers et habit d’une qualité non négligeable optait pour ces boutons qui était rebuste et en vieillissant donner un cachet particulier et unique à la pièce qu’il ornait. Ce qui avait le don de créer des pièces uniques… c’était ce que Jeanne lui avait apprit. De plus les boutons de bois pouvait être faire de retailles et ainsi être recycler et biodégradable.

« Observez bien votre ami Mr. Brown un instant… qu’est-ce qui vous sembles incohérent chez lui? »

Question anodine et pouvant sembler à une tentative de changement de sujet, mais qu’elle savait détourner juste ce qu’il fallait pour amener son point suivant. Elle était convaincu que de l’extérieur tout les boutons étaient parfaitement identique, car il allait de soit qu’il avait le même vernie et la même teinte ce qui rendait le tout homogène. Simple hypothèse, mais qui dans ce monde de modanité ne pardonnerait pas et à moins que Mr Brown apprécie que les dames vinnent lui parler de sa boutonnière mal assortie. Il aurait sans doute changer de vêtements si tel aurait été le cas, et pour avoir déjà passé cette étape elle savait à quel point ces femmes étaient observatrice pour voir ses détails. Il y avait toujours la possibilité qu’il ne fasse point de cas d’un si petit détails, mais les femmes de ces riches avaient juste ce loisir qu’était la mode et la confection de vêtements comme principal occupation pour 80% d’entres elles.
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Edward Livingston

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MessageSujet: Re: Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI   Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI EmptyJeu 23 Sep - 21:55

    Tout le monde était installé sur un fauteuil. Jack, le chien, avait délaissé sa maîtresse pour aller se poster auprès de William, qui ne se fit pas prier pour quelques caresses sur la tête du canidé. Il faut dire que le médecin avait toujours apprécié les chiens, mais avait abandonné l’idée d’en avoir un troisième tant qu’il vivrait sous le toit de ce cher Livingston. Ce dernier, homme de science à ses heures perdues, ne trouvait rien de mieux que de faire tester ses expériences sur les deux premiers chiens qui avaient vécus dans la demeure commune. Les deux avaient finis, tristement, par rendre l’âme. William avait décidé de cesser les frais à ce niveau là, ne concevant pas vraiment ce côté-là de son ami de longue date.

    « Si votre question est pour vérifier votre théorie, je peux simplement vous dire que votre théorie a déjà été réfuté par les quelques grands médecins qui se sont penchés sur mon cas. Je ne distingue aucune forme pour être exacte. »

    Évidemment que la question qu’il avait posé servait à appuyé une de ses théories. Autant dire qu’il aurait préféré un oui ou un non, à cette question, ce qui lui aurait permit de pouvoir écarter quelques pistes ou, au contraire, en affirmer d’autre. Mais la jeune femme ne semblait pas décidé à donner un avis tranché sur la question, jouant avec les mots avec une dextérité frisant l’énervement quand on cherchait des réponses claires. Mais après tout, n’était ce pas le jeu ? Enfin, le début de sa réponse n’était pas très clair, mais elle devenait plus explicite sur la fin. Le début consistait à dire que les plus grands médecins penchaient pour le fait qu’elle ne voyait pas les formes. Ce qui ne voulait pas dire que ce n’était pas le cas. Mais elle semblait vouloir confirmer cette théorie par la suite. A quoi se fier ? Il est de nature commune de mentir. Les gens mentent tout le temps, pour préserver une part de secret, pour en garder un réel, pour juste se rendre intéressant. La dernière catégorie ne s’appliquait à la musicienne. Si le but était seulement de se rendre intéressante, elle aurait fait en sorte que tout le monde remarque son malaise, feignant de le cacher. Mais elle avait réellement cherché à le cacher. Alors, qu’est ce qu’elle cherchait à dissimuler d’autre. Une maladie ? Tout autre chose ?

    Les plus grands médecins… Elle en avait vu plusieurs, pas des moindres, chacun réfutant le fait qu’elle puisse voir les formes. Mais personne ne savait ce qu’elle devait avoir réellement, sinon elle n’aurait pas cherché à en voir plusieurs. Ou, son père ne l’aurait pas traîner devant plusieurs médecins. Car si cet homme était capable de payer des personnes pour garder un œil sur sa fille, il devait être capable de lui prendre un rendez vous avec les plus grands spécialistes. Ni Edward, ni William, ne reprirent la parole. Le premier était plongé dans ses réflexions, le deuxième s’occupait à caresser le chien tranquillement. En tout cas il fut assez difficile de ne pas remarquer que Ksenia observait attentive l’un, puis l’autre. Difficile de croire qu’elle était parfaitement aveugle, vous en conviendrez !


