Comme promis Sélène avait accepté d'accompagner Mathias pour un petit séjour à Londres.Encore marqué par ce souvenir que Colleen avait fait remonter à la surface. Mathias et sélène avit pris le premier avion pour Londres. Le jeune homme voulant revoir ça mère encore un peu persuadé malgré tou qu'il l'avait en quelque sorte abandonné, même si on ne lui avait pas vraiment laissé le choix...

Arrivée à l'aéroport de Londres, Mathias appela un taxi, et ils se dirigèrent alors au coeur de la ville.
Le mutant reprenait alors le chemin de on enfance, lorsqu'il revenait de pensionnat, remontant la grande rue comme si il revenait d'un long séjour. Sauf qu'aujourd'hui, il avait 23 ans qu'il était devenu médein et qu'à ses côtés se trouvait celle qui comptait l plus au mode, la femme de sa vie, Sélène.

Durant le trajet qui le menait chez lui, Mathias fut particulièremennt silencieux, observant la ville défiler sous ses yeux et reportant son regard sur son amante.
Un regard pas vraiment rassuré, de celui qui doute et s'interroge, pas vraiment certain de savoir comment devoir agir ou réagir. Masqué par un sourire tendre, plein de reconnaissance, de gratitude et d'amour aussi.

Mathias hésitait néanmoins à ne serait-ce que prendre la main de sélène tant ses pensées etaient confuses, désordonnées et chaotiques.

Le taxi s'arrêta finallement devant une grande batisse de style victorienne, imposannte et pas franchement rassurante, où rien qu'à l'entrée on pouvait voir que les rires n'étaient pas ce qu'il y avait de plus fréquent, ou du moins que le silence avaittoujours était le maître mot.

Le mutant sorta alors de la voiture, ouvrit la portière de Sélène et régla le taxi, avant d'offrir son bras à la jeune femme. Il se dirigea alors vers la pore et un petit homme assez vieillissant ouvrit la porte, manquant de faire une crise cardiaque en voyant Mathias monter les quelques marches.

"Maitre Mathias? Que ce passe-t-il? Pourquoi n'êtes vous pas à New-York?"

Le petit majordome semblait plus ému de le voir là qu'autre choses et ses yeux bleus s'embuèrent légèrment.
Mathias lui sourit alors

"Je vous ai déjà dit de ne pas m'appeler comme ça Alfred..."

"Je sais bien....Je suis si content de vous revoir..."

Mathias lui souria

"Et c'est réciproque mon ami..."

Mathias fini de se poser devant lui et lui souria encore plus chaleureusement que l'homme posa un regard ravi sur Sélène.

"Sélène voici Alfred, il s'est occuppé de moi durant toute mon adolescence.. Alfred je vous présente Sélène..."

Il se pencha alors vers lui ne murmurant qu'à moitié.

"C'est la femme de ma vie, mais ne lui dîtes pas elle va me disputer après^^"

On pouvait voir une réelle complicité entre les deux hommes, comme si Alfred était le père du jeune homme, bien plus que Paul.
Ils se décidèrent finallement à entrer, suivant le majordome ravi...

Prendre l'avion... ces trois mots achevaient de dissuader Sélène à voyager aussi souvent qu'elle le voulait... non pas parce qu'elle avait peur en avion, mais juste parce qu'elle avait peur des espaces clos depuis sa plus tendre enfance... et à ce niveau-là, l'avion battait tous les records ><

Sélène avait donc accepté avec plaisir d'accompagner Mathias pour aller voir sa mère, mais avait complètement zappé de son esprit la localisation de son "chez lui"... en Angleterre, bien sûr, et à moins de vouloir y aller à la nage ou de vouloir y aller en bateau, il ne restait que l'avion comme solution potable...
Le voyage n'avait pas été si désagréable que ça, principalement parce que pour une fois, Sélène n'avait pas traversé l'atlantique seule... et ça n'avait rien de désagréable dans le fond ^^

Le taxi qu'ils venaient de prendre à leur arrivée à l'aéroport d'Eathrow (gros doute sur l'orthographe mais bon ><) les emmenait à une lenteur affligeante vers la maison dans laquelle avait grandi Mathias... Sélène lui jetait un regard de temps à autre, le laissant reprendre ses marques avec ce pays qui devait faire remonter un tas de souvenirs... Mathias finit par lui adresser un sourire reconnaissant, et Sélène prit d'elle-même la main de son british, lui montrant qu'elle n'attendait rien en retour... elle l'avait fait pour lui, pas pour obtenir quelque chose en échange... Ses pensées étaient confuses, mais Sélène comprenait tout à fait les raisons de cette confusion, peutètre même au point de lui transmettre quelques pensées réconfortantes...
Le taxi s'arrêta finalement, et Mathias descendit ouvrir la portière pour aider Sélène à descendre, affichant toujours ce sourire transi d'amour qui lui allait tant, malgré son appréhension... Sélène prit le bras qu'il lui offrait et se laissa guider jusqu'à une bâtisse immense... elle se démarquait étrangement des maisons du même style, comme s'il émanait quelque chose de cette maison...
Ou peutètre était-ce l'angoisse de rencontrer la mère de Mathias, même si elle était inconsciente...

La porte s'ouvrit devant eux et un vieil homme apparut, demandant les yeux pleins de larmes pourquoi Mathias n'était pas à New York... L'homme adressa un sourire chaleureux à Sélène dès l'instant où ses yeux se posèrent sur elle, et Sélène fit de même, comprenant sans peine que Mathias devait apprécier ce vieil homme bien plus que comme étant un majordome quelconque... Sélène eût un sourire amusé lorsqu'elle entendit le "murmure" de Mathias...

Non je ne le disputerais pas... je me contenterais de l'étouffer avec un gros calin ^^

La jeune femme glissa sa main dans celle de Mathias, affichant toujours ce sourire ravi, et en profitant pour transmettre quelques pensées à son british...

+ et plus, car affinités +

Le majordome les fit ensuite entrer dans l'imposante bâtisse, et Sélène se sentit de suite toute petite devant l'immensité de la demeure...

Mahias serra la main de Sélène et ne pu s'empêcher de rire en entendant les pensées que lui transmettait Sélène. Il attrappa son visage et lui dit avec son air malicieux.

"Mais j'y compte bien^^"

Le majordome continuait d'avancer vers le salon avec un large sourire qu'aucun des deux amants ne pouvaient voir, il s'arrêta dans la grande pièce, et croisa ses mains devant lui. Posant un regard interrogateur sur Mathias

"Vous savez que votre père n'est pas ici? Il se trouve à New-York à l'heure qu'il est... Comment se fait-il que vous êtes vous même venu?"

Mathias souria alors légèrement, ça pour savoir que son géniteur était à New-York, il le savait, il l'avait croisé par deux fois, et par deux ois cela avait viré à la catastrophe.
Le mutant regarda alors Sélène en souriant légèrement. Et reporta son attention sur Alfred.

"Je sais où mon père se trouve et ce n'est pas vraiment lui que je suis venu voir..."

Le majordome le regarda intrigué, hormis Paul Scox personne n'était apte à recevoir de la visite.

"Mais alors que faites vous à Londres?"

Mathias eu sondain un air, plus perdu, comme si denouveau ce visage s'était collé à ses yeux le temps d'un battement de cil.

"Je suis venu voir ma mère..."

Alors là s'en était trop pour le majordome qui tomba littéreallement les fesses les premières sur le premier fauteuil venu.
Les larmes montant de nouveau à ses yeux clairs. Mathias lacha alors la main de Sélène; s'accroupissant aux côtés du vieille homme.

"Elle est toujours là haut n'est-ce pas?"

A sa réaction Mathias fut soudain pris d'angoisse, mais Alfred hocha la tête.

"Monsieur si vous saviez comme cela va lui faire plaisir..."