    « Observez bien votre ami Mr. Brown un instant… qu’est-ce qui vous sembles incohérent chez lui? »
    « Si vous saviez le nombre d’incohérence que l’on peut noter chez William ! »

    La réponse était sortie du tac au tac, dans un sourire amusé. William, de son côté, avait trouvé le moyen de soupiré de manière faussement blasé, curieux tout de même de cette question dont aucun des deux ne s’attendait. Mais si Edward avait répondu bien vite et de façon amusé, il se reprit bien vite pour porter son regard sur son ami, pendant que sa main droite venait prendre appuie sous son menton, et que ses sourcils se froncèrent légèrement montrant, ainsi, son état de réflexion. La question était beaucoup trop large, il y avait un tas de choses incohérentes chez son ami. Le tout était de savoir si il était capable de voir la même chose que la jeune musicienne. Et ça, il en doutait fortement.

    Cependant, Edward était loin de penser que cette question était inutile. Selon les incohérences qu’elle était capable de voir, alors il aurait un peu plus d’indice sur le mode de vision qu’elle pouvait avoir. Après tout, l’homme qu’il était avait encore de nombreuses théories à explorer. Il prit quelques minutes pour observer son ami, qui ne montra pas le moindre signe de gène. Il faut dore que William ne comptait plus les fois ou il avait du passer sous le regard inquisiteur d’Edward.


    « Si vous parlez de sa chemise en coton bleu en association avec la veste grise en synthétique, je vous rassure je lui est déjà dit que cela n’allait absolument pas ensemble. »

    William leva les yeux au ciel, d’un air faussement vexé. C’était ce qui était bien avec lui, il connaissait tellement la façon d’agir d’Edward, qu’il était capable d’avoir les bonnes réactions. Rien, absolument rien dans son comportement laisser présager qu’en réalité il n’avait pas du tout ces matières et ses couleurs sur lui. Il ne savait pas réellement ou cherchait à en venir Edward, mais il avait une confiance aveugle en ce dernier, ce qui lui permettait de rentré rapidement dans son jeu, sans la moindre fausse note.

    Bien sur, Edward savait parfaitement qu’il avait donné de fausses matières et de fausses couleurs, mais il voulait savoir comment réagirait la jeune prodige à cette annonce. Honnêtement, il pouvait donner tellement de chose sur les incohérences qu’il voyait, qu’il y avait bien trop peu de chance pour qu’il songe à la même chose qu’elle. Pour savoir de quoi elle pouvait parler, il devait savoir ce qu’elle était capable de voir. Les couleurs et les matières étaient donc un premier point à vérifier et le plus facilement abordable dans une suite de questionnement logique.


    « Ou alors sa façon de caresser la tête de votre chien en faisant des petits cercles, alors qu’il devrait, en vue de son caractère, faire des geste plus carré, plus anguleux, vous ne pensez pas ? »

    Mais là encore, fallait-il que William fasse réellement des gestes en forme de cercle. En réalité sa main ne faisait que partir du sommet de la tête pour redescendre un peu, et recommencer encore et encore. Il n’y avait rien de circulaire dans ses mouvements. Mais une fois de plus, il trouva pas bon de réagir de quelques manières qu’il soit.
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Ksenia Heng

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MessageSujet: Re: Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI   Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI EmptyJeu 30 Sep - 2:38

Elle ne pouvait nier qu’il avait un esprit très vif et éveillé ce qui était des plus intéressants. Ksenia appréciait beaucoup la compagnie d’individu dôté de grande intelligence et encore plus s’il s’avérait particulier ou bien avec des manières frolant la provocation ou encore capable des plus grandes tirades à double tranchant. A l’abris dans la petite suite qui lui servait de chambre, elle était plus à l’aise de laisser tomber son masque et se sentait suffisamment en confiance pour observer sans aucune subtilité le docteur et son mystérieux ami.

Elle sourit suite à la réponse qu’elle reçu en moins de deux, le ton employé quoi que sérieux lui faisait deviné que l’inconnu anglais avait décroché un sourire. Des années de pratiques pour arriver à ce que son oreille puisse percevoir une telle subtilité. Elle le vit se retourner et prendre un pose un ne peu plus théâtrale, à son humble avis, lui rappelant la pose du penseur. A la hauteur de l’intelligence et du génie qu’elle lui prêtait, il lui répondit tout bonnement en insérant dans sa réponse des textiles et couleurs qui n’étaient pas du tout fondé. Il était vraie qu’elle ne voyait pas les couleur certes, mais pour le synthétiques et le coton ça elle pouvait. Elle connaissait bien ces fibres et leur schéma pour pouvoir les différenciers. Elle haussa simplement un sourcil une lueur malicieuse brillant au coin de l’œil. Son regard se fixa dans celui du mystérieux anglais, elle n’avait pas besoin de dire à haute voix qu’elle n’y croyait pas un instant.