Puis il releva ses yeux bleu vers Sélène...

"9 ans qu'ils ne se sont pas vu...Vous comprenez ma surprise, d'autant plus qu'il se trouve en charmante compagnie...^^"

Mathias lui souria alors, posant sa main sur l"épaule devenue frêle de ce quasi "mentor".
Il se releva ensuite, tentant de garder cet air "fort" face au vieil homme, mais seule Sélèbne pouvait voir cet air perdu refaire légèrement surface.
Le mutant se tourna alors face à Alfred.

"Je vais faire visiter la maison àSélène, ensuite j'irai voir ma mère.."

Alfred hocha la tête

"Je vous amène de quoi vous restaurer, après ce voyage, ce ne sera pas du luxe... Vous avez une préférence mademoiselle, demandez ce que vous voudrez et Alfred vous le trouvera^^"

Tu as plutôt intérêt, sale gosse ^^

Ils arrivèrent ensuite dans le salon, qui était chichement décoré, et le majordome reposa son regard sur Mathias, avant de l'interroger sur les raisons de sa visite, puisque son père était à New York... Sélène ne fit aucun commentaire, mais esquissa un petit sourire amusé en entendant la réponse de Mathias...

Le majordome s'effondra dans un fauteuil lorsque Mathias lui dit qu'il venait voir sa mère. Le mutant relâcha la main de Sélène, se précipitant vers Alfred, l'air mort de trouille, tandis qu'un air profondément inquiet se lisait sur les traits de Sélène...
Alfred finit par relever les yeux vers Sélène, et la mutante approcha, s'accoupissant elle aussi près du vieil homme, qui lui expliquait que Mathias n'avait pas vu sa mère depuis un bon bout de temps...

Ca fera autant plaisir à Mathais qu'à sa mère, j'en suis sûre...

La fin de phrase du vieil homme arracha un petit sourire à Sélène, qui posa sa main sur son avant-bras, comme pour le remercier d'être aussi galant... les bonnes manières de Mathias lui venaient sûrement d'alfred, parske quand on regardait le père, ce n'était pas spécialement possible ><

Vous êtes adorable, Alfred ^^

Mathias parla finalement de lui faire visiter un peu la maison, et Alfred se leva, proposant de lui apporter ce qu'elle désirait à manger... La mutante lui adressa un sourire adorable, avant de lui répondre...

Juste un thé, Alfred... vous serez chou ^^

Ce majordome était vraiment adorable... Sélène l'avait déjà adopté ^^

"Je vous ferez donc le meilleur thé que vous n'ayez jamais bu, même mon jeune maître ne pouvait pas y résister, je suis certain que cela vous plaira....Ce sera prêt dans quelques temps, en attendant profitez en ^^"

Il quitta alors la pièce d'un pas ravi et sifflottant légèrement.
Mathias s'asseya alors au sol, s'adossant contre le fauteuil, où s'était assis Alfred, regardant Sélène à côté de lui. De nouveau cet air perdu dans les yeux, effrayé même.

"J'ai cru...J'ai cru qu'il lui était arrivé malheur..."

Mathias passa alros ses mains dans ses cheveux et s'accoudant à ses jambes. Puis frotta ses yeux avant de finallement se relever.
Il lui tendit alors la main, tentant de balayer cette pensée qui c'était avéré être une fausse alerte.

"Viens je vais te montrer un peu les lieux..."

Le jeune homme lui proposa son bras avant de la conduire dans les couloirs de la maison. Il lui montra chacune des pièces, dont une bibliothèque immense à en faire perdre la tête.

Mais étrangement il n'y avait quasiment pas de photos, comme si quelqu'un les avait délibérement enlevé...
Il monta finallement à l'étage s'arrêtant devant une pièce à la porte close, au bout d'un couloir sombre.

Mathias la cha le bras de son amante et s'avança, comme si il s'appraitait à franchir le pas, posant une main sur la porte. Parlant dans un murmure comme un enfant.

"Elle est derrière cette porte.... Tu crois que je vais devrais entrer?"

Un peu comme si il attendait une autorisation quelconque, lui qu'on avait toujours attendu qu'on lui donne la permission...

Alfred était décidément chou lui aussi, et il promit un thé grandiose à Sélène. La mutante lui adressa un sourire bienveillant, avant de le remercier avec douceur...

Vous êtes adorable, Alfred... Mathias a de la chance de vous avoir...

Bah oui, un peu d'amour dans le monde de Paul Scox... Alfred n'avait pas seulement la fonction de "majordome", Sélène le sentait bien, et même sans lire les pensées de ces deux hommes... un père de substitution, ou du moins, ce qui s'en rapprochait le plus...
Le majordome quitta la pièce, et Mathias s'assit le dos contre le bas du fauteuil sur lequel s'était laissé tomber Alfred quelques minutes plus tôt... Sélène se rapprocha un peu, restant à genoux qur le sol, une main rassurante posée sur l'épaule de Mathias... pas la peine de recourir à l'usage de la parole pour le rassurer, ça aurait été purement superficiel...

Mathias se leva finalement, proposant de faire le tour de la maison... Une baraque immense en fait, et encore pire lorsqu'on arpente les étages et les couloirs en talons ><
Ils arrivèrent finalement dans un couloir au bout duquel se trouvait une porte close, et Sélèen sentit Mathias se crisper légèrement... il ne devait sans doute pas s'en rendre compte lui-même, mais Sélène avait une fenètre ouverte sur ses pensées parce qu'il lui avait encore uen fosi offert son bras, en bon gentleman qu'il était... Le mutant relâcha Sélène un peu après qu'elle n'ait décidé elle-même de le lâcher, de sorte que cette séparation apparut comme étant de concert... Mathias avança jusqu'à la porte, posant ses doigts sur sa surface, comme s'il hésitait... Sélène le rejoignit, ses talons ne claquant que très légèrement sur le sol... La mutante déposa un baiser sur la joue de Mathias, comme si cette simple action pouvait à elle seule effacer son angoisse...

Sélène ne savait pas trop si sa place était à l'intérieure de cette chambre, autrement elle l'aurait entrainé à l'intérieur en lui prenant la main... mais quand on y réfléchissait bien, peutètre était-ce mieux que Mathias y aille d'abord seul... enfin bon, c'était à lui de voir...

Mathias détourna son regard vers Sélène qui venait de l'embrassere, et par ce simple geste elle lui avait redonné un peu de courage. Il posa finallement sa main sur la poignet se disant qu'il n'arriverai pas à attendre davantage, qu'il ne profiterai de rien tant qu'il ne l'aurait pas vu.

Il ouvra alors la porte, laissant apparaître une pièce presque plongée dans l'obscurité, alors qu'au dehors il faisait si beau. On ne distinguait quasiment rien dans la pièce, hormis une forme allongée sur un lit.

Mathias pris alors la main de Sélène, comme pour lui montrait qu'il voulait qu'elle l'accompagne dans cette pièce. Il s'avança alors lentement dans la chambre, prouvant que ce genre de rencontre n'était pas habituelle pour lui.

Sur le lit une femme rousse était allongée, elle semblait ne pas avoir vieilli, comme figée dans ce visage qui demeurait dans le souvenir du jeune homme. Sa peau pâle dessinée les traits d'une jeune femme reposée mais encore fragile.

Mathias regarda Sélène ne sachant pas vraiment quoi dire, ou quoi faire.
Il se dirigea vers la fnêtre pour tirer les rideau et laisser entrer la lumière. Et se dirigea vers le lit pour s'assoire à ses côtés et tenda la main à Sélène pour qu'elle vienne le rejoindre...

Mathias orienta son regard complètement paumé vers Sélène, qui n'eût pas à ajouter autre chose pour l'encourager... Mathias posa sa main sur la poignée, comme un gosse qui craindrait d'entrer dans une pièce dans laquelle il n'avait rien à faire...