« Si vous parlez de sa chemise en coton bleu en association avec la veste grise en synthétique, je vous rassure je lui est déjà dit que cela n’allait absolument pas ensemble. »

« Ah vraiment?... mais si vous lui avez dit c’est alors que se doit être vrai… en d’autres circonstances… » dit-elle en haussa légèrement le sourcil, intrigué par cette tentative brillante de lui fournir de fausses matières, pour les couleurs elle doutait de leur véracité, mais ne pouvait pas en être certaine car après tout les couleurs éteint invisible pour son regard.

« Le synthétique à tout de même plusieurs qualité en plus de sa polyvalence... mais il n’est pas questions se cela… vous devriez voir à plus petites échelles. »

Ksenia avait tout bonnement continuée, elle se remettait plutôt bien de son malaise et la compagnie de ses deux hommes lui faisaient un bien qu’elle ne pouvait pas encore décrire. D’une manière étrange il lui donnait l’impression qu’elle pouvait leur faire confiance ce qui était rare, de cette manière du moins. C’était troublant et très agréable à la fois, un instant pourtant elle cru que son esprit lui jouait un vilain tour par ses maudits médicaments qu’elle détestait prendre et qu’elle négligeait la plupart du temps quand son corps le lui permettait. Tant de personnes l’entouraient et peu sortaient du lot, peu importe le nombre qu’ils étaient, qu’ils soient des amis, des connaissances, des collègues ou encores de ses personnes qu’elle aidait… pourtant elle se sentait seule, isolée. Bien qu’elle comprenne les raisons de se sentiment elle le détestait tout en l’acceptant car c’était lui qui lui permettait de vivre comme elle le faisait. Son père avait mit t’en d’effort pour caché ce qu’elle était… rien qu’une fois ne pouvait-elle pas rencontrer quelqu’un similaire à elle ou du moins pouvant la comprendre un peu mieux… tant de questions qui restait non répondu. Elle avait toujours pensé que le temps lui apporterait ses réponses, mais se malaises et faiblesses l’inquiétaient quand au fil des ans elle s’agravaient et ne semblait pas vouloir

« Ou alors sa façon de caresser la tête de votre chien en faisant des petits cercles, alors qu’il devrait, en vue de son caractère, faire des geste plus carré, plus anguleux, vous ne pensez pas ? »

« Jack n’est pas difficile, il prend l’affection qu’on lui donne point. Il apprécit bien les petits cercles. Les gestes plus anguleux ont tendance à l’énerver davantage et à la vouloir l’insciter à jouer. » dit-elle doucement tout en observant l’animal au pied du médecin. Celui-ci semblait très heureux de l’attention qu’il recevait, la tête posé sur la cuisse du médecin les yeux se fermant d’eux même aux rythmes de la main qui le caressait.

« Quoi qu’il en soit, y a-t-il trop d’inconhérences chez votre ami pour que vous trouviez celle qui répondrait à toutes vos interrogation? Où dois-je crois que votre flair dépasser par celui de monsieur Brown qui a déjà mit le doigt dessus il y a un moment. »

Cela n’était peut être qu’une coincidence, mais la jeune femme avait remarqué qu’à certain moment un peu à la manière d’un tic, d’une manie ou simplement du hasard, le docteur portait sa main près du dit bouton. C’était clairement un indice de plus et qu’il n’aurait aucun mal probablement à comprendre jusqu’à trouver le dit bouton dont le vernis le rendant identique à ses frères.
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Edward Livingston

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MessageSujet: Re: Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI   Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI EmptyMer 13 Oct - 13:18

    « Ah vraiment?... mais si vous lui avez dit c’est alors que se doit être vrai… en d’autres circonstances… Le synthétique à tout de même plusieurs qualité en plus de sa polyvalence... mais il n’est pas questions se cela… vous devriez voir à plus petites échelles. »

    A se demander pourquoi il perdait son temps en des questions subtiles, vu qu’elle semblait tout comprendre et se faire une joie de ne pas répondre comme il l’entendait. En réalité il trouva tout cela assez fâcheux. Généralement, il n’avait pas besoin de passer par tant de subterfuges pour comprendre une personne, ou pour l’amener à laisser échapper des indices qui l’aiderait dans la découverte de ce qu’il recherche. Une peine perdue avec la jeune musicienne. L’espace d’un instant il imagina même qu’elle puisse lire dans les pensées, tellement elle semblait parfaitement comprendre ce qu’il voulait faire, ou chercher à la faire dire. Ou alors, elle ne répondait pas ce qu’il attendait, simplement par hasard. Cependant, le hasard était le genre de terme qui n’entrait pas dans le dictionnaire personnel d’Edward.