Mathias ouvrit la porte, dévoilant une pièce plongée dans une obscurité inquiétante. Sélène plissa légèrement les yeux et repéra la mère de Mathias, ou plutôt la bosse formée sous la couette, parce qu'à cette distance et avec aussi peu de lumière, ça aurait tout aussi bien pu être un homme...
Mathias prit la main de Sélène dans la sienne, et la mutante comprit qu'il avait besoin de son aide pour entrer... Sélène laissa ses escarpins dans le couloir, ne souhaitant pas troubler le repos de sa mère, et entra pieds nus derrière Mathias, dans le silence le plus total... Le mutant entrouvrit les rideaux pour faire entrer un peu de lumière, mais Sélène resta immoile, observant la jeune femme d'apparence si paisible allongée sous les draps... Ses cheveux roux semblaient flamboyer et contrastaient étrangement avec son teint pâle... mais elle restait magnifique, à croire que sa maladie n'était même pas parvenue à altérer sa beauté... et ça ne devait qu'en être que plus dur pour Mathias, principalement parce que tout se passait à l'intérieur...

Mathias prit place auprès de sa mère encore endormie, avant de faire signe à Sélène d'approcher... la mutante prit place auprès de Mathias, mais restant quand même un peu en etrait derrière Mathias, pour ne pas empiéter sur leur espace... Sélène n'était qu'une inconnue pour cette femme, et mieux valait ne pas la brusquer à son réveil en lui laissant apercevoir un visage qu'elle ne connaissait pas... Son fils était de retour, c'était tout ce qui importait...

Mathias regarda Sélène s'assoire à ses côtés, lui souriant. Puis il reporta son regard vers sa mère.

"Elle semble endormie, je n'avais pas le souvenir de la voir ainsi..On dirait que tout à glissé sur, elle, comme si..."

Mathias posa alors une main dans les cheveux couleurs de feu de sa mère.

"Comme si, cette situation valait mieux que de rester éveillée au côté de mon père..."

Le jeune homme se pencha alors vers sa mère et déposa un baiser sur son front légèrement chaud.
Il pris sa main dans la sienne, et frôla légèrement ses doigts.

"Qu'est-ce que je dois faire maintenant?"

Un enfant perdu dans une situation totalement inconnue pour lui.
Mais avant même qu'il ne puise ajouter quoique ce soit, Elizabeth semblait commencer à s'éveiller, tout du moins elle avait quelques mouvements dans son sommeil comme si instinctivement elle avait reconnue la voix de son fils...

Mathias adressa un petit sourire à Sélène et reporta son attention sur sa mère, passant uen main dans ses cheveux roux... Le mutant s'interrompit en plein milieu d'uen phrase, et la termina quelques secondes plus tard, en émettant l'hypothèse selon laquelle sa mère préférait cet état à sa situation... Sélène passa sa main dans les cheveux de Mathias, la laissant glisser le long de sa nuque en une caresse glacée, comme à son habitude... Elle le sentait angoissé, il avait besoin de savori qu'il n'était pas seul...

Peutètre qu'il y a un peu de ça... mais peutètre que non...

Mathias déposa un baiser sur le frotn de sa mère, et prit sa main avant de se rasseoir, la gardant entre ses mains tremblantes...
Mathias demanda finalement ce qu'il devait faire et Sélène murmura, afin de ne pas troubler le sommeil de la mère du mutant...

Parle-lui... ça lui fera du bien autant qu'à toi...

Sélène ne savait pas vraiment si la mère de Mathias pouvait se réveiller... mais dans tous les ca,s elle espérait que oui, Mathais avait besoin de quelque chose de positif...

Mathias sentit la main de Sélène sur son cou, et il ferma les yeux profitant de ce geste tendre.
Ce simple geste lui faisait un bien fou, continuant de lui redonnait un peu d'aplomb. Le mutant se retourna alors vers elle lorsqu'elle murmura de lui parler.
Il hocha légèrement la tête, posant son visage près de celui de sa mère.

"Maman...Je suis désolé, de ne pas être venu te voir plus souvent...Je voulais, mais j'avais tellement peur de venir te troubler encore un peu plus, de ne pas avoir ma place. Tu sais j'ai longtemps cru que tout était de ma faute..."

Mathias posa alors sa tête sur l'épaule de sa mère comme un enfant le ferait, gardant malgré tout une main en arrière pour tenir celle de Sélène.

"Mais Sélène m'a fait comprendre que j'avais tord... Que je me trompais sur toute la ligne depuis des années... Et rien que pour ça je voulais que tu la rencontre..."

La main du mutant se resserra un peu plus. Tandis que le jeune homme laissait sa tête posée sur sa mère.

"Jer voudrais tellemnt qe tu vois où j'en suis aujourd'hui, que tu partage tout ça avec moi..."

La mère de Mathias commença à bouger davantage, comme agitée, comme si elle voulait sortir de cet état sans pouvoir le faire, comme si son esprit l'avait enchainé...

Mathias se pencha un peu plus en avant, posant sa tête prsè de l'épaule de sa mère avant de commencer à lui parler, comme Sélène le lui avait suggéré... Il gardait toujorus la main de la mutante dans la sienne, comme s'il cherchait à s'y accrocher, à prendre un peu du courage ou de l'apparente sérénité de Sélène... en fait, elle n'était pas très à l'aise avec ce genre de choses, mais pour son british, elle voulait bien faire un effort...

La mère du mutant commença à s'agiter un peu plus, et Sélène fronça les sourcils, se demandant quelle était exactement la nature de sa maladie... peutètre qu'en fait il était possible de l'aider à sortir de sa léthargie; elle manipulait les esprits sans peine, alors peutètre qu'en influencer un pour le ramener vers le modne conscient était faisable...

Mathias ouvrait son coeur à sa mère sous les yeux de Sélène... c'était adrable, mais terriblement destabilisant... Le mutant serra la main de Sélène dans la sienne, et la jeuen femme l'effleura doucement du bout des doigts, en une douce caresse encore une fois... Il avait besoin d'aide, et il semblait mort de trouille...

Mathias ne se rendait pas vraiment compte que sa mère bougeait légèrement de la où il téai cela semblait imperceptible, et ce fut d'autant plus douloureux pour Mathias.
Le jeune homme lacha la main de Sélèneet se redressa, une angoisse coincée dans sa gorge.

Il se releva pour se diriger vers la fenêtre, comme un vieux reflexe lorsqu'il n'allait pas, bien, observer les choses et les gens bouger sous ses yeux.

Cette rencontre était plus compliqué pour lui que les précédentes tout simplement parce qu'il avait pleinement conscience de l'état dans lequel se trouvait sa mère. Peut-être que dans ce cas, être médecin ne l'avait pas tant aidé que ça, être dans l'ignorance l'aurait alors soulagé. La voir ainsi était tellement destabilisant, parce qu'il devait non pas se comporter comme son médecin, mais comme son fils et que cela il ne savait pas faire.

Mathias posa son front sur la vitre fixant le soleil, comme pour le mettre au défi. Néanmoins sa main trahissait son inquiètude et son malaise, jouant avec le rideau de façon nerveuse et presque inconsciente.

Sélène sentit Mathias lâcher sa main, et le vit se redresser pour se diriger vers la fenètre, laissant en plan la main de sa mère, qui sembla s'immobiliser sur le coup... Sélène passa une main sur son front, se demandant ce qu'elle pouvait faire pour se rendre utile... Mathais était appuyé contre la fenètre, et semblait trouver un intérêt tout particulier aux rideaux qui occultaient légèrement la lumière...

Sélène reporta son regard sur la mère de mathias, et approcha craintivement sa main de celle de la jeune femme... c'était peutètre stupide, mais ça ne coûterait rien d'essayer...

Mathias détourna les yeux vers Sélène, la voyant approcher de sa mère.
Il se santé davantage stupide de réagir de la sorte, il lacha alors le rideau et s'approcha des deux femmes, se demandan ce que voulait faire Sélène. En fait il en avait une petite idée, et il voulait voir qu'elle en serait le résultat...

L'esprit d'Elizabeth, était un chaos étrangement mélodieux, une sorte de partition où la mutante, l'épouse, la femme et la mère se battaient pour savoir laquelle déciderait du sort des autres.

La mère semblait vouloir sortir de ce cauchemar sans fin, retrouver son fils dont elle entendait la voix et sentait la crainte, alors que les autres voualient rester là à l'abris d'éventuel reproche, fuyant Paul Scox.

Puis "toutes" sentir une main étrangement froide, se poser sur elles et la lute repris. Une seule semblait vouloir s'echapper de cette prison, défaire ses chaînes et se libérer de ce sommeil sans fin.

La jene femme chercher à savoir qui venait ainsi de poser sa main, essayant de capter cet esprit qui voulait entrer en contact avec le sien...

Lorsque la main de Sélène entra en contact avec la main de la mère de Mathias, un brouhaha insupportable envahit sa tête... Sélène se cripsa, tant parce qu'elle ne s'attendait pas à ça que parce que ce cafarnaum lui infligeait un mal de tête pas possible... La mutante tint bon, essayant de mettre un peu d'ordre dans toutes ces voix différentes qui habitaient la tête de l'endormie...

Sélène n'avait encore rien vu de tel... c'était comme si l'âme de la mère de son british s'était morcellée... aucun lien précis ne semblait exister entre chaque morceau, hormis une certaine crainte de Paul, le "père" de Mathias... Sélène resta en observatrice de cette lutte intestine pendant quelques secondes et sauta sur l'occasion lorsqu'elle tomba sur uen pensée en rapport avec Mathias... l'une de ces voix semblait avoir accordé énormément d'importance au contact précédent, et aussi à ce qu'il avait pu en ressortir...

+ Je suis la Sélène dont vous parlait Mathias... je ne vous veux aucun mal, je souhaite seulement vous aider... Mathias vous aime énormément, et vous voir souffrir de la sorte lui est quasi-insupportable... Il est là, derrière moi, et cherche un moyen plus efficace de vous transmettre son amour... +

Sélène marqua une pause dans sa transmission de pensées, essuyant un début de larmes avec son autre main...

+ Mathias est un homme adorable... merci d'avoir fait de lui ce qu'il est devenu... Sans vous, il ne s'en serait sans doute pas aussi bien sorti...
Merci de lui avoir transmis votre amour et vos valeurs... +

Sélène ne savais pas trop comment ces différentes voix réagiraient, mais celle à laquelle elle venait de s'adresser aurait sans doute une réaction... Des paroles sincères qui venaient de très loin, principalement parce que Sélène n'avait pas l'habitude d'ouvrir son coeur de cette façon... mais Mathias avait besoin d'aide sur ce coup-là...

(ça va être un cafarnaum sans nom t'es prévenue^^)

En entendant la voix de Sélène le boucan s'arrêta net avant qu'une voix, qui semblait avoir le contrôle sur toute, celle de la femme, battue et effrayée qui avait mis toutes les autres en retrait, prenne la parole

Sortez d'ici! Personne ne peut nous aider ni vous ni Mathias, il y a bien longtemps que nous avons fait notre choix!

Pourtant une voix plus douce, plus maternelle pris le dessus, sortant de ses chaînes imposées par la première.

Nous n'avons rien fait... Mathias est ce qu'il est grâce à lui même et à vous plus qu'à nous....Je l'ai lachement abandonné, sans savoir prendre le dessus, 5 ans de sa vie n'a en rien pu jouer sur ce que cet homme est devenu...

Cette voix fut bien vite ettouffée à nouveau, pourtant elle restait présente tentant d'echapper à ses chaines qu'elle ne voulai pas

Tais-toi! si j'ai fait cela c'es pour nous sauver toute! sans moi nous serions mortes et notre fils avec nous!

Une troisième voix apparut alors, celle de la mutante qui avait bien compris qu'elle se trouvait face à une de ses semblable.

Pouvez vous nous aider? Nous libérer de tout ça, elle est seule à décider, mais nous n'avons jamais voulu cela, notre pouvoir et devenu notre prison, nos pièges se sont retournés contre nous...

Tu veux qu'il nous tue? Je refuse de mourir en sortant d'ici, Mathias à grandi il sait ce qu'il a faire, que ce n'est pas de sa faute, il nous l'a dit, alors à quoi bon se réveiller! Je refuse PARTEZ Sélène, LAISSEZ NOUS EN PAIX!!

L'épouse craintive venez de se réveiller de sa torpeur, plus effrayé encore que les autres à l'idée de se réveiller...

Je refuse de rester là à voir Mathias veillir et vivre sa vie, il a besoin de nous, nous avons tant à vivre avec lui...Je ne veux plus rester là...Aidez moi mademoiselle je vou en supplie...

La lutte repris alors entre ces femmes unies par un corps et une fragilité, dans un bruit étourdissant.

Mathias lui restait prêt de Sélène la regardant faire, souhaitant au fond de lui qu'elle parvienne à ses fins.

(j'aime le cafarnaum, ça va être drôle je le sens... ^^)

Sélène plissa légèrement les yeux, essayant de trier les diverses voix qui lui emplissaient à présent la tête de paroles toutes plus décousues les unes que les autres... Il y avait de tout; les facettes de la personnalité de cette pauvre femme s'étaient désolidarisées, de sorte qu'il devenait presque impossible de parlementer de façon efficace...
une autre voix apparut, en plus de celle qui voulait que Sélène arrête, de celle qui crevait de trouille devant son mari, et de celle qui était persuadée que Mathias n'avait plsu rien à faire de son aide... La mutante...

+ non, je ne sortirais pas de votre esprit, et personne ne peut m'y forcer... +

Ca pouvait paraître prétentieux, mais fallait pas déconner non plus... Maintenant que Sélène y voyait plus clair, elle ne comptait pas sortir et laisser tout en plan comme ça ><

+ La personnalité d'un enfant se forge pendant les premières années de sa vie... Vous êtes celle qui lui a permis d'échapper à son héritage paternel de violence et de haine... Votre douceur et votre amour ont permis à Mathias de dépasser tout ça et de se protéger de son père... Le nier serait vous voiler la face... Mathias est ce qu'il est grace à vous... +

La voix de la mutante avait demandé clairement de l'aide quelques secondes auparavant, et dénonçant l'oppression dont étaient victimes toutes les facettes de la personalités de la jeune femme...

+ Je pense pouvoir vous aider, en effet... pas à reprendre le pouvoir sur ce corps que vosu partagez toutes... Je peux seulement vosu donner une raison suffisante de vous battre pour retrouver l'équilibre qui régissait votre corps 18 ans auparavant... Mathias vous aime, toutes autant que vous êtes... Et quoi que vous puissiez toutes en penser, il a besoin de votre amour... Il a fait sa vie, c'est indéniable, mais sa personalité n'est pas complète sans ce qui l'a forgé, sans ce qui a fait de lui ce qu'il est... il a besoin de sa mère... +

Sélène adressa finalement quelques mots à la voix-tyran... bah oui, la laisser de côté ne l'encouragerait pas à comprendre ><

+ Paul Scox peut être vaincu... je ne dis pas que ça sera facile... Il m'a fait du mal à moi aussi... Mais maintenant, Mathais peut vous en protéger, il n'a plus la carure d'un enfant de 5 ans, et il ne demande qu'à protéger sa mère...
Aucune d'entre vous n'a le droti d'imposer sa volonté aux autres... votre décision devra être le fruit d'un consentement... pas une prise de pouvori arbitraire... +

(ça va être très drôle )

L'épouse pris de nouveau la parole, son époux vaincu? Cela lui semblait impossible à concevoir.