    A bien y réfléchir, depuis le début de cette rencontre, la jeune femme avait agit comme il avait envie de voir agir les gens en temps normal : une bonne éducation, un esprit vif, de bonnes réactions au bon moment, et quelque chose d’assez étrange pour attirer son attention. Sauf qu’à trop être parfait, il trouvait le moyen de trouver cela dérangeant. De toute façon, il ne réagissait jamais normalement. La vérité c’est qu’il avait l’impression d’avoir un train de retard avec elle, comme si elle était apte à comprendre tout mieux que lui, et à en déduire des choses beaucoup plus rapidement. Son égo en prenait forcément un coup et, cela, ne lui convenait pas.

    L’humain qu’il était avait passé sa vie à jouer à l’observateur, à suivre des cours sur la psychologie, à pondre des théories, résoudre des affaires, … Il ne savait faire que cela, et le faisait bien. Très bien. Tellement, qu’il avait même trouvé le moyen de se faire une place dans les membres d’une école pour mutant, on arrivait même à lui demander conseil sur les attentes et intention d’une personne, et ceux même quand il y avait une télépathe dans la place. Il était doué, assez pour palier à son manque de mutation par une autre capacité qui lui était propre. En tout cas, c’est ce qu’il imaginait, jusqu’à aujourd’hui. Parce que, honnêtement, il avait réellement l’impression d’avoir un métro de retard sur la jeune femme. Soit elle était bien plus douée que lui, soit elle était capable de lui dans les pensées. Théories exclues, sinon elle ne se serait pas autant inquiétée du fait qu’il puisse avoir été embauché par son père.

    Et tout se confirma avec les tirades suivantes. Une fois de plus elle avait réussi à esquiver ce qu’il cherchait à démontrer par ses questions truffées de fausses informations. Pour qu’elle reprenne sur la question initiale qu’elle avait posée.

    « Quoi qu’il en soit, y a-t-il trop d’incohérences chez votre ami pour que vous trouviez celle qui répondrait à toutes vos interrogation? Où dois-je crois que votre flair dépasser par celui de monsieur Brown qui a déjà mit le doigt dessus il y a un moment. »

    Voilà, maintenant on en était presque à dire que c’était William qui avait plus de sens que lui. Edward était vraiment une personnalité étrange, capable de s’estimer à sa juste valeur, ce qui passait trop souvent pour de la prétention, ce qui n’était pas le cas. Et en de très rare occasion il se mettait à douter de tout. C’est dans ce genre de moment qu’il dépérissait complètement et qu’il était tout à fait apte à croire que William était plus doué que lui. S’appuyant totalement dans le fauteuil qu’il occupait il posa un regard sur William, toujours occupé à caresser le chien. Combien d’enquête avait-il résolu grâce à lui ? Pas étonnant qu’il est mit le doigt sur ce dont parlait la jeune femme, avant lui. Ca se trouve, c’était même lui la tête pensante. Mon Dieu, il avait besoin d’un whisky et d’une dose de n’importe quel substance qu’il inventerait sur le tas. Pourtant il ne lui suffisait que de réfléchir un peu pour avoir la réponse à sa question, mais vider de toutes réflexions, abattus d’une certaine manière, il n’avait même pas envie de pousser plus loin ses raisonnements.

    « Qui a dit que j’étais la tête pensante de nous deux ? William a beau être discret, cela ne signifie pas qu’il à plus de « flair » que moi. »

    A ses mots William releva vivement la tête, interpellé par ce que venait de dire son ami, avec un air à la fois interrogateur et perplexe. Un regard qui trouva réponse dans un haussement d’épaule de la part d’Edward. Il n’en fallait pas moins à William pour comprendre que quelque chose n’allait pas. Il n’était pas aussi bon observateur que son ami, mais personne au monde n’était capable de le comprendre, de le déchiffrer, comme lui pouvait le faire. Mais il ne prononça pas le moindre mot, parce que, déjà, Edward reprenait.

    « Quoiqu’il en soit, je ne vois pas ou se trouve le problème avec son bouton ? »

    C’était sortit un peu tout seul, parce que, quoiqu’il arrive, son esprit ne cessait jamais de tourner. Qu’il le veuille ou non. Il avait suffit qu’elle dise que William avait mit le doigt dessus pour que son esprit interprète le reste. Tout cela n’était pas à prendre comme une expression mais comme une phrase au sens strict du terme. Cela dit, il restait étonné que ça puisse être le bouton, n’ayant pas vu William porter la main à lui, une seule fois. Ca faisait plus de 10 ans que les deux hommes se suivaient et jamais William n’avait eu ce genre de réflexe, de tic, ou quoique ce soit d’autre. Mais qu’est ce que ça pouvait être d’autre que cela ?

    « Cependant, vous semblez vous êtes remise parfaitement de votre étrange malaise. Il m’ennuierait donc de vous importunez d’avantage. »

    Comme un seul homme, William et Edward se relevèrent à l’unissons. Après tout, si elle allait mieux, pourquoi rester ? Sans parler du fait qu’Edward avait bougrement envie d’une bouteille entière de whisky et d’une drogue quelconque… On pouvait inventer tout et n’importe quoi avec quelques tubes à essais et divers produits chimiques. Tient, d’ailleurs, il faudrait qu’il parle à William de l’éventualité de reprendre un chien. C’était quand même moins dangereux de faire tester ses produits au canidé plutôt que sur lui directement !
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Ksenia Heng

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MessageSujet: Re: Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI   Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI EmptyVen 15 Oct - 4:12

L’espace d’un instant Ksenia cru avoir froisser son mystérieur invité, ce qu’elle maudissait parfois de ne pas pouvoir lire les expressions sur les visages qui sous ses yeux étaient totalement vide. L’impression d’assurance qu’elle ressentait en leur compagnie venait d’être bouleverser par quelques choses qui l’échappait. Elle restait convaincu qu’il était question du résultat causé par ses paroles ou sa manière d’être. Son père avait peut être eu raison de la mettre en garde du monde, mais en elle une petite voix demandait toujours s’il n’y avait pas comme pour toute les règles une exception et quelle était-elle?

« Qui a dit que j’étais la tête pensante de nous deux ? William a beau être discret, cela ne signifie pas qu’il à plus de « flair » que moi. »

« Personne n’a besoin de le dire puisque c’est une réalité. Pardonnez moi Mr.Brown ce n’est pas contre vous. Il ne fait aucun doute que vous avez le flair, je ne dis pas que votre ami n’est pas intelligent loin de là. Néanmoins vous seriez incapable de vous entourer d’imbécile et je l’ai compris lorsque vous m’avez lancer l’opus de Chopin, seul un esprit vif et éveillé peu l’apprécié comme vous l’avez apprécié. »

Le regard de la jeune femme était intense, c’était peut être les médicaments qui la poussait dans un était tel que celui où elle tentait de ne pas tomber.

« Quoiqu’il en soit, je ne vois pas ou se trouve le problème avec son bouton ? »
Un poid semblant s’enlever de ses épaules et un doux sourire étira ses lèvres, il n’était pas comme il le clamait sans esprit finalement. Le ton la dérangea par contre parce qu’il y avait là un certain automatisme. Était-il conscient seulement conscient d’avoir mit le doigt dessus… du moins presque? L’éclair ne brillant qu’un seul instant consumer immédiatement par une toute autre envie qui lui échappait. Il ne fut pas écoulé 2 minutes que les deux hommes se levèrent en même temps d’un même élan ce qui troubla la jeune femme, il y avait des ses impressions étranges parfois.

« Cependant, vous semblez vous êtes remise parfaitement de votre étrange malaise. Il m’ennuierait donc de vous importunez d’avantage. »

Elle garda son sourire, quoi qu’il était moins saillant. Elle ajouta doucement. « Il n’en n’est rien j'ai passé une agréable soirée, mais je ne vous retiendrai pas d’avantage et manquez la fin des festivités de ce soir. »

Elle se leva, en bonne hôtesse qu’elle pouvait être et les reconduit à la porte de sa chambre. Ceci n’étant pas sans un sentiment de regret, il était rare qu’elle pouvait avoir une agréable compagnie. De se sentir comme si elle leur pesait était très dérangeant, elle resta donc polie et ne rajouta rien jusqu’à ce qu’ils soient passés le pas de la porte. On aurait pu dire d’une certaine manière qu’elle avait légèrement précipité leur sortie, ce qui n’était pas tout à fait faux. Mais l’inconnu restait toujours celui qui avait formulé à sa manière l’envi de quitter. Avant de ne refermer la porte sur les deux hommes, elle fit une mise en garde à Mr. Brown.