Le vaincre vous n'y songez pas sans lui, nous ne serions rien d'autre qu'une femme qui aprentrait les trottoirs...Je m'y refuse!

La mutante revint alors à la charge, aussi motivée que la mère à sortir de tout ça.

"Sortez nous de cet enfer je vous en prie, c'est insupportable, je ne peux plus vivre ainsi, enfermé dans mon pouvoir

La voix maternelle fut celle qu prs le plus attention au discours de Sélène, reprenant le dessus.

Il vous a fait du mal? Et Mathias? A-t-il fait du mal à mon fils?

Elle s'en prie alors à la "dominante"

Tu vois où nous en sommes! Laisse nous sortir maintenant! Libère nous et arrête de croire que nous pourrons lui echapper en vain! Ce n'est pas une situation normale!

La dominante rester en retrait écoutant chaque mot avant de finallement s'adresser à Sélène.

Et que proposez vous pour nous sortir de là? Comment pensez vous que l'on puisse lui echapper, notre fils ne sera pas éternellement là, il a sa vie. Que croyez vous? Nous savons qu'il ne hante plus les couloirs de cette maison, lui aussi nous a abandonné, il nous a laissé seules avec ce monstre...

Tais toi! Mathias s'est sauvé comme il a pu! Il s'est protéger de Paul! Il ne nous a pas abandonné! Pas comme nous nous l'avons fait!

En es tu sûre, es-tu certaine de toi? Pour quoi n'est-il pas revenu plutôt alors?

Un silence pesant s'instaura alors comme si la lutte avait pris fin sur ces paroles...

Cette histoire commençait à échauffer légèrement Sélène; enfin surtout la "dominante", qui bourrait le crane des deux autres avec ses c*nneries ><

+ Arpenter les trottoirs? Ne préféreriez-vosu pas arpenter le trottoir en haillon mais libre plutôt que de rester perpétuellement son esclave? Vous êtes certes son épouse, mais n'avez-vous donc aucuen fierté?
Vous préfèreriez rester à sa botte, mais alors expliquez-moi pourquoi vous restez léthargique? Vous le fuyez ne vosu comportant comme ça... Pourquoi ne pas avor le courage de vos opinions en vous réveillant, en le laissant vous battre à nouveau puisque cela vous plaît tant que ça? Il vous donnerait so nargent, son "amour" et vous décalquerait la gue*le à la moindre occasion... Super comme vie, non? +

Sélène se radoucit pour parler aux autres, qui dans le fond, navait rien demandé à personne...

+ Personne n'a abandonné personne... Mathias est parti parce qu'il avait besoin de se faire la main ne tant que médecin... Médecin humanitaire, ce n'est pas franchement le genre de choses que l'on peut faire en restant tranquilement dans une maison confortable... Il a pas mal bourlingué, et maintenant qu'il se sent près à vous aider, il revient... Mais il ne vous a jamais abandonnées... +

Le discours de Sélène semblait avoir franchement eu prise sur la facette "maternelle" de la malade, et Sélène continua sur sa lancée, y allant doucement, mais sûrement... Elle ne voulait pas traumatiser la mère de Mathias à vie, mais seulement l'aider... ça prendrait sans doute du temps, mais elle était prète à tenter de faire ce qu'elle pouvait...

+ Oui, il a tenté de me faire du mal, parce qu'il a vu qu'il ne pouvait pas atteindre Mathias... Votre fils va bien, parce qu'il avait quelqu'un sur qui compter pour ne pas céder à la violence, pour ne pas céder aux méthodes des plus faibles...
Vous pouvez faire front, toutes ensemble... Mathias sera là pour vous aider... et si vous voulez bien de mon aide, je serais là aussi... +

Sélène soupira aux dernières paroles prononcées... Elle ne savait plus trop qui les avait prononcées, parce que rester aussi longtemps dans l'esprit d'une personne affaiblie lui pompait toutes ses forces... La main libre de Sélène se crispa lorsque la douleur de son dos se réveilla; elle avait trop tiré sur la corde... Ses cheveux commencèrent à blanchir, lentement, lui redonnant peu à peu l'aspect d'une femme plus vieille... La mutante ne souhaitait pas rompre le contact; elle savait qu'elle ne pourrait pas poursuivre cette discussion le lendemain...

+ A deux, on est toujours plus forts... Rien ne vous force à accepter mon aide... mais celle de votre fils ne me paraît pas superflue pour lutter contre cette torpeur qui vous a clouée au lit... Vous vous réveillerez et votre mari reviendra, c'est certain... Seulement, vous ne serez plus aussi intimidée, vous ne vous laisserez pas faire... Et lorsqu'il aura compris que s'il levait à nouveau la main sur vous, il se prendrait son fils sur le coin de la gue*le, je peux vous assurer que ça le calmera...
Rien ne vous pousse à rester ici de toute manière... il n'est pas à votre chevet... Vous n'êtes pas dépendante financièrement parce que la moitié de son empire vous appartient... vous ne lui devez rien, Elizabeth... +

La voix maternelle pris finallement le dessus sur les autres, bien consciente, et peut-être plus que les autres de l'effort que cela demandait à Sélène de rester ainsi à lutter pour la sortir de là. Cette partie de la femme avait finallment une préstence et un charisme bien supérieur à la haine que dégageait la femme baffouée qui sommeillait en elle.

Alors il l'a fait...Il est devenu médecin comme il l'avait juré... Cet enfant n'a toujours eu qu'une parole... Vous saveez nous ne pensons pas toutesêtre dépendante à ce point de paul, cette situation, nous a parut la plus simple pour rester auprès de Mathias, sans davantage subir la haine de cet homme. Nous savons que cela était lâche, que nous n'avions pas le droit de laisser Mathias seul... Mais nous nous sommes, dis...Nan je m suis dit que ainsi, Paul l'éloignerai naturellement de la maison, qu'il ne lui ferai aucun mal, préférant le laisser loin de tout cela...
Mathias à de lui même quitté la maison pour voir le monde et sauver les autres à défault de se sauver lui même... Je comprend aujourd'hui l'avoir fait bien plus souffrir que protéger, et croiser votre route a sûrement été la meilleure chose qu'il lui soit arriver...

La jeune femme repris alors son unté, ce qu'il la faisait pleine et entière, unique, et maitresse de ses choix., une silouhette unique emmergea des pensées d'Elizabeth, dévoilant la jeune femme rousse des souvenirs de Mathias, comme arrêté dans le temps et pourtant marquée par les coups, chaque coups porté comme autant de souvenirs qui venaient entaché sa peau légèrement rosée.

Votre aide, comme celle de mon fils me sera utile car l'affrontement face à ce monstre ne sera pas des plus simples, mais j'ai trop longtemps fuit, et je ne le veux plus. 18 ans que je sommeil, passant à côté de ce qui a fait la vie de mon enfant, 18 ans que je me cache, en oubliant que Mathias veilli et devien un homme, un homme capable de tout par amour, même de venir ouvri les rideaux de cette chambre trop longtemps plongée dans le noir...

Elizabeth souria alors à Sélène maintenat bien conscient du choi qu'elle avait à faire, mais aussi de la douleur que cette femme éprouvait à rester ainsi.

Rejoignez le Sélène, retournait à ses côtés, si il n'a pas changé il doit s'inquièter pour vous, nan il s'inquiète pour vous cela se sent... Rejoignez le et dîtes lui, dîtes lui qu'il n'est plus seul, que vous êtes la mais que bientôt je le rejoindrai également. Qu'ensemble nous rattrapperons le passé et nous mettrons fin au règne de tereur de Paul Scox...

Merci Sélène, parce que sans vous, je ne serai jamais sortie de cet enfer, de ces limbes où je m'étais plongée pour mieux fuir...Merci de prendre tant soin de Mathias, et de l'aimer au point de lutter avec moi et avec son père...