« Je vous remercie Mr. Brown… si je puis me permettre évitez votre ami s’il tente de s’amuser en jouant avec le feu. Il serait dommage de risquer un si beau vêtement pour chasser l’ennui.»

Elle s’était enfermée soigneusement à double tour par la suite, ne prêtant même pas attention à savoir s’ils étaient toujours sur le pas de sa porte. Ces derniers mots pouvaient paraitre fou, que qu’à sa manière n’était-elle pas folle? Folle de croire qu’un individu autre que son père pouvait deviner ou même croire possible ce qui faisait d’elle quelqu’un de particulier. D’une certainement manière elle espérait que ses paroles aussi étrange soient-elles l’inciter à brûler les boutons, il ne verrait peut être ce qu’elle voyait. Il comprendrait peut être tout au plus qu’il était différent des autres… parce qu’elle savait qu’il brulerait très aisément et se réduirait en cendre rapidement contrairement au originaux du vêtements. Pourquoi? Pour la simple raison qu’il était en bois de moins bonne qualité et que le maquillage qui le rendait identique servirait de combustible et l’altérerait plus vite.

Ksenia ne descendit pas pour les restant de la soirée, préférant sa solitude à ses engagements pour une rare fois. La vente aux enchères eut lieu comme prévu et elle brilla de son absence, ce qui n’empêcha pas qu’on mise sur ellemalgré cela. Après le départ de Mr. Brown et de son mystérieux ami, la jeune femme se chargea de nettoyer la salle de bain où elle avait eu son malaise. Elle prit un bain chaud avant de se glisser dans son pyjama fétiche qui avait le don de la remettre sur pied quand elle se sentait morose. Elle passa le reste de la soirée enroulée dans une couette installée dans un fauteuil qu’elle avait tiré jusqu’à la fenêtre et fini par s’y endormir totalement épuisée. Il va s’en dire que la nuit ne fut pas aussi reposant que souhaité, c’était la dernière journée des festivités. Par expérience des années passées, elle savait que les convives avaient fêtés une bonne partie de la nuit et que tous allaient dormir tard jusqu’en début d’après-midi ce qui lui laissait le temps de vacquer à d’autres occupations.

Levée très tôt, elle descendit ordinairement vêtue d’un jean et d’une chemise blanche, une veste sous le bras elle se rendit dans le hall pour aller se promener avec Jack qui comme elle en avait bien besoin. La voix de Madame Ford l’arrêta net dans son élan pour quitter l’hotel.

« Ksenia chérie! »La jeune femme n’avait vraiment pas envie de voir cette femme aussi charmante elle pouvait être, sachant qu’elle n’éviterait pas une montagne interminable de question. Elle prit une profonde inspiration pour renvaler son mécontentement et paraitre le plus normale possible aux yeux de Mme Ford.
« Madame Ford, c’est que j’allais promener Jack… »
« Ah oui… c’est bien ce que je constate… Je ne vous retiendrais pas longtemps très chère. Je voulais prendre de vos nouvelles, nous nous sommes inquiétés de ne pas vous voir pour l’enchère. »
« Je ne me suis pas sentis très bien en fin de soirée, j’ai préféré monter me reposer un peu à ma chambre… je dois m’être assoupie plus profondément que je ne l’aurait voulue » avoua-t-elle avec une mine contrit, ce que cette situation pouvait la mettre mal à l’aise.
« Néanmoins, vous avez remportez une enchère folle! » s’exclama la dame en saisissant la main de Ksenia pour la tapoter. La jeune femme sourit surprise, réfléchissant à une manière de s’éclipser.
« Vraiment? Et qui a donné cette enchère si je puis me permettre de demander. » On pouvait sentir une certaine retenue à sa question, elle était curieuse de savoir et à la fois craintive du nom qui allait être prononcé.
« C’est bête… son nom m’échappe, mais je tâcherais de m’en souvenir pour vous le présenter ce soir. »
« Il n’y a rien d’urgent… si vous voulez bien m’excusez… »

Même si cela n’avait rien de rassurant, il y avait au moins un point possitif dans tout ça il ne s’agissait pas du fils de Madame Ford. D’ailleurs, s’il se présentait ce soir c’est qu’il avait un bon maquilleur sous la main. Mme Ford sans vraiment écoutez la jeune femme s’était plongée dans la recherche du nom qui lui échappait, se retourna vers un domestique qui devait passer par là et se précipiter vers lui comme si Ksenia n’avait plus exister. La jeune femme ne se fit pas prier, elle s’éclipsa aussi subtilement et rapidement qu’il lui était possible vers la sortie. Elle ne mit pas trop de temps à rejoindre la terrasse d’un petit café qu’elle avait remarqué lors de sa dernière exploration.