Maintenant partez je vous rejoinds, le temps de trouver moi-même la clé de ce pouvoir qui me retiens... Vous en avez assez fait et vous fatiguer ne me rendrais que davantage coupable...

La silouhette disparu alors, rompant d'elle même le liens avec la mutante, cherchant seule à se sortir de cette situation.

Mathias se plaça alors face à Sélène, lui faisant lacher la main de sa mère, un regard inquiet en voyant sa main crispée et ses mèches blanches.

"Sélène, ça va?"

Il posa alors sa main sur la joue de la jeune femme, tellemnt inquièt que ses pensées semblaient comme bloquées et mis sur pause, seul un sentiment étrange appraissait sur son visage et dans ses yeux.

A côté d'eux Elizabeth s'agitait plus clairement, plus nettement, prête à s'éveiller, comme si elle attendait le moment propice pour enfin refaire surface.
Mathias la vit s'agitait et la regarda prenant sa main avec sa main gauche comme pour l'aider à s'echapper de ce calvaire. Sa main droite rester poser sur Sélène qu'il pris dans ses bras comme pour la soulager de sa douleur.
Se sentant impuissant et pourtant plus fort...

La voix de la "mère" s'éleva, plus forte que les autres, et Sélèen sut qu'elle avait bien fait de tirer autant sur la corde... Elle se sentait davantage partir à chaque mot supplémentaire qui envahissait sa tête, mais ça en valait de plus en plus le coup à chaque minute: Sélène ne s'était jamais sentie aussi utile qu'à ce moment précis, et les mots que la mère de mathais formait de façon de plus en plus claire dans son esprit ne faisaient que le lui confirmer...

+ Je ne sais pas si ça l'a fait plus souffrir que si vosu êyiez restée à vous faire malmener devant lui... Votre mutisme lui aura au moins évité de voir sa mère se faire rouer de coups poru le simple fait d'être mutante... et rien que pour ça, votre comportement a de quoi donner des leçons à tous les parents qui n'ont pas été capables de s'occuper de leurs enfants... Moi, on m'a jetée dehors à l'gae de 7 ans... parce que c'était plus facile de m'éloigner que de faire un choix plsu courageux que ça...
Vous avez laissé Mathias décider seul de ce qu'il pourrait faire de sa vie... et pour ça, je pense qu'il vous ne sera éternellement reconnaissant... +

Elizabeth demanda alors à Sélène de ne pas s'attarder davantage dans son esprit, la remerciant d'avoir proposé son aide poru lutter contre son tyran de mari... Sélène sentait sa vue se brouiller mais tenait bon, elle ne devait pas sortir comme un bourrin de son esprit; elle ne voulait pas lui faire de mal...
Mathias lui dmeanda si elle allait bien, mais Sélène ne répondit pas, souhaitant terminer ce qu'elle avait commencer avant de s'effondrer... Elle sentit mathais la prendre contre lui, et son regard reprit doucement contact avec le monde réel, tombant sur la jeune femme rousse qui s'agitait de manière plus prononcée dans son sommeil...

+ Je vous attendrais avec Mathias, Elizabeth... Personne ne bougera de cette maison tant que vous n'aurez pas trouvé la sortie de ce labyrhinte... +

Sélène écarta sa main de celle de la mère de Mathias, rompant avec douceur ce contact qui venait de la vider partiellement de son énergie... Sélèen s'effondra davantage dans les bras de Mathias, fermant les yeux en espérant faire passer la douleur qui lui vrillait le dos...

Mathias garda sa main dans celle de sa mère, retenant un peu plus Sélène dans ses bras, la sentant à bout de force. Cette lutte avait dû être plus dure que ce qu'il pouvait imaginer. Il plaça alors Sélène contre lui de sorte qu'ele puisse soulager son dos en se calant contre lui.

Elizabeth s'agita un peu plus et finit par sortir de sa torpeur dans un hurlement qui raisonna dans la pièce. Sa respiration haletante donnait l'impression qu'elle avait parcouru des kilomètres avant de finallement s'en sortir. Elle se redressa rapidement et posa son regard sur Mathias et Sélène.

Mathias?

Le jeune homme lacha alors la main de sa mère, restant sans voix tant il fut surpris par cette vision qu'il pesait ne jamais voir arriver.

"Maman...Comment est-ce...?"

Il posa son regard sur Sélène enfouissant sa tête dans ses cheveux. e mutant murmura alors.

"Merci..."

De son autre main, il attira sa mère contre lui serrant les dex femmes qui comptait le plus pour lui

Mathias...Pardonne moi...

Elizabeth pris alors la main de Sélène dans la sienne achevant de renfermant le trio dans une unité et une force indestructible.

Sélène entendit un hurlement déchirer le silence qui semblait emplir cette pièce depuis plsu de 18 ans, et la mère de Mathias appela son fils, avant que ses yeux ne se posent sur lui, qui serrait Sélène dans ses bras pour ne pas qu'elle s'écroule... Sélène avait senti son regard se poser sur elle, mais elle était trop affaiblie pour faire le moindre mouvement supplémentaire... Mathias lui murmura quelques mots de remerciement, comprenant qu'elle avait initié le réveil de sa mère, et la serra davantage dans ses bras, enfouissant son visage dans les cheveux de la mutante qui blanchissaient encore par endroits...

La mère de Mathias lui demanda de lui pardonner quelque chose qui dans le fond l'avait sauvé, et Sélèen sentit la main de la jeune femme se refermer sur la sienne... Ses pensées envahirent encore sa tête, mais Sélène ne transmit rien de plus; elle n'en avait plus la force pour le moment...

Des bruits de pas raisonnèrent dans le couloirs, et Alfred entra lachant le plateau au sol en voyant Elizabeth assise sur son lit.
La jeune femme regarda Sélène et ses cheveux blanchir, elle lui murmura alors à son oreille.

Je peux vous aider à vous sentir mieux...laisser vous faire... C'est la moindre des choses...que je puisse faire pour vous...

Tel était le pouvoir de la mère de Mathias, absorber ou prendre tel une éponge les blessures et les coups, étrange pouvoir pour une femme à de si nombreuse fois battu, mais expliquant pourquoi le temps ne semblait pas avoir d'emprise sur elle ou très peu. Elle ferma les yeux et à son tour entra en Sélène... Un pouvoir biologique qui agissait sur le corps humain, expliquant peut-être pourquoi Mathias voulu devenir médecin, se rapprochant de sa mère par la même occasion.

Alors elle fit agr son pouvoir, supprimant la douleur, cherchant à trouver comment faire disparaître ces mèches blanches.

Mathias la regarda faire, voyant agir son pouvoir et se souvenant de toutes les fois où elle avait soigné ses blessure de la sorte. Il caressait lentement les cheveux de son amante, la réconfortant à sa manière

Sélène restait immobile, étroitement blottie dans les bras de Mathias pour ne pas tomber de sa chaise, et gardant sa main dans celle de la mère de son british, comme si un lien particulier était en train de se tisser avec sa mère... Un bruit assourdissant brisa le silence, et Sélène en déduisit qu'il s'agissait d'Alfred, qui venait sans doute de voir sa patronne éveillée pour la première fois depuis bien trop longtemps...

Elizabeth demanda à Sélène de se laisser faire... elle voulait l'aider en retour, mais Sélène ne savait pas si c'était conseillé après ce qu'elle venait de vivre...
Mais de toute manière, elle n'avait pas la force de protester...

Une vague étrange la submergea, et Sélèen laissa échapper un gémissement de douleur étouffé, en sentant la douleur de son dos s'intensifier l'espace de quelques secondes avant de disparaître... Alors c'était ça, le pouvoir de la mère de Mathias... pas étonnant dans le fond qu'il ait fini par devenir médecin...
Sélèen sentit ses cheveux retrouver leur couleur normale et ses forces revenir peu à peu: elle leva les yeux vers Elizabeth, se demandant si elle ressentait les douleurs qu'elel "pompait" ou non... elle espérait de touets ses forces pour que ce ne soit pas le cas...

Sélène sentait que Mathias carressait ses cheveux avec cette oduceur qui lui était propre, et elle laissa aller sa tête contre la sienne, effleurant son visage avec le bout de son nez, lui indiquant que ça allait mieux... grace à sa mère... Sélène orienta son regard vers Elizabet, articulant ne silence le mot "merci", qui à lui seul ne pouvait témoigner tout ce qu'elle avait envie de dire à cette femme qui dans le fond avait fait de son homme ce qu'il était...

Mathias vit Sélène reprendre ses forces tandis que sa mère continuait de "réparer" les dommages que sa lutte intérieure avait provoquée sur Sélène. La jeune femme réccuppéra bine vite ses forces frôlant le visage de Mathias avec le sien.

Elizabeth hocha légèrement la tête au mot de Sélène, obervant son fils montrer sans honte tout l'amour qu'il éprouvait pour cette femme qui se tenait dans ses bras.
Elle glissa alors une main dans les cheveux de Mathias, relachant sa main. Elle s'approcha lentement, déposant un baiser maternel sur son front.
Mathias la serra à son tour dans ses bras sans relacher Sélène. Sa voix restait bloquée dans sa gorge, par des larmes de joie qui se mirent à couler sans qu'il puisse réellement les retenir, sans en avoir l'envie non plus.

Mais de nouveau pas raisonnèrent dans l'entrée et avec eux le fracas d'une valise sur le sol, jetait là par colère. La voix du père de famille raisonna alors dans l'entrée

Alfred!!

Le pauvre homme était resté sur le pas de la porte se demandant si il ne rêvait pas. Mathias lui fit signe de rien dire, reprnant son aplomb naturel.
Il se releva alors laissant les deux femmes et se mettant aux côtés du majordome ,et hocha la tête. Alfred lança alors

"En haut monsieur, la chambre de votre épouse...."

Les bruits de pas raisonnèrent alors dan l'escalier, pressant et plein de rage....

Elizabeth sur le lit pris la main de sélène dans la sienne, comme pour finir de lui aporter les dernières forces qui lui manquaient, et en même temps se donner du courage pour affronter cet homme...

Sélène se sentait mieux au fur et à mesure que les minutes passaient, et elle perçut le hochement de tête d'Elizabeth... Mathias serra sa mère dans ses bras et la jeune femme rousse déposa un baiser sur le front de son fils, son instinct maternel reprenant le desssu sur tout le reste... Sélène avait au moins réussi ça, elle lui avait rendu sa mère... Une intense sentiment de plénitude l'envahit, parce que pour la deuxième fois de sa vie, elle avait réussi à faire quelque chose qui apporte des bienfaits à quelqu'un d'autre qu'à elle-même... et le truc en plus pour cette deuième fois, c'était tout simplement que ça profitait à Mathias autant qu'à sa mère...

La voix du tyran se fait finalement entendre, et Mathias finit par relâcher les deux jeunes femmes qui comptaient tant à ses yeux... Elizabeth reprit la main glacée de Sélène entre les siennes, et Sélène lui adressa un egard apaisant, lui indiquant qu'elle allait mieux, et que cela irait mieux pour Elizabeth elle-même dans peu de temps...
Mathias finit par laisser Alfred révéler la localisation de tout ce petit monde, et Sélène resserra sa prise sur la main de la mère de Mathias, lui adressant uen onde mentale apaisante pour lui montrer qu'elle l'aiderait, comme promis... Cet homme cruel ne la toucherait pas, c'était hors de question, et s'il le fallait, elle le ferait reculer à coup d'ondes mentales...

Paul arriva devant la porte et vit mathias se tenant là, d'abord ravi, croyant que son fils était revenu. Revenu pou prendre le traitement, recommencer sa vie sans cette mutante qui lui encombrait lesprit, prêt à trouver une épouse digne de ce nom.

Mathias mon fils tu es revenu... Quelle bonne nouvelle

Mathias lui lança alors un regard noir malgré ses yeux gris clair.

"Ne te fais pas de fausse idées, tu risque de tomber de haut..."

Il se décala alors l'invitznt ainsi à passer le suil de la chambre, il vit alors Sélène assise et digne, puis sa femme assise à son tour, éveillée et en pleine forme.

Qu'avez vous fait! Qui vous a demandez d'intervenir? Vous ne pouviez pas la laisser en paix!

Elizabeth se leva alors, rejoint par Mathias qui se plaça à ses côtés.

"Parce que tu crois que cette situation me convenait? Tu crois que cela me plaisait de rester ainsi loin de mon fils? Le laissant grandir sans moi?

Sa voix commençait à se casser par ses larmes, par la peur aussi...

Je ne voulais pas ça...Non je ne le voulais pas....


Mathias commençait à sentir sa mère flancher il passa alors ses bras autour d'elle, tandsi que aul face à eux serrer les poings se retenant de frapper le premier qui passerait à portait de main.

Aussi fou l'un que l'autre, des monstres c'est tout ce que vous êtes....

Le papounet passa le seuil de la chambre, et son regard croisa celui de Sélène, qui était restée près de la mère de Mathia,s sa main étroitement serrée dans la sienne... Le regard de cet homme transpirait la haine au point que ça aurait pu en devenir étourdissant, mais Sélène avait promis d'aider Elizabeth à s'en débarasser... et pusi d'abord, elle n'était pas si influencable que ça...

Laisser qui en paix? votre égo d'homme trouillard? Laisser votre femme dans cet état aurait été vous laisser l'emporter sur son esprit... sur ce qu'elle représente à elle seule...

Sélène se tut lorsque Elizabeth se leva... elle semblait décidée à régler ça toute seule... La mutante se plaça aux côtés de Mathias, qui l'entoura de l'un de ses bras forts, et Sélène se leva, se dressant comme l'aurait fait uen femme de haute naissance... Elle était née paysanne, mais avait acquis les manières d'une femme de la haute société, et ça se voyait aujourd'hui plus qu'à n'importe quel moment...
Sélène rejoignit mathais et sa mère, glissant sa main dans celle de la mutante et levant un regard plein de défi vers le papounet lorsqu'elle l'entendit employer à nouveau le mot "monstre"...

La leçon de la dernière fois ne vous a pas suffit? Vous croyez peutètre que parce que l'autre blondasse n'est pas là ça se passera mieux? Il n'y a aucun monstre ici hormis vous, Paul...
Et aujourd'hui sonne la fin de votre règne de tyran sur cette famille... haïssez-moi pour ce que j'ai apporté à Mathias et à sa mère, je ne m'en porterais que mieux!

Dans un sens, elle était un peu responsable de tout ce remue-ménage... mais c'était tellement mieux de les savoir libres tous les deux qu'elle n'avait pas pu s'ne empêcher...

Elizabeth se sentait plus soutenue que jamais et la présence de cette mutante à ses côtés, comme clele de son fils lui donnait l'impresion d'avoir des ailes dans le dos. Mais au fond d'elle une lutte avit repris mais cett fois pour savoir qui réglerait ses comptes la première.

La mutante pris alors le dessus faisant varier très légèrement la voix de la mère.

Que crois tu Paul? qu nous resterions dans le silence éternellemnt, ce moment devait bien finir par arriver, tu devais savoir qu'un jou ou l'autre Mathias se soulèverait contre toi, qu'un jour prochain, il allait te tenir tête, c'est pour cela que tu l'as éloigné, parce que tu as peur...Et apparement plus encore lorsque tu as découvert qu'il était mutant...