Elle était assit à l’intérieur près de la fenêtre, Jack sommeillait à ses pieds sous la table. Elle déjeunait tranquillement écoutant les discutions dans le petit endroit qui n’était pas sans lui rappeler le Read Café. C’était principalement en écoutant les discutions environnentes qu’elle savait les dernières nouvelles du moment, les gens tôt le matin se retrouvant pour potiné des la plus et du beau temps, ainsi que des nouvelles publiés dans la presse du matin.

Doucement ses réflexions s’en allèrent à cet inconnu de la veille, l’ami de Mr. Brown. Elle se demandait s’il avait pu comprendre le sens de tous ce qu’elle n’avait pas pu lui dire franchement. Est-ce qu’il avait simplement compris que le bouton était différent dans sa matière? L’espoir faisait vivre… peut être qu’elle n’était qu’une enfant encore pour croire qu’un individu puisse deviner partiellement le monde qu’elle percevait. Elle buvait son thé tranquillement plonger dans ses pensées ce demandant toujours si… peut être il avait réussi…

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Edward Livingston

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MessageSujet: Re: Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI   Bienvenue aux festivités du Children's Society [pv Edward] -FINI EmptyLun 18 Oct - 14:53

    « Personne n’a besoin de le dire puisque c’est une réalité. Pardonnez moi Mr.Brown ce n’est pas contre vous. Il ne fait aucun doute que vous avez le flair, je ne dis pas que votre ami n’est pas intelligent loin de là. Néanmoins vous seriez incapable de vous entourer d’imbécile et je l’ai compris lorsque vous m’avez lancer l’opus de Chopin, seul un esprit vif et éveillé peu l’apprécié comme vous l’avez apprécié. »

    Voilà ce qu’elle avait réussi à répondre, quand Edward avait estimé ne pas être la tête pensante entre William et lui-même. Ce qui était étonnant dans ce que venait de dire Ksenia, c’est qu’elle se permettait un jugement sur William, alors que celui-ci n’avait rien. Comment pouvait-on déduire que quelqu’un était moins « intelligent » qu’un autre, alors qu’il n’avait pratiquement pas ouvert la bouche. Ca se trouve, William aurait pu être réellement la tête pensante, observant tout en silence pour se faire une idée plus précise du personnage. Mais Ksenia sembla sur d’elle, c’était vraiment compliqué de ne pas s’imaginer qu’elle avait un pouvoir en rapport avec la télépathie ou l’empathie, même si certaines petites choses semblaient vouloir dire le contraire. Mais elle demeurait trop parfaite, comme si elle savait exactement quoi dire, quoi faire, qu’elle comprenait tout au moindre coup d’œil. Même lui, qui était pourtant un expert dans ce domaine, n’était pas aussi vif, aussi rapide dans ses déductions. Quelque chose clochait avec elle, ça ne faisait pas l’ombre d’un doute. Et plus ça allait, moins il était certain de vouloir savoir quoi.

    Il était donc temps de s’éclipser parce que, qu’il le veuille ou non, il ne se sentait plus réellement à son aise en sa compagnie. La perfection avait toujours quelque chose de dérangeant, personne ne peut, autant, faire ce qui est précisément attendu. Sauf bien sur si cette personne lui dans les pensées, ou peut lire les émotions des gens, ou qu’elle s’est préalablement renseigner sur les gens pour savoir exactement comment réagir pour leur plaire. Dans toutes ses options, aucune ne lui donnait envie de poursuivre cet entretien, bien qu’au début il avait vu un grand potentiel chez elle. Mais trop, c’était trop, finalement. Trop peu naturel.

    Quelques phrases furent échangées, sur le fait qu’elle avait passé une agréable soirée, et une recommandation à William concernant ses vêtements et le feu. La saluant à nouveau, les deux hommes quittèrent la chambre de la jeune femme, pour aller directement dans celle d’en face qu’occupait Edward. Une fois tous les deux, Edward s’affala dans un fauteuil dans une position, la tête levée vers le plafond, son cerveau se remettant parfaitement en marche. Quelques minutes s’écoulèrent où William prit place sur un autre fauteuil avant de briser le silence et de poser quelques questions.