Elizabeth avait toujours ignoré cela, même lorsque Mathias avit pris contrôle de son rêve elle avait cru que cela n'éatit pas arrivé mais le regard haineux de son époux l'avait conforté dans cette idée. Elle serra la main de Sélène

Paul restait sonné par les paroles de sélène, elle avait raison, il le savait mais il n'allait pas laisser son empire s'effondrer de la sorte pour une femme venu de l'on ne sait où...

Que croyez vous Sélène, qu'à vous seul vous réduirait à néant des années de travil et de lutte, vous avez embué l'esprit de mon fils, mais elle reste mon épouse et vous n'avez aucun droit sur elle!

Mais tu n'en as plus non plus Paul, tu as perdu tout droit lorsque tu m'as laissé m'enfoncer, lorsque tu as levé la main sur moi!

La mère, Elizabeth elle même avait repris le dessus, serrant Mathias dans sson bras et tenant Sélène dans ce front face au tyran.
Paul se tourna alors cherchant le secors du seul "humain de cette pièce" Alfred, qui vint tout naturellement se placer aux côtés de son jeune maitre...

L'esprit de la mère de Mathias eût un léger frémissement, et Sélène comprit que son pouvoir lui permettait peutètre de faire permuter les différentes facettes de sa personalité... son pouvoir était impressionnant, mais pouvait être tellement handicapant...

Sélène serrait la main d'Elizabeth dans la sienne, et les pensées de la mère de son british semblaient faire communion avec celles qui Sélèen avait naturellement... peutètre même qu'elle lui ne transmettait de façon involontaire, parce qu'il y avait quelque chose d'étonnant dans l'esprit de cette femme...
Le discours du père de Mathias arracha un petit rire cynique à Sélène, et la jeune femme finit par lui répondre avec cette froideur qui la caractérisait à chaque fois qu'elle s'adressait à lui depuis qu'il lui avait fait perdre les pédales sur la question de la descendance que Mathias comptait donner à la famille Scox...

Des années de travail? C'est donc comme ça que vous considérez votre femme? je comprends mieux pourquoi Eliabeth a préféré se laisser sombrer dans l'inconscience, au moins elle ne subissait pas votre emprise... elle ne subissait pas votre haine... et encore mieux, cela lui permettait de vous échapper...
Elle ne a souffert, c'est incontestable... vous avez fait souffrir une famille entière, Paul, n'avez-vous pas envie d'arrêter ce massacre?

Elizabeth finit par lui balancer ne pleine face qu'il n'avait plsu aucun droit sur elle, et Sélène serra un peu plus sa main, lui montrant qu'elle serait là même après sa déclaration... Elle n'aimait pas abandonner les gens qui avaient besoin d'aide...
Le papounet se tourna vers Alfred poru obtenir un peu de soutien, mais le majordome vint prendre place à la droite de Mathias... Sélène ne s'était pas trompée; il existait bel et bien quelque chose de fort entre Mathias et son "domestique", même si dans le fond, il le traitait en égal...

Je vous l'avais prédit lorsque vous m'avez humiliée l'autre soir, Paul... vous allez crever seul comme un pestifiéré... avec tout votre argent, votre grande maison, vote renommée... mais sans personne pour vous aimer...

En même temps, il l'avait bien cherchée, alors Sélène n'allait pas se priver pour l'enfoncer ><

Elizabeth fini par lacher la main de Sélène te de Mathias pour s'avancer face à Paul, lui tenir tête une ultime fois avant de définitvement s'en libérer.

Tu n'as jamais su te trouver les bons alliés Paul, ton empire ne s'est bâtit que sur des erreurs, tu t'es mis à dos les seuls personne qui aurait pu t'apporter davantage de force. Tu ne te rend as compte du pouvoir que ces deux amants ont, bien plus qu'une simple mutation, bien plus que tu ne peux te l'imaginer... Tu n'arriveras jamais à rien sur eux pauvre insecte

Paul parti alors dans un excès de rage et frappa Elizabeth qui tourna la tête en souriant.
A peine eut-elle le temps de régair que Mathias avait attrapper son géniteur par la gorge et l'avait plaqué contre le mur, le faisant décoller du sol.Ce simple geste était devenu insupportable pour lui qui se voyait lors de ces "crises".

Elizabeth posa une main sur le bras de Mathias qui ne semblait pas prêt à lacher prise, prêt même à l'étouffer sur place pour avoir lever la main sur sa mère.

Mathias je t'en prie arrête il n'en vaut pas la peine!

Elle se tourna vers Sélène, perdue et presque effrayée...

Elizabeth s'avança seule versa son mari, et Sélène la laissa faire, parce qu'elle avait vu dans son esprit à quel point c'était important pour la mère de Mathias d'y parvenir seule, et de porter elle-même le coup final... Elle lui balança ses quatre vérités en pleine face, avantant alors le pouvoir dont disposaient Mathias et Sélène de par l'amour qu'ils se portaient l'un à l'autre, et Sélène étendit son bras, glissant sa main dans celle de Mathias...

Le papounet ne supportant pas la dure vérité colla uen giffle magistrake à sa femme, lui faisant tourner la tête. Mathais sortit de ses gonds et le chopa à la gorge pour le plaquer contre le mur près de la porte... le papounet semblait étouffer, et Elizabeth supplia son fils de relâcher Paul: Mathais orienta son regard vers Sélène, qui était restée près d'Alfred en retrait... La mutante avança aussi lentement qu'elle le pouvait, histoire de faire durer le supplice de l'autre c*nnard, et elle vrilla son regard dans celui agonisant de Paul, avant de déposer un baiser dans le cou de Mathias et de reprendre la main d'Elizabeth dans la sienne, comme elle l'aurait fait pour rassurer une enfant... Mathias n'était pas violent... il n'avait rien de commun avec son père...

Il n'en vaut pas la peine... La violence est l'arme des faibles; nous nous recourrons aux mots... Nous n'avons pas peur de la vérité, tant pour la dire que pour la faire éclater...
Vous n'êtes qu'un lâche qui a trop peur des mutants pour être capable d'aimer sa femme correctement... Qui a été incapable de comprendre que la frapper ne ferait pas envoler sa mutation...

Sélène passa son autre main dans la tignasse de son british, se doutant qu'il ne tarderait pas à relâcher ce type immonde...

Mathias eu un sourire litérallement démoniaque aux paroles de Sélène, la violence n'était pas ce qui le faisait sourire ainsi, mais la eur de sn père si.

Le mutant ferma les yeux en sentan la main de son mante dasn ses cheveux, ce geste là appaisait tout chez lui, sa haine et sa colère... Il le relacha lentement, le posant au sol d'abord, sans retirer sa main.

" Tu ne parviendra plus jamais à rien, je vais me faire une joie de démenteler ton empire morceau par morceau, nuits après nuits, tu vas tout perdre Paul, à commencer ton "pouvoir" sur maman. Bientôt cette ville entière, puis les dirigeant auxquels tu tiens tant te tourneront le dos, tu finiras seul. Et pourquoi?Pour avoir frapper ma mère et insulter, et fait du mal à la femme de ma vie...Erreur fatale de jugement Paul...Tu apprendra bien vite à faire de meilleur choix...."

Il lacha totalement son père, prenant Sélèn par la taille et la serrant contre lui, avant de prendre la main de sa mère, comme pour lui prouver à son tour qu'il n'avit rien de comparable avec cet homme ignoble.

Elizabeth souria alors rassurée, puis regarda paul qui tentait de reprendre son souffle.

Je pars Paul, tu vas finir seul ici, tu vas avoir tout ceque tu as toujours voulu... La paix... Ces chers mutants ne vont plus te causer le moindre tord....

Même en chemise de nuit et encore marqué par cette lutte intérieure Elzabeth restait pleine de grâce, digne de son rang, renforcer par le rouge de ses cheveux qui lui donnait un air bien plus fort...