    « Qu’a-t-elle voulu dire avant que nous partions ? »
    « Qu’un de vos boutons est différent des autres, qu’il est fait d’une autre matière. »
    « Et vous l’avez comprit depuis combien de temps ? »
    « La vérité ? »
    « C’est mieux. »
    « Un bon moment, j’avais juste pas envie de le signifier »

    Il s’en suit quelques minutes de silence ou Edward ne décrochait pas ses yeux du plafond, songeant sûrement aux mélanges qu’il allait pouvoir créer, et les effets que cela pourrai produire sur son organisme et son cerveau. Chaque produit ayant ses spécificités, les mélanges en apportant d’autre, il fallait calculer un dosage, un effet souhaiter et établir une recette rapide mais sure. Le but n’étant pas de se transformer en légumes. Mais William entreprit, une fois de plus, de le couper dans ces calculs.

    « Jamais je ne vous ai vu réagir comme ça, avant que l’on parte, qu’est ce qu’il s’est passé ? »
    « Quelque chose de peu naturel chez elle. »
    « Et moi qui commençait à douter de mon sens de l’observation, ça me rassure de ne pas être le seul à avoir eu cette impression. » Edward se redressa sur son fauteuil pour fixer William.
    « Malgré ce qui a pu se dire, ou la manière dont j’ai réagit, il est évident que mon égo se porte très bien. J’ai même toujours apprécier trouver quelqu’un contre qui me mesurer, ça à quelque chose de fortement stimulant. Mais là, ce n’est pas normal, est ce que vous avez déjà vu quelqu’un réagir de manière aussi parfaite, comme si tout ce qu’elle faisait était ce que je voulais ? »
    « Comme si elle lisait dans les pensées ou qu’elle pouvait savoir ce que vous attendez ? »
    « Exactement William, bien que ces capacités soient exclus à cause de diverse petites choses. »
    « Mais ça reste peu naturel. »
    « Absolument pas naturel, même. »

    Et la discussion prit fin de cette manière. Une demi heure plus tard, William quitta les lieux pour rejoindre sa chambre. Il avait à peine fermé la porte qu’Edward se jeta sur sa valise pour en sortir une mallette du parfait chimiste et, l’heure qui suivit, fut une confection maison à l’aide de l’alcool se trouvant dans le mini bar et de substance qu’il avait sur lui. Un mélange détonnant qui le laissa dans un autre monde, incapable de fermer les yeux, jusqu’au lendemain matin. Loupant largement la mise aux enchères. De toute façon, il savait que William y avait été afin de faire quelques dons en sont nom, la seule chose qu’il était impérative de faire : ne gagner aucune enchère en son nom. Une demande expresse qui fut largement suivit à la lettre de la part de William.

    Edward arriva à fermer les yeux au petit matin, et fut réveiller par William dans le milieu de l’après midi avec un mal de tête défiant toute concurrence. Plissant les yeux, supportant même la lumière, il était d’une humeur désagréable. L’avantage avec William, c’est qu’il avait suffisamment vu ce genre de situation pour savoir quoi faire, ou savoir quoi dire. En fait, dans ce genre de moment là, la seule personne habilitée à émettre la moindre critique était William. Un mot d’une autre personne, et Edward se faisait une joie d’abattre ses foudres sur cette personne. D’accord il n’y avait peut être pas que William, Alice et Sélène pouvait prétendre à ce genre de chose, à moindre échelle. Bastet, encore plus à moindre échelle. Mais là s’arrêtait les exceptions, déjà trop nombreuse à son goût !

    « William, j’ai reçu un appel cette nuit. Il faut qu’on retourne chez nous. Enfin, moi en tout cas, une affaire en cours qui ne peut pas entendre. »
    « Je rentre avec vous alors, il ne reste plus que la soirée à passer avec la personne acheté aux enchères, et comme ni vous, ni moi, avons quelqu’un, autant s’éclipser »
    « Il était hors de question de gagner la moindre enchère, ça impliquait de trop grande probabilité pour que je passe une mauvaise soirée. »
    « Et l’heureuse élue aussi. »
    « Admettons. Bon faisons nos valises et partons, alors. »

    Ils s’exécutèrent s’en mal, William en profita pour réserver une place sur le premier avion en direction des Etats-Unis, afin de quitter leur pays natal. Ils trouveront bien l’occasion de revenir pour un peu de ballade, mais pour l’heure, leur place était dans leur pays « adoptifs » et tant puis pour la dernière soirée de cet endroit… Trois heures plus tard ils étaient dans l’avion qui les ramenait chez eux, alors qu’Edward n’était pas des plus frais. Mais il avait suffisament envie de rentrer pour supporter le voyage.

    [Fini pour moi]
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